• A la Fête du RSA - Les films du Crime et du Châtiment
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7689

    Les zones d’#échange et de #gratuité, les #lieux festifs où ça réfléchit, ça débat et ça s’organise contre les projets catastrophiques d’une politique/économie toujours plus oppressante, il est nécessaire de les ré-inventer et de les défendre. Les films du Crime et du Châtiment ont organisé le 1er mai 2015 une rencontre avec projections de films, interventions gestuelles et parlées, table de presse... et publié ce texte à l’occasion.

    Le #RSA et le débiteur

    Pour la première fois depuis l’histoire de l’humanité, la #dette n’est plus soumise à l’obligation d’un remboursement cumulé par les taux d’intérêt fixés par les banques.
    L’Etat Grec, et les ménages citoyens à travers les commissions de surendettement voient leurs dettes ou une partie de leurs dettes définitivement effacées.
    Le RSA par son non obligation de remboursement s’inscrit dans ce processus économique.
    Le RSA est un geste. Un acte.
    Un acte artistique, créatif, puisque non soumis à la rentabilité, au retour sur investissement de la valeur travail.
    Des films, des lectures, des présentations plasticiennes sont présentés par le Comité Editorial de la fête du RSA.
    Sans le Prix, de la Compétition, du Palmarès, de la Victoire, de l’Oscar National et nationaliste.
    Ces gestes artistiques financés en partie par les #CAF des domiciles des artistes de la fête du RSA constituent la première brèche dans les murailles du « sens » défini par la quête effrénée de la rentabilité, de l’efficacité, du nombre, du remboursement de la dette.