• Ce serait pas mal si quelqu’un pouvait traduire (au moins un peu) ce que dit la gosse.

      Nos amis de la préférence nationale ne bougent pas car ils se savent filmés et, pour paraphraser botul ils savent que s’ils tabassent des enfants palestiniens en public, alors « ce n’est pas bon pour Israel » sic !
      #nakba

    • En vrac :
      – où l’avez vous amené
      – je ne veux pas me taire
      – je sais que tu comprends l’arabe
      – espèce de merdeux je te crache au visage
      – allez-vous en
      – espèce d’espion
      – je n’ai pas peur de tes armes
      – va faire peur aux enfants des colonies pas à nous chien de fasciste
      – rentre dans ton pays
      – tu crois que si tu portes une armure tu feras peur aux palestiniens
      – rigoles on verra qui va rigoler à la fin
      – nous vengerons Moustapha et tous les prisonniers
      – si tu arraches un olivier nous en planterons 100

    • Non @odilon, c’est le copwatching qui sauve cette gamine, donc le fait qu’un adulte (journaliste pro ou amateur) puisse témoigner avec sa caméra de ce qu’il a vu et vécu face aux agissements de l’armée ou de la police.

      Cela n’a rien de comparable avec une caméra de vidéosurveillance planté sur un immeuble ou sur un pylone. La vidéoprotection quant à elle, est le terme employé par le ministère de l’intérieur pour laver la vidéosurveillance des accusations de viols de nos libertés en remplaçant surveillance par protection. Il y a des tas d’exemples de cette bascule sémantique comme vieux/retraités aveugles/malvoyants femmes de ménages/techniciens de surface.
      Ne laissons pas croire que la vidéosurveillance ou la vidéoprotection a jamais protégé qui que ce soit, les caméramans sont des êtres humains, merci donc au caméraman d’avoir été là pour protéger cette enfant.