petit-écran de fumée

Le petit écran est une invention formidable, mais il a un défaut majeur : l’absence de trappe de désenfumage.

  • Pfff... (l’autre) Nicolas bave encore.. et nous déverse sa logorrhée libérale en se prosternant devant les prédateurs financiers..

    Les dettes se paient toujours

    Le Point - Publié le 10/07/2014
    Treize ans après sa faillite, l’Argentine est toujours poursuivie par ses créanciers.
    http://www.lepoint.fr/editos-du-point/nicolas-baverez/les-dettes-se-paient-toujours-10-07-2014-1844882_73.php

    5. La France est l’Argentine de l’Europe, qui cumule stagnation de l’activité, blocage des gains de productivité et chute de la compétitivité, chômage structurel de masse, paupérisation accélérée de la population, dérapage persistant du déficit et de la dette publique, qui atteint 1 986 milliards d’euros, auxquels s’ajoutent 2 500 milliards d’engagements hors bilan. Seul le caractère systémique de sa défaillance protège encore notre pays contre un choc financier majeur. Voilà pourquoi le désendettement de la France n’est pas un mantra idéologique du FMI ou de nos partenaires européens ; il constitue un impératif dicté par l’intérêt national. Qui vivra par la dette périra par la dette.

    #editocrate
    #charognards

    • Pourquoi cette Dette ?
      ... mais mon petit Nicolas il faut remonter à la source , à celle de la loi appelée « Pompidou-Giscard », en un mot à cette fameuse date de 1973 !

      >>>

      l’État français a cessé d’emprunter majoritairement auprès de la banque de France afin de se financer pour se tourner vers les marchés financiers.

      <<<

      Depuis, cette loi a été abrogée et c’est le traité de Maastricht qui interdit maintenant aux États de se financer auprès de leurs banques centrales.

      >>>

      Depuis, 1973, le cumul de tous les intérêts de la dette de l’État se monte à 1.518 milliards d’euros, selon l’INSEE.
      Rappelons que chaque année, dans le budget de l’État figure le poste de la charge de la dette, soit les intérêts que nous versons dans l’année à ceux qui nous ont prêté. En 2013, la charge de la dette était de 47,7 milliards d’euros. C’était le 3ème poste de dépense de l’État.

      <<<

      source : http://www.franceinfo.fr/emission/le-vrai-du-faux/2013-2014/le-vrai-du-faux-du-10-07-2014-07-10-2014-07-25