Monolecte 😷🤬

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  • Agression sexuelle sur sa nièce - 15/04/2016 - ladepeche.fr
    http://www.ladepeche.fr/article/2016/04/15/2325240-agression-sexuelle-sur-sa-niece.html

    « Le loup dans la bergerie ». En recueillant ce « tonton » âgé de 52 ans présenté comme étant « en grande difficulté sociale », les parents d’une enfant de 9 ans ont fait rentrer bien malgré eux bien sûr, un prédateur sexuel au domicile familial dans un village de l’Armagnac. Ils s’en veulent évidemment mais pouvaient-ils imaginer le pire. « Tonton », le frère de la maman, a profité d’être seul avec la fillette pour lui imposer des caresses et davantage. Assez pour que l’avocat de la famille souligne dans sa plaidoirie, qu’à la loterie de la justice, le prévenu a gagné le gros lot en n’étant pas poursuivi pour viol aux assises. C’est en correctionnelle qu’il est jugé avec deux ans de prison ferme requis. Les faits se sont déroulés dans sa chambre. Des faits écourtés par l’arrivée inopinée de la petite sœur de la victime ainsi témoin malgré elle d’une scène pour le moins choquante dont le prévenu a nié l’existence durant sa garde à vue en gendarmerie. Ses nièces n’étaient que des « menteuses » se défendait-il. Puis il laissa entendre que c’est la fillette qui aurait insisté pour qu’il se passe ce qu’il s’est passé.

    Ce n’est que plus tard qu’il lui a bien fallu admettre avoir commis ce dont il est accusé. Et qu’il avait « prémédité » selon la partie civile puisque le même jour, quelques heures avant « l’agression », il avait obtenu de la gamine qu’elle dessine quelque chose d’assez ressemblant avec ce qui allait se produire dans la chambre. Un dessin sur lequel, il avait fait écrire à la petite fille : « je t’aime Marcel (n.d.l.r : l’un de ses prénoms), je suis folle de toi ». Si la cadette de la famille n’avait pas mis fin à la scène en question, jusqu’où aurait été le « tonton »et n’aurait-il pas cherché à « s’abonner » à de telles pratiques avec l’enfant sous son emprise ? Ces questions le tribunal aurait bien aimé les poser à Marcel. Mais hier à l’audience il n’était pas là tout en étant là...A l’appel de son nom, pas de réponse. Comme les parents et la victime « pour s’éviter des souffrances supplémentaires » selon leur avocat, sont absents, personne et même pas lui (« je n’ai pas de montre ») peut dire à quelle heure il est arrivé dans la salle d’audience. Et c’est alors que son affaire a été débattue qu’il s’est manifesté. Sans pouvoir dire s’il était là ou pas quand elle a fait débat. Manifestement « à l’ouest » le tonton à moins qu’il fasse semblant mais dans ce cas, chapeau l’artiste !

    Les experts lui reconnaissent « un léger retard mental » et le disent « frustre et inhibé ». L’alcool consommé le jour des faits l’aurait donc désinhibé au point de faire de sa petite nièce un jouet. Elle n’a pas à proprement parler subi de violences physiques et au plan psychologique, elle n’irait « trop mal » pour le moment, nous a appris l’avocat de la partie civile mais pas sûr qu’en grandissant « ce préjudice grave qui va la suivre tout au long de sa vie » ne lui soit pas de plus en plus lourdement préjudiciable. Les parents demandent 5000€ de dommages et intérêts. Ils en obtiennent 4000 alors qu’à titre de peine principale « tonton » écope de deux ans de prison avec sursis et mise à l’épreuve. L’obligation de se faire soigner, l’interdiction d’approcher sa victime et l’inscription au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles.

    #viol

    • 2 ans avec sursis, mise à l’épreuve (sic) et obligation de se faire soigner. Il s’en tire bien le tonton ! l’avocat de la famille n’a pas manqué de souligner dans sa plaidoirie, qu’à la loterie de la justice, le prévenu a gagné le gros lot en n’étant pas poursuivi pour viol aux assises, avec préméditation qui plus est. Circonstance aggravante pour ce prédateur ; ces infractions sexuelles sont trop fréquentes aux sein des familles et dans l’église. Mais l’église n’est elle pas une grande famille ? Qui encense le mariage, la famille... patins, couffins ! Venez à moi mes agneaux !
      Vous me ferez trois avé et deux pater !