Pertinent le blog d’Yves Pages
Pertinent le blog d’Yves Pages
▻http://commentsensortir.org/revue-css/presentation
Comment S’en Sortir ? (CSS) est une revue universitaire à vocation internationale basée en France. Elle est animée par un comité de rédaction, un comité de lecture et soutenue par un comité scientifique. La revue a pour ambition de développer une perspective féministe, queer et postcoloniale sur et dans les champs – disciplinaires ou indisciplinés – de la recherche.
CSS s’inscrit plus fondamentalement dans une tradition de pensée héritière des théories critiques, avec la volonté de poser à nouveaux frais la question persistante de Sarah Kofman : « Comment s’en sortir ? » (Paris, Galilée, 1983). Sarah Kofman avait fait le constat que les cheminements de la pensée étaient minés par le travail de sape de l’aporie (théorie/empirie, sujet/objet, nature/culture, biologique/social, donné/construit, moderne/postmoderne, occident/néant, matérialité/performativité, masculin/féminin, œuvre/vie, etc.) ; apories recouvertes ou, au contraire, entretenues, exacerbées,par les privilèges épistémiques. CSS se situe au cœur de cette crise et entend témoigner de la nature prométhéenne et éminemment politique de la pensée, quitte à contredire et à affronter l’autorité des méthodes et des statuts, la positivité des faits ou des données, la métaphysique et les discours de vérité. Du travail du négatif, du doute, de la déconstruction ou de la critique éristique, procèdent l’engendrement créatif, l’ingéniosité tactique du concept, les laboratoires de/du soi, les pratiques heureuses du Nous, les éthiques de vie, les vies politiques, les économies minoritaires, les puissances d’agir comme les utopies. CSS constitue ainsi un espace-temps possible de rencontres de textes, de phénomènes, d’expressions, d’expérimentations, de frictions, où des documents, inédits, non traduits ou ensevelis, contribuent à (re)tracer des chemins à partir de points de vue situés. Ces chemins ne sont pas tant des issues que des généalogies (CSS est à la fois boîte à outil, arsenal et tatami), où puiser les forces, les engagements et les ressources nécessaires à la traversée des conflits intimes, des luttes politiques et des antagonismes sociaux présents et à venir. Dans cette perspective, CSS incarne une praxis dans laquelle se joue le devenir sujet de celles et ceux communément rappelé·es à l’ordre, assujetti·es en objets mutiques de discours et de connaissance.
I Love Typography » Blog Archive The First Female Typographer — I Love Typography
▻http://ilovetypography.com/2014/10/15/the-first-female-typographer
Anna Rügerin
Olivier Cadiot : « Providence »
"Comment puis-je dire des choses qui n’ont jamais été dites auparavant ?"
Dans « Providence », Olivier Cadiot évoque tout à la fois la délicate réalité et les privilèges de l’écrivain contemporain...
Cadiot / « entre les lignes »
▻http://www.rts.ch/espace-2/programmes/entre-les-lignes/6377048-olivier-cadiot-providence-07-01-2015.html?f=player/popup
Olivier Cadiot / France Inter
▻http://www.franceinter.fr/emission-lhumeur-vagabonde-olivier-cadiot-0
Critique : Le Secret de Kanwar, un film de Anup Singh [critikat.com]
▻http://www.critikat.com/actualite-cine/critique/le-secret-de-kanwar.html
#cinema#femme#pakistan
grand film indien !!! - fabien.billaud gmail.com - Gmail
▻https://mail.google.com/mail/u/0/#sent/14817e2117769a76
This Invention Will Change The World, Just Watch
▻http://trendinghot.net/invention-will-change-world-just-watch
« Bonne fête maman »
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#feminisme
alluvions - Google+
▻https://plus.google.com/u/0/113013577566214391615/posts
MARCEL KANCHE Merci à ma bouche
#musique
Laurence, la rage. | Se battre
▻http://documentaire-pauvrete.blogs.la-croix.com/laurence-la-rage/2014/05/14
Laurence, la rage.
Laurence élève seule ses deux enfants. Elle est une travailleuse pauvre. Elle part de chez elle à 5h du matin et rentre tard le soir. Elle est chef d’équipe dans une plateforme de distribution, à 40 km de sa maison. Des 35t chargés de marchandises débarquent leur cargaison, avant de la répartir à nouveau dans d’autres 35t vers des magasins de gros, Auchan, Leroy Merlin. Elle gagne un salaire à peine plus haut que le SMIC et sa grande angoisse, c’est qu’un jour sa voiture ait un problème. Elle devrait alors prendre un crédit supplémentaire pour assumer la dépense.
Elle dit que dans sa situation on ne va pas travailler pour vivre mais pour survivre : essayer d’avoir à manger jusqu’à la fin du mois, payer le loyer, les factures, les crédits, et toujours compter et faire attention. Tous les commerçants de Givors savent que les 10 derniers jours du mois, leur chiffre d’affaire va baisser énormément, parce que l’argent manque, et que les familles attendent l’arrivée de la paye, des retraites, ou des aides sociales.
Video: watch 256 white helium balloons blink to musical track (Wired UK)
▻http://www.wired.co.uk/news/archive/2013-11/08/cyclique
Created for Nuit Blanche 2013, Cyclique was developed by Nohista (aka Bruno Ribeiro) and Collectif Coin using 256 huge white helium balloons embedded with LEDs. As night falls the installation, which covered 700m2, comes to life, reacting in sequence to a 25-minute-long track. The balloons were not secured so much that the elements had no sway over them, so although it’s an ordered procession of careful sequencing driven by algorithms the wind had its part to play with the orbs of light. Ribeiro, described on his blog as “considering hearing and sight to be a single and indivisible sense” took care of the music and light design.
#arts
PUPP3TS | NOHISTA
▻http://www.nohista.org/?portfolio=pupp3ts
PUPP3TS
( Dance performance / 2013 )
The Clair Obscur is looking for new methods of communication between the computer and the dancer. By the interaction / synchronization of him with multimedia tools, the Clair Obscur questions the place of being human in its environment, especially a digital environment that surpasses it.Here we have the staging of a nervous system increased, the show beat like a muscle, a synaesthetic machine, organic and digital … The aesthetic framework of performance : impulses, nerve, and still need to push the limits of cognitive fields. We implicitly questioning the perception of our own bodies, our ambiguous relationship with contemporary digital environment: Are we Exponential body? or slaves?
#arts
PROJECTS | ØYSTEIN ASPELUND
▻http://oysteinaspelund.com/projects-2/#photo
« L’Unedic s’attaque aux intermittents par idéologie »
►http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/04/14/l-unedic-s-attaque-aux-intermittents-par-ideologie_4400969_3232.html
A French Film Showing Men What Being A Woman Feels Like Kinda Nails It
►http://www.upworthy.com/a-french-film-showing-men-what-being-a-woman-feels-like-kinda?g=2&c=reccon
A French Film Showing Men What Being A Woman Feels Like Kinda Nails It
►http://www.upworthy.com/a-french-film-showing-men-what-being-a-woman-feels-like-kinda?g=2&c=reccon
Ian Dury & the blockheads : Itinerant child.wmv - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=SBnWGp9bPOg
Les tricoteuses ou l’engagement politique des femmes
L’année 1793 est marquée à Paris par un fort engagement politique de femmes issues des milieux populaires dans la lutte contre les Girondins, le fédéralisme et les modérés. On les retrouve alors dans les tribunes publiques des assemblées de section ou de la Convention, aux côtés des sans-culottes, pour défendre l’action des Jacobins, ainsi que le montre cette gouache haute en couleur récemment attribuée aux frères Jean-Baptiste et Pierre-Étienne Lesueur. D’un grand intérêt documentaire, elle appartient à un ensemble de gouaches représentant des scènes et des personnages de l’époque révolutionnaire et probablement destinées à un petit théâtre. La légende, sans doute ajoutée postérieurement, identifie les figures représentées comme des tricoteuses jacobines en l’an II. Surnommées ainsi péjorativement en référence à une occupation à laquelle elles auraient normalement dû se livrer en privé, au sein de leur foyer, au lieu de s’afficher sur la scène publique, ces trois femmes prêtent une oreille attentive aux délibérations de la Convention. L’expression farouche de la femme debout à droite, mains sur les hanches, est à la mesure de son engagement politique et de sa détermination contre les Girondins.
Ces femmes furent l’un des maillons les plus actifs du mouvement révolutionnaire, à Paris et en province. Tandis qu’elles soutenaient les motions révolutionnaires dans la tribune des Jacobins à la Convention et se réunissaient au sein de clubs politiques, comme celui des Citoyennes Républicaines Révolutionnaires, créé le 10 mai 1793, elles entretenaient sur le terrain une agitation populaire permanente, appelant à l’insurrection contre les Girondins, en particulier du 31 mai au 2 juin 1793, journées qui virent la chute de la Gironde, et s’attroupant autour de la guillotine chaque fois que celle-ci était utilisée contre les ennemis de la Révolution. De ce fait, ces « tricoteuses » ont laissé dans la mythologie collective une image fantasmatique souvent faussée, celle de monstres assoiffés de sang, aux antipodes d’un ordre naturel dans lequel la femme doit remplir son rôle de mère et d’épouse aimante, sans s’engager dans une quelconque activité politique qui la ferait sortir de la sphère privée. - See more at : ▻http://www.histoire-image.org/site/oeuvre/analyse.php?i=951#sthash.SM6WIeso.dpuf
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Jean-Pierre Duret à la rencontre de « ceux que nous ne voyons plus »
Aujourd’hui, pour plus de 13 millions de Français, la vie se joue chaque mois à 50 euros près. Derrière ces statistiques, se livrent au quotidien des combats singuliers menés par des hommes et des femmes qui ont la rage de s’en sortir et les mots pour le dire. À leurs côtés, des bénévoles se donnent sans compter pour faire exister un monde plus solidaire.
EN SALLES LE 5 MARS 2014
Les tricoteuses pendant la Révolution française - L’Histoire par l’image
▻http://www.histoire-image.org/site/oeuvre/analyse.php?i=951
Les tricoteuses ou l’engagement politique des femmes
L’année 1793 est marquée à Paris par un fort engagement politique de femmes issues des milieux populaires dans la lutte contre les Girondins, le fédéralisme et les modérés. On les retrouve alors dans les tribunes publiques des assemblées de section ou de la Convention, aux côtés des sans-culottes, pour défendre l’action des Jacobins, ainsi que le montre cette gouache haute en couleur récemment attribuée aux frères Jean-Baptiste et Pierre-Étienne Lesueur. D’un grand intérêt documentaire, elle appartient à un ensemble de gouaches représentant des scènes et des personnages de l’époque révolutionnaire et probablement destinées à un petit théâtre. La légende, sans doute ajoutée postérieurement, identifie les figures représentées comme des tricoteuses jacobines en l’an II. Surnommées ainsi péjorativement en référence à une occupation à laquelle elles auraient normalement dû se livrer en privé, au sein de leur foyer, au lieu de s’afficher sur la scène publique, ces trois femmes prêtent une oreille attentive aux délibérations de la Convention. L’expression farouche de la femme debout à droite, mains sur les hanches, est à la mesure de son engagement politique et de sa détermination contre les Girondins.
Ces femmes furent l’un des maillons les plus actifs du mouvement révolutionnaire, à Paris et en province. Tandis qu’elles soutenaient les motions révolutionnaires dans la tribune des Jacobins à la Convention et se réunissaient au sein de clubs politiques, comme celui des Citoyennes Républicaines Révolutionnaires, créé le 10 mai 1793, elles entretenaient sur le terrain une agitation populaire permanente, appelant à l’insurrection contre les Girondins, en particulier du 31 mai au 2 juin 1793, journées qui virent la chute de la Gironde, et s’attroupant autour de la guillotine chaque fois que celle-ci était utilisée contre les ennemis de la Révolution. De ce fait, ces « tricoteuses » ont laissé dans la mythologie collective une image fantasmatique souvent faussée, celle de monstres assoiffés de sang, aux antipodes d’un ordre naturel dans lequel la femme doit remplir son rôle de mère et d’épouse aimante, sans s’engager dans une quelconque activité politique qui la ferait sortir de la sphère privée.