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J’ai tenté une expérience intéressante : lire ce journal. Je n’y suis pas arrivé. Aucun des dix kiosques testés à Paris ne l’avait. Vues leurs opinions politiques, je comprends bien qu’ils soient mal distribués par le système capitaliste. Mais, justement, le Web est normalement une bénédiction pour les « marginaux » qui n’ont pas accès aux médias officiels et aux canaux de distribution classiques. Or, CQFD ne met pas ses articles en ligne...

Bon, j’ai réussi à avoir ce journal... en allant à une fête anarchiste à Montreuil (Seine St-Denis). Pas très pratique. En gros, si on n’est pas habitué de leurs rassemblements, on ne peut pas lire ce journal...

Sinon, sur le fond, pas grand’chose dans cet article. Le FIC étant public, il y avait peu de chance de trouver matière à révélations sensationnelles. À noter que CFFD met dans le même sac tous les participants au FIC, y compris les critiques comme Jérémie Zimmermann.