▻http://jeremiedru.com/Multicite-en-cours
Très belles #surimpressions photos.
via @goulvench et @Nico3333fr
Édité dans ▻http://issuu.com/hba-photo/docs/hba3/1?e=0/3466887
▻http://jeremiedru.com/Multicite-en-cours
Très belles #surimpressions photos.
via @goulvench et @Nico3333fr
Édité dans ▻http://issuu.com/hba-photo/docs/hba3/1?e=0/3466887
Complex Networks
▻http://bactra.org/notebooks/complex-networks.html
A lot of interesting links on complex networks (plus other notebooks with yet more content)
Synaptic - The javascript neural network library
▻http://synaptic.juancazala.com/#
The javascript architecture-free neural network library for node.js and the browser
What’s Scarier : Terrorism, or Governments Blocking Websites in Its Name ? - Glenn Greenwald
▻http://readersupportednews.org/news-section2/318-66/29132-whats-scarier-terrorism-or-governments-blocking-websites-
The large red hand of state censors over the Internet is a perfect symbol of the prevailing mindset in the West, whose fondness for self-righteously condemning China and Iran for their attempts to control Internet content is bottomless.
(lire tout l’article sans s’arrêter à son titre provoc et un peu nul)
GLSL Book
▻http://patriciogonzalezvivo.com/2015/thebookofshaders
This is a gentle step-by-step guide through the abstract and complex universe of Fragment Shaders.
Du #non-usage des technologies
▻http://www.internetactu.net/2015/03/16/du-non-usage-des-technologies
Dans le dernier numéro de la revue Interactions, les chercheurs Eric Baumer, Jenna Burrell, Morgan Ames, Jed Brubaker et Paul Dourish se posent la question, souvent oubliée, du non-usage des technologies (voir également le compte-rendu des contributions à la journée d’étude organisée par les mêmes chercheurs lors d’un atelier au dernier CHI, la conférence internationale de référence sur le sujet…
#économie_de_l'attention #déconnexion #design #e-inclusion #non-usages
React Is A Terrible Idea – ▻https://www.pandastrike.com/posts/20150311-react-bad-idea
Je suis pas vraiment d’accord avec tous les arguments. Par contre, sur d’autres...
What if, instead of promoting an open source framework that only benefits applications that adopt it, they instead put their efforts into making open source browsers better?
Et bim.
We have the luxury of complaining about “slow” rendering times in the DOM because we can take for granted a browser platform that is improving faster than we can even make use of the new features. This includes major rendering improvements. We don’t need more workarounds; what we need is more investment in making the platform we have, whose very existence is a near-miracle, better.
Bon, par contre :
– Les web components : c’est pas sec, c’est pas « production ready »
– #React implémente une façon de « componentiser » une interface, qui tranche avec le modèle #MVC, l’auteur de l’article persiste à l’analyser selon ce modèle.
– React lui, tourne en prod, et est utilisé par Facebook, contrairement à #Angular (pas utilisé chez #google)
#javascript #web-dev
@cycymomo me signale que Google (youtube) aurait fait ça avec angular : ▻https://builtwith.angularjs.org/project/YouTube-on-PS3
J’imagine qu’ils doivent bien l’utiliser en interne aussi.
« Pourquoi j’ai choisi de faire de l’informatique alors que les autres filles ont choisi de ne pas en faire »
▻https://medium.com/@Sianay_/pourquoi-j-ai-choisi-de-faire-de-l-informatique-et-pas-les-autres-filles-a04
Très bel éloge des techniciens, de la technique, et du plus beau métier du monde. Zéro minauderie « mais on peut programmer en restant féminine ».
J’aime la conclusion qui ouvre et qui donne envie de l’imprimer et diffuser
Evidemment je ne dis pas non plus faites de l’informatique parce qu’il faut en faire, je dis osez faire ce qui pour vous vous semble impossible, improbable, dérangeant. N’ayez pas peur de l’inconnu, ne vous occupez pas de ce que les autres pensent car les vrais obstacles sont les barrières que l’on se met à soi même. Et c’est tout autant valable pour tous les autres métiers où le sexe opposé est en infériorité numérique. Ce n’est pas parce que les autres n’y vont pas, que vous n’êtes pas fait pour ça, que vous n’en êtes pas capable.
les vrais obstacles sont les barrières que l’on se met à soi même
La formulation est clairement trop forte : c’est UN des obstacles, mais c’est loin d’être le seul, et pas forcément le plus bloquant pour les femmes. C’est-à-dire que même quand elles n’ont pas cette barrière, elles peuvent parfaitement être bloquée ensuite.
Moi qui en ait fait, je ne conseillerais à personne de « faire de l’informatique »...
Autrement dit : J’ai trouvé une façon (plutôt valorisante et en phase avec mes capacités) de prendre place dans cette société à une époque où je me posais moins de question à son sujet. Je sais maintenant que l’activité que je mène s’inscrit dans un domaine qui présente une grande propension à produire fondamentalement de la nuisance
@RastaPopoulos : nan, clairement, ce n’est pas le seul obstacle. Si je n’ai pas fait certaines études, d’ingénieure plus précisément, c’est parce que je n’avais aucune envie de me retrouver dans un contexte non-mixte, à faire constamment face au sexisme. J’ai choisi d’autres études, sans m’empêcher de faire ce que j’avais envie de faire, dont de l’informatique, entre autres, parfois à côté, par des chemins de traverse…
Savoir ce que l’on veut, le faire, et savoir ne pas s’exposer inutilement.
Le sexisme d’un milieu ne se résume pas à « des barrières que l’on se mettrait à soi-même ». Ça me rappelle ces initiatives pseudo-féministes invitant les girls à « briser leur plafond de verre intérieur », occultant complètement que c’est avant tout un phénomène socio, qui leur est extérieur, indépendant de leur volonté… Bref, encore et toujours des injonctions aux femmes, sans questionner les mécanismes d’exclusion du groupe social. Rien ne change.
En même temps quand on lit ce qu’elle dit sur la sociologie et son expérience à la fac, pas étonnant qu’elle en arrive à un discours typiquement libéral sur le choix individuel et le « bouge toi le cul tu y arriveras ». Ceci étant, je pense qu’il y a toujours quelque chose de positif à montrer que c’est possible.
Par contre, étant développeur, je n’ai jamais ressenti cette honte dont l’auteure parle à dire ce que je faisais (parce que je suis un homme ?), je n’ai jamais pensé que mon métier pouvait être mal perçu, même s’il est clair que la plupart des gens ne comprennent absolument rien à ce que je fais.
Ça reste un témoignage très positif, à la fois parce qu’il dit d’oser faire ce qu’on a envie (ce que pointe @ben), et parce qu’il dit la passion de ce métier (ce que pointe @stephane).
Ça en fait un bon « role model », de ces (trop rares) meufs, exemplaires, qu’on met en avant (à raison) pour « attirer davantage de filles » dans ce secteur. Au risque d’en faire une femme alibi, un arbre qui cache la forêt.
Car s’arrêter à ça laisse croire qu’il suffit de… vouloir, oser, etc. et masque le problème du milieu, systémique, imperméable à la volonté individuelle. La bonne question n’est pas « pourquoi si peu de filles font ce choix ? » mais pourquoi « tant de filles sont écartées de cette voie ? »
Ce qu’elle évoque un peu :
Cette peur, je l’ai ressentie, je la ressens encore. La peur de ne jamais être à la hauteur, l’obligation de se justifier d’être là, de devoir prouver systématiquement aux autres ses compétences. Parfois, c’est l’impression de les entendre penser « la pauvre elle s’est égarée » parfois c’est « on va la ménager parce que c’est une fille ». Et l’exclusion est bien réelle même si pas intentionnelle, comme si je n’allais pas comprendre après tout. C’est simple à la fin de la première année de DUT, la moitié des filles avaient déjà abandonné et nous étions 6, 6 sur une centaine d’étudiants. Et personnellement au milieu du premier semestre mes notes étaient limites, sûrement du à gros manque de confiance en moi dans ce nouvel environnement. La responsable d’année m’avait pratiquement incité à trouver un plan de secours.
Bref : pression sociale, exclusion, discrimination (quand bien même positive), découragement de la part responsables, etc.
comme dans tant d’autres témoignages de meufs in tech. Syndrome de l’imposteure et manque de confiance en soi ne sont que des conséquences, non des causes.
Sa conclusion est intéressante, en ce qu’elle priorise bien :
Enfin, si j’avais un conseil à donner à ceux qui se demandent comment on pourrait attirer d’avantage de filles, il se résumerait en trois points :
1. Leur donner envie d’y aller
2. Leur donner envie d’y rester
3. Leur faire comprendre qu’elles peuvent y arriver
Les deux premiers points s’adressent bien au milieu : que celui-ci soit plus attractif, accueillant et inclusif.
+1000 pour les messages de @tetue
Franchement, je me dis souvent que l’info c’est pareil que le bâtiment.
@0gust1 Ah, ça dépend du secteur ? Si oui, deux questions :
1) Si l’informatique et le bâtiment sont particulièrement horribles, quel(s) secteur(s) sont au contraire accueillants et inclusifs ? L’armée ? ►http://www.liberation.fr/societe/2014/03/11/en-france-l-armee-est-plus-feminisee-que-l-informatique_986348
2) Qu’est-ce qui fait que, dans ces secteurs plus accueillants et inclusifs, les hommes « donnent du pouvoir aux femmes » (pour citer une pub récente) ?
Ben oui ça dépend du secteur, et dans les deux sens d’ailleurs (je pense aux assistants maternels ou sages-femmes hommes...). En fait il faut aussi se poser la question (qui a déjà été posée en d’autres endroits) de pourquoi le secteur l’informatique a peu à peu exclu/rebuté les femmes, puisque si je ne me trompe pas, il y en avait bien plus (au moins proportionnellement) dans les années 80, alors qu’aujourd’hui comme tu le signales @stephane on en arrive à une armée qui sait mieux intégrer les femmes que le secteur informatique...
1) au débotté, le marketing, le graphisme, etc... ?
2) La proportion, déjà. Dans un milieu exclusivement masculin, on tourne vite à l’humour graveleux, de vestiaire, de corps de garde etc... et franchement, c’est agressif pour une fille.
Je m’avance peut-être un peu de façon hasardeuse, mais faudrait voir aussi dans quelle mesure la culture « geek », souvent sexiste et puérile, a pu pourrir le milieu et faire fuir les femmes...
Ah, oui, « puéril », j’avais oublié de mettre cela sur mon profil. Fait.
C’est dans le développement libre qu’il ne reste plus que 2% de femmes, dans le secteur privé de l’informatique, elles sont encore 8%. Pour ma part, en tant que femme faisant de l’informatique, je me suis sortie du secteur privé en 2001, pour des questions de philosophie mais aussi de genre.
– Secteur de la post production numérique avec des contrats d’intermittents spectacles et culturellement, une organisation hiérarchisée issue de l’armée.
– Sans cesse faire de la veille et apprendre de nouveaux logiciels, anticiper les évolutions numériques, passionnant mais fatiguant sur du long terme, devoir prouver qu’on est toujours au top, rentable et surtout, meilleure qu’un homme, sur tous les fronts.
– Dans une société qui forme dès le berceau à l’informatique, ce sont essentiellement les garçons qui en profitent, on comprend vite que si on ne se fait pas un nom, on ne fait pas long feu car les jeunes arrivent avec des compétences plus élevées chaque fois.
– Secteur attractif oblige, avec gros turn-over, les nouveaux arrivants se bousculaient et étaient prêts à être payés cinq fois moins (voire pas du tout) pour y rentrer, la concurrence y était féroce et sans pitié, je me suis souvent fâchée pour le manque de droiture et d’humanité qui régnaient.
– On ne me proposait pas de poste plus intéressant que derrière une machine, les hommes bloquaient les postes de chefs de projet.
– D’autre part, ayant eu un enfant, je ne voulais plus travailler 14h par jour ou parfois ne dormir que 5 heures et j’ai beaucoup de copines qui ont cessé pour les mêmes raisons.
Je bosse depuis pour le web et en open source, pendant plus de 6 ans sur le réseau j’ai été anonyme ou me faisait passer pour un homme, pour me protéger. Mais je vois se profiler les mêmes choses qui m’ont fait fuir, comme si le monde du travail déteignait méchamment sur le libre, avec des égos surdimensionnés et un certain manque de bienveillance. Inutile de réécrire mon post où je parle d’une ambiance de rugbymen ou de marine marchande qui s’ignore. Une femme à bord, à part celle du capitaine (…) est forcément à côté de la plaque, et quoiqu’elle entreprenne, est déconsidérée d’office. Le seul truc qui me fait tenir, c’est que parfois, j’arrive à m’en foutre.
Donc, on peut toujours lire le texte de cette femme #self_made_ en se disant que c’est bien pour ceux qui voudraient ne voir que ça, ce n’est qu’un petit bout de réalité. Et je n’ai absolument trouvé aucune solution, si ce n’est celle de me taire.
@stephane Et pourquoi tu prends ça pour toi ? Je ne compte plus les annonces d’emploi qui demandent à être « passionné » (mot français pour geek), ce qui donne des tafs comme @touti les décrit. Et pour le côté puéril donc, c’est quand tu te retrouves avec des patrons de startup qui ont du mal à comprendre que tu puisses avoir d’autres intérêts que le code et le jeu vidéo (expérience vécue : mon (ex-)patron qui s’étonne que je n’ai pas de pseudo pour les jeux en ligne, mais ça c’est juste le côté puéril, c’est gentil, je passe sur le côté sexiste et le management dégueulasse...).
Et moi de retourner dans un monde peu en accord avec mes valeurs, celui de l’entreprise, libérale, etc. finalement plus supportable (8% c’est toujours mieux que 2%). Car on peut encore s’arranger de ne pas vivre en parfait accord avec ses valeurs, alors qu’on ne peut pas renier son identité.
Moindre mal.
Souvent perçu comme un simple comptage des femmes, ce pourcentage est en réalité un indicateur de mixité, c’est-à-dire de viabilité, d’un milieu. Dès lors qu’il diffère de la proportion naturelle de la population, disons 50%, c’est que le milieu est discriminant. Simple logique.
S’il est inférieur à 25%, ça craint. Mais 8 ou 2%, comment dire… Si en plus il baisse, comme c’est le cas des milieux scientifiques et informatiques, c’est que ceux-ci sont des milieux hostiles. Simple logique.
Que des ingénieurs, des informaticiens, et autres mecs forts en maths ne comprennent pas cela qui relève d’un exercice du niveau BEPC, me fascine. Et me fait douter de leur intelligence. Que je préfère donc aller chercher ailleurs. Simple logique.
Que les uns, les unes et les autres ne sachent pas quoi en penser et s’inquiètent (au mieux) du « manque de confiance en soi » des femmes, que l’on cherche à les encourager (les braves petiotes), à les attirer (alleeeeeez, viiiiiens…), à les rendre visibles (wah matez l’exception)… me fatigue, tant c’est à côté de la plaque. C’est se tromper de problème, croire qu’il est en elles, sans voir qu’il leur est extérieur, systémique. Et cette cécité protège le système. Dans ces questionnements bienveillants, le pire est l’interrogation, dont la récurrence est encore moins atroce que la sincérité, sur les capacités cérébrales féminines. Et je m’arrêterais là, à la seule évocation des considérations bienveillantes.
NB : Je reprends les chiffres que tu cites @touti mais 8% dans le secteur privé de l’informatique me semble peu. En tout cas, ce n’est pas la proportion que j’observe dans mon quotidien, où j’ai la chance de vivre en meilleure mixité, que j’estime entre 20 et 30% à vue de pif.
Effectivement @tetue, les chiffres varient, d’un pays à l’autre.
▻http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2013-079.pdf
Le pourcentage de femmes en france dans le secteur privé informatique est d’environ 20% (16% en Belgique, 28% en UK) et pour le libre, je trouve 1,5% dans ce rapport de 2006 de l’université de Cambridge, ça date !
►http://flosspols.org/deliverables/FLOSSPOLS-D16-Gender_Integrated_Report_of_Findings.pdf
Gender : Integrated Report of Findings
We proposed to study the role of gender in free/libre/open source software (F/LOSS) communities because an earlier EC study (Ghosh et al 2002, 2005) revealed a significant discrepancy in the proportion of men to women. It showed that just about 1.5% of F/LOSS community members were female at that time, compared with 28% in proprietary software (NSF 2004). We set out to find reasons behind this bias and make recommendations for actions that might improve the ratio of women to men.
Encourager les femmes à choisir les NTIC, sans questionner le milieu, c’est comme remplir un seau qui fuit : ▻http://seenthis.net/messages/351755
Et je ressors ce vieil article :
Focaliser sur les femmes évite de voir le problème
▻http://seenthis.net/messages/352440
La sensation bizarre quand on monte un #Escalator arrêté est un vrai truc et ça s’appelle « broken escalator phenomenon »
►http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12802549
From #Gongkai to #Open_Source : the centralization of Western #intellectual_property, the Chinese meshed intellectual property system and the right to reverse engineer
▻http://www.bunniestudios.com/blog/?p=4297 #China #reverse_engineering
Le rêve d’une déconnexion, de la maison autonome à la cité auto-énergétique de Fanny Lopez (via @Urbanites)
►http://www.revue-urbanites.fr/lu-le-reve-dune-deconnexion-de-la-maison-autonome-a-la-cite-auto-ene
L’ouvrage de Fanny Lopez entreprend d’exposer l’histoire d’une #architecture qui s’oppose au modèle dominant : celle qui ne se connecte pas aux réseaux. Adapté de sa thèse de doctorat en Histoire de l’art soutenue en 2010 à l’Université Paris I, il nous donne à penser les évolutions du concept d’autonomie dans son rapport à l’architecture et à l’urbain, entre revendications politiques et théorisations économiques, techniques et sociales. Car si la question énergétique apparaît comme fil conducteur de la recherche dont les résultats sont rendus, c’est bien le concept d’autonomie de l’habitat dans son sens plus large que l’ouvrage permet d’analyser. Il est découpé en deux grands chapitres, le premier rendant compte des évolutions du rapport de force entre connexion et #déconnexion au cours de l’histoire, tandis que le second présente les différents mouvements de l’autonomie énergétique.
Comment sauver « en texte simple » les URLs de ses onglets ouverts ?
▻https://gist.github.com/0gust1/34e7c213dd08f826e870
J’utilise le même ordi pour le travail et le perso. Au cours de mes pérégrinations sur le web, je moissonne des liens, à lire plus tard, que j’ouvre dans différents onglets d’une même fenêtre de navigateur (ma « fenêtre de veille »).
Au bout de quelques jours, il n’est pas rare que je me retrouve avec plusieurs dizaines d’onglets dans cette fenêtre. Il arrive un moment où je commence à faire le ménage, et je supprime les onglets pas intéressants. Ainsi, à la fin, il ne me reste les onglets que je veux conserver, synthétisant la veille de plusieurs jours. Je peux ainsi commencer à « consolider » : poster certains liens sur twitter ou autre plate-forme, faire un post reprenant les choses notables et ainsi de suite.
Je cherchais donc un moyen d’exporter « d’un coup » les URLs de tous les onglets d’une fenêtre, dans un simple format texte (facilement exploitable dans plein de contextes différents).
Si vous avez d’autres solutions, n’hésitez pas.
Si jamais tu programmes, ce que j’imagine vu que t’utilise github, ta session courante est sauvé en json dans le fichier suivant (sous linux, sous windows ça doit être pareil, juste le prefix qui change) : $HOME/.mozilla/firefox/$PROFIL/sessionstore-1.js
Il se peut que le nom du fichier change un peu en fonction des versions de firefox mais en gros c’est celui avec « session » dedans et qui fini en « .js ».
$PROFIL se trouve dans $HOME/.mozilla/firefox/profiles.ini (c’est généralement le dossier qui fini en « .default »).
Une fois que t’as ce fichier, si tu sais dev dans un langage de script (python, ruby, js, perl) ça evient assez trivial de faire ce que tu veux.
Ah merci @bram1, je cherchais ce genre d’infos hier. Et je me demandais si « ça allait pas finir en script » (▻https://twitter.com/0gust1/status/573076872298409984) ;-)
@denisb : merci ! Je le rajoute à ma liste. Dommage qu’on ne puisse exporter que soit les urls, soit les titres.
Sous maque : /Users/<username>/Library/Application Support/Firefox/Profiles
TRAVAIL DU FUTUR / POURQUOI PARTOUT LES MÊMES VISIONS ?
▻http://transit-city.blogspot.fr/2015/03/travail-du-futur-pourquoi-partout-les.html
Ces images pourraient être de nulle part et donc de partout.
Mai ce qui me surprend le plus, ce sont deux choses :
– C’est d’abord le manque d’imagination des architectes qui pensent pourtant être à la pointe de la réflexion urbaine, alors qu’ils ne font, en fait, que mettre en volume l’air du temps publié dans les magasines de décoration. Voilà une profession qui se perçoit visionnaire et qui est en fait de plus en plus souvent dans le grégarisme et le suivisme le plus plat.
– C’est aussi - et surtout - l’absence totale de réflexion sociale qui accompagne ces visions. Comme si ces images étaient neutres, comme si les nouvelles méthodes de travail n’allaient pas changer radicalement nos modes de vie et avoir d’importants impacts sociaux. Ce qui est évidement totalement faux, car ces images sont le reflet d’une vraie révolution du travail et le symbole d’un néo-capitalisme qui n’ira pas forcément dans le bon sens pour tout le monde.
Dans les carnets du paysage n°24 « du dessin » (je suis en train de le lire) il y a un chapitre « regards croisés » de cinq paysagistes (BASE, l’Atelier du paysage, Gilles Clément, Pascal Cribier et Denis Delbaere) sur les projets et rendus de concours. Chacun évoque son rapport au dessin, au plan et à la coupe, à l’outil numérique et ses perspectives en 3D. D’une façon général (une partie d’entre eux le dénonce), les pouvoirs publics exigent des agences d’architecture ou de paysage de produire ces images stéréotypées pour présenter les projets.
n° 24 - Du dessin
▻http://www.ecole-paysage.fr/site/carnets_du_paysage/n-24-du-dessin.htm
Il y a peut être un lien avec la virilité associé au domaine architecture et urbanisme qui reste une chasse gardé pour ces messieurs et doit logiquement attirer les plus conservateurs d’entre eux, trop heureux qu’ils sont d’être tranquille entre hommes pour signer leurs contrats tout en violant de jeunes prostituées, comme cela se fait habituellement chez Eiffage et dans le BTP français.
Aujourd’hui, celles-ci [les femmes architectes] représentent environ 40 % des diplômé-e-s. Une étude récente révèle cependant que l’architecture est la profession académique avec l’écart le plus marqué entre le taux de formation et le taux de professionnalisation des femmes. Et s’il y a 25 % environ de femmes inscrites à l’Ordre, dont un certain nombre qui dirigent une agence, le plus souvent en couple, une femme seule à la tête d’une agence (comme Tilla Theus, Carme Pinós ou en France, Elizabeth de Portzamparc ou Manuelle Gautrand) reste encore l’exception.
▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Femmes_architectes#Femmes_architectes
Fournaise [Burn, 2005] de James Patrick Kelly
Je poste ici juste parce que ça touche certains sujets #seenthissiens…
Pour résister aux avancés de l’humain #augmenté #transhumaniste, un groupe d’#utopistes s’installe sur une planète colonisable avec comme modèle sociétal le livre #Walden, et plus généralement, les idées de #Thoreau et de la #simplicité_volontaire. Mais c’est sans compter sur les premiers colons #technophiles qui refusent ce projet, parfois ambigu, de retour à la terre.
▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Henry_David_Thoreau
C’est pas le roman du siècle, loin de là, malgré son prix #Nebula, mais ça se lit bien.
+ fait partie d’une recherche que je fais sur les #utopies en #science-fiction. (24talife)
Ha, je me le note dans la liste « à lire », #merci !
Police du peuple - Norman Spinrad (2014)
▻http://www.unwalkers.com/la-louisianne-sans-burke-cest-genial-aussi-vive-norman-spinrad-livre-puis
#Polar de très haute facture avec une portée politique très intéressante, presque anarchiste, on l’on verra se dessiner une police du peuple, ou les Loas ont la parole, d’une gouverneure désintéressée et humaniste.
@baroug aussi l’a lu ▻http://seenthis.net/messages/346668
(au vrai c’est lui qui me l’avait prêté)
▻http://insightfulinteraction.com/armsproducers.html
The arms sales of the world’s top 100 arms-producing companies in the OECD and developing countries (except China) in 2013. The tooltip contains financial and employment data for arms-producing companies. Hover to see details.
Home · alexandersimoes/d3plus Wiki
▻https://github.com/alexandersimoes/d3plus/wiki
d3plus is an extension to the D3 library that allows fast and easy creation of data visualizations. (...)
The crux of d3plus is it’s easy-to-use visualizations. By passing your data and setting a few methods that describe your data, d3plus effortlessly creates interactive visualizations to help your explore your data. You get a lot for free here: nesting, tooltips, timelines, legends, just to name a few.
Le système kafkaïen des droits rechargeables.
▻https://n.survol.fr/n/le-drame-social-des-droits-rechargeables
…Joli monde de #droits_rechargeables de la dernière réforme du Pôle Emploi.
En fait c’est très simple. On calcule le montant de l’indemnité la première fois que vous vous inscrivez au Pôle Emploi, avec les rémunérations que vous avez eu à l’époque. Si vous n’épuisez pas vos droits à indemnisations, ils sont repris à votre prochaine période de chômage.
Si vous avez pris un petit boulot alimentaire à temps partiel pendant vos études et pointé un mois une fois le diplôme en poche… ne retombez surtout jamais au chômage ! Même plusieurs années après, on vous indemniserait d’abord pendant 23 mois en fonction de votre petit boulot alimentaire à temps partiel, donc quelques euros par jours.
Peu importe combien de temps vous avez travaillé depuis, peu importe à quel niveau de rémunération vous avez cotisé entre temps. Une vraie machine à perdre pour tous les jeunes qui commencent par des petits boulots ou CDD précaires.
Pire, si vous reprenez quelques CDD, ça recharge vos droits, toujours au montant précédent. La situation peut même devenir permanente pour ceux qui ont une suite d’emplois précaires.
Seules solution pour refaire calculer ses droits à un plus haut niveau : 5 ans de CDI sans période de chômage (6 pour les plus de 50 ans), ou épuiser les dits-droits en cumulant 2 ans de chômage (3 pour les plus de 50 ans). Avec un tel système, certains vont même avoir intérêt à ne pas pointer au chômage suite à une perte d’emploi. Géniale solution aux chiffres du chômage, à défaut d’être une solution au chômage lui-même.
Le plus dramatique c’est que ce délire a été découvert il y a des mois, avant que la situation ne devienne insoutenable pour tant de monde.
par @edasfr
Source :
►http://www.humanite.fr/le-drame-social-des-droits-rechargeables-566812
Parmi les 500 000 chômeurs lésés par les droits rechargeables estimés par l’Unedic, beaucoup de #précaires, de #cadres, d’#intermittents,
de #seniors, mais aussi de #jeunes… Tous les âges et catégories socioprofessionnelles sont concernés par ce fléau. Témoignages.
Face à l’ampleur du scandale humain et médiatique, le gouvernement a été contraint de réagir. Syndicats et patronat se réuniront le 3 mars. Une journée de mobilisation est également organisée le même jour.
Ce serait chouette de faire circuler cette propositions e recherche-action collective
Unedic, droits rechargeables, dressons ensemble l’état des lieux et luttons !
►http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=7581
CITIZENFOUR - Laura Poitras (2015)
►https://citizenfourfilm.com
Film très regardable (bien qu’un peu étouffant dans le huis-clos de la chambre d’hotel) ; ce qui m’a frappé, c’est la qualité de l’expression d’Edward Snowden : ses phrases sont mesurées, claires, et d’une grande finesse. Et d’un humour qui fait mouche quand il apprend au journaliste anglais pourquoi la #NSA aime tant le #GCHQ. Ou quand il revêt sa cape d’invisibilité, le moment le plus #WTF du #documentaire — jusqu’à ce qu’on se rappelle qu’il ne s’agit pas d’une fiction.
#NSA #Snowden #Wikileaks #surveillance #film
Vu ce soir, film prenant. On ressort la gorge serrée. L’occasion d’une petite mise à jour en anglo-américain (vocabulaires et formes grammaticales intéressantes dans les dialogues).
Et c’est promis, demain, (j’arrête de boire) et je quitte Dropbox !
Le film montre un Snowden sensible, calme et simple. Et surtout, comme il le dit à plusieurs reprise, une volonté farouche de ne pas vouloir être le héros de l’histoire, il le dit à plusieurs reprises, "Ce n’est pas une histoire sur moi, c’est une histoire sur les gens et les menaces qui pèsent sur eux, c’est pourquoi je fais appel à vous, journalistes" et avec Glenn Greenwald, j’ai l’impression qu’il ne pouvait pas mieux tomber. Glenn Greenwald, formidable journaliste, qui montre respect et modestie.
Edward Snowden refuse d’utiliser un iPhone à cause du mouchard
▻http://www.numerama.com/magazine/31997-edward-snowden-refuse-d-utiliser-un-iphone-a-cause-du-mouchard.html
Edward Snowden ne veut pas utiliser un iPhone pour ses communications téléphoniques à cause du mouchard qui se trouve dedans, a fait savoir son avocat. Les documents confidentiels que le lanceur d’alerte a révélés montrent l’existence d’un programme de la NSA qui permet d’accéder aux données principales de l’iPhone.
Pour aider à faire les sous-titre français de “citizenfour”, le documentaire sur l’histoire d’Edward Snowden
transcription | LQDN Public Etherpad
via @slhaen sur Twitter
►https://pad.lqdn.fr/p/citizenfour_transcription
Citizenfour is the documentary and film of Laura Poitras,
with Edward Snowden, Glenn Greenwald, William Binney,
telling the story of Edward Snowden, a former NSA sysadmin who blew the whistle on the mass surveillance of NSA, GCHQ and other secret services on our communications.
This documentary is a 1h53" feature film, currently available only in English wih no subtitles.
We propose to collaboratively create an English subtitle of it, each of us doing a small part of it, this will be fast ;)
We already have someone willing to do the subtitle synchronization once we have a proper transcription of it.
Then if anybody in any country which to translate it, please feel free to do so ;)
A French version will certainly be launched collaboratively too, once we have a proper English one.
Thanks for your help ! Use one of the pad below to participate:
If you have a legal copy of this film and want a digital one, here it is on torrent: ►https://paf.lu/citizenfour
Pour l’heure je retiens surtout ce moment où Snowden parle de la surveillance, qu’elle soit ou non actualisée (qu’on soit ou non actuellement surveillé), comme une limite qui s’impose à l’exploration intellectuelle — de manière insidieuse, difficilement estimable certes, mais néanmoins certaine. Et puis sinon, #d'accord_avec_fil : il est incroyablement éloquent et précis.
DL > ▻http://www.datalove.net/citizen-four-movie
Grâce au lien de @reka, je retrouve la transcription du passage en 2/2 :
Right, so but if your self interest is to live in a world in which there’s maximum privacy, doing something that could put you into prison, in which your privacy is completely destroyed as sort of the antithesis of that, how did you reach the point where that was a worthwhile calculation for you ?
[00:25:54] - I remember what the Internet was like before it was being watched. And there has never been anything in the history of man like it. I Mean you could have children from one part of the world having an equal discussion, where you know they were sort of granted the same respect for their ideas and conversation, with experts in the field from another part of the world on any topic, anywhere, anytime, all the time. And it was free and unrestrained. And we’ve seen the chilling of that, the cooling of that and the changing of that model towards something which people self police their own views. And they literally make their own jokes on ending up on the list if they donate to a political cause or if they say something in a discussion. And it has become an expectation that we’re being watched. Many people I’ve talked to have mentioned that they’re careful about what they type into #search engines. Because they know that it’s being recorded. And that limits the boundaries of their intellectual exploration. And I’m more willing to risk imprisonment or any other negative outcome personally than I am willing to risk the curtailment of my intellectual freedom and that of those around me, whom I care for equally as I do for myself. And again that’s not to say that I’m self sacrificing because it gives me, I feel good, in my human experience to know that I can contribute to the good of others.
J’allais oublier aussi : vous avez la preuve par 9 aussi qu’un chef de la CIA ou de la NSA peut publiquement faire un énorme mensonge, sous serment, sans qu’il ne lui arrive quoique ce soit
#démocratie_américaine typique
moi aussi j’ai particulièrement apprécié la personnalité que dégage snowden. pour moi son intégrité découle de sa façon de parler, les mots qu’il utilise, ses intonations, son rythme, ses regards, les mouvements de sa bouche/ses lèvres, tout son visage, sa tête.
puis le calme qu’il tente de préserver alors qu’il est quand même pour moi clairement stressé (par exemple lors du test d’alarme incendie dans l’hôtel) ; ça ne fait que confirmer une fois de plus qu’il estime que ça ne tourne pas autour de lui, et qu’il doit tout faire pour que ça ne le fasse pas. et comme le dit @reka, il a la chance d’avoir greenwald comme porte-parole ; à plusieurs reprises on peut comprendre dans le discours de greenwald (notament quand il parle de son article sur les whistleblowers) qu’il est on the same page as snowden.
j’ai particulièrement été touché du comportement de snowden vers la fin, quand greenwald lui apprend des trucs en l’écrivant sur un bout de papier. le suspense mis à part, sa tête quand il dit "that’s fucking ridiculous" ça m’a touché parce que ça permet de prendre la mesure de la gravité de la situation quand un expert comme lui réagit ainsi à un truc qu’il ne savait pas.
un autre moment fort est quand greenwald se rend compte de l’ampleur de la chose et qu’il est d’accord qu’on ne peut qu’exposer tout ceci « it brutally hits home », « this needs to get out » ; tout ce pouvoir ne peut pas rester dans les mains de la NSA sans que le monde soit au courant. c’est trop grotesque.
on ressent bien que greenwald ne participe pas juste par sensationnalisme, mais surtout parce qu’il est convaincu de la cause.
le documentaire construit un bon suspense, et les petits extraits de musique de temps en temps (NIN, album Ghost) y contribuent certainement.
par contre, je ne suis pas tout à fait d’accord avec snowden dans le passage, justement cité plus haut « I remember what the Internet was like before it was being watched. » incitant à penser qu’avant tout était innocent et libre sur internet, sans qu’on soit observé.
je ne suis pas d’accord (c’est personnel, je ne dis pas qu’il ait tort) parce que dès mes début en 1992 (où il n’y avait principalement que l’e-mail, ftp, usenet, gopher, archie, wais, irc, et puis le début d’http) j’avais cette sensation qu’il fallait faire attention à ce qu’on disait, et que si on avait une impression de liberté de pouvoir dire ce qu’on voulait, c’était aussi parce que c’était encore une communauté assez restreinte et pas très « publique » (même si je retrouve encore aujourd’hui des trucs que j’avais dit dans des newsgroups il y a plus de 20 ans...), alors que maintenant internet est clairement publique. dès mes débuts (réseaux, télécoms & protocoles dans milieu académique) je savais qu’il était facile d’être observé ( « being watched »).
ceci dit, je viens de prouver que je rejoins aussi ce que dit snowden, càd que sachant tout ça, je me limite automatiquement ; « Because they know that it’s being recorded. And that limits the boundaries of their intellectual exploration. »
PS : dans le documentaire on voit aussi le livre de cory doctorow, « homeland »
À tou⋅te⋅s les suiveureuses de ce fil : la transcription anglaise est quasiment terminée, et elle est déjà complètement validée pour les premières parties.
N’hésitez pas à apporter dès maintenant votre grain de sel pour la traduction en français : celle-ci est déjà commencée directement dans les mêmes bloc-notes, par exemple ici pour la première :
▻https://pad.lqdn.fr/p/citizenfour_transcription_part1
Vous pouvez donc traduire ou corriger les fautes d’orthographe petit à petit sans aucun logiciel particulier.
@rastapopoulos, merci pour les infos. ok je vais faire une relecture de la partie 1.
Traduction française :
– partie 1 : traduite à 99%. besoin de relecture complète.
Je n’y comprends que dalle, ni comment on traduit, ni suffisamment l’anglais pour traduire une partie. Sorry. Mais merci à celles et ceux qui participent à ce magnifique projet ;)
j’aime bien l’extrait (vers la fin), dans lequel jacob appelbaum dit :
"what we used to call liberty and freedom we now call privacy, and now people are saying privacy is dead...."
oui en effet, tout seul c’est vraiment très difficile de traduire l’intégralité d’une vidéo de cette longueur. Mais avec un bon dictionnaire numérique et internet et du temps c’est possible de contribuer à traduire.
@thibnton ah oui oui absolument, merci pour l’observation. j’ai corrigé.
l’interview de Snowden, Poitras et Greenwald, par David Carr du New York Times (qui est mort quelques heures plus tard)
▻http://new.livestream.com/accounts/43597/events/3800646
Vu cette semaine. Je l’ai lancé, en me disant “Bon, un documentaire en huis-clos, ça va être un peu scolaire”.
J’ai été scotché. En plus de ce qui a été dit ici, j’ai trouvé le documentaire très beau (image et montage). Laura Poitras (et son équipe) ont un sacré talent.
Le lave-vaisselle peut être dangereux pour la santé de vos enfants - RTL Info
▻http://www.rtl.be/info/belgique/societe/le-lave-vaisselle-peut-etre-dangereux-pour-la-sante-de-vos-enfants-703808.aspx
Les enfants qui mangent dans des assiettes qui sont passées au lave-vaisselle auraient plus de chance de développer des allergies. La machine serait trop efficace et ne laisserait pas la moindre chance aux bactéries. Charles Pilette, pneumo-allergologue, affirme que « ça rejoint potentiellement la notion de théorie de l’hygiène où le fait ne pas être suffisamment exposé pendant les premiers mois ou les premières années de la vie à un certain nombre de microbes pourrait favoriser l’éclosion d’allergies. »
Selon une étude suédoise, les enfants vivant dans une famille où la vaisselle est faite à la main ont 40% de risques en moins de développer des allergies.
#allergies #lave_vaisselle #hygiène cc @allergie
Tu veux dire que je fais la vaisselle a mano comme un bras cassé ?
Comme quoi, j’ai bien eu raison de ne pas jeter l’éponge !
L’étude est entièrement accessible, là
Allergy in Children in Hand Versus Machine Dishwashing
▻http://pediatrics.aappublications.org/content/early/2015/02/17/peds.2014-2968.abstract
ABSTRACT
BACKGROUND AND OBJECTIVE: The hygiene hypothesis stipulates that microbial exposure during early life induces immunologic tolerance via immune stimulation, and hence reduces the risk of allergy development. Several common lifestyle factors and household practices, such as dishwashing methods, may increase microbial exposure. The aim of this study was to investigate if such lifestyle factors are associated with allergy prevalence.
METHODS: Questionnaire-based study of 1029 children aged 7 to 8 years from Kiruna, in the north of Sweden, and Mölndal, in the Gothenburg area on the southwest coast of Sweden. Questions on asthma, eczema, and rhinoconjunctivitis were taken from the International Study of Asthma and Allergies in Childhood questionnaire.
RESULTS: Hand dishwashing was associated with a reduced risk of allergic disease development (multivariate analysis, odds ratio 0.57; 95% confidence interval: 0.37–0.85). The risk was further reduced in a dose-response pattern if the children were also served fermented food and if the family bought food directly from farms.
CONCLUSIONS: In families who use hand dishwashing, allergic diseases in children are less common than in children from families who use machine dishwashing. We speculate that a less-efficient dishwashing method may induce tolerance via increased microbial exposure.
Why I don’t like #hackathons, by Alex Bayley aged 39 1/2 | Infotropism
▻http://infotrope.net/2014/11/28/why-i-dont-like-hackathons-by-alex-bayley-aged-39-12
They’re too much commitment
They exclude people with lives and responsibilities
That exclusion is not evenly distributed
They’re unhealthy
Competition, meh.
Why can’t I work on an existing project?
They’re just toys
And then they’re gone.
So what are hackathons good for?
Here’s what I want instead
par @skud
Les #contributeur aux projets #open-source qui ne codent pas
▻https://modelviewculture.com/pieces/non-coding-contributors-in-open-source
Ah du coup peut être que #barbie pourra contribuer au libre !
▻http://gizmodo.com/barbie-f-cks-it-up-again-1660326671
Je note la bascule open-source / libre, hashtag mauvais_esprit ;-)
Barbie ingénieure informaticienne elle est pas sectaire sur la licence du moment qu’elle code pas
open source contributors are usually white men, largely because they have systemic privileges that make their contributions possible. Along with being more welcomed and valued in open source, they are more likely to possess a technical background and have ample time and resources to contribute. Both of these attributes are considered critical by many open source projects (resulting in even more homogenous teams), but we don’t think they are. We value meaningful contributions. Even those team members with limited time can contribute in meaningful ways. Since these contributions are valuable, we would be remiss to avoid them simply because the contributor can’t devote some prescribed amount of time.
mais concrètement ?
Part of the dysfunction in open source communities is that contributors that don’t participate on more “advanced” levels of a project, e.g., coding, aren’t held in the same regard as developers doing the programming.
Tout comme une famille dysfonctionnelle n’est pas un environnement sain et épanouissant ?
La phrase que tu cites @tetue dit en elle même tout ce qui est déséquilibré, la « responsabilité » des « advanced levels contributors » n’est pas conscientisée parce que certains principes de #hiérarchie sont déjà figés par ceux là mêmes qui détiennent le pouvoir. Et ces structures tant qu’elles ne seront pas réinterrogées politiquement perdureront, d’où la nécessité de regarder les solutions égalitaires proposées par exemple par les groupes minoritaires, comme les féministes.
« Programming Sucks » : la #programmation c’est horrible, et dans l’#informatique jamais rien ne fonctionne comme ça devrait
▻http://stilldrinking.org/programming-sucks