Monolecte 😷🤬

Fauteuse de merde 🐘 @Monolecte@framapiaf.org

  • le combat d’arrière-garde des anciens front-de-gauchistes…
    http://gauchedecombat.net/2016/03/29/le-combat-darriere-garde-des-anciens-front-de-gauchistes


    Oraison funèbre du FDG

    ce qui pêchait dans le fonctionnement de ce #mouvement dont je fis autrefois partie, au #PG, puis à Ensemble, c’est l’absence d’organe de décision collective et de garde-fous permettant une cohérence idéologique commune. Le fait qu’il manquait une sorte de conseil fédéral qui aurait pu définir une orientation, un #programme, et désigner démocratiquement des porte-parole, à part équitable selon les composantes, autres que ceux auxquels on l’identifie généralement, aurait été hautement nécessaire. Sans quoi, c’était la prime à la grande gueule, et il est clair qu’à ce jeu là, d’autres que Mélenchon ne faisaient pas le poids. Mais depuis, les #élections présidentielles et législatives sont passées par là, avec leur dose de rancœur, d’inimitiés, et de #stratégies de plus ou moins grande cohérence qui ont à mon sens définitivement miné le terrain et le substrat du #FDG. C’était une belle idée, mais il existe me semble-t-il un consensus pour dire que les querelles de personnes et leurs jeux d’intérêts personnels ou politiques ont mis fin à ce en quoi, moi aussi, j’ai cru. Je faisais d’ailleurs partie de ceux qui défendaient le principe d’une adhésion directe au FDG , hors de tout parti. Cette voie n’a pas été entendue, et devait arriver ce qui arriva. Tiraillements partisans, coups dans les pattes ou dans le dos, noms d’oiseaux entre militants communistes orthodoxes et « traîtres autrefois socialistes » provenant du PG ou d’Ensemble, transfuges du NPA dont on connait la sainte horreur des uns pour les autres ou l’inverse envers les ennemis héréditaires du communisme autoritaire ou de l’indiscipline libertaire, attitude schizophrène du PCF qui rallie le lendemain du deuxième tour ceux sur lesquels il crachait la veille, le tableau est connu, et a donné les résultats qu’on sait.