Autogérer un pays avec un système informatique ? - Le #Projet_Cybersyn
Autogérer un pays avec un système informatique ? - Le #Projet_Cybersyn
Paper Programs
▻https://paperprograms.org
le logiciel de #dynamicland recréé en #javascript
(le projet a l’air un peu en sommeil)
▻https://jmperezperez.com/svg-placeholders
Un inventaire des techniques utilisant #SVG pour rendre le chargement différé d’images plus satisfaisant perceptuellement.
Avec liens vers divers outils pour pré-traiter les images.
Très sympa !
▻https://res.cloudinary.com/jmperez/video/upload/dpr_auto,f_auto,q_auto,c_scale/v1509278615/silhouette-lazy-loading_evq9xq.mp4
@tetue Par quoi remplacer une image durant son chargement.
Augmenter la pertinence du parcours visuel rapide par l’internaute d’une page web en cours de chargement ?
Et sur le plan esthétique, ça peut parfois être assez réussi, je trouve.
Potrace en PHP :
▻https://github.com/nystudio107/craft3-imageoptimize/blob/master/src/lib/Potracio.php
(et je découvre Craft CMS du coup qui a pas l’air mal du tout)
En fait le dépôt avec la lib à jour pour PHP, pas dans craft :
►https://github.com/Otamay/potracio
▻http://www.internetactu.net/a-lire-ailleurs/resister-a-la-reduction-un-manifeste
Lien vers le texte (long) :
▻https://pubpub.ito.com/pub/resisting-reduction
oi Ito (@joi), le patron du Media Lab du MIT (voir nos récents articles : « L’avenir est-il à l’antidisciplinarité ? » et « Vers l’intelligence étendue ? ») vient de publier un très intéressant manifeste intitulé « Résister à la réduction ». Pour lui, explique-t-il nous sommes menacés par une réduction de sens et de valeur.
S’inspirant de Norbert Wiener et notamment de Cybernétique et société (dont la traduction littérale du titre originel serait plutôt « L’usage humain des êtres humains »), le paradigme de notre civilisation s’est simplifié tant et si bien qu’il a perdu de vue ses missions d’origines. La valeur et la complexité se sont concentrées de plus en plus sur la priorisation d’une croissance financière exponentielle, menées par des entreprises à but lucratif qui n’ont cessé de gagner autonomie, droits, pouvoir et influences sans aucune régulation. Le comportement de ces entités est devenu un cancer, avance-t-il sans ambages. Alors que les cellules saines régulent leur croissance et répondent à leur environnement, les cellules cancéreuses, elles, optimisent leur croissance sans contrainte et se propagent sans tenir compte de leur fonction ou de leur contexte.
Les modalités d’intervention dans un système dans l’ordre croissant de leur efficacité, par Donella Meadow :
12 : Constantes, paramètres, nombres (comme les subventions, taxes, normes).
11. La taille des tampons et autres stabilisateurs par rapport à leurs débits.
10. La structure des stocks et des flux matériels (tels que les réseaux de transport, les structures d’âge de la population).
9 La longueur des retards par rapport au taux de changement du système.
8. La force des boucles de rétroaction négative par rapport aux impacts qu’elles tentent de corriger.
7. Le gaindes boucles de rétroaction positives.
6. La structure des flux d’informations (qui a ou n’a pas accès à l’information).
5. Les règles du système (comme les incitations, punitions, contraintes).
4. Le pouvoir d’ajouter, de modifier, de faire évoluer ou d’auto-organiser la structure du système.
3. Les objectifs du système.
2. L’état d’esprit ou le paradigme à partir duquel le système (c’est-à-dire ses objectifs, sa structure de pouvoir, ses règles ou sa culture) se pose.
1. Le pouvoir de transcender les paradigmes.
Un ivoirien connecte à Internet un village isolé... grâce à la lumière !
▻http://observers.france24.com/fr/20170803-ivoirien-internet-television-lumiere-village-drongouine
Forget Wi-Fi. Meet the new Li-Fi Internet | Harald Haas
TED
▻https://www.youtube.com/watch?v=iHWIZsIBj3Q
Li-Fi
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Li-Fi
Li-Fi is a bidirectional, high-speed and fully networked wireless communication technology similar to Wi-Fi. The term was coined by Harald Haas and is a form of visible light communication and a subset of optical wireless communications (OWC) and could be a complement to RF communication (Wi-Fi or cellular networks), or even a replacement in contexts of data broadcasting.
It is wire and UV visible-light communication or infrared and near-ultraviolet instead of radio-frequency spectrum, part of optical wireless communications technology, which carries much more information and has been proposed as a solution to the RF-bandwidth limitations.
Is Andrew Tshabangu the Unsung Hero of South African Photography ?
▻http://aperture.org/blog/andrew-tshabangu-unsung-hero-south-african-photography
In searing and poetic images, Andrew Tshabangu chronicles #Johannesburg in the age of democracy.
By Bongani Madondo
Perceptual Scaling of Map Symbols | Making Maps : DIY Cartography
▻https://makingmaps.net/2007/08/28/perceptual-scaling-of-map-symbols
The implication of this perceptual underestimation was that absolute scaling on proportional symbol maps led to inaccurate perception of the values: while the circles were scaled accurately, the perception of the areas, and thus the values the user got from the map, were wrong.
The solution was to devise a method of perceptual (or apparent) scaling of graduated symbols, or appearance compensation in ArcGIS-ese.
Thousands of perceptual tests led Flannery to develop a method for scaling circles that compensated for the underestimation. When you check the Appearance Compensation check box in ArcGIS the method scales up proportional circles, the larger the circle, the more the scaling.
Dans QGIS la méthode flannery
correspond à un exposant = 0.57 (▻https://qgis.org/api/qgspropertytransformer_8cpp_source.html ligne 421)
Cela dit en fouillant un peu on voit beaucoup d’articles disant que c’est irrelevant et surtout tellement variable d’un lecteur à l’autre qu’il vaut mieux utiliser une méthode par aire mesurable. Mais le problème souligne l’importance d’une légende très claire.
Par exemple “Circle size Judgment and Map Design” par Kang-tsung Tchang (1980), doi:10.1559/152304080784523107
nous dit : “In fact, the exponent for circles has been found to range from 0.58 to 1.20 in the cartographic and psychological litterature”.
Conclusif ou non, c’est quelque chose qui mériterait un notebook interactif permettant de jouer avec divers paramètres (la distribution des valeurs des données, la couleur du cercle, la surface totale occupée…).
Des chercheurs expérimentent un détecteur d’antennes GSM espionnes. (très en vogue dans les services d’état)
Et cela a permis de déceler l’espionnage par les services d’immigration.
▻https://seaglass.cs.washington.edu
SeaGlass is a system designed by security researchers at the University of Washington to measure IMSI-catcher use across a city
How to escape the cops
Traduction : « Comment échapper à la police ? »
►https://www.youtube.com/watch?v=bhRnOQ05hxA
à compléter avec:
(Se) protéger et (se) soigner en manif : réflexes individuels et collectifs
IAATA, le 10 mai 2017
▻https://seenthis.net/messages/597938
#flics #manifs #humour #protection
Les notes du mathématicien Alexandre Grothendieck arrivent sur le net - Libération
▻http://www.liberation.fr/sciences/2017/05/05/les-notes-du-mathematicien-alexandre-grothendieck-arrivent-sur-le-net_156
Si la question des archives de Montpellier est réglée, il reste maintenant à trouver une solution pour les 65 000 pages de Lasserre. Seront-elles vendues ? Seront-elles accessibles un jour ? Pour l’instant, la Bibliothèque nationale de France (BNF) et l’Institut des hautes études scientifiques (IHES) ne parviennent pas à formuler une offre aux enfants du mathématicien. La question clé étant : ce trésor a-t-il un prix ?
Ceux qui cliqueront sur les archives Grothendieck doivent être prévenus d’une chose. Il se trouve au pied d’un Himalaya des mathématiques, puisque chaque feuille manuscrite nécessite une dizaine d’heures de travail pour un géomètre algébriste rompu aux « gribouillis » grothendieckien. Les choses misent à plat, le travail commence.
Pour organiser le décryptage, il faudra sans doute qu’une équipe de mathématiciens s’organise à travers la planète, sur le modèle des Polymaths. Un mathématicien pose une question, et qui détient un bout de la réponse apporte sa contribution. La publication scientifique finale pourrait mentionner une quarantaine de signatures de chercheurs qui ne se seront croisés que numériquement.
Dites, je cherche les listes (par langue) des caractères/glyphes courants utilisés dans les langues mondiales majeures.
Pour les curieux : c’est pour faire du « subsetting » sur mesure de webfonts, pour plein de pays (>15). Une idée ?
Pour l’instant, j’ai trouvé des choses chez font squirrel. C’est très bien, mais j’ai des doutes sur la fiabilité.
Je n’irais pas faire du subsetting précis pour chaque langue, sinon tu vas retomber dans les problèmes historiques des multiples variantes régionales d’ISO 8859 : multilinguisme problématique (tu veux écrire « as the French say : “qui vole un œurf vole un bœuf” » dans un article du site anglais, et hop, le « œ » est tout pété – private joke), noms étrangers qui utilisent des caractères qui ne sont pas dans ton subset (tu parles de « Håkan Juholt » dans un article en français, et le « å » apparaît tout moche parce que tu ne l’as pas conservé dans le subset de la fonte du site français), et à l’heure d’Unicode l’habitude des gens de détourner les caractères d’une autre langue pour faire des effets de signature graphique…
Sur Orient Palms, il se trouve justement que j’ai 15 langues différentes, et que j’utilise un certain nombre de fontes différentes, justement pour éviter d’avoir une énorme police Unicode « complète » à charger… Mais j’ai vraiment limité les variantes :
– il y a la police avec les caractères latins (tous ceux dessinés par le typographe, ça me couvre de l’espagnol à l’allemand en passant par le français et le suédois… Comprendre que j’ai ici une seule version de la police de caractère pour 9 langues différentes :
▻http://www.orientpalms.com
▻http://fr.orientpalms.com
▻http://tr.orientpalms.com
▻http://pt.orientpalms.com
▻http://es.orientpalms.com
▻http://de.orientpalms.com
▻http://it.orientpalms.com
▻http://sv.orientpalms.com
▻http://nl.orientpalms.com
– il y a le fichier du même dessin de caractère avec les caractères cyrilliques et latins (grosso modo deux fois plus lourde),
▻http://ru.orientpalms.com
– il y a encore un fichier du même dessin de caractère, mais avec les dessins grecs et latins (donc égalemment plus lourde que le latin seul),
▻http://el.orientpalms.com
(uniquement sur les sous-titres, les gros titres restent en caractères latins ici)
– il y a un fichier pour les caractères arabes (la fonte contient les caractères latins les plus courants),
▻http://ar.orientpalms.com
– et pour le fun, dans la version coréenne j’ai une (énorme - 1Mo) fonte dédiée, tellement grosse que soit c’est une idiotie soit je compte sur le fait que les coréens ont la meilleure connexion du monde…
▻http://ko.orientpalms.com
– je n’utilise pas de webfonts pour le chinois, ni pour le japonais, parce que là aussi, ça ferait des polices énormes (et on a un traffic pas négligeable sur la Chine, alors je soigne un peu plus l’expérience utilisateur sur cette version).
Par ailleurs, comme je l’ai déjà documenté ici, je n’utilise plus que WOFF et WOFF2, qui sont bien compactés.
Un des aspects à prendre en compte :
– pas question pour moi de gérer 15 fichiers de police différents, c’est le meilleur moyen de se planter dans son organisation et ses mises à jour (surtout si tu t’amuses à modifier des dessins de caractères, je te dis pas s’il faut le reproduire ensuite dans 15 fontes différentes…) ; et comme généralement on a besoin de plusieurs fontes pour faire quelque chose de joli, on multiplie encore le nombre de fichiers (sur Orient Palms, j’ai 2 webfontes dans ma maquette) ;
– je préfère éviter le recours aux options CSS de range Unicode pour gérer par exemple Grec et Latin avec deux fichiers de polices différents qui se complèteraient : d’abord parce qu’il faudrait encore tester la compatibilité du truc (avec les Webfonts et Unicode, je me méfie très lourdement des implémentations dans les brouteurs, qui ont toujours été historiquement merdiques) ; surtout parce que je préfère charger un fichier plutôt que deux.
Après, perso, je préfère généralement n’utiliser que des polices de titraille, j’évite les webfonts sur le texte courant (problèmes de rendus et de lisibilité, temps de chargement des polices sur du texte qu’on devrait pouvoir lire immédiatement, et besoin de 3 voire 4 fichiers juste pour assurer l’affichage gras/italique…). Ça limite énormément les problèmes de subsetting par langue, parce que les caractères hors-subset et le multilinguisme, c’est beaucoup plus rare (genre mettre une citation originale en cyrillique dans un article en anglais, ça se fait, mais dans le titre c’est beaucoup plus rare).
Sinon, si tu tiens à tester pour chaque langue, il y a une astuce que j’avais faite pour ajouter des langues à mon #plugin #SPIP de détection de langues : j’avais besoin de connaître la fréquence des séries de 3 lettres dans quelques langues manquantes dans le script d’origine.
Du coup je suis allé sur le projet Gutenberg, j’ai récupéré quelques gros romans dans la langue qui me manquait, j’ai collé tous les textes (bruts) dans un fichier, et hop j’ai fait une moulinette qui a compté les séries de 3 lettres et m’a retourné un tableau de leurs fréquences respectives. Tu peux facilement faire la même chose pour connaître la fréquence des caractères utilisés dans une langue… (mais voir mon message précédent, je ne pense pas que ce soit une bonne idée).
Roh, merci pour tout ces détails, ça donne à réfléchir. Je savais bien que sur seenthis j’allais avoir de la matière :)
Le contexte chez mon client est légèrement différent : sites e-commerce assez ciblés (contenus peu ou pas littéraire), et grosse préoccupation webperf. Il est très improbable que l’on ait à utiliser des caractères sortant du subset.
Comme tu le soulignes, l’enjeu lors du subsetting, est de décider ce qu’on inclue ou non...
Pour l’instant, j’ai un générateur « toutautomatisé » (utilisant ▻https://github.com/ecomfe/fontmin), qui prend en entrée un ensemble de fichiers ttf (la Roboto et toutes ses variantes, dans mon cas) et une liste de fichiers texte UTF8 (1 par pays), contenant les caractères à utiliser (en faisant gaffe aux caractères invisibles).
Il produit en sortie les formats attendus (woff2, woff, etc...) rangés dans des répertoires qui vont bien. Bien sûr, l’approche ne vaut que pour les sites « européens » (pour simplifier), je ne me suis pas attaqué encore au site chinois.
L’avantage d’avoir tout automatisé, est qu’on pourra changer rapidement le subsetting sans que ce soit la plaie.
Je croise les doigts, et j’espère bien que ma solution tiendra la route.
Au départ, j’ai cherché à comprendre comment faisait ▻https://fonts.google.com pour proposer des webfonts aussi légères. Grosso modo, en plus des optimisations classiques ils génèrent plus de 30 variantes par fonte, optimisées sur mesure et servies dynamiquement selon l’OS et le User-agent. Cet aspect n’est bien sûr pas documenté, et je n’ai pas le temps, les compétences ni le courage de faire la rétro-ingénierie.
A Guide to Iran’s Electronic Underground « Bandcamp Daily
▻https://daily.bandcamp.com/2017/04/06/iran-electronic-music
“By the time I was a teenager living in Tehran, underground music was all rock, metal, and hip-hop,” says Siavash Amini from his home in the Iranian capital. “In the past [all] musicians wanted to be mainstream, but were forced to stay small and underground.” Speaking to Amini —freshly returned from his first European tour—the changes in both the climate and the mindset in present-day Iran become clear. “Right now,” Amini says, “being underground is not as much a limitation as it is a decision to disconnect from the mainstream.”
The existence of any kind of underground or electronic music scene in Iran is a relatively recent development, arguably part of a quiet and generally slow shift in the country’s post-revolution identity. Those changes came to a head with the election of reformist and relative centrist Hassan Rouhani as President in 2013, which opened up a doorway for Iranian relations with foreign countries, all but shut off after decades of international sanctions.
The Islamic Republic that emerged from the 1979 revolution quickly quashed the country’s burgeoning pop and rock music scene, in favor of state-approved folk and classical styles. Iranian pop and rock musicians stayed all but silent throughout the 1980s, but years later, after the arrival of globalized digital media and swappable MP3s, government repression isn’t enough to stop a new generation of musicians creating digital noise, heavy techno, and textured ambience.
The Ultimate Guide To Iran’s Underground Electronic Musicians - Electronic Beats
▻http://www.electronicbeats.net/the-feed/the-ultimate-guide-to-irans-underground-electronic-musicians
Are you ready to discover quality electronic music from the margins? Look no further than Iran’s burgeoning underground music scene. The country may not be on everyone’s radar for boundary-pushing experimental music, noise and techno, but in the last few years, a handful of musicians in Tehran have carried the torch for unique electronic composition. Artists like Nesa Azakikhah, Sote and 9T Antiope are among the producers making a distinct impact on genres in the realm of industrial, ambient and minimal.
Thanks to Bandcamp, you can now browse a playlist of nine Iranian electronic music pioneers. The article includes a detailed breakdown of each producer’s work and composition process as well as previews of some of their best tracks. Listen to some of our favorites below and check out the entire list here.
Pour continuer sur les rezosocios du futur (et les cycles de la hype),
un de mes préférés : Scuttlebutt, le protocole post-apocalyptique (pour quand internet aura disparu) :)
▻https://staltz.com/an-off-grid-social-network.html
Comment faire :
Avec Scuttlebutt, on est pas obligé de faire un reseau social, c’est surtout une « structure de données » JS faite pour le P2P
▻https://github.com/dominictarr/scuttlebutt
C’est issu d’un papier de recherche un peu scabreux : « Efficient Reconciliation and Flow Control for Anti-Entropy Protocols ».
Le seul réseau social qui vaille le coup c’est le PMU au coin de la rue hein @b_b
@kent1 hihi, chez claudic c’était pas mal aussi, d’ailleurs en causant de PMU, j’en connais un sympa du côté de Toulouse, on s’y croisera peut-être bientôt ?
@kent1 alors tu seras obligé de passer à l’ouest !
/me où comment polluer un thread à propos des rézosocios :p
Une bonne introduction en français au nouveau #rézosocio à la mode :
J’admets avoir abandonné après avoir lu :
... c’est ici qu’on écrit nos Pouets (c’est le nom Mastodonien des Tweets)
Je ne sais pas. Je deviens un #VieuxCon sans doute. Mais c’est trop niais comme appellation.
Si un Pouet a les mêmes propriétés et méthodes qu’un tweet, c’est un tweet, non ? (duck typing inside cf. ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Duck_typing )
J’avoue que je comprends pas cette histoire de Pouets ? Sur Mastodon, le verbe pour le bouton « publier » c’est « toot », et la majorité des messages que j’ai pu voir passer y font référence sous ce nom.
@0gust1 parce que le toot est un pouet quand tu utilises l’interface en français ;)
Comment ils font pour avoir 50000 adhérents en 6 mois ? Ils connaissent le dalai lama ou ils sont dans la silicon valley ?
Un article dans le Figaro… moi, ça active mes alertes.
►http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/04/05/32001-20170405ARTFIG00238-decu-par-twitter-et-facebook-mastodon-vous-tend-l
►https://twitter.com/mpmassiani/status/849649927282208768
Notre prochain atelier, à Lille sera sur le thème des réseaux sociaux
►https://atelili.tuxfamily.org/wiki/atelier:18
@cocoadaemon Y’en a bien qui disent des « seen » je trouve ça trop hype du caca.
Voir ce précédent seen : ) ▻https://seenthis.net/messages/585190
Quelqu’un·e a créé un bot @mdiplo ▻https://mamot.fr/@mdiplo
Autres articles : ▻http://www.zdnet.fr/actualites/mastodon-tabula-rasa-sur-le-microblogging-39850966.htm ►http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/04/05/32001-20170405ARTFIG00238-decu-par-twitter-et-facebook-mastodon-vous-tend-l ▻http://www.lesinrocks.com/2017/04/07/actualite/mastodon-dou-vient-lengouement-pour-le-nouveau-reseau-social-11930305
Une FAQ en cours de rédaction sur github :
▻https://github.com/Sniperovitch/mastodon-faq-fr/blob/master/README.md
Mastodon is a free, open-source social network.
A decentralized alternative to commercial platforms, it avoids the risks of a single company monopolizing your communication.
Pick a server that you trust — whichever you choose, you can interact with everyone else.
Anyone can run their own Mastodon instance and participate in the social network seamlessly.
What sets Mastodon apart
Timelines are chronological
Public timelines
500 characters per post
GIFV sets and short videos
Granular, per-post privacy settings
Rich block and muting tools
Ethical design: no ads, no tracking
Open API for apps and services
►https://mastodon.social/about
Une énième tentative (après identi.ca, diaspora et autres) de micro-blogging open-source et décentralisé.
Semble avoir une certaine traction dans mes contacts twitter.
J’y ai le même pseudo qu’ici ;)
Même si ça sera mon énième compte dormant, je viens d’en créer un au cas où pour avoir mon pseudo dispo :p
Mon problème avec Mastodon – Carnet de notes
▻https://n.survol.fr/n/mon-probleme-avec-mastodon
arrêter de croire que tous les problèmes sont techniques et peuvent se résoudre avec des lignes de code. Faire un système de publication décentralisé c’est simple. D’autres l’ont déjà fait. L’enjeu pour sortir de Twitter est ailleurs.
90% des utilisateurs ont créé un compte sur l’instance principale mastodon.social. Autant dire que côté décentralisation… Le pire c’est que leur identifiant est lié à la plateforme donc ils devront abandonner tous leurs contacts et leur historique si d’aventure ils devaient changer d’instance.
Vous pouvez aller voir ailleurs, mais déjà que le réseau est petit, il est bien difficile de se dire qu’une petite instance sera là dans la durée. Si pour migrer je dois tout perdre, même moi je risque d’aller sur l’instance principale et jeter l’idée de décentralisation.
Comme #diaspora, je suis sur #framasphere mais je peux pas interagir avec des gens sur d’autres instances...
Réinvention de NNTP, une nouvelle fois :-)
salut, oui encore une, mais au moins ils utilisent un protocole existant (ostatus/Gnu Social), si j’ai bien suivi.
J’ai testé je ne suis pas fan du tout (trop compliqué alors que faible en fonctionnalités).
Mais c’est toujours bien de voir un peu d’attention sur un projet libre. Je vais lire le billet cité par @fil ça a l’air intéressant à lire l’extrait.
bon en fait l’article survol.fr n’est pas si intéressant, j’espérais qu’il parlât des enjeux vraiment intéressants (les enjeux politiques), et ça reste dans le technique malgré tout.
►https://framablog.org/2017/04/05/mastodon-le-reseau-social-libre-qui-est-en-train-de-bousculer-twitter
Les chatons auraient un projet d’instance...
J’ai testé rapidement, je suis assez d’accord avec @goffi ça manque de fonctionnalité.
Ça ressemble fonctionnellement à Twitter depuis Tweetdeck, en moins bien.
Mais la synchro entre instances semble bien gérée, contrairement à Diaspora : on peut interagir avec quelqu’un (coucou @b_b) qui est sur une autre instance.
/ping @edas pour l’article de n.survol.fr en question, s’il veut répondre ici.
@goffi oui, je suis d’accord, le billet a loupé l’angle d’attaque intéressant.
Je ne sais pas si ça « tiendra », et les usages autour sont encore à développer. En tout cas je suis surpris de sa croissance et de sa popularité (en France)
Lire aussi ▻https://seenthis.net/messages/586161
Ben en fait les enjeux politiques de passer sur une architecture décentralisées me semblaient assez connus (dans mes lecteurs). Je prêche plutôt des convaincus sur cette question.
Le décentralisé c’est bien. La fédération est une bonne archi pour ce type de service. Il y a déjà eu d’autres initiatives qui fonctionne, et il y a déjà un protocole avec tout ce qu’il faut. C’est d’ailleurs ce qu’utilise Mastodon.
La question pour moi c’était « vu que c’est un réseau social je vais là où sont les copains, est-ce que je crois que les copains vont migrer (durablement) et si non pourquoi ? ».
Ah je ne savais pas que l’auteur du billet était là, cool on va pouvoir discuter :)
Salut @edas ! Les enjeux politiques vont bien au delà de l’argumentaire technique centralisé/décentralisé ou du nombre de participants, et il ne suffit pas qu’un projet soit libre pour qu’il soit automatiquement bien.
Mastodon (du moins son instance principale) n’a pas l’air parti pour faire de publicité ou monter un modèle économique basé sur les données utilisateurs, 2 bons points, et il ré-utilise un protocole existant.
Maintenant il faut se poser la question de la gouvernance du projet (qui prend les décisions, comment ça va évoluer, dans quelles directions). C’est visiblement tenu par une seule personne pour le moment, il faut voir comme cela va s’organiser par la suite si ça a du succès. Il y a quelques remarques intéressantes à trouver là : ▻https://medium.com/@Gargron/learning-from-twitters-mistakes-c272d67bba76 . À comparer par exemple à Diaspora qui a une prise de décision commune via Loomio, à XMPP où il y a un conseil élu tous les ans, ou à Matrix qui est pour le moment tenu par des employés d’une même boîte même s’ils ont annoncé vouloir monter une structure pour gérer ça.
Le développeur commence à gagner de l’argent avec, via Patreon, est-ce que ça va influencer le développement ?
Ensuite les fonctionnalités, là on est dans le copié/collé du truc à l’oiseau, du coup quelle va être la place des « likes », est-ce que ça va influencer la visibilité des billets ? Est-ce qu’il y a des fonctionnalités de tendances du moment ? Si oui comment cela va être présenté ?
Je pensais voir ce genre de questions abordées dans le billet en voyant « arrêter de croire que tous les problèmes sont techniques et peuvent se résoudre avec des lignes de code » dans l’extrait de l’article, d’où ma déception.
Et je trouve vraiment dommage que le seul (ou du moins le principal) critère de jugement de la plupart des gens qui suivent ce genre de projets est l’interface. Les choix et réflexions faites autour d’un projet et l’orientation prises par les premiers utilisateurs est pourtant primordiale dans son avenir, Seenthis en est d’ailleurs un bon exemple (message avec peu de mise en forme, commentaires sous chaque message, contenu très politique).
Pour le moment, j’ai plus l’impression que la raison du succès (probablement temporaire) de ce projet est son interface qui ressemble à ce que des gens connaissent (et vraiment trop compliquée pour des gens qui ne sont pas dedans), et son apparition sur 2/3 médias stratégiques (hackernews et github notamment), et je trouve ça super léger.
Et niveau popularité on parle de quelques dizaines de milliers de personnes, en s’appuyant sur un réseau existant, quand on voit déjà des articles qui parlent de faire trembler le machin au zozio, on a surtout l’impression de voir des titres chocs pour attirer le badaud.
Je t’avoue que j’ai publié une humeur, basée sur un axe de réflexion qui est pour moi « j’aimerai bien sortir du système centralisé de twitter ». Ça a été repris comme une analyse critique en règle, ce que ce n’était pas du tout.
L’exemple que j’ai en tête c’est vraiment celui d’Identi.ca, où il y a eu une vraie promotion et une part significative de (mon réseau) twitter qui était partant. Ça n’a pas suffit et il y avait pourtant de très bons arguments pour que ça fonctionne.
Cela dit je ne suis pas tellement inquiété par le contrôle d’un seul développeur. Le protocole serveur est ouvert, utilisé par d’autres logiciels que Mastodon, et le code source est libre.
Bref, rien n’empêche de partir sur une autre branche. Si le réseau prend de l’ampleur, ce ne sera pas le plus gros problème à mon avis.
Je t’avoue que j’ai publié une humeur, basée sur un axe de réflexion qui est pour moi « j’aimerai bien sortir du système centralisé de twitter ». Ça a été repris comme une analyse critique en règle, ce que ce n’était pas du tout.
J’en ai parlé sur ton billet parce que c’est ce que je pensais initialement y trouver, mais c’est une remarque générale : ces questions ne sont jamais posées.
L’exemple que j’ai en tête c’est vraiment celui d’Identi.ca, où il y a eu une vraie promotion et une part significative de (mon réseau) twitter qui était partant. Ça n’a pas suffit et il y avait pourtant de très bons arguments pour que ça fonctionne.
L’exemple est d’autant mieux choisi que c’est le même protocole qu’Identi.ca
L’exemple que j’ai en tête c’est vraiment celui d’Identi.ca, où il y a eu une vraie promotion et une part significative de (mon réseau) twitter qui était partant. Ça n’a pas suffit et il y avait pourtant de très bons arguments pour que ça fonctionne.
Le contrôle sur le code a beaucoup plus d’influence qu’on peut l’imaginer. Aujourd’hui c’est facile de changer parce que c’est une (probablement, je n’ai pas vérifié) petite base de code, qu’il y a relativement peu d’utilisateur etc. Mais si demain il y a une instance majeure avec disons 50% de la population du réseau (un Gmail en gros) et qu’elle fait des choix techniques, le reste du réseau sera obligé de suivre s’il ne veut pas perdre ses contacts. Sans même parler d’instance, si Mastodon a des logiciels compatibles (ce qui est déjà le cas avec GNU Social), mais que 90% du monde utilise Mastodon, c’est lui qui va diriger les choix techniques et le reste sera obligé de suivre (ce qu’il se passe actuellement avec Chrome pour les navigateurs). Du coup c’est une question essentielle.
Je suis peut-être naif mais je me dis que justement, parce que c’est décentralisé, si les choix pris ne vont pas aux utilisateurs, ces derniers pourront faire diverger leurs instances, ou ne pas mettre à jour le logiciel avec la version de l’auteur initial. C’est justement ce qu’on n’est pas capable de faire avec Twitter.
Bon, pour ça il faut qu’on ait une portabilité des identifiants :-) ça parait technique mais c’est bien en enjeu de contrôle des utilisateurs, pas juste de code.
Je suis peut-être naif mais je me dis que justement, parce que c’est décentralisé, si les choix pris ne vont pas aux utilisateurs, ces derniers pourront faire diverger leurs instances, ou ne pas mettre à jour le logiciel avec la version de l’auteur initial. C’est justement ce qu’on n’est pas capable de faire avec Twitter.
Oui c’est possible, tant qu’il n’y a pas de déséquilibre dans le réseau avec une très grosse instance.
Bon, pour ça il faut qu’on ait une portabilité des identifiants :-) ça parait technique mais c’est bien en enjeu de contrôle des utilisateurs, pas juste de code.
Oui je suis tout à fait d’accord que ça n’est pas qu’un enjeu de code. Ceci dit, le code a une forte influence sur l’utilisation et la direction que peu prendre un outil.
Ce qui est intéressant, c’est l’enthousiasme et les idées que ça génère : les gens ont entre les mains un prototype de rézosocio décentralisé plutôt accessible, qui marche pas trop mal
Les développeurs ont un support de discussion et ont un terrain de jeu grandeur nature
Ça vulgarise également le concept (instances) auprès d’un public un peu plus large.
Enfin, ça remet un coup de projecteur sur les protocoles utilisés.
Lire :
▻https://hackernoon.com/mastodon-is-dead-in-the-water-888c10e8abb1
▻https://mastodon.social/@clochix
▻https://mastodon.social/@dav
Comment ils font pour avoir 50000 adhérents en 6 mois ? Ils connaissent le dalai-lama ou ils sont dans la silicon valley ?
Un article dans le Figaro… moi, ça active mes alertes.
▻http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/04/05/32001-20170405ARTFIG00238-decu-par-twitter-et-facebook-mastodon-vous-tend-l
►https://twitter.com/mpmassiani/status/849649927282208768
Je suis peut être juste mauvaise langue.
Mais une fois j’avais lu un article (du point ou d’un truc identique) où la journaliste s’émerveillait d’avoir dénombré tant de réseaux sociaux français alternatifs. Mais avait oublié Seenthis.net … sur cette erreur, j’ai immédiatement pensé à la notoriété inexistante de Seenthis, et au travail bâclé de cette professionnelle de l’information qui n’était pas sans me rappeler les approximations d’une majorité de ses collègues à longueur de temps.
Notre prochain atelier, à Lille sera sur le thème des réseaux sociaux
►https://atelili.tuxfamily.org/wiki/atelier:18
Redit de ma grogne ici : ▻https://seenthis.net/messages/586161#message586923
J’ai vu que Mère #Zaclys propose une instance… cc @davduf !
▻https://mastodon.zaclys.com/@monolecte
Data Journalism Tools - Silk
▻http://data-journalism-tools.silk.co
This Silk is a structured database listing tools and resources that (data) journalists might want to include in their toolkit. We tried to cover the main steps of the ddj process: from data collection and scraping to data cleaning and enhancement; from analysis to data visualization and publishing. We’re trying to showcase especially tools that are free/freemium and open source, but you will find a bit of everything.
À quel point vivez-vous au crochet de votre colocation ou la faites-vous vivre ?
- focus rationnel sur un travail reproductif -
La vie en colocation peut prendre bien des formes. Motivation financière, sociale, géographique, temporelle, amicale… il y a bien des raisons d’y atterrir et bien d’autres de vouloir en partir.
Pour ma part, j’aime la colocation en général, ça m’aide à combler un vide social, la raison économique n’arrive qu’après. J’en ai une longue expérience, à tel point qu’à la dernière visite, ce n’était pas le premier argument qui m’est venu à l’esprit.
Résultat des courses, je tolère beaucoup sur certains points (contrairement à avant) et je déclenche mes alertes plus vite sur d’autres. Je peux avoir classé dans la catégorie "mineur" un incident important, car je sais d’expérience qu’il se règle vite et sans heurt. La communication non violente aide pour beaucoup : exprimer ses ressentis, poser ses limites…
(dans un environnement sans communication, il serait grave ; dans un environnement avec communication, il devient mineur)
Pour vivre dans un cadre fonctionnel efficace, la rationalisation apporte des solutions. Trop cadrer en bride peut-être certain·e·s, mais en aide également d’autres. Le "tour de poubelles", le "pot commun"… toutes ces astuces de gestion pratiquées par nécessité ou refusées par gène sont le quotidien de bien des colocs.
Marx à la rescousse
Grâce à Irène Pereira, j’ai découvert une notion marxiste méconnue : le travail reproductif . C’est celui qu’on doit répéter tous les jours pour éviter la dégradation : préparer le repas pour manger, la vaisselle, la lessive, le rangement… (ça vous rappelle qqchose ?). Celui-là même qui sert d’argument au revenu de base.
Et dans une coloc, on est en plein dedans.
Concentré sur un souhait d’équité dans le travail reproductif, j’en suis arrivé à construire un système de comptage simple (pas plus de 3 neurones) pour juger de la répartition des tâches.
Assez fiable, il me permet de comptabiliser l’effort sur les 3 ateliers cuisine/repas/vaisselle. Il peut être employé seul dans son coin ou devenir outil collectif.
(dans mon cas, c’est juste mon tableau de bord, mes colocs ne s’en servent pas)
Les 3 postes listés ci-dessus sont reliés :
la préparation d’un plat, le fait de le manger, la vaisselle qui accompagne ce repas.
C’est ça qu’on comptabilise ici.
Comment ça marche ?
Comme en maths, on va partir du cas simple pour aller vers le complexe.
Lorsqu’on vit seul, c’est simple : soit on fait les 3 et il n’y a pas de dégradation, soit on achète de la bouffe toute prète (c’est donc plus cher mais moins chronophage), soit on délaisse l’un des 3 postes et l’environnement va se dégrader.
Seul, pas de soucis, le principe de réalité viendra bien assez tôt se rappeler.
À plusieurs arrive un second problème : le fait d’empiéter sur les autres, c’est à dire le déséquilibre.
Dans certaines colocs, on aime à faire la cuisine en commun. Avantage social certes, mais contraignant. Alors peut-on combiner liberté et collectif sans rompre l’équité dans les tâches ?
À présent comment se comporte ma règle des 3 postes dans un cas de cuisine pour plusieurs personnes, plusieurs personnes qui en mangent et vaisselle pour plusieurs couverts ?
Et bien c’est là qu’arrive vraiment l’innovation.
La règle est simple : Cuisiner et faire la vaisselle ça rapporte, manger ça coûte. L’ensemble doit s’équilibrer.
Donc à retenir :
− cuisiner pour 1 personne donne 1 point ;
− faire la vaisselle pour 1 personne donne 1 point ;
− manger coûte 2 points.
Dans le cas d’un habitat seul , ça fonctionne
1+1-2 = 0 c’est équilibré
On peut le reproduire tous les jours.
Et rien n’oblige à le faire sur 1 journée. Ce qui n’est pas fait reste toujours à faire, on peut rattraper le travail.
Dans le cas d’un habitat à plusieurs , ça fonctionne comme ça :
Exemple de 2 personnes Bob et Alix
JOUR 1
Bob cuisine (pour 2), mange, vaisselle (pour 2)
Alix mange
Bob = 2(cuisine) - 2(repas) + 2(vaisselle) = +2
Alix = -2 (repas) = -2
C’est déséquilibré entre eux aujourd’hui, mais Alix se rattrapera.
Bob + Alix = 0
C’est équilibré dans le système total.
JOUR 2
Bob cuisine (pour 2), mange
Alix vaisselle (pour 2), mange
Bob = 2(cuisine) - 2(repas) = 0
Alix = 2(vaisselle) - 2 (repas) = 0
C’est équilibré entre eux aujourd’hui.
C’est équilibré dans le système total.
En gros, ça marche tout le temps.
Arrivent ensuite les cas particuliers.
Les "invités" en général ne cuisinent pas et ne font pas la vaisselle (même si chez mes parents, on arrivait toujours à les mettre à contribution).
Les invités, c’est vraiment ce qui fout la merde dans les colocs. Et que je te salis des serviettes une seule fois, et que je mange ce qui devait durer la semaine, et que j’occupe la pièce qui sert de coin détente.
Ça provoque une sortie de points vers l’extérieur, une fuite.
Pour rééquilibrer, le principe est simple : les hôtes doivent assumer les points perdus. Moi + 1 invité = 2 repas pour moi. Et tout revient dans l’ordre.
Conclusion
L’avantage, c’est de détecter les déséquilibres de long terme, les tendances, les faux reproches aussi. Les faux reproches, c’est quand qqun dîne à l’extérieur et qu’on lui dit qu’il n’a pas fait la vaisselle. C’est illégitime et l’équation le prouve.
En gros : « Tu Manges : Tu Ranges ! »
(et non pas, tu cuisines donc tu as sali donc tu ranges)
Les modifications de ce système ne sont que des variations. Décomposer vaisselle = laver + essuyer/ranger ; ça ne donne pas plus de points, ça divise. 0,5 point pour chaque.
Cuisiner à plusieurs, pareil : un plat pour 4 fait à 2 personnes = 4 × 1 = 4 => 4 / 2 = 2 points par participant.
►https://fr.wikipedia.org/wiki/Ir%C3%A8ne_Pereira
#colocation (un l) #travail_reproductif
(edit : pas) collocation #tâches_ménagères #repas #manger
An open-source CMS for your Git workflow ►https://www.netlifycms.org
Content management in a single-page app
Built in React.js with extensible components
Integrate with any build tool
Plug in to any static site generator
C’est intéressant la concrétisation dans une interface utilisateur d’un workflow editorial basé sur Git.
Donc le nouveau moteur de Smashing magazine oO ▻https://next.smashingmagazine.com/2017/03/a-little-surprise-is-waiting-for-you-here--meet-the-next-smas
MIDI Drawings : Collection of musical scores by Mari Lesteberg which present visual narratives with the music they dictate
▻http://prostheticknowledge.tumblr.com/post/158400073186/midi-drawings-collection-of-musical-scores-by-mari
▻https://youtu.be/r2WjVUJyro8
Le «handbook» de la communauté de travail participative Enspiral (NZ)
Github : ▻https://github.com/enspiral/handbook
Site : ▻https://handbook.enspiral.com
Ils éditent notamment un logiciel de prise de décision collaborative appelé Loomio : ▻https://github.com/loomio/loomio
meh, je m’aperçois que j’avais bookmarqué loomio en... 2012 :-/
Et « comme très souvent », disponible en tant que #framatruc :p
#idée_pour_SPIP (pas pour le logiciel, pour la communauté)
Internet of Things Teddy Bear Leaked 2 Million Parent and Kids Message Recordings - Motherboard
▻https://motherboard.vice.com/en_us/article/internet-of-things-teddy-bear-leaked-2-million-parent-and-kids-mes
A company that sells “smart” teddy bears leaked 800,000 user account credentials—and then hackers locked it and held it for ransom.
UX et logiciels libres : retour d’expérience (TAILS) - romy.tetue.net
▻http://romy.tetue.net/ux-et-logiciels-libres-retour-d-experience-tails
Retour d’expérience après un an de collaboration entre UX designers et développeurs libres, dans le but d’améliorer l’usage du logiciel Tails.
Merci et bravo ! Factuel, détaillé, ça contrebalance intelligemment les polémiques stériles. Si je le pouvais, je « faverais » plusieurs fois :)
Merci @tetue, cette présentation était vraiment chouette :)
– la vidéo est disponible sur le site de Numa Paris : ▻https://www.numaparis.ubicast.tv/videos/retour-experience-tails (le site de Passage en Seine a l’air HS en ce moment).
– je viens de retomber sur les slides de la présentation : ▻https://tails.boum.org/contribute/how/promote/material/slides/PSES15-20150618/UX_et_logiciels_libres.pdf
– du côté des sites « Mutu », y’a toujours l’envie de redessiner l’interface privée de Spip, tant pour les personnes qui souhaitent proposer un article / une photo / un son… que pour les modérateurs et modératrices. Mais c’est un taf à plein temps. Ce serait intéressant de savoir comment la recherche et le développement autour de Tails et de l’UX ont été financés.
– il m’avait semblé que la démarche de Tails et de Numa était singulière en cela qu’elle montrait une hybridation des différentes compétences / expertises, une tentative sur une période assez longue de compréhension des implications respectives des différents boulots. Trois conclusions après la conférence : la nécessité de « traducteurs et traductrices » ou de « passeurs » (dans un sens comme dans l’autre), d’être d’accord sur l’importance de la démarche et le besoin de se réunir pour travailler ensemble, pas toujours évident dans les projets libres.
Oui pour moi ça colle avec ce que j’ai fait comme remarques ailleurs à chaque fois qu’on parle du sujet : le problème n’est pas juste de mieux accueillir les non-devs, c’est un des problèmes mais très très loin d’être suffisant. Le problème c’est « le taf à plein temps » : avoir du temps long, pouvoir se réunir régulièrement (si possible IRL, mais même si à distance avoir vraiment une régularité). Il faut aussi être d’accord qu’il faut des vrais gens avec ces compétences (des ergos, des graphistes), et avoir des gens qui ont des compétences transversales (dev-ergo, graphiste-front, etc) qui savent dialoguer. Mais le plus dur c’est de trouver le temps long, avec des gens qui arrivent à vivre pendant ce temps.
Les dernières slides de la présentation citée plus haut résument pas mal la démarche :
UX et Logiciels Libres :
• Remettre en cause les fondamentaux
• From feature-driven to value-driven development
• Passer des choses qui “marchent" aux choses qui “servent”
• Intégrer ces methodologies (recherche & conception)
• Passer de la question "Can we build it ?" à "Should we build it ?"
• Inclure toutes les partis prenantes dans les processus (x-functional)
• Prendre du temps en amont pour en gagner après
• On peut faire un bout de code mais pas un bout d’UX. Le code est
générique et l’UX est spécifique au contexte d’usage.
• La mesure du succès du code n’est pas la meme que celle du
design : working software doesn’t mean good experience
Unlearning descriptive statistics, by Stijn Debrouwere
▻http://debrouwere.org/2017/02/01/unlearning-descriptive-statistics
conseils pour faire des #statistiques parlantes :
– d’abord, regarder la distribution, s’il y a plusieurs modes, les traiter séparément (plutôt que dire qu’un participant-moyen est à 50% un homme et à 50% une femme, dire qu’il y a environ autant d’hommes que de femmes)
– plutôt que la moyenne, préférer la médiane, plus représentative de quelque chose qui existe vraiment (le fameux taux de naissance à 2,1 enfant par femme)
– plutôt que l’écart-type, préférer la médiane de l’écart à la médiane (la moitié des gens font plus de 1m70, et la moitié des gens sont à plus de 5cm de cette valeur), l’exemple est plus compliqué car c’est justement un cas où on devrait distinguer deux modes (H et F) assez distincts
– plutôt que « plus loin que 3 écarts-types, » on définira les outliers comme les éléments dont la disparition provoquent un changement majeur dans les éléments ci-dessus
– plutôt que chercher des coefficients de corrélation, montrer graphiquement des distributions : histogrammes et nuages de points
l’argument, si j’ai bien compris, est que les outils habituels sont plus utiles pour faire de l’inférence (des modèles prédictifs) que de la description
je pense que ça intéressera entre autres @simplicissimus @reka @freakonometrics
[EDIT : ma « traduction » à la va-vite introduit certainement des erreurs, je vous laisse vérifier sur l’original et me corriger le cas échéant]
en lien avec le #machine_learning
Un exemple qui me vient en lisant ces conseils : les salaires, le salaire moyen et le salaire médian. Le second correspond sans doute mieux à ce que l’on croise autour de soit, alors que le « moyen » masque à la fois la sur-représentation des bas salaires, et les montants astronomiques des très hauts salaires.
Selon une étude de l’Insee, le salaire net mensuel médian s’élevait à 1.730 euros en 2012. Quant au salaire net moyen, il atteignait 2.154 euros, en baisse de 0,4% en euros constants par rapport à 2011.
▻http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20141216tribe5a5aab3c/le-salaire-net-median-mensuel-s-eleve-a-1-730-euros.html
C’est marrant, je ne sais pas si c’est unlearning, mais ça ressemble pas mal à la façon dont je les enseigne :-D
(mais je ne fais que de la formation d’adultes, en formation initiale, c’est très compliqué de demander aux apprenants à « voir » quelque chose dans les données ; le dressage scolaire aboutit très vite à un questionnement « spontané » des élèves sous la forme « qu’est-ce que je dois calculer » (sous-entendu, pour avoir une bonne note à l’examen) et donc très peu réceptif à l’exploration visuelle et à l’interrogation méthodique)
(ps : je n’ai pas lu (mais je lirai) j’ai un peu la tête dans le guidon)
Ça affolait mes élèves quand je leur donnais des données brutes et leur demandais ce qu’on pouvait en déduire
je trouve ça quand même un peu simpliste, voire faux....
déjà les stats sans formalisme, j’ai du mal
cette histoire moyenne / médiane par exemple.... c’est mignon, mais si on a un mélange de deux lois, avec des proportions égales, genre une normale N(-2,1) et une normale N(2,1), la médiane et la moyenne sont identiques, et sans vrai sens... l’affirmation « The median, on the other hand, can be interpreted as a typical sort of value » ne veut pas dire grand chose....
si on regarde ensuite du bernoulli {0,1}, la médiane ne veut rien dire du tout, alors que la moyenne a l’avantage de devenir une proba....
pareil ensuite, présenter la dispersion avec l’écart-type c’est absurde, surtout sans le formalisme des moments ! il faudrait arrêter d’utiliser la variance si on ne formalise pas ! un écart interquantile a plus de sens je pense !
bref, je pourrais continuer des heures...
le dernier truc, au delà des maths, c’est que faire un article de stats (descriptif) sans un dessin !?! non, j’ai du mal !
je ne parle pas de la corrélation, impossible à définir avec des mots.... étrangement, avec des mots, j’ai réussi à définir un truc qui ressemble plus à du Kendall.... genre la proba, quand on tire un vecteur Gaussien corrélé, centré réduit, que le signe des deux composantes soit identique... dans le cas Gaussien, c’est proba est liée directement au tau de kendal (et donc à un arcsinus près à la corrélation)
Simple Statistics
►http://simplestatistics.org
Simple Statistics is a JavaScript library that implements statistical methods.
It helps coders harness the power of statistics and statisticians understand code. The library is exhaustively documented, written in a simple and friendly style, and thoroughly tested.
Haha, ah oui :)
J’avoue, je ne vois jamais la petite flèche, elle apparaît en tout petit ici.
Credit : @Fil :)
The hidden history of Nasa’s black female scientists
▻https://www.theguardian.com/books/2017/feb/05/hidden-figures-black-female-scientists-african-americans-margot-lee-she
I discovered one 1945 personnel document describing a beehive of mathematical activity in an office in a new building on Langley’s west side, staffed by 25 black women coaxing numbers out of calculators on a 24-hour schedule, overseen by three black shift supervisors who reported to two white head computers. I can put names to almost 50 black women who worked as computers, mathematicians, engineers or scientists at the Langley Memorial Aeronautical Laboratory from 1943 through 1980, and my intuition is that 20 more names can be shaken loose from the archives with more research.
actualité liée au film Hidden Figures ?
▻http://www.foxmovies.com/movies/hidden-figures
@fil : oui, je crois.
This is an edited extract from Hidden Figures by Margot Lee Shetterly,, livre qui sert de base au film, si j’ai bien compris. (À vrai dire j’ignorais l’existence de ce film avant de lire cet article).