On s’en fout de Schneidermann, ce personnage est l’archétype du journaliste qui siffle les idées des autres pour glorifier son égo. L’exemple même de la phrase qui dit l’érudit d’aujourd’hui est juste bien documenté , et en l’occurence il n’est même pas correctement documenté. Si il ne sait même plus ce qu’il dit, il se ridiculisera tout seul et ça lui apprendra à vouloir se maintenir en scène sur le dos des autres.
Un jour, quand je serai moins en colère je prendrai le temps d’analyser à quel point l’auto-satisfaction est exacerbée par les médias. Comment les médias piègent nos égos en cherchant un seul et unique représentant pour une idée collective, lui retirant sa capacité de subversion.