Monolecte đŸ˜·đŸ€Ź

Fauteuse de merde 🐘 @Monolecte@framapiaf.org

  • American mothers die in childbirth at twice the rate they did in 2000 - Quartz
    â–șhttp://qz.com/400530/american-mothers-die-in-childbirth-at-twice-the-rate-they-did-in-2000
    â–șhttps://qzprod.files.wordpress.com/2015/05/maternal_deaths_per_100000_live_births_us_chile_uruguay_russ
    Les femmes amĂ©ricaines meurent deux fois plus souvent en couches aujourd’hui qu’en 2000 et davantage qu’en Russie ou en Uruguay... C’est quand mĂȘme vachement beau le progrĂšs grĂące Ă  Georges W. Bush...

    While rates are still high in many part of the world, overall, their near-universal downward trajectory is encouraging.

    One country, however, bucks this trend. Each year, around 1,200 American mothers die in childbirth—meaning about 28 mothers die for every 100,000 live births.

    That’s an alarming increase from mere decades ago. In fact, between 1990 and 2013, the US’s maternal mortality rate surged 136%.

    • Good health care isn’t always available to mothers before and after giving birth, says Monica Raye Simpson of Sister’s Song, a non-profit group promoting reproductive rights for women of color.“The first barrier is access,” Raye Simpson told Forbes. “The second barrier is racial discrimination.” The black community is particularly affected by maternal mortality, with black American women being over four times more likely to die of pregnancy-related causes than white peers.

      Perhaps the biggest barrier to improving the maternal mortality is the silence that surrounds it, said Agrawal. US hospitals aren’t required to keep detailed records deaths during childbirth, and there are no reliable data on their causes (the data available in the WHO report is an estimate triangulated from a slew of sources). Partners of women who die in childbirth are generally too preoccupied with caring for a newborn on their own to become advocates on the issue.

      C’est moi qui graisse, c’est peut-ĂȘtre ça le plus dingue : ce n’est donc PAS un vĂ©ritable enjeu de #santĂ©_publique.

    • Les statistiques françaises (rapport Inserm de novembre 2013)
      Les Morts Maternelles en France, rapport du ComitĂ© National d’experts sur la MortalitĂ© Maternelle 2007-2009
      ▻http://www.inserm.fr/espace-journalistes/mortalite-maternelle-diminution-de-la-mortalite-par-hemorragies
      (pdf à télécharger)

      extrait de l’avant-propos

      Si ce constat gĂ©nĂ©ral est rassurant, certains rĂ©sultats doivent nous interpeller. L’excĂšs de dĂ©cĂšs maternel chez les femmes d’Afrique subsaharienne ou dans la rĂ©gion Ile-De-France pose question dans un pays oĂč l’accĂšs aux soins pour tous reste une prioritĂ©. D’autant que la proportion de soins sub-optimaux est plus Ă©levĂ©e chez ces femmes et pour les causes principales de dĂ©cĂšs que sont l’hĂ©morragie du post-partum et l’hypertension artĂ©rielle. Ainsi, avec un taux global d’évitabilitĂ© aux environ de 50 %, les marges de progression existent.

      La mortalitĂ© maternelle, mĂȘme si elle est rare, reste un indicateur de qualitĂ© des soins et de la santĂ© dans une population, mĂȘme dans les pays Ă  fort niveau socio-Ă©conomique. Il est fondamental que les institutions et les professionnels s’approprient les rĂ©sultats du CNEMM afin de mettre en place des actions d’amĂ©liorations tant Ă  l’échelle de l’organisation des soins que clinique au niveau individuel.
      [
]
      Il est regrettable que, malgrĂ© ces aspects positifs, les difficultĂ©s de fonctionnement du CNEMM soient croissantes. Trouver des professionnels pour enquĂȘter sur le terrain dans le respect des principes de confidentialitĂ©, obtenir l’accord des cliniciens en charge de la patiente au moment du dĂ©cĂšs, atteindre une proportion Ă©levĂ©e de dossiers examinĂ©s sont des objectifs constants recherchĂ©s par l’équipe du CNEMM. Dans ce contexte, un soutien indĂ©fectible de nos institutions est indispensable pour garantir la pĂ©rennitĂ© d’un dispositif qui a prouvĂ© son efficacitĂ© dans l’amĂ©lioration des soins et de la santĂ© des femmes.

      
 et de la Justification

      Enfin, l’évolution actuelle du contexte obstĂ©trical, notamment en France, en termes de profil sociodĂ©mographique et mĂ©dical des mĂšres (notamment femmes plus ĂągĂ©es, plus souvent obĂšses), de pratiques obstĂ©tricales (notamment plus de cĂ©sariennes), et d’organisation de l’offre de soins en obstĂ©trique (rĂ©duction du nombre et taille croissante des maternitĂ©s), renforce encore la nĂ©cessitĂ© de disposer d’un indicateur permettant d’évaluer l’impact de ces
      changements sur la santé maternelle. qualitative.