Et, #comme_en_14, « nous » on y va à reculons, parce que le méchant c’est l’ennemi. « Nous », les gentils, on vole au secours de notre ami agressé par quelqu’un avec qui on a été trop gentil.
Quoi qu’il en soit, la crainte est donc de voir le Kremlin, tout à son affirmation extérieure pour faire oublier la déroute économique interne, et Téhéran, pris par l’hubris qui a suivi l’accord nucléaire de juillet, de tester au maximum la volonté de l’autre camp. Et de voir les Saoudiens, effrayés par la montée de l’ennemi mortel chiite, entraîner ses alliés, dont la France, dans un bras de fer sans fin, qui pourrait gravement dégénérer.
#propagande (ahurissante)