• La querelle des modernes et des modernes
    Réponse aux critiques et développement de l’argumentaire
    de l’Appel des 451 sur les métiers du livre

    http://les451.noblogs.org/post/2012/11/22/la-querelle-des-modernes-et-des-modernes

    Aussi la réponse aux critiques qui suit n’est-elle qu’un document de travail intermédiaire, soumis à discussions et à réactions, qui trace à grands traits quelques pistes de réflexion dont nous discutons actuellement. Nous savons que pour beaucoup, tout cela a déjà été pensé par d’autres, nous savons que des expériences de regroupements autour des problématiques du livre ont déjà existé, et nous savons surtout que nous ne détenons aucune certitude dogmatique sur les sujets auxquels nous nous confrontons. Nous sommes à la fois en train de travailler et de réfléchir à notre travail, c’est-à-dire que nous tentons d’élaborer une pensée collective – par zigzags. Nous attendons de nouvelles critiques au texte qui suit : nous sommes à la recherche de nouveaux mots.

    • Dans le texte de travail qu’ils proposent d’imprimer, -ce qui vous prend immédiatement la tête parce qu’ils ont choisi une méthode à la con- dans ce texte donc ( je serai bien incapable de dire à quelle page, vue leur numérotation à la noix) ils comparent un texte numérique à une tomate de merde ceci pour la distinguer d’une tomate obtenue sans engrais et pour différencier le numérique du livre traditionnel lequel serait « bio » . Il est curieux de constater à quel point leur choix technique pour véhiculer le texte ressemble à leur position idéologique.
      Nominalistes et corporatistes, ils foncent le dos tourné vers une partie incontournable du futur.