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Le Grand Mix est une scène de musiques actuelles (labellisée SMAC par le Ministère de la Culture et de la Communication) à Tourcoing. Cette salle de 650 places ouverte en 1997, est gérée par l’association La Passerelle. L’association mène un projet culturel et artistique dans la salle de spectacles (et hors les murs) [...]

  • Combien de fois faut-il écouter un morceau pour l’aimer ? | Slate.fr
    https://www.slate.fr/story/152084/combien-fois-ecouter-morceau?amp

    Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ? 

    J’avais 15 ans quand j’ai reçu la discographie de Radiohead à Noël. À l’époque, j’appréciais particulièrement Gérald De Palmas (ne riez pas), je possédais un single de « Dernière Danse » de Kyo et j’écoutais avec le dernier album de Tryo sur mon baladeur MP3 64 Mo. Autant dire que ces 7 CDs ont fait l’effet d’une bombe sur moi, trop habitué au easy listening de la bande FM.

    En prenant la porte d’entrée des singles que j’avais déjà entendus à la radio, comme « No Surprises » ou « Karma Police », je me suis perdu pendant des mois dans ces albums. Leurs ramifications me semblaient infinies, il m’a fallu des semaines pour saisir et finalement apprécier le génie de chaque album –comme un chercheur d’or qui découvre une pépite après avoir passé des jours à creuser.

  • Le cashless, le bon filon des festivals de musique pour arrondir leurs fins de mois - Musiques - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/musique/le-cashless,-le-bon-filon-des-festivals-de-musique-pour-arrondir-leurs-fins

    Sous couvert d’offrir confort et sécurité, ce système de paiement dématérialisé permet surtout aux festivals de musique de renflouer un peu les caisses dans un contexte économique difficile. Quitte à irriter certains festivaliers.

  • Les 20 ans du Grand Mix (Lille) les 22 et 23 septembre 2017 – Ah non, ce soir j’peux pas, j’ai concert
    https://gconcertcesoir.com/2017/09/29/20-ans-du-grand-mix-22-23-septembre-2017

    Les 20 ans du Grand Mix (Lille) les 22 et 23 septembre 2017
    Déjà 20 ans qu’on a pris nos habitude au Grand Mix. Pour célébrer cet anniversaire, la salle de la métropole lilloise a choisi, évidemment, de fêter ça en musique. Sophie y était, elle vous raconte.

    Les petits plats dans les grands et les bougies dans les projos, c’est comme cela que le Grand Mix a reçu ses fidèles dans son antre musical le week-end dernier. 20 années de musiques, de découvertes et d’une programmation de qualité valaient bien un week-end anniversaire aux couleurs automnales.

    Le Grand Mix qui prépare son hibernation forcée pour travaux de décembre 2017 à février 2019 nous a offert une jolie fête. Le plateau était riche en découvertes et en artistes de qualité.

    La soirée du vendredi particulièrement fréquentée nous a plongés dans une ambiance plutôt faite de riffs 70’s revisités par le groupe L’impératrice , six chevelus habillés de bombers en wax. J’y ai retrouvé des accents à la Cerrone à la fois sensuels et festifs. Mais L’impératrice c’est un peu la bande originale de Cosmo 99 qui se joue devant nous. Nous avons donc embarqué à bord de l’Eagle Transporter pour un voyage intergalactique entre notes sucrées-rosées et voix presque enfantine de la chanteuse Flore . L’alchimie est donc parfaite entre voix et musique instrumentale, le show nous a véritablement transporté !

    Fin du jeu impérial et place à un DJ-set à la fraiche par Manar (alias Glitter), le Grand Mix nous a ouvert son parking pour des changements de plateau plus fun ! Dans cet espace extérieur à la déco bien connu des festivaliers, j’ai nommé le mobilier palette, un food truck a pris le relai du fameux Miam-Miam d’entrée de salle. Le bar extérieur sous préau était aussi bien senti. Et surtout il y avait un photo-call comme les stars à la télé ! Et ça nous, on a aimé !


    Isaac Delusion est installé, nous filons les écouter nos beaux Ecocups aux couleurs des 20 ans à la main : Quatre garçons dans le vent onirique des songes de cette nuit d’automne ! La musique de ce groupe est parfois déroutante passant d’une pop assumée à des jeux hip hop et une voix proche de celle de Jimmy Sommerville . Le groupe entraine le public dans son rêve étrange et doux à la fois. Il n’y a pas de mauvais rêves juste quelques notes nostalgiques. Comme il n’y a pas d’anniversaire sans lumière ni bougie, je peux vous assurer que le plan de feu de cette première soirée d’anniversaire était une réelle réussite ! La scène était parée de ses plus beaux habits lumineux, un vrai régal pour nos yeux !

    Jour 2, on prend le même écrin et on s’arrête sur ma révélation de la soirée : Fùgù Mango . Fùgù c’est ce poisson que les japonais payent une fortune pour qu’un maître sushi le découpe sans que le poison ne touche la chaire… Leur musique inspire au voyage, celui d’un poisson parcourant les mers chaudes du globe ? Oh que oui ! Certains titres nous donnent l’image d’une course effrénée à bout de souffle mais en rythmes toujours. Et on se prend à courir sur place, et on rejoue les scènes du film Cours, Lola, Cours ! Ce groupe belge est charmant, positif et authentique. La communication passe très bien avec la salle, nous on a applaudi de toutes nos mains !

    Il est temps de souffler ces 20 bougies, de remercier la belle équipe de bénévoles, d’intermittents, de personnels de ce bel établissement et de leur et nous souhaiter encore de chouettes années de concerts ! A très vite le Grand Mix !

    Texte et photos : Sophie DESREUMAUX

  • Le Grand Mix a 20 ans et compte 1500 abonnés - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/224682/article/2017-09-28/le-grand-mix-20-ans-et-compte-1500-abonnes

    Boris Colin, le directeur, et Vincent Nocrékul, directeur de la communication, sont au Grand Mix depuis presque dix ans. Ils se sont inscrits dans la continuité de leurs prédécesseurs visant à valoriser la scène internationale indé, pop, folk, etc.
    Par Christian Vincent | Publié le 28/09/2017

    « On récolte aussi ce que d’autres ont semé ! (…) Le but est aussi de faire découvrir les gros artistes de demain », sans fermer la porte au rap, à l’électro, à la chanson et aux musiques du monde. « On est les seuls à avoir programmé Petit Biscuit au départ ». Ils se doivent d’avoir une programmation équilibrée entre découvertes et artistes en phase de confirmation, car il y a aussi un équilibre budgétaire à respecter.

    Un de leurs challenges reste celui de faire venir plus de Tourquennois au Grand Mix car la fréquentation en est encore fortement métropolitaine, ce qui est un avantage pour la réputation de la ville.

    Il est rare que l’on prenne de gros fours

    Le boulot du programmateur est bien de ne jamais être déconnecté. Mais comment rester connecté ? « On a des enfants ado ; ce sont nos radars. Et ça fonctionne bien », s’amusent-ils. « Il est rare que l’on prenne de gros fours (une salle quasi vide). » Julien Guillaume, le programmateur, constate qu’avec la crise de l’industrie du disque, les concerts sont devenus vitaux pour les artistes mais qu’en même temps les niveaux des cachets augmentent. Les grands festivals sont devenus de très gros business et cassent un peu les codes pour les petites structures. En France, impossible de tenir des tarifs bas sans aides publiques ; leur plus élevé a été pour Dominique A avec des places à plus de 26 euros… « Avec 650 places, on est les plus petits des gros et les plus gros des petits… On ne doit pas se permettre de perdre de l’argent. » Il y a aussi beaucoup de fidélité chez les artistes comme les Canadiens de Timber timbre. « On a aussi eu du nez avec Agnès Obel, même si on est parfois passé à côté de certains. » On leur propose régulièrement des groupes, et des gros coups comme Marina and the Diamonds, seule date en France. Julien a commencé comme spectateur du Grand Mix, puis il a « tout appris auprès de Patrice Budzinski », l’ancien programmateur, qui l’a pris en stage.

    Pour Vincent, c’est une alchimie globale. « On peut parler artistique avec les barmen, la comptable, tout le monde connaît le projet. Il y a aussi un réseau de bénévoles, une soixantaine, dont certains sont là depuis le début. On a des ambassadeurs qui parlent du lieu, de leur attachement. » Ils utilisent plus les réseaux sociaux que l’affichage classique « où il faut lutter pour ne pas être décrochés ». Et ils ont développé leur système autonome de billetterie en ligne.

    Aujourd’hui, le Grand Mix, c’est quatorze salariés, plus des intermittents. Une équipe stable, c’est important. Ils comptent 1 500 abonnés contre 450 en 2008, ont fait 80 ouvertures pour 30 000 entrées.

    Des actions significatives, moins visibles que les concerts

    Au Grand Mix, au-dela de la programmation, des projets sont menés par Juliette Callot, à la conquête de nouveaux publics. « On s’est fait piquer nos idées souvent  », s’amuse Boris Colin. « Ce sont les goûters concerts démarrés en 2008, on en retrouve partout en France. On est complet ; ça apporte une vraie plus value. »

    Il y a aussi des projets initiés avec le monde de la santé, comme des concerts en séances de dialyse, des interventions avec des ateliers d’écriture de textes pour des prisonniers, en milieu carcéral. Il y a aussi la chorale des seniors et celle des kids, un gros travail intergénérationnel très efficace. « Leurs membres viennent à de nombreux concerts et sans la chorale, ils n’auraient jamais poussé la porte… »

    Des concerts dans des crèches

    Il y a aussi le SMAC, réseau des scènes de musiques actuelles, avec un travail d’accompagnement d’artistes et de groupes en voie de professionnalisation, des aides au travail de la scène. Ainsi, le choix se porte sur deux groupes en plus d’un compagnonnage. Ceux de cette année sont Human et Uno.

    « On fait des concerts dans des crèches, des appartements, des entreprises. » Depuis plusieurs années, s’y ajoutent des missions contrat de ville avec le collège Mendes-France et sa SEGPA, le collège Lucie-Aubrac, le lycée Colbert. Il y a un projet d’écrire avec des élèves de 1re qui viennent à la salle, réalisent des interviews, des chroniques musicales. On compte encore nombre de visites du lieu pour des scolaires, des stages d’insertion, de la médiation...

    Sans oublier les partenariats, avec le Tourcoing jazz festival, le Festival Sauce Jack, l’Hospice d’Havré, l’Institut du monde arabe, le Théâtre du Nord, etc.❞

  • FOCUS / Top 8 des raisons de préférer aller en concert dans des petites salles !
    http://www.infoconcert.com/news/focus--top-8-des-raisons-de-preferer-aller-en-concert-dans-des-petites-

    Elle est en bas de chez vous, à quelques pas ou trois stations de métro. Elle s’appelle le Bikini, la Paloma, le Fil, l’Aéronef, la Maroquinerie ou encore la Laiterie, organisant plusieurs concerts par semaine, jusqu’à 300 à l’année pour certaines. Ce sont les salles de concerts de moyenne capacité (500 à 2000 places), souvent labellisées SMAC (Salle de Musiques Actuelles). On en parle aujourd’hui parce qu’en cette fin de mois de septembre elle font pour la plupart leur rentrée.

    Plus convivial qu’un Zénith, moins cher qu’un Stade de France, si vous n’êtes pas encore adeptes, voici notre Top 8 des raisons d’aller en concert dans une petite salle près de chez vous.

    1 - Vous êtes au plus près de l’artiste.
    C’est beaucoup plus agréable que de plisser les yeux quand vous êtes debout à 200 mètres d’un écran géant non ?

    2 - On peut y découvrir les talents de demain
    Le point commun entre Stromae, Christine & The Queens ou The XX ? ils sont tous passés par ces salles. Avouez que pouvoir dire « J’ai vu Ed Sheeran à La Maroquinerie » ça a de la gueule non ?

    3- Parce que c’est vraiment moins cher
    Au delà du prix des places qui reste toujours accessible, vous pourrez très souvent profiter d’un bar de qualité et de restauration pour trois fois rien, mention spéciale à l’Aéronef de Lille qui propose également un espace d’exposition et des flippers vintage dans un espace magnifique !

    4 - Parce qu’elles sont à côté de chez vous
    On y va et on en repart à pied, à vélo ou en transports en commun donc plus besoin de nommer un Sam, de payer le parking, de faire de la route : la seule chose à faire c’est profiter !

    5 - Parce qu’on y croise des équipes en or.
    De nombreuses salles fonctionnent essentiellement grâce à leurs équipes de bénévoles (mention spéciale aux bénévoles du Grand Mix de Tourcoing qu’on adore). Si vous êtes passionné de musique et disponible pourquoi ne pas vous investir dans la salle la plus proche de chez vous ? Ambiance et convivialité garantie. Au delà des bénévoles, les techniciens, équipes de direction sont toujours accessibles et passionnées : rien que de l’amour.

    6 - Une programmation digne de ce nom
    En proposant régulièrement des plateaux à plusieurs artistes vous aurez trois concerts pour le prix d’un et l’occasion de découvrir des nouveaux artistes et de futurs coups de coeur !

    7 - Parce qu’on peut s’y abonner
    s’abonner à sa salle de concert c’est profiter de tarifs encore plus accessibles et d’invitations pour de nombreux concerts toute l’année tout en soutenant économiquement les lieux de culture locaux !

    8 - Parce que vous soutenez l’exception culturelle française.
    Le réseau de salles de concerts Français est quasiment unique au monde. Aujourd’hui les pouvoirs publics se désengagent et des salles ferment chaque année dans l’Hexagone. Ces lieux permettent l’émergence de jeunes artistes, offrent des résidences pour favoriser la création et programme de nombreux groupes parfois peu connus mais qui forgent la richesse du paysage musical français. . Parce que la culture contribue sept fois plus au PIB que l’automobile, aller en concert c’est plus que de la musique, c’est soutenir tout un pan de l’économie !

    • En effet, ce compte Seenthis n’est pas géré par la salle mais les bénévoles de la salle, j’ai donc changé le no vu qu’il semble qu’il y ait incompréhension. Quant à la publicité, en effet, elle permet d’alimenter le site http://www.benevolat-grandmix.info/-Revue-de-Presse-?lang=fr . Tu n’es pas obligé de lire si cela ne t’intéresse pas. J’avoue ne pas comprendre ta remarque taille de la salle / nombre de salariés / nombre de bénévoles.

    • Je ne suis pas obligé, mais malheureusement vos articles, ainsi que ceux de la voix du nord et nord éclair, s’imposent à ma vue.

      Pour le reste, on avance, on avance.

      Donc SeenThis vous sert à rétribuer vos bénévoles, en les autorisant à s’auto congratuler en permanence, en citant le nom du grand mix.
      Ça n’a aucun intérêt, sauf de compliquer la lecture sur le site et de répandre un idée de la culture plus que douteuse.

      Tourcoing (la grande ville concurrente de Roubaix au titre de ville française la plus pauvre) est un laboratoire de la pauvreté, et de la ségrégation entre le 1% et les esclaves (Cf Sociologie de Lille, La Découverte).

      Rappelons, par exemple, les expérimentations sur les conditions de travail (d’esclavage) auchan_city Tourcoing.
      Le travail gratuit, le béné volat récompensé par des articles dans les feuilles de choux locales, que les travailleurs gratuits peuvent citer sur le web, une autre expérimentation.

      Le bénévolat, je pense que pas mal de SeenThisien(es) le pratiquent, sans s’auto congratuler en permanence et faire la publicité de ceux qui vivent sur leur dos.

      Les bénévoles du Grand Mix ne trouveront jamais de travail avec un salaire correct. Tout au plus pourront ils postuler à être bénévole à SaintSo. Bon, ils s’occupent, vous les conditionnez pour leur futur.
      Il est vrai que quand ils se promènent à Tourcoing, la pauvreté qui suinte des murs de la plupart des quartiers les horrifie (quand ils ont le courage de sortir de chez leurs parents).
      Visiter aussi Wattrelos, Lens, Hénin Beaumont . . .

      Suis passé ce week end au Septentrion de Bondues (Art Travers Bois 2017 au Grenier des Arts du Septentrion - Entrée gratuite).
      http://legrenierdesarts.over-blog.com
      Des artistes (locaux) super ! Impossible pour eux d’exposer dans les structures culturelles régionales. Explication : ce n’est pas de lard content pour rien, car ils ne font pas dans le gigantisme morbide.
      Le Septentrion de Bondues, pour dire que je ne suis pas sectaire

    • Ah on en est là ! Je ne savais pas qu’on pouvait dire autant de bêtise sur quelque chose qu’on rejette sans même avoir cherché à connaître. Passe à la salle un de ces jours, je te raconterai mon métier, mon salaire tout à fait indécent et pourquoi je suis bénévole au Grand Mix. Intéresse toi au volet action culturelle pour comprendre à quel point tu te trompes, à quel point au final on suit à peu prêt la même idée mais sans dénigrement, au contraire, en mettant en avant ceux qui font en vrai, pas juste un post agressif et anonyme sur un site internet. Peut-être comprendras tu alors que les actions dans les écoles, les hôpitaux, les prisons, les quartiers de la Ville, n’ont qu’un but, amener un peu de culture (en général, pas que la musique) à Tourcoing. Alors oui, il y a 14 salariés inconscients qui donnent leur vie et se démènent pour cela. Et non, on n’a pas les moyens de faire des événements gratuits si facilement. Maintenant, j’insiste, si tu ne veux pas lire les articles que je poste ici dans un unique but technique (flux RSS de Seenthis), tu n’es vraiment pas obligé. Surtout si tu qualifie cela de publicité. N’hésite pas à masquer ton fil de nouvelle comme dans d’autres réseaux sociaux. Pour ma part, je crois te l’avoir dit assez, je souhaitais échanger avec toi, mais tu m’obliges à passer outre désormais. Ce qui est fort dommage, car à une époque j’appréciais tes commentaires sur une autre page Seenthis que j’administre. Mais là, vraiment, je ne comprends décidément pas pourquoi tu n’arrives pas à retrouver une attitude calme et courtoise pour que l’on puisse échanger. Je te rappelle mon mail <daffyduke AT lautre.net>. Je ne te répondrai plus ici si tu ne changes pas le ton. Passe une bonne soirée. Daffy.

  • Le Grand Mix aura tous les jours vingt ans - Nord Eclair
    http://www.nordeclair.fr/93958/article/2017-09-21/le-grand-mix-aura-tous-les-jours-vingt-ans

    La salle de concert fête ce week-end ses vingt ans. Qui aurait dit en septembre 1997 que la salle porterait le nom de Tourcoing sur toutes les affiches de la Région et serait incontournable dans l’univers musical ? Retour sur une aventure.
    Par ANNE COURTEL


    1 L’idée.
    Peut-être un jour le Grand Mix attribuera le nom d’une de ses salles à Jean-Pierre Balduyck. C’est l’ancien maire socialiste qui a eu l’idée d’une structure pour répondre aux demandes des jeunes. « C’est vrai que l’on cherchait des locaux de répétition et on avait l’impression que la priorité était alors donnée aux sports », se remémore Patrick Dallongeville qui sera un des artisans du Grand Mix.

    Le projet est confié à Christian Odoux, alors adjoint à la culture. « Bon pour tout avouer, je ne connaissais pas grand-chose aux musiques nouvelles mais je me suis lancé. » Il voyage jusqu’à Agen pour visiter une structure de musiques actuelles. « Et là le maire m’a dit : « je vous souhaite bon courage ». J’ai compris après : c’est un dossier sur lequel j’ai eu le plus de réticences. »

    2 Le défrichage.
    Depuis déjà quelques années, le Groupe de recherche et d’animations du Nord organise des concerts notamment à la salle Georges-Daël. C’est ainsi que des spectateurs de toute la métropole ont déjà vu Loudblast, Miossec (première tournée), DeUs, Dominique A… mais aussi Jeff Buckley au théâtre municipal.

    « On savait qu’il y avait un public prêt à venir à Tourcoing », souligne Patrick Dallongeville. Christian Odoux charge le GRAN de trouver un lieu. « Je voulais un endroit sympa en ville, pas une friche industrielle excentrée qui deviendrait un ghetto. L’ancien cercle Notre-Dame était désaffecté et en plein centre-ville. L’idéal ! »

    3 Les résistances.
    1997, cela paraît hier, pourtant l’annonce de musiques actuelles en plein centre de Tourcoing provoque une levée de boucliers. « On a en eu des pétitions sur le dos. La musique actuelle avait mauvaise réputation, les gens imaginaient un lieu de perdition, de la drogue… J’avais les parents d’élèves sur le dos, sans parler du voisin qui tenait une solderie. Il était fou furieux », raconte Christian Odoux.

    L’adjoint et le maire seront ensuite convoqués par la justice. Le président du Gran contestait l’attribution de la gestion de la salle à Marc Tison. Même si les deux élus ont été blanchis, ils garderont un souvenir amer de cet épisode.

    4 La mise en place.
    Ce sont les lycéens de Tourcoing qui baptisent le futur lieu, le Grand Mix. Côté financements, les élus déposent des dossiers tous azimuts… « L’argent ne coulait pas à flots mais c’était quand même plus facile qu’aujourd’hui. On a réussi à décrocher 80 % de subventions », souligne Christian Odoux.

    5 L’ouverture.

    C’était le 23 septembre 1997 et Arno est le premier à fouler la scène. Patrick Dallongeville découvre ce lieu dessiné par Thierry Baron, architecte. « Il avait la modernité de l’Aéronef sans le côté froid, une salle à taille humaine (650 places) avec une acoustique soignée. Les conditions d’accueil étaient remarquables. » En route pour la joie !

    « On ne peut plus débrancher le Grand Mix »
    Vingt ans de vie, des milliers de concerts, des piliers de bar et de scène (Bertrand Belin, I’m From Barcelona, Fink ou Dominique A que l’on a aussi croisé comme spectateurs)… Dès ses premières années, le Grand Mix s’est imposé au niveau régional. « Quand naît une nouvelle structure, il faut donner du temps au temps et là, ça a démarré très vite. En plus le public a toujours été là et il n’y a jamais eu de gros dérapages, c’est sans doute dû à la qualité de l’équipement et de l’équipe », constate Christian Odoux. Peter Maenhout qui est aujourd’hui adjoint à la Culture et qui va mener l’extension prochaine du Grand Mix le dit aussi : « Le Grand Mix contribue au rayonnement de Tourcoing. Il a une dimension régionale incontestable. »

    L’extension du Grand Mix (qui devrait ouvrir en 2019) va également panser les regrets des pionniers comme Patrick. « Il manque au Grand Mix des lieux de répétition. C’est dommage, il y a tellement de talents à Tourcoing. Il nous faudrait une structure comme l’ARA de Roubaix. Mais vingt ans après sa création, l’équipement va être complété. »

    Vingt ans, c’est aussi l’âge de la maturité, comme le souligne Christian Odoux. « Il a fallu une vraie volonté politique il y a vingt ans. Il fallait trouver un équilibre subtil entre l’artistique et l’économique. Il y a eu beaucoup de rumeurs, beaucoup de choses mais aujourd’hui une chose est sûre : il est trop tard pour débrancher le Grand Mix. »

    Trois jours de festivités ce week-end
    Ce vendredi, après une cérémonie d’anniversaire officielle, place à la musique avec le concert de Isaac Delusion, L’Impératrice, Weval et Azelek. Le premier est un groupe de cinq personnes qui font de la musique instrumentale. Weval est la caution électro de ce mini-festival avec un duo de Néerlandais. Attention concert à 20 h 15 mais complet.

    Le samedi 23, l’ouverture des portes à 18 heures avec The KVB, Fugu Mango, Ulrika Spacek, Diet Cig et les Belges de BRNS (notre photo lors de leur passage au Main Square). Et là il reste des places !

    Dimanche, le Grand Mix s’ouvre au mini mix avec un programme spécial rockeurs de demain. Ciné-concerts GaBLé Comicolor, NuméROBé, Loup Blaster ; des ateliers, un tour à biclou, des food truck... de 11 heures à 18 heures. Il reste des places et c’est 2 € !

  • Le Grand Mix fête vingt ans de concerts ce week-end - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/221116/article/2017-09-20/le-grand-mix-fete-vingt-ans-de-concerts-ce-week-end

    C’est une fête pour la musique ! Vingt ans cette année que le Grand Mix rend bons et loyaux services au rock, à la pop, au hip-hop, au reggae. À ce qu’on appelle les musiques actuelles. Vingt ans et ce week-end une fête autour de deux soirées, vendredi (complet) et samedi avec plusieurs concerts. Ainsi que la journée jeune public de dimanche avec ciné-concerts, ateliers…
    Par Laurent Decotte | Publié le 20/09/2017

    Fréquentée par 25 000 à 30 000 spectateurs par an, le Grand Mix est une salle aimée. Contrairement à trop d’autres, son acoustique a été pensée à la conception . Et son bar en fond de salle, en rond, apporte beaucoup à la convivialité.

    Enfin, la programmation a laissé des souvenirs mémorables. Faire une grande découverte est un plaisir très fort : demandez à ceux qui ont vu l’un des très rares concerts que Bon Iver, Tame Impala, The XX, Alt-J, Royal Blood ou Mumford and Sons ont donné dans une salle à taille humaine ( jauge de 650 spectateurs ) avant d’exploser et de jouer devant 30 000 ou 40 000 personnes en festival.

    On a vu Stromae venir voir le premier concert de Fauve en région, Patricia Kaas assister à celui d’Aaron. Comme un cadeau, la salle a un grand projet.

    En septembre 2019, elle aura son espace de restauration, un club de 300 places en plus, une salle de répétition… Et le déjà Grand Mix le sera un peu plus.

  • Le Grand Mix fêtera ses 20 ans à la rentrée avec trois concerts - Nord Eclair
    http://www.nordeclair.fr/76443/article/2017-07-18/le-grand-mix-fetera-ses-20-ans-la-rentree-avec-trois-concerts

    Trois jours de concerts sont prévus, fin septembre, pour célébrer l’anniversaire du Grand Mix, puis un début de saison dans la salle avant de partir pour un an, le temps des travaux.

    Par Christian Vincent | Publié le18/07/2017

    En vingt ans, le Grand Mix est devenu un lieu incontournable pour les amateurs de musiques allant du rock au jazz en passant par le rap, l’electro, etc. Alors qu’en 1997, Arno ouvrait le bal un soir de septembre, pour cet anniversaire, ce seront trois jours de musique avec des groupes en découverte ou à la notoriété déjà bien assise. Au programme, vendredi 22 septembre, Isaac Delusion, L’Impératrice, Weval, Azekel ; samedi 23 septembre, BRNS, Traams, The KVB, Ulrika Spacek, Diet Cig ; dimanche 24 septembre, Minimix, journée jeune public avec des ciné-concerts de GaBLé, NUMéROBé, Loup Blaster, des ateliers, des foodtrucks…

    Passé ces trois jours et toute une série de concerts organisés normalement à la rentrée, il faudra prendre d’autres habitudes, à partir de décembre, car la salle sera fermée durant une saison pour de vrais travaux d’aménagement d’un espace public en façade. Ce sera un lieu ouvert la journée, pour l’accueil du public, avec une petite restauration, un bar sans alcool. Cet espace devra permettre d’organiser des événements, des rencontres, avec une capacité de 120 places. En attendant, des concerts seront proposés à la Condition publique à Roubaix, à l’Hospice d’Havré à Tourcoing et surtout au théâtre de l’Idéal, la salle tourquennoise gérée par le Théâtre du Nord.

    Le Grand Mix : 5 place Notre-Dame. Détails sur la programmation et billetterie sur le site www.legrandmix.com

  • Comme le Fresnoy, le Grand Mix fête ses 20 ans - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/189751/article/2017-07-10/comme-le-fresnoy-le-grand-mix-fete-ses-20-ans

    Le 23 septembre 1997, le chanteur Arno est le parrain de la salle du Grand Mix et y donne un concert inaugural. Vingt ans plus tard, la structure se lance dans de gros travaux jusqu’en 2019. À partir de décembre, la saison sera « hors les murs ».
    Par Christian Vincent | Publié le 10/07/2017

    L’idée de la salle avait germé en 1996 sous la majorité emmenée par Jean-Pierre Balduyck, le maire socialiste de l’époque, Christian Odoux, adjoint à la culture et Michel-François Delannoy, adjoint à la jeunesse. Ils sont partis de l’idée que si la culture était bien servie à Tourcoing, il restait un créneau à occuper au plan musical plus orienté vers les musiques amplifiées et la jeunesse.

    Le Grand Mix s’installe donc alors dans un ancien foyer catholique où une grande croix trône au-dessus de l’actuelle scène.

    Les dix premières années furent marquées par de grands moments musicaux avec des artistes comme Tinariwen, Dominique A, Feist, etc. mais aussi des difficultés d’ordre financier et judiciaire. En 2000, on évoque l’ouverture d’un espace dédié à l’accueil du public. Il sera réalisé en octobre 2003, mais rue Saint-Jacques. Ce n’est pas totalement satisfaisant du fait que la salle est coupée de son administration et que l’accueil du public au Grand Mix n’y est possible que les soirs de concerts. Avec les grands travaux qui s’ouvrent, ce sera chose faite dans de bonnes conditions d’ici deux ans !

    Gros travaux
    À partir de décembre, ils s’engagent dans une saison « hors les murs » qui les abritera au théâtre de l’Idéal avec qui ils sont particulièrement heureux d’avoir tissé un partenariat bien compris, à l’Hospice d’Havré, à La Condition publique, peut-être l’ancienne église Saint-Louis, etc. Les travaux compliquent la construction de la saison. « Cela provoque beaucoup de frustrations, on va être moins dans le « confort » mais ce sera pour la bonne cause », explique Boris Colin, son directeur. Ils ne pouvaient pas avoir une saison vide. « On a imaginé l’installation d’un Magic mirrors permanent mais cela coûterait trop cher », alors ils se sont débrouillés jusqu’à la possibilité d’ouvrir de nouveau la salle en octobre 2018.

    Connecter la salle à la ville
    Le nouvel espace sera ouvert sur la façade avec possibilité d’un vrai accueil du public et une petite restauration rapide, un bar sans alcool ouvert toute la journée, du lundi au vendredi. « On entend y faire un espace ouvert et sympa pour le public et pas forcément que pour des concerts. Cela permettra aussi de connecter la salle avec la ville et ses habitants, être un meilleur outil de production de concerts mais aussi d’augmenter la surface des stocks de matériel et un espace de projet culturel et de rayonnement artistique. On pourra y asseoir 120 personnes. » Si tout va bien, tout sera terminé pour avril 2019, hypothèse optimiste.

    Trois jours de concerts pour un anniversaire
    Exactement vingt ans aprè le concert inaugural d’Arno, le Grand Mix propose trois jours de concerts avec le vendredi 22 septembre : Isaac Delusion (France), L’Impératrice (France), Weval (Live) (Pays-Bas), Azekel (Royaume-Uni). Samedi 23 septembre : BRNS (Belgique), Traams (Royaume-Uni), The KVB (Royaume-Uni), Ulrika Spacek (Royaume-Uni), Diet Cig (USA). Dimanche 24 septembre :Mini Mix, journée jeune public, programme à définir.

  • Live d’électro en EHPAD: «J’aime bien, c’est moderne» - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/182439/article/2017-06-23/live-d-electro-en-ehpad-j-aime-bien-c-est-moderne

    Le duo Chamberlain a donné un concert à l’EHPAD Hameau du bel âge, jeudi. Un dernier « live » qui clôture deux mois d’intervention ponctuelle au centre hospitalier, dans le cadre d’un projet porté par le Grand Mix de Tourcoing.

    Par Juliette Duclos | Publié le 23/06/2017

    Les morceaux s’enchaînent, à mi-chemin entre électro, clavier et house. Et derrière leurs synthétiseurs, Anatole et Mathieu font face à leur public du jour. Et point de trentenaires à la barbe savamment taillées, comme on pourrait l’imaginer, mais au contraire des personnes âgées en fauteuil roulant qui hochent la tête en rythme . Les deux musiciens du duo Chamberlain ont donné leur dernier concert, ce jeudi après-midi, dans la salle polyvalente de l’EHPAD, devant une cinquantaine de résidents de l’établissement.

    « Pour les gens comme moi, qui ont connu Genesis ou le groupe Yes, on ne peut qu’adorer. »

    Et malgré les potentiels a priori, le public est conquis . « J’aime bien, c’est moderne, déclare Alain, particulièrement enthousiaste. C ela me fait penser à Jean-Michel Jarre  ! » À quelques mètres de lui, Denis se dit également séduit. « C’est exactement ce que j’aime , explique-t-il. Pour les gens comme moi, qui ont connu Genesis ou le groupe Yes, on ne peut qu’adorer. » Et s’il considère quand même que le duo « se cherche parfois un peu », pour lui, Chamberlain réunit « créativité, inventivité et spontanéité ».

    « Ils font du Chamberlain »

    Un ultime « live » qui termine ce projet porté par le Grand Mix , initié par la Direction régionale des affaires culturelles et l’Agence régionale de santé. Pendant deux mois, depuis mars, les deux artistes ont donné une dizaine de concerts au centre hospitalier de Wattrelos. « Il y a eu des concerts pendant des séances de balnéothérapie, lors d’ateliers de rééducation, ou dans l’unité de vie des patients atteints d’Alzheimer, des concerts au casque dans la salle d’attente des urgences… » égrène Kathalyn Bouckenooghe, ingénieure qualité au centre et en charge de la communication.

    Et comme pour la première édition, le projet, baptisé Culture et santé, avait pour objectif d’apporter de la musique à ceux qui n’y ont plus accès. « Ils viennent et ils font du Chamberlain, ils ne font pas de l’occupationnel , insiste Juliette Callot, responsable des actions culturelles au Grand Mix. Là, c’est l’hôpital qui devient un passeur de culture et qui a permis aux patients de découvrir de nouvelles œuvres artistiques. » Quelques instants plus tard, un résident de l’EHPAD semble vouloir lui donner raison. L’homme se lève soudainement de son fauteuil roulant, marche difficilement devant la scène improvisée et se met à se déhancher en rythme avec la musique.

  • Un partenariat avec le Grand Mix - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/179658/article/2017-06-17/un-partenariat-avec-le-grand-mix

    Depuis deux ans, existe un partenariat (Comix) entre la SEGPA du collège Mendès-France et le Grand Mix, en vue de faire découvrir aux jeunes les métiers du son et de la lumière en spectacle.
    Il y a des visites de salles de spectacles. Les jeunes assurent la technique pour les goûters spectacles, rencontrent des artistes, assurent la petite restauration, etc.
    L’objectif est aussi qu’ils deviennent des participants du spectacle vivant, qu’ils viennent au Grand Mix.
    Pour cette opération spéciale des Talents, treize jeunes sont venus deux jours en formation pour travailler sur les impressionnantes consoles de son et de lumière, installer le plan de feu (les jeux de lumière).
    Ils connaissent la salle et y sont un peu comme chez eux.
    Plus loin, d’autres doivent gérer les prises de vues avec la caméra et ce n’est pas, là non plus, un mince travail.
    Et lorsqu’on regarde ces jeunes, on se rend vite compte qu’ils prennent leur mission à cœur avec autant de sérieux que de vrais professionnels !

  • Enter Shikari (+Mallory Knox) au Grand Mix de Tourcoing (14.05.17) - Live report - La Grosse Radio Rock - Ecouter du Rock - Webzine Rock
    http://www.lagrosseradio.com/rock/webzine-rock/live-report-rock/p18705-enter-shikari-mallory-knox-au-grand-mix-de-tourcoing-14-05-17.

    La Grosse Radio / Rock / Webzine rock / Live report / Enter Shikari (+Mallory Knox) au Grand Mix de Tourcoing (14.05.17)
    Enter Shikari (+Mallory Knox) au Grand Mix de Tourcoing (14.05.17)
    [ LIVE REPORT ] ROCK - rou reynolds, take to the skies, alternative live, mothership, post-hardcore
    Lundi 29 Mai 2017 à 11h00, by Xhantiax

    Comme chaque année ou presque, revoilà Enter Shikari sur les routes françaises, cette fois pour fêter comme il se doit les dix ans de son premier album, Take To The Skies. Un album dont une partie de la fanbase n’a jamais vraiment su se détacher malgré l’évolution du groupe et qui fait figure de madeleine de Proust pour un certain nombre de fans. L’occasion pour La Grosse Radio de se rendre à Tourcoing pour la dernière date européenne de cette tournée qui contenait forcément son lot de raretés et vieilleries niveau setlist. A noter que le concert de ce soir commence excessivement tôt puisque tout est déjà terminé avant 21 heures.

    Mallory Knox

    Bien que les portes de la salle soient ouvertes depuis à peine 20 minutes lorsque Mallory Knox monte sur scène, le public est déjà assez dense pour applaudir les Anglais. Logique pour un groupe qui commence à avoir une notoriété conséquente et quelques fans au premier rang connaissant les paroles sur le bout des doigts.

    Musicalement, on est face à un pur produit Anglais, à la Young Guns ou Don Broco : un indie-rock sage qui s’énerve de temps à autre mais qui reste la plupart du temps trop lisse pour convaincre des spectateurs venus pour l’explosion qu’est Enter Shikari. Le chant se partage entre le frontman Mikey Chapman et le bassiste Sam Douglas, ce dernier possédant un grain typé pop-punk plutôt appréciable.

    Les titres parviennent à se démarquer du rock anglais classique grâce à de belles nuances jouées par les deux guitaristes et le groove de Dave Rawling à la batterie leur donne une pêche certaine. Mais en dehors de tout ça, on ne peut pas dire que l’attitude scénique des cinq membres respire la motivation et la sympathie, malgré quelques interventions de Mikey entre les titres. Alors qu’ils bénéficient d’un auditoire conséquent pour une première partie, Mallory Knox ne se donne pas à fond pour le convaincre et l’ensemble reste donc plutôt passif. Fatigue ou légère flemme de fin de tournée ?

    Mallory Knox fait partie de ces groupes d’ouverture loin d’être inoubliables, avec une direction musicale bien trop sage pour coller avec les expérimentations de la tête d’affiche du jour. Après avoir annoncé que l’on pourrait les revoir au Download festival parisien dans moins d’un mois, le combo quitte la scène pour laisser sa place à Enter Shikari.

    Enter Shikari

    Après avoir tourné sans relâche pour The Mindsweep, voilà Enter Shikari de retour chez nous cette année pour nous proposer son premier album Take To The Skies en intégralité. L’occasion de constater à quel point le son du groupe a évolué depuis dix ans pour se replonger dans les breakdowns et les mélodies electro cheaps qui ont fait la signature des quatre anglais déjantés à leur début.

    Pour commencer, Rob Rolfe arrive sur le devant de la scène au milieu de ses camarades pour nous jouer l’introduction avant que ne débarquent les premiers riffs d’« Enter Shikari » qui mettent déjà un joyeux bazar dans la fosse. Pas de barrière pour une communion totale entre le public et les musiciens, les premiers stage dives ne tardent pas à arriver alors que les premiers rangs scandent d’une seule voix la devise du groupe : « And still we will be here, standing like statues ».

    En ce début de concert, le son est plutôt brouillon et on a du mal à entendre le chant au milieu de ce public qui hurle si fort chaque mot. Tout cela ne va pas s’arranger avec « Mothership » et son breakdown dévastateur qui met littéralement le Grand Mix à feu et à sang. Il est surprenant de voir à quel point le public connait sur le bout des doigts les chansons de Take To The Skies, même les moins connues, preuve de l’influence énorme de cet album sur nos adolescences lorsque le metalcore n’était encore qu’un genre balbutiant. Tourcoing, tu peux être fier de toi ce soir, même si l’affluence est moindre que dans les autres pays européens la passion est absolument remarquable.

    Le public a beau être incroyable de son côté, sur scène on ne peut s’empêcher de sentir un petit malaise. Rou Reynolds est beaucoup plus réservé que d’habitude et la communication est réduite au minimum, le groupe enchaînant les chansons sans sourciller. Alors qu’on est habitué à une proximité maximale lors des concerts des Anglais, on ne peut s’empêcher de s’étonner du manque d’enthousiasme que l’on sent chez eux, peut-être à cause de quelques problèmes techniques. On aura du mal à entendre le chant durant tout le concert et juste avant « Juggernauts », c’est le clavier de Rou qui semble le laisser tomber avant que Rory C ne le fasse miraculeusement repartir, s’attirant les hourras de la foule.

    Take To The Skies est évidemment une machine à tubes et « No Ssssweat » donne l’occasion aux plus téméraires de saisir le micro pour s’égosiller. Les breakdowns assassins de « Return To Energiser » et « Sorry You’re Not A Winner » déchaînent les mosheurs avant que le plus récent « Anaesthetist » ne trouve lui aussi parfaitement sa place au cœur de la setlist. On a toujours du mal à entendre le chant mais il est comme d’habitude bien partagé entre Rou et les timbres plus aigus de Rory et Chris, notamment sur la très enjouée « Jonny Sniper ».

    Le concert est passé beaucoup trop vite et voilà déjà les titres de clotûre de Take To The Skies. Un « Adieu » très attendu et superbement interprété par Rou et Chris à la guitare acoustique avant « Redshift » en rappel, deux des moments les plus calmes du concert. Mais ce calme n’est qu’apparent car tout le monde le sait ici : « Ok, Time For Plan B » débarque avec ses moshparts dantesques, l’occasion pour le public de Tourcoing de conclure avec un joli wall of death et des stage dives à foison. Bizarrement, Shikari ne s’arrête pas là et conclut avec « The Appeal and the Mindsweep II » qui semble un peu hors de propos, mais on ne va pas se plaindre de reprendre trois minutes supplémentaire de concert.

    Quiconque a déjà expérimenté le bazar monstre que peut-être un concert d’Enter Shikari ne peut s’empêcher de rester sur sa faim au vu de la retenue manifeste des membres du groupe ce soir. Ces derniers ne s’éternisent d’ailleurs pas sur scène et les roadies se dépêchent de tout ranger pour attraper à l’heure le ferry qui les ramènera chez eux. On se consolera en se disant que pour n’importe quel autre groupe, ce concert aurait été plus que satisfaisant et que côté public, les fans français et belges n’auront pas à rougir de leur énergie. 

    Setlist :
    Enter Shikari
    Mothership
    Anything Can Happen in the Next Half Hour...
    Labyrinth
    The Last Garrison
    Sorry, You’re Not a Winner
    Juggernauts
    No Sssweat
    Today Won’t Go Down in History
    Anaesthetist
    Return to Energiser
    Jonny Sniper
    Adieu

    Redshift
    OK, Time for Plan B
    The Appeal & the Mindsweep II

    Photos : Nathan Dobbelaere sur la date d’Anvers.
    Nathan Dobbelaere Photography

  • Une gamme de rendez-vous pour fêter la musique - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/175213/article/2017-06-09/une-gamme-de-rendez-vous-pour-feter-la-musique

    La Guinguette des chorales. Ce rendez-vous familial et festif est devenu un incontournable « et l’occasion de présenter le résultat du travail de nos chorales sur la scène », souligne le Grand Mix. Pour cette nouvelle représentation, les chorales Grand Mix Academy seniors et Kids seront accompagnées d’un tout nouveau « backing band » composé de Charly Nine et Veeko, du groupe Be4t Slicer (aux claviers et à la batterie), ainsi que de Grégory Pastant (à la guitare). Tout ce petit monde sera dirigé par les deux cheffes de chœur du projet : Nadège Romer (seniors) et Juliette Mathoret (Kids). Comme chaque année, les choristes du Grand Mix invitent une chorale de la région à partager ce moment : place aux membres de La Grande Barrière de Chorale, « chorale sympathique et décalée au répertoire éclectique » dirigée par Leslie Ohayon. Samedi 10 juin, 15 h (5 €, gratuit pour les moins de 18 ans), au Grand Mix, 5, place Notre-Dame.

  • Les concerts se préparent aussi en cuisine ! – L’action culturelle au Grand Mix
    http://www.legrandmix.com/actionculturelle/?p=3481

    Lorsque les artistes viennent jouer au Grand Mix, ils nous font passer ce que l’on appelle un « rider ». Sur ce document figurent des informations sur les régime alimentaires des artistes notamment (allergies, régime végétarien, vegan…etc.)
    Cet après-midi, deux élèves du Collège Mendès France en section HAS sont venues aider Laure dans la préparation du repas et découvrir son métier de chargée du catering et de l’accueil artistes. Au programme de l’après-midi, pâtisserie et atelier béchamel et croyez-nous ça sent très bon !

  • Lorsque la culture s’immisce dans une unité de dialyse…

    http://www.lavoixdunord.fr/170630/article/2017-05-31/lorsque-la-culture-s-immisce-dans-une-unite-de-dialyse

    Depuis plusieurs mois, deux artistes interviennent dans des unités de dialyse de Santélys. Le Grand Mix participe ainsi à un projet de l’Agence régionale de santé. Objectif : amener la culture où elle ne va pas et ainsi ouvrir de nouveaux horizons aux patients. Une centaine de malades ont déjà assisté à l’une des performances.

    Par Anne Courtel | Publié le 31/05/2017

    Les deux artistes réalisent leur performance (son et images) pendant une séance de dialyse.
    Dans la grande salle de dialyse de Tourcoing, le musicien et l’artiste visuel paraissent incongrus. D’autant qu’en plein set, seuls le ronronnement des machines de dialyse et la minuterie des traitements troublent le silence. Il y a comme un film muet dans la performance des deux artistes.
    Pourtant, certains patients, munis d’un casque, dodelinent de la tête ou scrutent le plafond… où des images sont projetées. NUMéROBé, jeune compositeur-beatmaker, et Clément Goffinet, qui projettent des tableaux sonores, se sont ainsi adaptés aux contraintes de ce lieu pas comme les autres. Là des patients sont dialysés pendant plusieurs heures. « On nous avait demandé de ne pas imposer notre performance, de respecter la tranquillité de chacun. Nous avons donc choisi de proposer un casque aux patients qui voulaient participer et de diffuser quelque chose de relaxant », explique NUMéROBé.

    « C’est agréable. Cela nous sort un petit moment de notre environnement de soin. »

    Dans le même temps des images sont projetées au plafond. « Les patients sont couchés et ont un bras immobilisé par les perfusions. Nous avons donc décidé de juste leur faire lever les yeux », raconte Anne Martello, chef de projet Santélys.

    « Ce n’est pas de la musicothérapie »

    Depuis plusieurs mois, les deux artistes, sous la houlette du Grand Mix, interviennent régulièrement dans dix unités de dialyse de Santélys. « C’est intéressant pour nous, car on sort du cercle des personnes avec lesquelles on a l’habitude de travailler. C’est un peu une performance, il y a un côté improvisé », précise Clément Goffinet.

    Après une première session, il y a quelques mois, les deux artistes proposent une autre version. « Nous leur avons demandé ce qui les touchait et nous l’avons intégré dans notre set. » Les patients peuvent ainsi percevoir la chaude voix de Barry White ou voir Édith Piaf s’animer au plafond. « Franchement, c’est agréable. Cela nous sort un petit moment de notre environnement de soin », salue Charles Sona, un patient qui vient tout juste de quitter son casque. Même sentiment chez Jacky Gadeyne, fan de Johnny Hallyday. « C’est agréable et reposant. Même si mon rêve est d’enregistrer une chanson. »
    Il faudra peut-être attendre un peu, même si, après cette action, Santélys et le Grand Mix espèrent bien engager un nouveau projet. « L’année prochaine, nous irons peut-être plus loin. Mais ce n’est pas de la musicothérapie. Il n’y a pas d’aspect thérapeutique. La maladie isole, entraîne des peurs… La culture peut améliorer la qualité de vie, la prise en charge… Même les soignants ont pu découvrir les patients différemment », souligne Anne Martello de Santélys.

    « Apporter la culture partout »

    L’an dernier, le Grand Mix avait participé à un projet avec le centre hospitalier de Wattrelos. Cette année, sa candidature a été retenue pour ouvrir les portes d’un nouvel établissement de soins à la culture. « Notre but est bien d’apporter la culture où elle n’est pas. Cela permet de toucher des publics qui n’iraient pas forcément vers l’art », précise Juliette Callot, responsable de l’action culturelle au Grand Mix. « Il y a un droit universel à la culture même si à chaque action (prison, milieu hospitalier, écoles…), il faut accepter les contraintes. Nous n’avons pas l’habitude d’être au contact des malades. Chacun, dès lors, apporte son savoir-faire. »

    • DOUAI : Trois ouvriers grièvement brûlés à l’abattoir ce mercredi soir
      Trois salariés d’une entreprise extérieure venue procéder ce mercredi à des travaux de sous-traitance à l’intérieur de l’abattoir de Douai ont été brûlés dans un accident provoqué par des travaux de soudure. . . . . . . . . . .
      http://www.lavoixdunord.fr/171021/article/2017-05-31/trois-ouvriers-grievement-brules-l-abattoir-ce-mercredi-soir

      Valenciennes : À partir de ce jeudi, à Valenciennes, plus aucun tram ne s’arrêtera à la station Hôtel de ville
      Ça va être une surprise pour pas mal d’usagers du tram. À partir de jeudi matin, plus aucun tram ne s’arrêtera à la station Hôtel de ville. L’arrêt est reporté soit à Clemenceau soit à Sous-Préfecture . . . . . . .
      http://www.lavoixdunord.fr/170813/article/2017-05-31/partir-de-ce-jeudi-valenciennes-plus-aucun-tram-ne-s-arretera-la-statio

      Lille : Des parents saisissent la justice contre les tarifs « aberrants » du conservatoire
      Le tribunal administratif était saisi ce mercredi en urgence pour bloquer une délibération de la ville de Lille. En cause, une nouvelle tarification pouvant faire bondir les frais d’inscription des élèves non-Lillois du conservatoire
      http://www.lavoixdunord.fr/171047/article/2017-05-31/des-parents-saisissent-la-justice-contre-les-tarifs-aberrants-du-conser
      Une délibération municipale adoptée en mars rebat les cartes des participations familiales au budget de cette école prestigieuse. Auparavant, les foyers de la métropole lilloise mettaient la main à la poche en fonction d’un quotient familial. Dès la rentrée prochaine, les non-Lillois dont la commune n’a pas signé de convention (pour une participation financière) avec Lille verront la facture enfler. « On va nous demander 1 866 €, hors 3e cycle et certaines disciplines, grimace un parent. Une explosion du tarif. Aberrant ! »

      Aux yeux de Manuel Gros, la ville de Lille prend tout simplement près de 200 élèves (sur 2 000) en otage. « On règle un problème politique avec les communes voisines sous couvert d’un financement de cette structure », tonne l’avocat des familles. Et de multiplier les accusations de « discrimination ». « Sur les 7 M€ de budget du conservatoire, deux sont payés par l’État, la Métropole européenne de Lille (MEL) ou la Région, martèle Me Gros. Les non-Lillois financent donc également via leurs impôts. » Enfin, que dire des 200 petits Lillois inscrits dans les écoles hors de leur commune ? . . . . .

  • Sécurisation des salles de spectacles : plus d’attention, pas de surenchère - Arts et scènes - Télérama.fr
    http://www.telerama.fr/scenes/securisation-des-salles-de-spectacles-plus-d-attention-pas-de-surenchere,15

    Le ministère de l’Intérieur a réuni des représentants du secteur culturel au lendemain de l’attentat à la Manchester Arena. Depuis novembre 2015, un fond de soutien permet aux lieux et festivals de financer le surcoût de la sécurisation.

  • Peter Peter - Requin Chagrin - Le Grand Mix : : FROGGY’S DELIGHT : : Musique, Cinema, Theatre, Livres, Expos, sessions et bien plus.
    http://www.froggydelight.com/article-19025.html

    Le chanteur Québécois Peter Peter a présenté, sur la scène du Grand Mix (Tourcoing), son dernier album Noir Eden : concert planant comme un long trip acide où ont circulé les émotions aussi diverses que la tristesse et l’euphorie, l’angoisse et la joie.

    Mais c’est surtout une ligne mélancolique qui domine l’ensemble, soutenue par une musique pop de tendance électro et variété, traversée de temps à autre par quelques fulgurances rock.

    Ces composantes ne suffisent toutefois pas à décrire de façon satisfaisante une impression confuse, que l’on peut assimiler à un flux.

    Imaginez un mouvement ondulatoire, en lente progression, variable, transportant à tout instant une énergie. Cette musique nous laisse en effet dans une sensation constante d’apesanteur, d’où son caractère euphorisant.

    On perçoit assez vite, d’ailleurs, que ce mouvement n’est pas sans rapport avec celui de l’inconscient.

    Les paroles sont une libre association de mots, selon le principe de l’écriture automatique : « J’ai la saison que je veux quand je respire / Apparaissent mes vœux sans que je n’ai pu les dire / Je peux tout revivre et tout transformer » ("Bien réel").

    Parallèlement à cette formule automatique, le chanteur invoque une errance de l’esprit, un dérèglement des sens où l’imaginaire et le réel entrent en fusion.

    Par exemple, dans « Noir Eden », nous assistons à une collusion entre fiction et réel : l’histoire d’une personne, double de l’auteur assurément, emprisonnée dans sa douleur comme dans un mauvais rêve.

    Le concert entier est en fait un dialogue ininterrompu entre les deux faces de Peter Peter : sa face imaginaire et sa face réelle.

    [....]

  • Le Grand Mix annonce la couleur pour ses vingt ans - TOURCOING - La Voix du Nord
    http://www.lavoixdunord.fr/162566/article/2017-05-14/le-grand-mix-annonce-la-couleur-pour-ses-vingt-ans

    On n’est pas sérieux quand on a 20 ans. C’est l’âge du Grand Mix. Après avoir rôdé quelques concerts dans l’antique salle Georges-Daël, l’équipe de la Passerelle avait investi la salle de concerts pour une épopée qui a déjà deux décennies. Des festivités sont programmées le week-end du 22 au 24 septembre.

    Le programme des vingt ans du Grand Mix a été dévoilé et il est à l’image de ce qu’est la salle de concerts : pop, rock et familial.
    Tout commencera le vendredi 22 septembre pour un concert où sont annoncés : L’Impératrice, Weval et Azelek. Le premier est un groupe de cinq personnes qui font de la musique instrumentale. Weval est la caution électro de ce mini-festival avec un duo de Néerlandais.
    Le samedi 23, ce sont des Belges que l’on a déjà vus au Grand Mix qui seront à l’affiche : BRNS.

    Suit le trio anglais de Traams qui malaxe du post-punk. Enfin Diet Cig, groupe new-yorkais qui va déménager. D’autres noms pourraient s’ajouter aux affiches de vendredi et samedi où la soirée est même prévue jusqu’au milieu de la nuit.
    Le dimanche, les enfants, futurs rockeurs et autres, sont les invités du Grand Mix qui depuis plusieurs années propose des goûters-concerts. De 11 heures à 18 heures, sont prévus des ciné-concerts, ateliers, boum…
    « Pendant les trois jours, nous ouvrirons le parking comme on le faisait sur RADAR il y a quelques années… », annoncent les responsables du Grand Mix, qui ne veulent pas d’une commémoration, trop figée… à l’image de leur salle de concert, toujours en mouvement et qui va bientôt grandir.

  • Rencontre avec Le Peuple de l’Herbe – L’action culturelle au Grand Mix
    http://www.legrandmix.com/actionculturelle/?p=3412

    Jeudi dernier, les élèves du Collège Mendes France de Tourcoing ont rencontré quatre membres du Peuple de l’Herbe quelques heures avant qu’ils ne montent sur scène. L’occasion d’échanger sur leurs influences, leur parcours et leur quotidien d’artiste, parce que le projet Comix c’est aussi ça, découvrir le secteur des musiques actuelles au travers de plusieurs métiers et notamment, celui d’artiste.

  • Set aquatique pour les Chamberlain – L’action culturelle au Grand Mix
    http://www.legrandmix.com/actionculturelle/?p=3420

    Un concert à la piscine ? Oui, c’est possible ! Au Grand Mix, l’action culturelle s’adapte à toutes les situations.
    Dans le cadre du projet Quatrième mur du son, la musique se déplace dans tous les endroits du Centre Hospitalier de Wattrelos pour que l’ensemble des résidents, des patients et du personnel puisse profiter de concerts impromptus.
    Aujourd’hui, direction la séance de balnéothérapie