• L’avancement ces derniéres semaines a été un petit peu ralentie. En effet, je suis partie 3 jours à Genève pour rencontrer d’autres membres de l’équipe aux RMLL. Ça n’a pas été inutil bien au contraire puisque ça m’a permis de voir les gens avec qui je travail et de pouvoir discuter de toute cela directement ce qui est bien plus facile et plus agréable qu’IRC. Ça m’a permis de rencontrer également des utilisateurs de scribus pour voir ce dont ils ont besoin par exemple. On en a donc profiter pour décidé ce qui devrait être fait dans la deuxième partie de mes GSoC mais j’y reviendrais par la suite.
    Au niveau programmation. Tout d’abord, comme je l’avais prédit dans mon article d’il y a deux semaines, j’ai finis le travail sur le undo/redo pour le gradient de transparence. J’ai d’ailleurs remarqué que certains options sont ici parce qu’elles font partie du gradient pannel mais en réalité, elles sont inutils dans le cas de la transparence. C’est un petit peu perturbant.
    La deuxiéme a été pour la création des courbes de bézier. Dans ce cas l’astuce a été de déplacer la création du undo au bon endroit (une fois l’objet entièrement créer) puis de supprimer les undos inutiles créer par d’autres fonctions durant le processus de création.
    J’ai ensuite réctifié le undo pour l’ajustement de la frame de texte à la hauteur du texte et la duplication. Pour cela, il suffisait de regrouper plusieurs actions en une seul.
    Par la suite, je me uis mis au undo/redo pour l’action « Transform » dans le menu objet. Celui ci à d’étrange qu’il permet une rotation par exemple sans pour autant utilisé la fonction normal de rotation. Cela complique le code pour pas grand chose à mon avis mais bon, c’est un autre sujet.Ce undo m’a demandé un peu de temps puisque l’action de base utilise « adjustitemSize ». C’est une fonction utilisant beaucoup de sous fonction. Je ne me suis donc jamais risqué à créer un undo pour cette fonction puisque ceci s’avére en général pas nécessaire. Cependant, cela finis par me causé des problèmes de positionnement lors du undo/redo. Finalement, j’ai réussis à les contrer grace a la fonction moveTo en sauvegardant la position de départ et en applicant le bon déplacement à la fin du undo. Je me suis trompé un moment sans comprendre d’ou venait le problème en faisant le adjustitemsize après le déplacement ce qui me faisait un décalage que je ne comprennais pas. Maintenant tout fonctionne correctement.
    Toujours en continuant de chercher des problèmes de undo, je suis tomber sur des crash de scribus lorsque l’on utilisait le undo pour le changement de niveau des calques. En effet, il y avait une confusion entre deux identifiant différent que l’on donne aux calques dans le code. Leurs niveau et leur Id propre. Maintenant, je n’ai plus eu de crash à ce niveau là.
    Enfin, j’ai ajouté un undo correct pour le changement de code dans une render frame et pour le changement de page d’un pdf que l’on souhaite afficher dans une frame d’image. Il n’y a pas grand chose d’intéressant à ce niveau là puisque ce sont des undos tout ce qu’il y a de plus normal. Le plus dure est de trouvé le undo concerné et sa position comme d’habitude.
    Enfin, le undo pour l’édition des polygones, des arc et des spirals. Ceux ci ont de multiples options de nombre de coté, de longueur et d’angle et l’on ne pouvait pas revenir sur ces modifications. Maintenant cela est donc possible. Pendant ces modifications, j’ai eu de droles de suprises parce que certains undo n’utilise pas d’identifiant unique. Au moins, maintenant je fais plus attention à ce genre de problème que j’en rencontré une autre fois par la suite.
    J’ai également profité des RMLL et de diiscution avec pygmee pour empeché le undo lors de la création de certaines frames (comme les courbes) et pour améliorer la sélection après un undo ou un redo.
    Toutes les modifications cité précédement sont donc maintenant dans le trunk grace à MrB :-)
    Suite à une remarque de cezaryece, j’ai également corrigé un bug qui apparaissait lorsque l’on demandait d’effacer le contenue d’une frame de texte. Le bug se trouvait dans la gestion même du undo et je ne comprend pas vraiment pourquoi celui ci avait lieu...
    Un autre problème avait lieux lors du undo/redo de la conversion en contour. Le problème étant la création d’un trop grand nombre de undo alors que certains étaient inutil.
    En pour finir le travail sur le undo : l’option connect to path. Celle ci n’avait aucun undo et faisait partie d’un plugin. En effet, même dans ceux ci il faut traiter le undo. Ce qui n’est pas forcement facile puisque un plugin se veut séparer mais le undo est dans le code base.
    J’attend que ces derniers changement soit commité pour pouvoir demander à tout le monde de tester le undo pour me faire remaqué les endroit que j’ai oublié.
    Pendant ce temps, il a été décidé durant les RMLL de mettre en place un multiple import d’image. Il est donc possible (dans ma branch seulement pour le moment) de créer une frame d’image, sélectionner : importer une image puis de sélectionner plusieurs images. Si une seul image est sélectionné, il n’y a pas de changement par rapport à d’habitude. Mais il est aussi possible de sélectionner plusieurs images et dans ce cas, une liste des images apparait à coté du curseur. Il est possible de changer d’image avec tab ou shift + tab. Si on click sur une frame d’image, l’image sélectionné est importé dans la frame, sinon, il est possible de créer une frame directement avec l’image importé dedans. Je vous laisse donc jugé de l’efficacité de cette technique.
    Tant que je travaillais sur les images, j’ai ajouté la possibilité de remettre à zero une frame d’image qui n’a pas une image valide comme le reportait un bug de ale.
    Et pour finir, je me suis attelé à faire du panneau d’historique un panneau dockable. Donné le nom au panneau est un peu étrange mais cela fonctionne pour notre cas. Maintenant, je travail un peu sur le undo specifique et les bugs qui me sont assigné et je devrais bientôt commencer mon travail sur le panneau de recherche qui n’est vraiment pas très « user friendly ». A bientot pour plus de nouvelles

  • This article is in english as non-french speakers asked informations about style management in scribus. During RMLL, I meet a lot of people who are using scribus or are working to improve it (or both) and we spoke about style management in Scribus. It is a point that should really be improve in next scribus version (even if, as far as I know, it is not planed in 1.6 release). In this article, I will only speak about charactere style and paragraphe style, not about local modification of style which is another topic.
    The problem is : When you apply a character style to a word in a paragraph (example : bold). Then, you apply a paragraph style : size font = 16 (instead of 12 by default). You can notice that the word in bold keep a font size of 12. Of course, it is not a correct behaviour. If you ask for information about this issue on IRC, people will answer: This is because even if you don’t change the font size in the character style, the value is 12 so the font size of your word is 12. In fact, if you look into the code, it is a wrong answer. You can also see that it is a wrong answer if you look at the .sla file. The value of 12 is not saved in the style. The only place where the value of 12 is saved is in the default character style.
    So, what happen exactly?
    first, we have to notice that a paragraph style can have character style component. The font size is a good example as it appear in paragraphe style and in character style. So, if you apply a paragraph style and then you apply a character style, the selected text must have 2 character style.
    On the selected word, we expect that the apply order is : default paragraph style -> default character style -> paragraph style -> character style but it is not the case because a letter can have only ONE character style and this character style have a paragraph style (yes, you read correctly in Scribus, it is not a paragraph style which have a character style but the opposite).
    When I saw this, I thought : ok, in this case, when I apply a paragraph style, I just have to check if the value in the character style is a real value. If it is not (it is an inherited value from default character style), I will add the value of the character style I want to apply from paragraph style.
    Not to hard to understand?
    But in fact, all values are inherited value. Some of them inherited from default character style but other inherit from the character style I applied. Why? Because when you create a style and you apply it in two different word. You can’t set the value directly to these word. Otherwise, they will not be updated if you change the character style. And it is the same behaviour when you apply character style from paragraph style.
    In a nutshell, when you apply a paragraph style, all words in the paragraph have an empty character style with the character style of this paragraph style as parent and when you apply character style, you change this parent to the character style you are applying. (character style is stronger than character style from paragraph style).
    by the way, I thing that this empty style is not empty if you apply inline style modification...

    For me, all this problem appear because in scribus now it is not a paragraph style which contain a character style but the opposit. I thought about two solutions : we can enable style to have many parent. In this case we will not have more problem but, as pygmee noticed, user will need to define priority between style. It can be really confusing and I don’t know any programm working in this way.
    The other solution is to change style definiation to make paragraph style owning character style and applying the priority like I defined it previously. In this instance, a word will have his own character style and the character style from his paragraph style. But it may be really hard to do this as it will involved a lot of modification in the scribus code base. First, we will need to redefined how it is apply but also, as there is another character style, we will need to take it into account when we export the textframe to pdf.
    Good luck to the guy which will do this work.

  • Voila quelques jours que je n’ai pas écris. Je voulais attendre d’avoir finis la tache sur laquelle je travaillais pour vous tenir au courant de l’avancement.
    J’ai donc résolues quelques petits undo/redo : la rotation d’une image, le passage entre les mode : échelle réel et adapté à la taille de la frame, (donc les changements de résolutions de l’image) et pour finir, le undo/redo pour le changement d’échelle des flèches aux extrémité des lignes. Jusque là, tout ce qu’il y a de plus normal même si des fois, ça fait bien réfléchir pour comprendre pourquoi quelque chose qui semble bon en théorie ne l’est pas en pratique. J’ai donc fait ceci en une demi journée environ.
    La majeur parties du temps restant depuis jeudi dernier, j’ai donc travaillé sur le undo/redo pour les gradients. Depuis le début de mon travail sur scribus, c’est le patch qui m’a demandé le plus de temps et qui était aussi le plus pénible à faire. La pénibilité viens du fait qu’il m’a demandé de mettre en place de nombreux undo/redo élémentaire donc pour une seul variables. Cela n’a rien de bien compliqué mais il faut créer des getters/setters, une fonction de undo/redo et faire en sorte que celui ci soit appelé et que le changement de variables se fasse bien avec les setters. Vous me direz, c’est un peu ce que je fais déjà depuis le début. Mais cette fois, j’ai du le faire de cette façon pour 42 variables différentes juste pour les gradients. Impossible de faire cela automatiquement puisque les méthodes appelées change de nom entre les fonction vu que la variables change et que le type change. Il est peut être possible de faire cela avec des commande préprocesseur mais comme je l’ai dis dans un autre article, je trouve cela pas très pratique étant donné que le code de scribus est très peut commenté, j’aime bien pouvoir trouver les fonctions à l’aide d’un grep -nri .
    Heureusement, il n’y avait pas que cela a faire. Même si c’est pénible, ce n’est pas ce qui m’a pris tout se temps. Dans les gradients, certains ne fonctionnent qu’en interaction avec le canvas (zone d’affichage). Il m’a donc fallut ajouter un undo pour les actions de dragage de points. Ici aussi, un très grand nombre de variables sont en jeu et la plupart sont des variables de meshpoints. J’ai donc dans un premier temps ajouter les meshpoint dans les undoObject pour pouvoir faire une restauration directement sur ce genre d’objet. Malheureusement, je me suis rendu compte qu’en procédant de cette façon, le undo est enregistré à chaque déplacement d’un point, ou plutôt pendant son déplacement. Donc si on fait traversé tout l’écran au point, on remplie entièrement la pile de undo. Ce n’est donc pas envisageable. Le problème est donc : comment regrouper toutes ces actions en une seul. J’ai pensé à créer un UndoTransaction (qui est l’objet utilisé pour regroupé des actions dans un cas normal) déclaré en global ou en attribue du canvas. Ce n’est pas très jolie. Finalement, j’ai choisie d’enregistré la valeur du meshPoint sur lequel on viens de cliquer et lorsque l’on relâche le clic, on enregistre le points de départ et le points d’arrivé pour crée le undo. Il se trouve que c’est plutôt efficace même si du coup, les modifications pour ajouter des undo sur les meshpoints se trouve inutile. J’ai donc supprimé ces modifications. Il existe un deuxième type de canvas du même genre pour les gradients que j’ai donc traité exactement de la même façon. Pour que tout fonctionne correctement, il faut aussi ne pas prendre en compte cette action si aucun mouvement n’a lieux. Car pour changer la couleur du points par exemple, il faut le sélectionner. Il serait dommage de créer une action supplémentaire inutile. Un autre problème : le changement de mode du canvas. Lorsque le passait sur les gradient mesh. Il y a un changement de mode qui ne reviens pas avec le undo. Scribus finis donc par buguer. J’ai essayé toute sorte de chose sans succès. Finalement, ce n’est pas très beau mais j’ai ajouter un undo au changement de mode mais seulement pour certains mode. Après cela il faut passé par une petite étape de débogage. On fait pas autant de copié coller sans se trompé dans les modifications à apporter. Souvent les erreurs sont minim donc encore plus dure à trouver.
    Ouf, me voila content tout semble fonctionner correctement. Pour l’instant mes tests se sont porté sur l’intérieur des polygones. Pour les bordures, je me suis donc rendu compte qu’il manquait une fonction de mise à jour du panel. Ce qui empêchait de faire un undo/redo correct et en réalité, cela apportait aussi des erreur lors des changements de sélection. j’ai donc ajouté cette fonction et ajouter les undo/redo pour ces gradients de la même façon que ce que j’avais fait précédemment.
    Ouf. Finis...
    C’est ce que je me suis dis. Malheureusement, il reste un petit onglets permettant de bouger le vecteur de gradients. J’ai donc commencer par le undo/redo qui suivait l’apparition de ce panneau. Encore une fois, cela demande un grand nombre de setter/getter mais finalement ça se fait. J’ai donc pris toutes les fonctions de ce panneau un par un pour les ajouter.
    Ensuite, le canvas encore une fois. J’ai encore procédé comme précédemment. La différence étant : la dernier fois je pouvais sauvegarder un meshpoint. Cette fois, je dois sauvegarder individuellement une trentaine de variables pour les prendre en compte dans un undo final. Ce n’est vraiment pas jolie mais je ne vois pas comment traiter cela autrement. Avec une autre idée, je l’aurai sûrement appliqué également pour les premiers canvas.
    Pfiou. Voila que les gradients sont finis !!! Et j’en suis bien content. C’est le plus gros patch que j’ai fais en nombre de ligne ...
    Malheureusement, je sais qu’il me reste les gradients se trouvant dans l’onglet transparency du PP... Travail de demain ???
    Cette après midi, j’ai donc changé un peu et travaillé sur le bug reporté par cezaryece : correction du undo pour la suppression de lettre. Et oui, quand on supprime des lettres et qu’on les fait revenir, le style de ces lettres est perdu.
    Pour corriger cela, il faut donc enregistrer le style courant du caractère et regrouper tout cela en une seul action. Jusque là, pas de souci. Le plus gros problème est pour regrouper les actions en une seul. Puisque je crée une action a chaque fois que le style change, il faut que les nouvelles actions puisse s’ajouter à ce undotransaction. J’ai galéré un moment pour créer une action pour une chaîne consécutive avec un même style. Après avoir galéré un moment, je me suis rendu compte que c’était impossible car on ne sait jamais si ce qu’on vient de supprimé se trouve avant la chaîne ou après la chaîne. Mais après réflexion, cela importe peu. Seul l’état courant compte et peut importe ce qui est déjà supprimé. Je me content donc de regarder si le dernier mot supprimé est du même style. Si c’est ça, j’ajoute la lettre, sinon je crée une action. Et maintenant tout fonctionne.
    Il ne reste plus qu’a commiter tout ça maintenant :-)
    Bonne nuit à tous.

  • Voila beaucoup de travail en deux jours !! Je vais donc essayer de ne pas trop m’éterniser.
    Pour les petits undo/redo, je me suis mis au changement de la fonction d’affichage : Le changement de résolution. C’est un undo tout ce qu’il y a de plus classique mais j’ai perdu un peu de temps dessus à cause d’une mauvaise écriture de l’identifiant de l’action. C’est vraiment bête mais au moins je ferai plus attention les prochaines fois.
    Ensuite, le undo/redo de l’affichage des images. On peut en effet choisir d’avoir seulement le nom de l’image en aperçu et non pas l’image elle même. Cette fois ici, rien de bien compliqué, ce n’est qu’une variable à changer.
    Un petit peu différent ensuite, lorsque l’on utilisait la symétrie pour une image, celle-ci était enregistrée comme deux actions. J’ai donc regroupé ces taches. En regardant de plus près, j’ai également supprimé une boucle for. En effet, une boucle for (uint a = 0 ; a < docSelectionCount ; ++a) avec docSelectionCount !=0 et docSelectionCount < 2, la boucle n’est pas vraiment utile.
    Le group/Ungroup undo/redo ... Je pense que cette action mériterait un article a elle toute seul.
    Le fonctionnement de base que j’ai utilisé est le même que celui qui était précédemment : pour le undo de groupé, on sélectionne l’item de sortie et on ungroup, pour le redo, on sélectionne tous les items et on group. Ce qui est bien dans la nouvelle façon de faire c’est que c’est symétrique pour le undo/redo de group et de ungroup donc une seul fonction de restauration est nécessaire.
    Le premier problème que j’ai eu est que le undo/redo fonctionne pour le grouping, mais le undo/redo/undo ne fonctionne plus. En effet, le polygone résultant du groupement est un nouveau à chaque fois, donc on a perdu son adresse/Id entre temps. Ici, je suis donc dans le même cas que le undo/redo implémenté avant. Pour corriger ce problème, j’ai donc changé l’adresse de ce polygone au fur et à mesure de sa création et de sa suppression. Maintenant, on peut donc faire autant de undo/redo que l’on veut, il n’y a pas de problème.
    En jouant avec, j’ai finalement trouvé un autre bug : Si on group, puis ungroup et qu’on fait fait deux undo, le deuxième ne fonctionne plus.
    J’ai mis un moment à comprendre l’erreur mais pour ça, il faut comprendre un peu le fonctionnement du undo dans Scribus. En fait, lors d’un undo/redo, on sauvegarde l’objet sur lequel on exécute l’action et à côté, tout le reste dont on a besoin. Si l’on dit que l’action s’effectue sur un objet et que cet objet est supprimé, on a une fonction permettant de remplacer dans toutes les actions de undo, l’ancien objet par le nouveau. Jusque là tout fonctionne parfaitement. Cependant, si l’objet supprimé n’est pas l’objet sur lequel on a effectué une action mais est tout de même un objet dont on a besoin pour le undo, comment faire ?
    Pour prendre un exemple concret, lorsque l’on groupe 3 polygones, il faut sauvegarder toutes ces informations. Lequel des 3 est le polygone sur lequel on a effectué une action ? Vous voyez donc qu’il faut forcément sauvegarder un objet sans que celui ci soit l’objet sur lequel on a appliqué l’action.
    Le problème est donc : Comment remplacer l’adresse de cette objet lors d’une suppression puis d’un retour ?
    Pour l’instant, je ne vois que deux solutions : On peut faire une fonction qui remplace également l’objet dans les objet nécessaires au undo. Cette idée me semble correct, mais un peu lourde parce que pour un PageItem* par exemple (suppression d’une frame), on pourrait la remplacer, mais dans le cas d’une liste de PageItem* ? Ou de pair de PageItem* ? Il faudrait détecté si l’objet que l’on a peut contenir des PageItem* pour pouvoir les parcourir en profondeur.
    La deuxième solution serait de revoir un peu plus le fonctionnement du undo redo et des objets en général dans scribus. Il faudrait pour cela un numéro unique par objet. Ainsi, lors d’un undo/redo, on sauvegarde ce numéro plutôt que l’objet (il faut donc des fonctions permettant de trouver l’objet a partir de ce numéro également). Ainsi, lorsque l’on recrée un objet, il faut pouvoir lui attribué le numéro de l’objet précédemment supprimé. Il est impossible de faire cela avec un pointeur, même si ce numéro est unique, mais avec un Id, ça serait faisable. Après, il est peut être possible de combiner les deux : mettre un Id que pour les objets supprimés/recréés et cette Id à pour valeur l’adresse de la première version de l’objet ?
    Quoi qu’il en soit, je préfère attendre que tous les undos fait jusqu’à présent soient regroupé avant de me lancer là dedans.
    À réfléchir ....

    Pour revenir au group/ungroup, j’en ai aussi profité pour faire un peu de nettoyage dans la fonction. Certaines boucles qui me semblaient inutiles ont donc disparu.

    Autre correction de undo/redo, le changement de forme disponible dans le panneau de propriété dans l’onglet forme. Lorsqu’on l’utilisait et qu’on faisait un undo, tout n’était pas comme avant et l’arrondissement d’angle n’était jamais disponible. Voila qui est corrigé.
    Pour finir avec les options, j’ai ajouté également un undo à l’arrondissement d’angle. Encore une fois, ce n’était qu’un changement de variable et une séléction à changer.

    Une autre grosse tache à été de mettre tous ces patchs dans le trunk. Oui, voila qui est fait, deux de mes branches ont été pushé. Ça fait plaisir que ça puisse être utilisé et ça me permet d’avoir des retours.
    D’ailleurs, les bugs n’ont pas tardé à ressortir. Pour le undo de la création de gabarit par exemple, j’avais pas testé le undo en ayant quitté le mode gabarit. Ça a donc planté. En fait, je pensais avoir essayé mais cliquer sur la croix rouge de la fenêtre gabarit ferme la fenêtre sans quitter le mode pour autant. Plutot êtrange comme comportement. Enfin, celui là a vite été corrigé.
    Un autre : Pour le text undo, si on ajoute un style sur deux styles différents et qu’on le défait, seul un des styles de départ reste ( et c’est celui qui est appliqué). J’ai donc fait en sorte qu’une action soit créée à chaque fois que l’on change de style et j’ai regroupé le tout dans une seule action.
    Maintenant, le plus dur : faire en sorte que moins d’actions soient créées. J’avais mis cela de coté parce que c’est un même undo qui traite le changement de style, l’augmentation de taille et tout ce qui va avec. Mais en m’inspirant du travail de cezaryece, j’ai finalement ajouté une variable à la fonction contenant le undo. Ainsi, lorsque j’appelle cette fonction qui applique le nouveau style, il y a un nouvel argument qui explique quelle est l’action qui est effectuée. En utilisant cela, je peux donc enregistrer dans mes événements un nom précis ainsi, en regardant le vrai nom de l’action précédente, je sais si je dois recréer une action ou compléter la précédente. Le problème que j’ai eu est que ma fonction qui me retourne un pointeur vers le dernier état du undo (donc la tache sur le haut de la pile), me renvoyait une valeur incorrecte. Enfin c’est ce qu’il m’a semblé puisqu’en réalité cette valeur était correcte mais c’est la valeur de la « boite » regroupant mes actions. Et oui, puisque je dois créer plusieurs actions, j’ai aussi besoin d’une boite pour les contenir. Finalement, j’ai donc réussis en détectant cette boite et en allant chercher mes différents états directement dans celle-ci. C’est un peu lourd à faire mais ça fonctionne très bien. Il a donc fallut changer également l’attribution de ce nom exact de la tache lors du clic de souris ou lorsqu’on presse une flèche pour que ce soit correct.
    Il reste plus qu’à commiter ces patches et tout sera bien :-)

  • Quand on commence avec git, il y a toujours des choses qui paraissent un peu bizarre ou qui ne se passent pas comme prévu. Si ça peut aider les autres, voici comment je fais pour créer un patch.
    Pour partir sur les mêmes bases, j’ai ajouter une adresse à mon git : trunk. Dans ce repo se trouve les mêmes fichiers que sur le svn. Cela permet d’avoir une base de référence pour le diff.
    Pour ajouter ce git :

    git remote add trunk git@scribus.net:trunk.git

    Supposons que le diff que l’on souhaite est pour la branch Layout :

    git checkout layout

    Pour ne pas avoir de souci, il vaut mieux que tout ce qui est fait soit déjà pusher dans le repo :

    git push

    puis, faire un rebase (mettre ses propres commit comme étant les derniers a avoir été ajouté) :

    git pull —rebase trunk svn

    si il y a des conflis, il faudra donc aller dans le document signalé pour changer les problèmes. Si vous utilisez gitk, en allant à la tête de la branch, on voit très clairement ou il y a des problèmes. Un fois ces problème réglé :

    git add « mes fichiers modifiés »
    git rebase —continue

    il peut arrivé que l’on vous dises que rien n’a été changé, ça veut souvent dire que les modifications ont déjà eu lieu dans un commit précédent, il suffit donc de faire :

    git rebase —skip

    Une fois que tout ceci c’est bien passé, il faut refusionner la nouvelle branch avec l’ancienne, sinon il sera impossible de pusher le changement et donc de récupérer d’autres éventuel changement. :

    git merge origin Layout
    git push

    Voila donc une belle branch avec toutes les sources dedans et les notres en haut de la pile. En plus, on est sur qu’il n’y aura pas de conflit.
    Maintenant, il faut regarder l’adresse (adresse1) du dernier commit de notre branch Layout (le commit de merge normalement) et l’adresse du dernier commit exécuté dans le trunk (adresse2). On peut avoir cette adresse dans gitk le champ : Id SHA1 ou dans la console directement avec git log. L’adresse est la suite du genre : 27ea33fce51cb6f7e4084746c78a2559dded4e59. Une fois ces adresse récupérés :

    git diff adresse2 adresse1 > monpatch.diff

    Et pour l’appliquer au svn, il suffit de se mettre dans le bon dossier et d’utiliser :

    patch -p1 < monpatch.diff

    Le tour est joué.

  • J’ai un peu de retard dans mes articles alors voici un peu de lecture.
    Cette fois ci, ce n’est pas vraiment un undo/redo que j’ai fais mais plutot une options ajouter à celui ci. Pour pouvoir avoir un meilleur workflow, j’avais ajouter la resélection d’un élément lorsque celui ci est supprimé puis recrée via le undo. Cette fois ci, pour pouvoir voir au sont les changements effectué par le undo, j’ai fais en sorte de cadrer l’écran de scribus sur le changement.
    Le problème est surtout que l’on ne peut pas généralisé une tel chose. En effet, lorsque l’on crée un calque par exemple, sur quoi doit on déplacer le cadre ? Il n’y a pas de page ou de frame spécifique. J’ai donc fait en sorte de centrer correctement l’écran dans la majeur partie des cas mais il faudra tout de même faire attention lors de chaque undo pour que le positionnement corresponde.
    J’ai également corrigé un crash de scribus dans le fonctionnement même du undo. J’avais remarqué ce bug depuis un moment mais impossible de le corrigé. En effet, si on crée un polygone par exemple puis que l’on appuie sur ctrl-z, celui ci disparaît, on a donc le document de départ. Il est donc normal que lorsque l’on presse de nouveau ctrl-z, rien ne se passe. Cependant, si on va dans édition, le undo est encore cliquable et si l’on clique dessus, scribus plante en nous disant gentiment : scribus crashed due to signal#11 ce qui se traduit par « Haaaaaaaaaaa qu’est ce que tu fais ? je coupe tout !! ».
    Enfin bref, pas super. En triturant le code, j’ai a un endroit une variable, si je la met à false, le undo n’est jamais accepté, si je la met à true puis a false en cliquant sur un bouton, le undo reste accessible. Impossible donc de le désactivé. Puisque je n’ai pas réussis à réparer cela, je me suis contenté de faire en sorte que rien ne se produise lors d’un tel clic. C’est toujours mieux qu’un crash.
    Une fois ceci fait, je me suis remis à un vrai undo : le coller. Et oui, le copier dans le text n’est pas pris en compte, ou plutôt ne l’était pas. J’ai donc corrigé cela et j’en ai profiter pour prendre également en compte l’ajout des inline frame. Ces ajouts se sont donc passés sans aucun souci.
    Ce matin, je me suis donc mis à la création d’un diff correct pour pouvoir appliquer une de mes branch (Layout) dans le code de scribus. Ça permettra ainsi de voir si tout fonctionne correctement. Pour ne pas tout mélanger, je vais donc expliquer tout cela dans mon prochain article.

    • mmm... not sure that in most cases it’s a good idea to change the visible part of the document when undoing...

      for sure, there are cases, where it is interesting, so, Chelen_, don’t throw away your code :-)

      an example: if the undone area is on screen (we could detect if it is “well” unscreen...) i think that scribus should leave the view untouched. but, if the undone (or redone) area is not currently shown (or it is badly shown?), then scribus should show it and center it...

      just my opinion, though...

      all in all: it’s a cool idea, but many times it will be more harm than benefits: so, let’s use it but not too much :-)

  • C’est parti pour les nouvelles. Je n’ai pas fait d’article non pas parce que j’ai rien fais mais surtout par flemme. Ça prend toujours un peu de temps à écrire quand même :-).
    Comme précédemment, j’ai continué à travailler mercredi sur le texte undo. Après avoir traité le style de caractère, je me suis mis au style de paragraphe (en toute logique). Il m’a fallut un peu de temps pour trouver ou est ce qu’il fallait ajouter le code mais et surtout trouver tous les endroits ou il fallait le prendre en compte en fonction de ce qui est sélectionner (du texte ou une frame entiére). J’en ai donc profiter pour faire mieux fonctionner le undo/redo pour le style de caractére. Encore une fois, ça a mis en place de nombreux undo qui n’était pas visé à ce moment là. Ce qui m’a permit finalement d’avancer très vite dans la mise en place du undo/redo pour le text.
    Après avoir travailler sur l’ajout de style, il a donc fallut se mettre à la suppression de style. Il est assez perturbant de devoir traiter des fonctions qui font presque la même chose. Sans toutefois faire exactement pareil. Mais j’ai un peu de mal à voir la différentes puisque ce sont des fonctions non déclarer directement mais définie par des commande préprocesseur. Certe, ça permet d’avoir un code très court mais je trouve que ça nuis réellement à la lisibilité du code. Après c’est une question de point de vu.
    L’étape suivant a été pour les colonnes et les distances (entre les colonnes ou entre le texte et le bord de la frame). Globalement, ce n’était que des changement de variables donc dans ces cas, c’est le undo le plus basique qu’il soit. Pas beaucoup de difficulté. J’en ai aussi profiter pour supprimer une partie de code (il était exécuté ici, puis juste au dessous à travers une autre fonction). Et pour finir, le undo sur la longeur d’une tabulation. Il m’a pour cela suffit de changer la fonction utilisé pour en appeler une qui fait la même chose mais qui possède le undo en plus. Vu comme cela, on a l’impression qu’il reste plein de choses à faire mais j’ai testé les autres options que l’on peut utiliser sur les frames de textes (pendant une bonne heure pour tout essayer) et tous sont traité par le undo. C’est pas génial ? :-)

    Maintenant que le text undo est finis, je me suis mis à parcourir le bug tracker pour voir tous les bugs qui sont associé à mon sujet. C’est assez marrant de voir que certains sont donc maintenant résolu (dans ma version au moins). Le premier était une demande pour un undo sur le texte. Voilà qui est finit.
    La deuxième demande que j’ai vu était lors de la copy d’une page. Certains objet se retrouvaient dupliquer lors d’un undo/redo. En constatant cela, j’ai donc remarquer que ça venait d’une action de undo/redo ajouter à la pile de undo alors qu’elle ne le devrait pas. J’ai donc ajouter deux lignes pour indiquer qu’il ne fallait pas se souvenir des actions undo/redo dans une certaines partie du programme. Tout fonctionne correctement mais comme j’utilisais le widget : plan du document, pour voir si il y avait une duplication, j’ai remarqué qu’en ajoutant ces lignes, la mise à jour du widget ne se faisait plus lors du redo. Zut !!. J’ai beau avoir parcourue une bonne partie des fonction causant ce problème, je n’ai pas trouvé celle qui faisait la mise à jour nécessaire. J’ai donc opté pour appelé directement la fonction de mise à jour du widget en question. Il ne semble donc plus y avoir de problème pour moi en tout cas.
    Entre temps, on m’a indiqué sur IRC, un bug : Il n’y a pas d’avertissement lors de la suppression d’une page ou d’un gabarie. C’est donc un problème puisque le undo n’était apparemment pas disponible. Vu que tous les problèmes de création et de suppression sont maintenant réparé, c’est un bug que l’on peu oublier.
    Enfin, le dernier bug que j’ai traité est un undo inexistant : placer au dessous, placer au dessous, placer en haut ... Outre le fait que la fonction me semble très compliqué pour pas grand chose (il me semble même avoir vu des boucles for sur un list ou l’on a mis un seul élément dans tous les cas ...) J’ai finalement ajouter cette fonctionnalité en utilisant seulement la sélection. Toutes ces fonctions ayant le même fonctionnement, mettre en place une fonction c’est comme toutes les mettre en place.
    Aujourd’hui, je vais donc pouvoir continuer à parcourir le bug tracker pour ajouter toutes les fonctionnalités qui semble être les plus importantes pour les utilisateurs.

  • Voila une autre journée de travail passée. J’ai donc continué à travailler sur le text undo. C’est donc composé de plein de petit undo à ajouter. J’ai commencé avec le remplacement de texte. Ça se résume en le regroupement d’une action de suppression puis une action d’ajout. Il suffisait donc de trouver ou ajouter ces quelques lignes.
    J’ai ensuite continué avec le undo/redo des textes d’exemple (lorem ipsum). Le principe est exactement le même que pour l’ajout de texte puisque le undo se fait bien sur le texte et non sur la génération d’un texte aléatoire. Encore une fois, il a suffit de trouver où est ce qu’il fallait ajouter cette action.
    Après, je me suis attaqué aux caractères spéciaux comme les tabulations ou même les guillemets et des choses comme ça. La prise en compte était encore à un autre endroit mais toujours le même principe.
    Enfin, je me suis mis à l’import de texte ou l’ajout de texte. Cette partie est plutôt compliquée car on passe par de multiples objets différents et par des plugins pour arriver finalement au même point que les autres : l’insertion de texte encore une fois. Pour l’import de texte, il fallait en plus prendre en compte la suppression du texte précédent. Malheureusement j’ai commencé en regardant la mauvaise action ce qui m’a fait perdre un peu de temps. J’ai d’ailleurs trouvé une fonction qui ne sert à rien du moins en apparence. C’est assez étrange quand on tombe sur des choses comme ça.
    Ensuite, l’effacement de frame puisqu’il existe un bouton pour cela. Ce n’est pas bien différent de la suppression de texte.
    Et pour finir, j’ai commencé avec les styles de caractère. Ici, ça c’est un peu corsé. Pour commencer facilement, j’ai regardé pour le changement de taille de police. Il est donc normal de tomber sur une fonction setfontsize(). J’ai donc pensé que la gestion du undo devrait se trouver dans cette fonction malheureusement, même grep ne me trouvait pas cette fonction. C’est plutôt déroutant au début. J’ai finis par comprendre que la classe utilisant cette fonction est créée en grande partie par des commandes préprocesseur pour automatiser la déclaration de fonction.
    Finalement, ce n’est donc pas ici qu’il faut ajouter le undo. Finalement, j’ai ajouté la modification de style dans une fonction de scribusdoc.cpp . En ajoutant cela, de très nombreuses fonctionnalités de undo/redo pour le texte ont été disponibles. Il est dommage que je ne puisse pas choisir le nom du undo de cette façon là. Du coup le nom est un peu général mais au moins de nombreux undo/redo sont disponibles. Je regarderai peut-être par la suite si on peut changer le nom mais ça reste un détail à mon avis. Finalement là ou je pensais passer au moins deux semaines, je devrais pouvoir avancer suffisamment déjà d’ici la fin de la semaine. On verra donc par la suite ce que le code me réserve ...

  • Le travail d’aujourd’hui s’est séparé en deux phases. Ce matin, j’ai essayé tant bien que mal de maitriser git. J’ai donc voulu « rebase » mes différentes branches. Ça à déjà demandé un peu de temps puis j’ai voulu « pusher » ces branches mais là, git n’a rien voulu savoir. Impossible de le faire. Je suis donc passé à la suite et malex m’a débloqué ce soir (dans la journée pour lui) en me permettant de pusher quand même mes branches. J’ai l’impression que c’est un peu le bazar dans le repo git mais ça devrai allé par la suite...
    Le deuxième travail que j’ai fais aujourd’hui a été de commencer le undo pour le texte. Je pense avoir bien commencé puisque la suppression et l’ajout de texte sont maintenant pris en compte. Le plus dur est bien sur la premiére fonctionnalité puisque je ne savais pas exactement de ou partir ni comment partir.
    Pour la suppression, j’ai commencé avec la suppression du texte séléctionné. Naïvement, je sauvegarde le texte et la position ainsi je sais quoi ajouter et quoi enlevé ainsi que ou se trouve cette information. Jusque là tout semblait bien. Cependant, la suppression en appuyant sur delete par exemple est prise en compte comme la selection de la lettre suivante puis sa suppression. Donc en faisant comme cela, si on laisse appuyé sur del, on ajoute une action par lettre. Ça remplie vite la pile de undo et ça ralentie beaucoup la suppression.
    J’ai donc suivie les conseils de cezariece qui sont de traité cela en gardant en mémoire l’action précédente, si c’est la même, on se contente d’éditer cette action, sinon on en crée une nouvelle. Pour cela, j’ai donc commencé par créer une fonction qui me permet de récupérer l’action précédente. Pour savoir si cette action est exactement la même que celle que je vais faire, j’ai ajouter un couple (ETEA, val) avec la méthode set qui sert à ajouter des information au undo que l’on enregistre. J’ai fais cela plutot que d’ajouter une variable à undomanager car cela évite d’ajouter de partout des initialisations ou remises à zero de cette variables. Une autre chose qu’il m’a fallut prendre en compte, pour l’ajout comme pour la suppression : Si on supprime une lettre, puis qu’on de déplace d’une case avant et qu’on en supprime une autre. On a bien deux fois une suppression de caractére. Cependant, on ne peut pas avoir qu’une seul action car on ne peut pas définir cette état avec une seul position. Il faut donc dans ce cas remettre ETEA à zero pour qu’une nouvelle action soit créée. Ça fait toujours moins de remise à zero qu’avec une variable ou il aurait fallut remettre a zéro dans chaque undo existant. Maintenant la suite. Ce n’est pas les actions sur le text qui manquent, je ne risque pas de m’ennuyer.

  • Cette fois, je vais faire un résumé de mes deux jours de travail ( oui c’est le week-end mais quand on a du retard, il faut savoir le rattrapper). Ce travail a principalement consisté à finir de mettre en place le undo pour la création de gabarit.
    Vendredi soir, j’avais de disponible une version que je pensais correcte dans la théorie mais en pratique ça ne fonctionnait pas correctement. J’ai donc passé mon samedi matin a torturé dans tous les sens le code que j’avais fait, à regarder l’id de tous mes éléments pour voir si tout correspondait mais tout semblait correct. En désespoir, j’ai donc demandé sur IRC si quelqu’un avait une idée du problème. MrB et vox_ m’ont donc donné des pistes pour ma recherche.
    Tout d’abord, en ouvrant le panneau « plan du document », j’ai remarqué que le polygone que je testais existait bien. Donc le undo fonctionne mais l’affichage se fait mal. Ainsi, contrairement au problème que j’avais eu pour la création d’une page, si je n’avais rien cela ne venait vraiment pas des ID. De plus, quand je ferme le fichier puis l’ouvre de nouveau, le polygone apparaît correctement.
    Je me suis donc lancé dans la recherche d’un problème d’affichage. C’est donc dans une fonction que je n’ai pas encore touché qu’il y a un problème. En regardant dans la fonction de restauration d’un item, je finis par faire apparaître correctement le polygone en utilisant : adjustItemSize().
    Cette fois que tout fonctionne, j’explique ma solution à MrB et _vox qui me disent que cette fonction n’est déjà pas super propre. Il vaut mieux éviter de l’utiliser. (Comme dit _vox, c’est un peu un sortilège voodoo, on le lance sans trop savoir mais ça fonctionne). En creusant un peu, j’ai fini par trouver que c’est un problème de OwnPage. C’était là la première idée de MrB mais je ne savais pas du tout quelle valeur mettre ou quelle fonction appeler et les tests que j’ai fait était resté infructueux. Mais cette fois, j’ai exactement la valeur qu’il faut et tout fonctionne correctement. Voilà donc la fin de l’épisode : undo/redo pour la création de gabarit. Il ne me reste plus qu’à pusher tout cela dans mon repo et c’est partit comme prévu pour le text undo.

  • Hier, j’ai passé la journée à travailler sur la #création_de_page. En réalité, j’ai voulu commencer avec la création de gabarit. Il est assez perturbant de remarquer que la suppression est très bien prise en compte par le #undo/redo mais pas la création. En cherchant un peu, j’ai compris que la suppression est prise en compte car elle peut être traitée comme la suppression d’une simple page (ou le undo/redo existe déjà) alors que la création est un peu différente et rien n’existe à ce niveau là. J’ai d’abord cherché pendant une bonne partie de la matinée s’il n’était pas possible de changer la façon dont est créée une page pour l’adapter au gabarit. Finalement, ça m’avait l’air plus compliqué que de repartir de zéro. Cependant, je me retrouve une fois de plus confronté au problème de page que j’ai expliqué hier. C’est à dire, si on crée une page/gabarit, qu’on ajoute quelque chose puis que l’on défait les deux actions et les refait, la deuxième n’est plus pris en compte. Voyant à quel point ceci est important, je suis donc revenu sur le problème d’hier pour ensuite l’appliquer au cas des gabarits.
    Pour les simples pages, il m’a donc fallut revenir dans les fonctions gérant le undo/redo pour réparer ce problème.
    En gros, lorsque l’on crée le polygone, puis le défait, on enregistre que celui ci était sur telle page donc on enregistre aussi la page dans les actions. Ensuite, on supprime cette page. Pour que cela fonctionne encore, on crée un faux objet pour remplacer la page et on enregistre un id de cet objet pour pouvoir le retrouver. Ensuite, on remplace dans la liste des undo, la page par le nouvel objet à chaque fois qu’elle apparaît et lors du redo, on remplace de nouveau le faux objet par la nouvelle page créée. Plutôt astucieux mais apparemment, tous les objets n’étaient pas pris en compte. La liste des redo par exemple n’était pas affectée. Maintenant, le undo/redo pour la création d’une page est totalement opérationnel et donc l’import de page également. Je voulais attendre d’avoir fait de même avec la #création_de_gabarit, malheureusement, j’ai pour l’instant des erreurs inexpliquées. Je vais donc travailler dessus aujourd’hui en espérant que tout soit résolu très bientôt. Bonne journée :-)

  • Depuis ma reprise, j’ai refait une partie du travail perdu ce week-end. j’ai donc ajouté les trois #undo/redo sur les options. C’est assez surprenant de remarquer que ça avance très vite lorsque tout se passe tel qu’on le veut. Il m’a ici suffit de localiser où se trouvait la fonction gérant ces fonctionnalités, d’ajouter un groupement de l’action dans le cas d’une sélection multiple puis d’ajouter la valeur de l’option à une nouvelle tache undo/redo. Pour les trois options tout s’est donc bien déroulé. Pour la 4ème action, il semblerait que le bug n’existe plus puisque nous n’arrivons pas à reproduire le problème. Il a donc été mis de côté.
    Une fois ces taches faites, je me suis remis sur le undo que j’avais commencé avant la panne de mon ordinateur. L’#import de page. Il apparaît que le undo était en fait terminé. Ce qui n’est pas plus mal. Je suis en revanche tombé sur un problème de undo pour la création d’une page. Ce n’est donc pas directement lié à la liste de délivrables qui me sont attribués mais vu que je travaille sur le undo, ça serait vraiment super si on pouvait avoir un undo 100% fonctionnel à la fin de l’été. Sinon, j’aurais encore mes week-ends pour travailler dessus ^^.
    Le problème est lorsque l’on crée une page, puis un polygone, que l’on revient sur ces deux actions puis que l’on fait un redo sur ces deux actions, la deuxième action n’est pas prise en compte pour le redo.
    J’ai d’abord supposé que le problème venait de la création de la page. En effet, un polygone est lié à la page à laquelle il appartient. Ainsi lorsqu’elle est supprimée, c’est une autre qui est créée à la place lors du redo. Mais après quelques recherches, il se trouve que ce problème est pourtant traité. J’ai donc finis par remarquer que la fonction restore() qui est normalement appelée lors d’un undo ne l’est pas dans ce cas là. Je n’ai absolument aucune idée du pourquoi et il faudra donc regarder de plus près l’intérieur du fonctionnement du undo pour comprendre le problème. Puisque je ne suis pas en avance dans ma réalisation, je vais pour l’instant le noter de côté, réaliser les autres taches qui me sont directement associé et j’espère pouvoir corriger cela sur le temps qu’il pourrait me rester à la fin des GSoC. C’est partit maintenant pour la création de master page puis ce sera le tour du texte.

  • Pendant l’indisponibilité de mon pc, je n’ai bien sur pas avancé autant que je l’aurais voulu. Cependant, j’en ai profité pour faire une liste des #undo/redo inexistant ou fonctionnant mal. J’ai également réalisé un petit tutorial pour expliquer comment réaliser un undo/redo pour Scribus ci dessous. N’hésitez donc pas à aider à son développement :-)

    Qu’est ce qu’un undo/redo ?

    Comme leurs noms l’indiquent, un undo permet de revenir en arrière sur une action et le redo permet de refaire une action annulée précédement.

    Comment fonctionne un undo/redo ?

    Lorsque l’on effectue une action, notre programme mémorise les informations nécessaires pour défaire et refaire une telle action. Ces informations sont mises dans une pile ainsi, lorsque l’on appuie sur CTRL + Z, la dernière action est dépilée, les informations enregistrées permettent de supprimer la dernière action et à la place cette action est ajoutée à la pile des redo. Le fonctionnement du redo est identique à celui du undo.

    Comment est-ce mis en place à travers Scribus ?

    Bien sur, tout le système de gestion des undo/redo existe déjà. Pour mettre en place une telle action, la seule chose à faire est de dire quelles sont les informations dont on a besoin dans notre pile pour pouvoir revenir en arrière et effectuer de nouveau cette action. Puis il faut écrire la fonction appellée pour effectuer ces changements.

    Concrètement prenons l’exemple simple du verrouillage de guide :

    « void ScribusDoc::lockGuides(bool isLocked)
    {
    if (GuideLock == isLocked)
    return ;
    GuideLock = isLocked ;
    if (UndoManager::undoEnabled())
    {
    QString name ;
    if (isLocked)
    name = Um::LockGuides ;
    else
    name = Um::UnlockGuides ;
    SimpleState (star)ss = new SimpleState(name, »", Um::ILockGuides) ;
    ss->set("GUIDE_LOCK", isLocked) ;
    undoManager->action(this, ss) ;
    }
    }"

    Toute la partie relative au undo se trouve dans la condition : undoEnabled(). En effet, on ne veut pas prendre en compte ces informations si le undo est désactivé. Il faut savoir que le undo désactivé peut l’être par le programme et non par l’utilisateur. Lorsqu’on presse CTRL + Z, le undo est désactivé par scribus tant que l’action de retour n’est pas effectuée. Sinon, en faisant appelle à une fonction déjà existante pour revenir en arrière, on enregistrerait une nouvelle action de undo alors que ce n’est pas le but ici. Bref, il faut toujours encadrer ces informations dans une condition UndoManager::undoEnabled().

    Ensuite, on est ici dans un cas simple, c’est à dire un cas où les seules variables qu’on a besoin de stocker sont des int, float, boolean, ... des variables standards. Je vous parlerai des autres cas plus tard. Dans ces cas là, on peut utiliser un objet SimpleState pour stocker les informations. Ses trois parametres sont le nom (celui qui apparait à côté de undo lorsque l’on clic sur édition), sa description et une image correspondant à ce undo.
    Pour connaitre la liste des noms et des images déjà existants, il faut aller voir dans undomanager.cpp. On utilise ici Um: : au lieu de UndoManager: : mais les deux sont équivalents. Si vous souhaitez ajouter un nom ou une image à ceux disponibles, c’est donc dans undomanager.cpp et undomanager.h qu’il faut aller l’ajouter.
    Ensuite, pour ajouter une valeur à retenir, il suffit d’utiliser set() comme dans l’exemple précédent. Les arguments sont le nom que l’on donne à la variable et la valeur associée. Il faut avoir au moins une variable parmi celles entrées, qui soit unique pour savoir quelle est l’action qui est ciblée lors du undo. On trouve souvent dans le code :

    "ss->set("ACTION_NAME","action_name") ;"

    Simplement pour savoir le nom de l’action même si la valeur de la variable n’a aucune importance.

    Enfin, pour que l’action soit enregistrée :

    « undoManager->action(this, ss) ; »

    la première variable doit être l’objet ciblé par le undo (pas forcément this) et le deuxième argument est l’objet contenant toutes les autres informations.

    Cette fois, l’action est donc ajoutée à la pile de undo. Il faut ensuite la prendre en considération.
    Lorsqu’on demande un undo, la fonction appellée est la fonction restore se trouvant dans l’objet qu’on a passé en premier argument de undoManager->action(). Bien souvent la fonction restore() est déjà écrite (je n’ai pas encore eu l’occasion de voir un autre cas), en s’aidant des exemples au dessus, vous devriez avoir quelque chose du genre :

    " else if (ss->contains("UNGROUP"))
    restoreUngrouping(ss, isUndo) ;
    "
    Comme je vous l’ai dit, il faut avoir une variable unique dans notre simpleState pour pouvoir detecter quelle est l’action qu’on veut traiter. Cette variable est ici « UNGROUP ». Bien souvent, l’action à effectuer fait plus de deux lignes donc, pour ne pas surcharger la fonction restore(), on crée une fonction qui se charge du restore spécifique, ici restoreUngrouping().

    Voici un cas simple du restore spécifique :
    " if (isUndo)
    GuideLock = !ss->getBool("GUIDE_LOCK") ;
    else
    GuideLock = ss->getBool("GUIDE_LOCK") ;
    "
    Pour récupérer la variable, on utilise donc get() avec comme paramètre le nom de la variable. On peut utiliser également getInt, getBool, getFloat, ... puis on effectue les actions qu’on souhaite.
    On peut aussi voir qu’il y a deux types d’action. Celles dans le cas où isUndo est vrai et le cas où c’est faux. Cela permet juste de différencier le comportement de undo (isUndo = true) et de redo (isUndo = false)

    Vous savez maintenant faire un undo.

    Comment faire lorsque l’on doit se souvenir d’un objet et pas seulement d’un int/bool/float...?

    Un autre objet que simpleState existe dans un cas comme ça : ScItemState<Class>

    Exemple :
    « ScItemState<PageItem(star)> (star)is = new ScItemState<PageItem(star)>(Um::ChangeShapeType, »", Um::IBorder) ;"

    Il prend les mêmes arguments qu’un SimpleState mais on peut, en plus, lui donner le type d’un objet qu’on veut qu’il stocke. On ne peut donc stocker qu’un seul objet mais c’est mieux que pas du tout.
    Cet objet a une methode : setItem() qui permet de lui passer cet objet. On peut toujours utiliser la methode set() pour lui passer autant de int/float/string ... que l’on veut tant qu’il ne reçois qu’un objet. Pour passer cette restriction, il faudra donc utiliser des list ou des pair.

    De cette façon, on peut traiter une grande partie des undo/redo.

    Lorsque je fais mon action, j’ai plusieurs actions ajoutées à ma pile de undo.

    En effet, si on avait une action de déplacement décomposée en un déplacement vertical et un déplacement horizontal, lorsqu’on bougerait une forme, on aurait deux actions ajoutées à notre pile de undo. Et il faut donc enlever ces actions intermédiaires une par une pour avoir un undo complet (si la liste des actions intermédiaires n’a pas dépassé la taille maximum de la pile. Dans ce cas, on ne pourra pas revenir entièrement en arrière).
    Deux solutions s’offrent à nous dans un cas comme celui ci :
    Si en effectuant tous les undo intermédiaires, on atteint bien la position de départ, on peut regrouper toutes les actions en une seule de la façon suivante :
    « //démarrer le regroupement
    UndoTransaction(star) activeTransaction = new UndoTransaction(undoManager->beginTransaction(Um::Group + »/" + Um::Selection, Um::IGroup, Um::Delete, tooltip, Um::IDelete)) ;

    //finir le regroupement
    if (activeTransaction)
    {
    activeTransaction->commit() ;
    delete activeTransaction ;
    activeTransaction = NULL ;
    }
    "
    Tout ce qui est au milieu est regroupé en une seule action. Les arguments à entrer lors de la création d’une transaction sont : la cible de l’action (selection/page/...), l’image correspondante, le nom de l’action(celui qui apparait dans le programme), une description et l’image correspondante.
    L’autre possibilité, plutôt utilisé lorsque toutes les actions intermédiaires n’ont pas une action undo dédiée, c’est de supprimer de la liste toutes les actions intermédiaires en encadrant le code de :

    « undoManager->setUndoEnabled(false) ;
    //mon code
    undoManager->setUndoEnabled(true) ; »

    puis de créer une action à ajouter à la pile de undo qui permet de prendre en compte tous les changements liés à cette action.
    Il n’y a pas à se poser la question, « est ce que lors de l’appel de setUndoEnabled(false), le undo était déjà indisponible ? Parce que dans ce cas, setUndoEnabled(true) le rendrait disponible alors qu’il ne l’était pas normalement... ». Ceci est gérer tout seul par la fonction, il suffit de bien penser. Dés que j’utilise un setUndoEnabled(false), il faut bien utiliser setUndoEnabled(true) à la fin pour que tout soit remis dans l’ordre.
    En pratique, on peut utiliser les deux techniques citées précédemment de façon combinée. C’est-à-dire, si un undo est bien géré, on garde ce undo dans la liste et on ajoute seulement ceux qui sont mal gérés puis on regroupe toutes ces actions en une seule. C’est souvent le moyen que je trouve le plus efficace mais libre à vous de faire ce qui vous parrait le mieux.

    Je crois avoir fait un petit tour des différents fonctionnements du undo. Le plus dur maintenant est de trouver et comprendre les fonctions dans lesquelles il faut ajouter le undo et de corriger les bugs que l’ont peut découvrir en faisant des testes tordus.

  • Voila un moment que je n’ai pas donné état de mon avancement. Plusieurs contretemps m’ont empêché d’avancer comme je l’aurais voulu. Tout d’abord, j’étais en partiel pendant deux semaines (même si ce n’est pas le nombre d’heure de révision ou de partiels qui m’ont pris beaucoup de temps), mais surtout, le ventilateur de mon ordinateur a rendu l’âme. Ubuntu est plutôt gourmand en utilisation du processeur donc mon ordinateur surchauffait très très vite. A peine 15 minutes après son démarrage, j’étais dans l’obligation de l’éteindre sinon il s’éteignait tout seul. Ensuite, je me suis fait volé un ordinateur. Dans ces conditions, il est donc difficile d’avancer correctement. J’ai donc attendu patiemment mon retour en France pour faire une réparation. J’espère donc ne plus avoir de problème de ce genre par la suite.
    Au niveau de l’avancement , j’avais fait il y a un moment une toute petite modification pour que lors de la suppression d’un élément , si on effectue un undo, l’élément (ou le groupe d’élément) soit sélectionné par défaut. Cela permet d’avoir un meilleur workflow. Si on supprime sans faire exprès un élément puis qu’on le fait revenir, on peut continuer de travailler directement sur cet élément sans avoir à faire une resélection. Vu que c’est un changement mineur, je n’avais donc pas pris la peine de faire un article complet sur ce changement. Deuxième changement que j’aurais aimé finir mais j’ai malheureusement été interrompu par ce problème de ventilateur, l’ #importation de page.
    Lors de l’importation d’une page (sans insertion), les propriétés de la page sont chargées et appliquées mais ne sont pas remises correctement lors d’un undo. J’ai donc ajouté cette propriété. Malheureusement, cette partie de #undo/redo prend place dans les plugins de chargement de fichier. Il existe en réalité un plugin par version puisque le format des fichiers a évolué. Je n’ai implémenté ce changement que pour le chargement de la version 1.5 . Peut être que je regarderai pour les autres type de fichiers si on me fait remarquer que c’est important et qu’il y a des bugs à ce niveau là ou si j’ai suffisamment de temps pour faire ça par la suite. Malheureusement, l’indisponibilité de mon pc ne m’a pas encore permis de tester si cela crée des bugs lors de l’importation d’une page d’un fichier d’une version antérieur. Même si ceci ne devrait pas avoir lieu.
    Lors de l’implémentation de cette fonctionnalité, j’ai donc travaillé avec un fichier test que j’avais utilisé par le passé et, surprise, je pouvais observer un autre comportement étrange : une zone de texte qui apparaît dans la liste des undo mais qui ne peut être supprimé par celui ci. Après de multiples tests, j’ai donc compris que cet élément est verrouillé. Ainsi, il ne peut être supprimé même pas par un undo.
    Ce genre de bug ne se voit presque pas puisque normalement le verrouillage est appliqué, alors qu’ici, le verrouillage est créé en même temps que l’élément. En gros, dans le premier cas, si on crée un élément et qu’on applique un verrouillage, lors du undo, on enlève le verrouillage puis on enlève l’élément, ainsi tout se passe bien. Alors qu’ici, l’élément est créé avec le verrouillage, cette action n’apparaît donc pas dans la liste des actions undo et n’est donc pas enlevé avant de vouloir enlevé l’élément. Vous me suivez ? J’ai donc utilisé la fonction ayant déjà un undo pour appliquer le verrouillage et regrouper toutes les étapes d’import d’une page dans une seule action undo. Cela parait plus logique puisque cela ne correspond qu’à une seule action de l’utilisateur.
    Lors de l’arrêt de mon travail, je regardais l’importation de page avec insertion. Ce cas pose encore problème mais je n’ai donc pas encore pu le traiter. J’espère pouvoir me remettre au boulot le plus rapidement possible...

    • parfait !
      juste uner remarque : pourrais-tu compiler une liste de fonctionnalités que tu sais que tu n’as pas programmé ? à la fin du gsoc nous devrons décider quoi faire de cette liste...

  • Un petit peu d’avancement. Corriger et améliorer les actions #undo/redo, c’est aussi prendre en compte les bug reportés à ce sujet. Ici, j’ai donc traité un bug sur des modifications d’une figure importée depuis un fichier #EPS.
    C’est pour le moment la correction qui m’a demandé le plus de temps pour trouver la source du problème. En effet, même après avoir localisé la fonction où avait lieu ce problème, il m’a fallu descendre dans les fonctions pour localiser précisément le bug et apporter une correction.
    Je n’aime pas trop toucher aux fonctions de base de Scribus. Parce qu’elles sont de base justement, elles sont utilisées un peu partout et il m’est difficile de mesurer toutes les conséquences d’un tel changement. Mais bon, il arrive comme dans ce cas que l’on ait pas le choix.
    Pour être plus précis sur ce bug, il est ici question d’un plateau de Go que l’on veut redimensionner. Lorsqu’on le redimensionne puis qu’on annule le #redimensionnement, seul le quadrillage n’est pas redimensionné. J’ai donc fait des tests en dessinant des « lines » et il n’y a pourtant aucun problème de ce côté là. Ce n’est que par la suite que j’ai compris que les lignes utilisées pour les cases ne sont pas des « lines » mais des "polyline". Les polylines sont les objets utilisés pour tracer quelque chose à main levée par exemple. Pourtant, en traçant quelque chose à main levée, il n’y a pas de problème non plus à moins que tous mes points soient vraiment alignés. Finalement, je trouve que le problème viens du fait que j’ai un objet de largeur nul !!! En allant plus loin, vous pouvez voir que si vous tracez un polygone et que vous alignez tous les points, vous ne pourrez pas changer la dimension de la « ligne » ainsi créée. Le problème de fond est donc d’avoir des objets dont une des dimensions est nulle.
    Vous remarquerez qu’en partant d’un problème de undo/redo avec un fichier EPS, on se retrouve en réalité avec un problème dans le redimensionnement de n’importe quelle figure de taille nulle. Normalement, il est impossible d’avoir un objet de taille nulle. Si vous sélectionnez un objet et que vous mettez sa taille à 0 dans le panneau de propriété, celui ci reviendra directement à 1. Donc pour avoir une figure de taille nulle, il faut aligner manuellement tous les points de la figure.
    Il m’a donc fallu faire un choix. Soit je corrige le bug en traitant les cas de taille nulle dans le redimensionnement, soit je remonte à la source et je fais en sorte que la taille d’une figure ne puisse pas être nulle. Malheureusement, la taille est changée manuellement (et pas seulement à partir d’un setWidth) un peu partout dans le code. Changer cela obligerait à faire d’importante modification dans tout le code sans pouvoir en mesurer toutes les conséquences. C’est pour cela que j’ai opté pour un changement seulement dans le redimensionnement. Finalement, ces quelques lignes me permettent de finir la correction des problèmes de undo/redo liés aux figures qui étaient connus. Un nouveau sujet va pouvoir être commencé !!

  • 5 jours sans nouvelles, mais je suis encore là. Bien sur, je n’ai pas que Scribus à faire ce qui explique en partie ma pause mais aussi, je me suis confronté au #text_undo fait pas cezaryece que je dois exporter entre la version 1.4 et la version 1.5. Maintenant que j’ai vu ça de plus près, ça me parait beaucoup plus dur. Je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de différences entre les deux versions. Heureusement, JGhali m’a donné une piste pour commencer, ce que je ne tarderai pas à exploiter.
    Pour faire une petite pause dans ce travail, je me suis donc lancé dans l’opposé du patch précédent : le undo/redo pour la dissociation de polygone.
    Cette fois ci, l’approche est beaucoup plus simple puisqu’il suffit de d’appliquer les méthodes déjà existantes de combinaison pour le undo et de dissociation pour le redo. En effet, il n’y a pas de problème de perte d’information.
    En faisant différents tests, je me suis rendu compte qu’un mauvais #undo/redo pouvait causer assez rapidement des problèmes de segfault dans scribus. Ce qui ne fait pas souvent plaisir à l’utilisateur. En effet, le undo précédent est basé sur ce qu’il doit y avoir à la fin d’une action. Or si le undo suivant ne remet pas exactement comme c’était précédemment, certaines actions réalisées dans le undo ne sont plus possible. J’espère que je ne vous ai pas perdu avec ça ^^.
    Revenons au undo/redo sur lequel je travaille. Seul point restant à regarder : les données nécessaires pour effectuer les actions. La première idée à été de faire comme dans le patch précédent : sauvegarder les items utilisés. En faisant de cette façon, du premier coup d’œil tout se passe plutôt bien. Je joue un peu avec pour montrer comme ça marche bien à ma copine et bam... bug. J’ai d’autres polygones qui apparaissent si je fais undo/redo/undo/redo.
    Après réflexion, c’est logique puisque je sauvegarde un item mais que ceux ci sont recréés à chaque fois que je fais une dissociation de polygones. Donc la référence vers l’ancien item n’est plus bonne. Finalement, j’ai pu faire fonctionner ce undo/redo en utilisant la position des polygones dans la liste d’item puisque les objets créés ou supprimés le sont toujours au même endroit de la liste.
    Maintenant, il va falloir se remettre au texte undo... Plus de nouvelles bientôt...

  • Et voila un nouveau patch de fini.
    Il m’aura donc fallut toute l’après-midi pour en venir à bout. Finalement, j’ai opté pour deux actions dans le undo. La suppression des polygones (cette action est déjà gérée, autant en profiter) et différentes manipulations sur les différents #polygones. Vu que j’avais bien compris le fonctionnement pour le undo, il a été assez facile de le refaire dans cette nouvelle condition. Seul problème, lorsque je fais plusieurs #undo/redo à la suite, ça plante ... Vraiment pas très sympa comme comportement.
    Je regarde donc où est ce que ça plante (merci gdb) et je me rends compte que je n’ai pas le bon nombre de points dans mes polygones. En remontant petit à petit, je comprends qu’il y a des points ajoutés lors de la fusion et qu’il faut que je les supprime. Cette fois, le nombre de points est bon mais .. ça plante toujours.
    Il m’a malheureusement fallut un peu de temps pour me rendre compte que lors de la sélection des polygones à fusionner, je ne les sélectionnais pas dans le bon ordre, ça finissait par mélanger les points donc c’était pas génial.
    Cette fois, tout à l’air de fonctionner à merveille pour ce qui est de mon undo/redo en tout cas. Par contre, il reste un truc qui me dérange (et que j’ai repéré avant même de changer le code), si je combine au moins 3 polygones, que je fait un undo puis que je ferme le fichier, j’ai une erreur de segmentation à la fermeture. Ok, c’est juste à la fermeture mais n’empêche que c’est pas génial.
    Je vais donc voir où est l’erreur et apparemment, on fait des deletes sur chaque élément d’une liste mais plusieurs éléments sont identiques. Je commence donc par faire un petit hack pour ne pas faire de delete si l’élément est identique mais, une fois fini, je ne suis toujours pas satisfait. C’est bien, ça fonctionne mais il doit bien y avoir un souci derrière pour qu’il y ait plusieurs fois le même élément.
    Je retourne donc dans mon code et je me rends compte que c’est lors du undo de la suppression qu’il y a un problème. En effet, si je crée 5 polygones, que je les combine et que je fais un undo, je me retrouve avec 5 fois chacun des polygones dans la liste des items. Plutôt étrange comme comportement mais du coup, ça se rattache un peu à mon projet puisque c’est un bug de undo. C’est reparti pour corriger cette erreur.
    En lisant un peu le code, je trouve à un endroit : pour chaque élément à supprimer, mettre cette liste ainsi que l’id de l’élément sur la page. Pourquoi pas, mais on n’a pas l’id de l’élément dans la liste des éléments à supprimer (que j’ai donc ajouté par la suite). Ensuite, lors du redo, on recrée chaque élément de la liste et on les met à la position « id » sur la page. Oula, on recrée tous les éléments pour chaque élément. Il semble donc y avoir un problème. Bien sur, c’est pas souvent qu’on supprime plein d’éléments et qu’on joue avec le undo donc c’est possible que ça passe inaperçu mais il faut bien réparer ça quand même. Je supprime donc cette boucle pour recréer seulement l’élément défini par l’id. J’aurais bien aimé discuter de ça avec quelqu’un qui connaît mieux le code mais il est un peu tard donc personne n’est vraiment dispo. Peut-être plus tard. Quoi qu’il en soit, il y a maintenant un Undo/Redo opérationnel et amélioré pour la #combinaison_de_polygones.

    On m’annonce maintenant que mon dépôt git est disponible, je vais donc pouvoir commencer à uploader ces différents patchs pour ma version, youpiiiiiii :-)

  • Nouvelle étape, mise en place du #undo/redo pour l’#association_de_polygones. Je dis bien mise en place puisqu’il n’y a aucune trace de undo dans la fonction qui gère l’association.
    Comme toujours, je commence par quelques tests pour voir ce qui fonctionne ou ne fonctionne pas. Je remarque donc que les actions effectuées dans ce cas et qui n’ont aucun undo sont les « map » sur les « poline » et l’ajout de points pour le premier polygone ( qui représente le polygone fusionnés).
    À ce niveau là, deux choix s’offrent à moi. Soit j’ajoute un undo pour chacune de ces actions, soit j’applique « dissocier les polygones » au polygone résultant. Avec la deuxième solution, seuls les points ont été fusionnés dans le nouveau polygone. Si on attribue, par exemple, une couleur différente à chaque polygone, celles ci disparaissent en fusionnant mais ne reviennent pas en les dissociant. Le undo ne serait donc que partiel.
    Je commence donc avec l’autre solution. J’ajoute un undo pour les « poline.map » et un undo pour l’ajout de points à la forme finale. Je combine ça dans une seule action pour avoir en appuyant sur ctrl-z : recréer tous les polygones supprimés, supprimer tous les points ajoutés dans ma forme finale et restaurer les paramètres de départ, appliquer la transformation inverse à tous les polygones recréés.
    Jusque là, c’est parfait, j’ai un undo fonctionnel.
    Un autre problème se pause, je ne fait pas que un undo mais un undo/redo. Or le redo ne fonctionne pas.
    En effet, j’applique de nouveau mes « poline.map » mais je n’ajoute plus mes points pour les regrouper dans un seul polygone... Je pourrais simplement ré-appliquer « associer les polygones » mais je n’ai nul part dans mes undo enregistrés tous les polygones au même endroit et en ajoutant cette action, certaines autres actions enregistrées comme la suppression des polygones en trop ou l’application du poline.map se ferait deux fois. Décidément ce n’est pas la bonne solution.
    Je suis donc reparti pour créer plutôt une action spécifique pour l’association de polygones en utilisant autre chose qu’un simpleState pour enregistrer l’action.

    Plus de nouvelles bientôt

  • Ceux qui ne sont pas allés voir de plus près la candidature peuvent se demander ce qui va être fait durant ce projet. En réalité, il y a beaucoup de petites améliorations possibles qui, regroupées, amélioreraient grandement l’ergonomie de Scribus. Pendant tout cet été, je vais me concentrer sur ce qui est #Undo/redo (ctrl-z si ça vous parle plus).
    Bien sur, je pourrais me contenter de mettre sur ce blog ce qui est fait et comment c’est réalisé mais je pense que toute la démarche pour arriver à la mise en place du Undo/Redo correspondant est intéressant et je vous passe le temps de recherche dans le code.

    Je vais prendre ici l’exemple du premier Undo/redo sur lequel j’ai travaillé. En réalité, j’ai fait ça la semaine dernière, avant l’annonce officielle de Google.

    Lorsque l’on #crée_une_forme, on peut ensuite double cliquer dessus pour voir apparaître une fenêtre « Points ». Dans cette fenêtre, il y a ,entre autres, des boutons pour faire tourner ou redimensionner la forme. Malheureusement, le Undo ne marche pas très bien (Heureusement pour moi, ça me fait du boulot :-)).
    Pour faire le undo, il faut 4 étapes ce qui remplit la file de undo qui est limitée plutôt rapidement. Donc c’est pas bon.
    La première idée a donc été de regrouper toutes ces actions en une seule. Mais en faisant des tests, je me suis rendu compte que certaines actions enregistrées en undo étaient en trop puisque la forme n’était pas à la même place à la fin du undo. Retour à la case départ ...
    Pour comprendre un peu mieux, j’ai cherché qu’est ce qui créait les undo. Finalement, j’ai répertorié deux actions sur les « PoLine » et un « moveItem ». Ces actions étaient donc en trop.
    Pour corriger ça, j’ai encapsulé toute la fonction (jusqu’au undo créé spécialement pour cette action) en désactivant le undo et en l’activant à la fin. Cette fois, tout fonctionne. Mais je me dit : « le undo doit être activé pour que la suite fonctionne or, je l’active à tous les coups juste avant en mettant la valeur de undoEnable sur true ». J’essaie donc de sauvegarder la valeur de undo au début de la fonction puis de mettre la valeur du « undoEnable » sur cette valeur à la fin de la fonction. Cette fois, ça ne marche plus ...
    En cherchant un peu, je comprends que si on met la valeur de « undoEnable » deux fois sur false, il faut le mettre deux fois sur true pour qu’il soit de nouveau activé. Je peux donc revenir à ma solution précédente.
    Au final, ce changement m’aura pris quelques heures pour trois pauvres petites lignes. Ça m’a au moins permis de comprendre certains principes utilisés dans le undo pour la suite. Il fallait bien commencer quelque part et heureusement que celui ci était plutôt facile.
    Merci d’avoir lu et n’hésitez pas à me dire si certains passages vous parraissent un peu flou.

  • Avec l’été arrivent les Google Summer of Code (#GSoC). Pour ceux qui ne connaissent pas, c’est un été à s’amuser en codant pour un projet libre et en étant payé par Google. C’est pas génial ? Je vous conseille de regarder http://www.google-melange.com si vous êtes intéressés.

    Ce blog permettra donc de suivre tout au long de l’été mon évolution dans le projet. Disons que c’est à la fois une façon de partager ce que je fais et un outil pour enregistrer mes actions. Il est bien plus facile de faire un rapport sur tout ce qui a été fait depuis le début quand tout est déjà enregistré quelque part.

    En réalité, la décision de participer à ce programme a été prise il y a 1 mois déjà...
    Petit récapitulatif de ce qu’il s’est passé depuis le début :
    – le 16 Mars, Google publie la liste des projets libres candidats pour les GSoC. En gros, près de 180 projets libres demandent à avoir des étudiants pour offrir de nouvelles fonctionnalités ou être perfectionnés. On a donc une vingtaine de jours pour préparer une candidature. Après deux jours à regarder tous les projets proposés plus ou moins en détail, je choisis de m’orienter vers #Scribus. C’est un #DTP (logiciel pour la publication assistée par ordinateur). C’est ce logiciel que j’ai utilisé toute l’année pour réaliser le CdV (hebdomadaire de Télécom Bretagne), il permet donc de faire tout ce qui est mise en page et réalisation de pdf prêt à être imprimé. Certains connaîtront peut être mieux InDesign de Adobe mais Scribus a l’avantage d’être libre, de fonctionner sur beaucoup d’OS et personnellement, je préfère son utilisation à celle d’InDesign mais c’est une question de goût.
    Enfin bref ... Je me perds un petit peu.
    Pour en revenir aux GSoC, pendant ces dernières semaines, j’ai donc discuté régulièrement avec l’équipe de Scribus sur IRC pour préparer une candidature sur le sujet : Usability improvements .
    Vous pouvez retrouver ma candidature ici : http://wiki.scribus.net/canvas/GSoC_2012_Improve_Usability_Chelen
    6 Avril : Il faut avoir envoyé une candidature sur le site « melange » de Google. Comme tout était déjà rédigé sur le wiki de Scribus, je me suis contenté de mettre un lien vers la vraie candidature.
    Après cette date, il est toujours possible de modifier la candidature mais il est bien d’être déjà un peu fixé sur ce qu’on va/veut faire. Pendant ces semaines, j’ai donc travaillé un peu sur le code de Scribus pour fournir des petits patchs. Bien sûr, c’est un pré-requis pour que la candidature soit prise en compte vu que c’est le meilleur moyen de savoir si le candidat sera capable de trouver ce qu’il veut dans le code dès qu’il aura besoin d’y toucher. C’est aussi le meilleur moyen pour le candidat d’être un peu plus familier avec le code de Scribus et de voir comment ça fonctionne.
    20 Avril : Les décisions sont prises, les annonces officielles devraient se faire sous peu. Bien sûr, il n’était pas facile de fixer le projet. Tout d’abord, parce que ce n’est pas forcément un travail auquel nous sommes habitués. Aussi, parce que ce projet est déjà bien avancé et que l’on a toujours un peu peur de raconter n’importe quoi quand on ne maîtrise pas le sujet. Et puis on n’a pas encore une grande connaissance de Scribus et de son code donc on ne sait pas toujours ce qui est le plus demandé par les utilisateurs.
    Au final, me voila accepté pour participer à ces GSoC. Elles commenceront officiellement le 21 Mai si mes souvenirs sont bons et dureront tout l’été. Comme j’ai quelques semaines tranquilles en ce moment, je pense m’y mettre de suite. Quand on s’amuse, on ne fait pas attention à ces détails :-).

    Voilà donc un petit résumé de ces dernières semaines. Je vous tiendrais au courant de son avancement et en avant pour un été de codage :-)

    • Est-ce que c’est bien payé ? Car en contre-partie te voilà quelque part codeur-homme-sandwich au profit publicitaire de telle société.

      Mais merci (indépendamment de cette remarque) de nous faire partager l’expérience.

      Et de contribuer à #scribus !

    • Certes en écrivant mon expérience, je fais de la publicité à Google mais c’est aussi un choix de ma part. Il est très bien possible de participer aux GSoC sans pour autant tenir un blog. Communiquer avec la team du projet sur lequel on travaille et Google peut-être amplement suffisant.
      Si tu parlais plutôt de Scribus, je ne sais pas à quel point tu es familier avec le monde du libre mais les membres de la team ne sont pas payés pour développer ce logiciel. Bien sur, ils font ça pour leur plaisir mais vu le travail qu’ils fournissent, ils mériteraient beaucoup plus que cette petite pub à mon avis.
      Je me rends compte que je n’ai toujours pas répondu ^^, on est quand même payé 5000$ pour les trois mois de boulot. Ce qui est déjà beaucoup je trouve.

    • Oui je parlais bien de google qui fait sa pub avec le GSoC. Quant à Scribus, je n’ai pas eu l’occasion de l’utiliser encore mais je me demande si ce ne serait pas génial d’exporter automatiquement un site #SPIP dans un document Scribus, pour fabriquer automatiquement des #ebooks.