Gilles Klein

Mediactiviste, créateur de sites, formateur et consultant stratégie web

  • #knacss, un micro #framework #css qui a du goût !
    http://knacss.com

    Un framework CSS simple et léger réalisé par l’équipe d’Alsacréation. KNACSS, c’est un peu comme une feuille de style CSS « reset » sur-vitaminée qui permet de commencer un projet à partir de zéro tout en tenant compte de bonnes pratiques générales (accessibilité, performance, #responsive webdesign).

    #lesscss #sass #opensource #alsacréation

  • Créer des squelettes avec Zcore

    Ou comment bien démarrer avec Zcore.
    Avec SPIP 3.0 est venu le plugin Zcore développé par un collectif de spipeurs. De plus en plus d’utilisateurs adoptent la mécanique de « Z » pour leurs squelettes. Un premier article a été écris pour expliquer la Différence entre Zcore et Zpip v1.x.
    Le présent article vous expliquera ou vous rappellera comment mettre en place cette architecture sur un site pour éviter de s’arracher les cheveux.

    http://contrib.spip.net/Creer-des-squelettes-avec-Zcore

    #spip_blog

  • Info | Les Sentiers de l’Utopie
    http://lessentiersdelutopie.wordpress.com/info

    Les Sentiers de l’Utopie. Un docu fiction poétique d’Isabelle Fremeaux et John Jordan sur les communautés anti capitalistes en Europe.

    En streaming gratuit et légal ici :

    http://vimeo.com/21919175

    Le blog : http://lessentiersdelutopie.wordpress.com/info

    Le pitch :

    Quand les tempêtes de la crise financière ont commencé à souffler en 2007, Isabelle Fremeaux et John Jordan se sont lancés sur les routes européennes pour faire l’expérience de vies post- capitalistes.

    Ils n’étaient pas à la recherche d’un pays de nulle part, d’un modèle universel ou d’un avenir parfait, mais voulaient rencontrer des communautés qui osent vivre différemment, malgré cette catastrophe qu’est le capitalisme. Pendant sept mois, ils ont voyagé et visité onze communautés et projets. D’un Camp Climat installé illégalement aux abords de l’aéroport d’Heathrow, jusqu’à un hameau squatté par des punks Cévenols, en passant par une communauté anglaise à très faible impact écologique, des usines occupées en Serbie, un collectif pratiquant l’amour libre dans une ancienne base de la Stasi ou une ferme ayant aboli la propriété privée, Isabelle Fremeaux et John Jordan ont partagé différentes manières d’aimer et de manger, de produire et d’échanger, de décider des choses ensemble et de se rebeller. Avec le maire d’un village espagnol qui avait exproprié les terres du duc local, avec les élèves en charge d’une école anarchiste et le facteur philosophe de la Libre Ville danoise de Christiania, les auteurs ont vu vivre dans les interstices invisibles du système dominant des Utopies bien vivantes.

    De cette expérience a émergé un film-livre (le DVD est fourni avec l’ouvrage). Le texte est un récit de voyage captivant, analysant les communautés, leurs pratiques et leurs histoires.

    Le film est un docu-fiction, tourné pendant le périple, prenant la forme d’un road-movie poétique situé dans un futur post-capitaliste. Les personnages et les lieux circulent du livre au film. Dans Les Sentiers de l’Utopie, les mots et les images jouent avec les frontières entre présent et futur, imagination et action. Cette publication unique nous donne envie de vivre d’autres vies, et nous met au défi de commencer dès aujourd’hui.

  • Démarrer son podcast : mode d’emploi | Silicon Maniacs
    http://www.siliconmaniacs.org/demarrer-son-podcast-mode-demploi

    Un podcast est une émission mise en ligne sur Internet, téléchargée par ses auditeurs (souvent abonnés au fil RSS du podcast), qu’ils écouteront à leur convenance (ou pas). Un podcast est, à la base, un moyen de diffusion complémentaire pour une émission “normale”, après son direct sur une (web)radio.

    Mais pour beaucoup de projets, le podcast est le mode de diffusion principal. Par simplificité, pudeur, manque de moyen ou pour des raisons de format, le podcast est de plus en plus utilisé. Il peut être bien sûr video, mais il est plus facile de réaliser (techniquement) un bon podcast audio. Ca tombe bien puisque Tryphon est plus à même de vous conseiller en matière de son.

  • Je viens de découvrir ce site : Floss Manuals francophone
    http://fr.flossmanuals.net

    Floss Manuals est une plateforme de partage et de co-création plurilingue. Floss Manuals met à la disposition du grand public et des professionnels une collection de livres en français sur les logiciels, la culture libre et le matériel libre.

    S’appuyant sur la communauté d’utilisateurs de ces outils, notamment les auteurs, éditeurs, artistes, développeurs de logiciels et activistes, ces livres sont consultables librement en différents formats (pages web, pdf et epub).

  • Inauguration du labo de l’édition - toutelaculture.com

    Le laboratoire de l’édition est un espace de 500m2 qui vient d’ouvrir dans le Vème arrondissement juste à côté de la place Monge.

    Sa création répond à la montée en puissance du livre numérique. Il s’agit d’aider les éditeurs et autres structures spécialisées dans le livre numérique et papier, de mettre en relation les différents intervenants dans la sphère du livre, de proposer formations, animations et rencontres à toutes les personnes travaillant ou désireuses de travailler dans ce secteur. Le livre numérique étant désormais une réalité et susceptible d’occuper une place de plus en plus importante dans le marché global de l’édition, il était nécessaire d’ouvrir une structure répondant à ces nouveaux besoins afin que Paris continue à jouer un rôle central dans l’univers de la littérature. Au rez de chaussée du bâtiment se trouve l’espace animations tandis que le premier étage est un incubateur d’entreprises innovantes : une grande salle hébergeant pour une durée d’un an des entreprises créatrices dans le domaine du livre numérique. Quelques premiers lauréats y sont déjà implantés : la plateforme Gutemberg qui est en train de révolutionner l’existence des professeurs et des élèves en leur proposant le contenu de leurs livres scolaires directement sur leurs ordinateurs, i pads et mobiles ; les éditions Aux forges de Vulcain qui privilégient littérature, sciences et essais, StoryLab spécialisé dans les séries littéraires, Flexedo.com : une plate-forme de diffusion des livres dont le site est encore en cours d’élaboration, welovewords un site dédié aux projets d’écriture en plein expansion et bientôt manolosanctis : plate-forme de distribution de livres papier et numérique.

    Un lieu atypique pour tous les mordus de la plume à découvrir sans plus tarder.

    http://toutelaculture.com/2011/12/inauguration-du-labo-de-l%E2%80%99edition

  • Alerte ! Pour les agriculteurs, ressemer sa propre récolte sera interdit ou taxé - LeMonde.fr

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/29/pour-les-agriculteurs-ressemer-sa-propre-recolte-sera-interdit-ou-taxe_16107

    Dans le champ de l’agriculture, l’usage libre et gratuit des graines ne sera bientôt plus qu’un doux souvenir rappelant des méthodes paysannes d’un autre temps. Surnommées « semences de ferme », ces graines étaient jusqu’alors sélectionnées par les agriculteurs au sein de leurs propres récoltes et replantées l’année suivante.

  • Quand Beaubourg, par l’intermédiaire de l’ADAGP, invente le droit de regard sous couvert de droit d’auteur.

    Un photographe amateur se voit réclamer 56 € pour avoir publié sur son blog, gratuit, une photo prise lors d’une expo, gratuite, à la BPI.

    C’est pas tant du droit d’auteur dont il est question là, mais du droit d’expression et du droit d’opinion. Car il s’agit là d’invoquer le droit d’auteurs pour de fait restreindre la liberté d’expression et d’opinion.

    Et puis, une photo n’est pas la copie de l’oeuvre. Elle est autre chose. Elle est un point de vue de quelque chose, mis dans un contexte, dans une lumière, un environnement. Dans ce cas précis, elle est davantage comme un citation, pour illustrer un texte.

    Est-ce que Beaubourg va réclamer des droits d’auteurs à chaque fois que je vais prononcer le mot BPI ou Pompidou ?

    un mail surréaliste de l’ADAGP - Etienne Mineur archives
    http://www.my-os.net/blog/index.php?2011/11/14/1632-un-mail-surrealiste-de-la-dagp

  • Fabrique - Hacktion. Petites actions subversives pour se ré-approprier la ville
    http://www.fabrique-hacktion.com

    Fabrique / Hacktion engage une ré-appropriation des espaces publics et collectifs en installant des greffes, compléments d’objets, qui favorisent un usage, augmentent ou questionnent le mobilier urbain et les dispositifs existants.

    La réalisation de ces greffes tire parti des technologies du Fab-Lab (Ensci), dites de prototypages rapides ou machines plus traditionnelles, qui permettent de réaliser des pièces sur mesure, légères, qui peuvent s’adapter et s’ajuster facilement aux standards de la rue. A chaque intervention correspond un emplacement spécifique, une vidéo explicative, un mode d’emploi et tous les plans de constructions et fichiers à télécharger depuis le site, lequel invite l’usager à participer à la production et à convertir la ville standardisé en un ensemble de quartier singuliers et diversifié.

    Des boites, des tables, des portes-manteaux, des éléments flexibles, élastiques, prennent la ville comme territoire d’expériences et tendent à ouvrir le champ d’investissement du design vers d’autres formes pratiques, informatives et poétiques. Le processus de fabrication vise des contextes particuliers et met en regard les fablabs, sortes d’opportunités émergentes de production et de services, avec les outils et machines plus classiques qui aménagent les villes, les écoles, les réseaux de transports, etc…

    Contact :
    Fabrique Hacktion est un projet mené par Raphaël Pluvinage, Sylvain Chassériaux et Léa Bardin.

  • Après la taxe Tobin, voici la taxe « Robin Hood » : la taxe Robin des Bois.

    http://robinhoodtax.org

    La taxe Robin des Bois est un mouvement social lancé en Angleterre dans la mouvance de l’occupation de Wall Street et en réponse à la « crise de la dette ».

    Il s’agit de taxer les banques, prendre aux riches pour redistribuer aux pauvres. Simple, efficace.

    260 000 personnes suivent cette campagne sur facebook.

    http://www.facebook.com/robinhoodtax

    #robinhoodtax

  • Une plateforme solidaire pour racheter les droits d’auteurs de livre afin de les diffuser sous licence creative commons : gluejar

    Gluejar ou comment désengluer les livres numériques | : : S.I.Lex : :
    http://scinfolex.wordpress.com/2011/07/28/gluejar-ou-comment-desengluer-les-livres-numeriques

    Pour débarrasser les livres numériques de la mélasse juridique qui les imprègne, Gluejar propose de constituer un catalogue d’ouvrages à « libérer », en négociant auprès des titulaires de droits (auteurs et éditeurs) un montant forfaitaire à payer pour qu’ils acceptent de placer l’oeuvre sous licence Creative Commons.

    Pour rassembler la somme, le site Gluejar fonctionnera comme une plateforme de crowdfunding, en permettant à un grand nombre de participants de verser un montant de leur choix afin de contribuer à la libération de l’ouvrage.

    Une fois, l’objectif atteint le livre passe sous licence libre et devient disponible pour tous, ce qui lève la plupart des obstacles juridiques qui rendent les livres numériques si désagréables à utiliser en temps normal.

    En effet, toutes les licences Creative Commons permettent à minima de reproduire et de représenter les oeuvres, ce qui autorisera la copie des livres numériques, mais aussi des pratiques comme le prêt à des tiers ou le don.

    #creativecommons #cc #edition

  • La justice va se prononcer sur le statut du Bitcoin | Le Parisien | Actualités des Journaux

    La justice va se prononcer sur le statut du Bitcoin
    27 sept 2011 dans Le Parisien

    Le Bitcoin est-il une monnaie virtuelle ? La réponse peut sembler évidente pour ses nombreux utilisateurs mais ne tombe pas sous le sens au regard du droit français. Dans le cadre d’un litige qui oppose la banque CIC à l’un de ses clients dans le Val-de-Marne, la justice française devra dans les prochaines semaines se pencher sur cette épineuse question.

    Depuis quelques mois, le Bitcoin, une monnaie virtuelle créée en 2009, affole l’Internet et les marchés financiers. Le système, qui fonctionne grâce à un logiciel gratuit de peer-to-peer, permet d’effectuer des transactions entre ses différents utilisateurs sans intermédiaire bancaire ou étatique, donc sans frais ni taxes et dans le plus parfait anonymat (voir vidéo en anglais http://www.youtube.com/watch?v=Um63OQz3bjo

    ).

    Convertir les bitcoins en quinze monnaies officielles

    Devant le succès rencontré par cette monnaie, plusieurs centaines de commerces en ligne acceptent désormais ce moyen de paiement, tout comme certaines associations activistes, telles que Wikileaks ou les Anonymous. Mais ce qui a suscité un véritable emballement, c’est l’apparition de sites spécialisés dans l’échange de Bitcoins en devises officielles. Depuis le début du mois, Mt.Gox, leader mondial en la matière, propose de convertir les bitcoins en quinze monnaies officielles, du dollar à l’euro mais aussi en roubles ou en yuans chinois, percevant au passage des frais de transaction défiant toute concurrence.

    Dans la zone euro, le site Mt.Gox, filiale de la société Tibanne, basée à Tokyo, travaille avec un intermédiaire basé en région parisienne, la SAS Macaraja. Elle enregistrait, jusqu’à ce que le CIC ne clotûre son compte, « environ 500 transactions par jour » selon son président, qui souhaite rester anonyme. Le CIC a alors fermé une première fois son compte en juillet dernier, estimant que celle-ci exerçait une activité bancaire et d’agent de change sans en détenir l’autorisation. Lors du solde, le compte de Macaraja était crédité de plus d’un million d’euros, correspondant aux dépôts des clients Bitcoins de la société. Le gérant de la société se tourne alors vers six autres banques (Barclays, Bred, Crédit Agricole, BNP Paribas, Société Générale et HSBC) pour y ouvrir un compte, sans succès. Macaraja étant dans l’impossibilité d’exercer son activité sans compte bancaire, elle a fait un recours devant la Banque de France, qui lui reconnait un « droit au compte » et enjoint le CIC de l’héberger.

    Déjà de la spéculation

    Après plusieurs jugements depuis le mois de juillet, le CIC a systématiquement perdu. Le dernier jugement en référé, rendu le 31 août dernier, laisse le soin au juge du fond d’estimer si le bitcoin est ou non une monnaie virtuelle. Devant le tribunal, le patron de Macaraja assure que le bitcoin est un simple « bien immatériel créé gratuitement à partir d’un logiciel gratuit, ne constituant pas un titre de créance et n’ayant pas de contrepartie ». Ce qui est cocasse, dans la mesure où le site officiel de Bitcoin le décrit comme une « monnaie virtuelle P2P » et que le succès de Mt.Gox et d’autres sites d’échange de Bitcoins est fondé sur la spéculation du Bitcoin, dont la valeur s’est envolée ces derniers mois, passant de quelques centimes pour un bitcoin à un pic de 23 € pour finalement redescendre jusqu’à environ 5 € actuellement.

    « En l’état actuel de la loi, je suis gagnant », estime le patron de Macaraja. Dans l’Union européenne, qui fait autorité en matière de législation monétaire, le bitcoin ne correspond à aucune définition juridique. Le seul risque pour Macaraja serait que le juge s’appuie sur « l’esprit de la loi », auquel cas son dirigeant prévoit de faire appel. Le CIC n’a pas souhaité faire de commentaires. L’affaire sera jugée par le tribunal de commerce de Créteil le 18 octobre à 10 heures.

    Article source : http://rss.leparisien.fr/item-1375701-2502484990.html

    http://www.actualites-des-journaux.com/parisien/la-justice-va-se-prononcer-sur-le-statut-du-bitcoin

    La justice va se prononcer sur le statut du #Bitcoin

    • (vieux) cette affaire n’a pas été réglée :

      Les bitcoins devront attendre pour leur régime juridique en France
      http://tabaka.blogspot.fr/2012/01/les-bitcoins-devront-attendre-pour-leur.html

      En ce qui concerne le débat autour de la nature juridique du bitcoin, les magistrats estiment que : « les contestations soulevées par le CIC relatives à l’activité exercée par la société Macaraja, à laquelle elle reproche de pratiquer des opérations de banque ou d’intermédiaire financier, ne peuvent être appréciés qu’en déterminant la nature même des bitcoins, ce qui ne relève pas de l’appréciation du juge des référés, mais de celle du juge du fond »

      En clair, il ne revient pas au juge des référés de rentrer dans un débat sur la nature juridique du bitcoin. Gageons que la Banque de France a sans doute, de son côté et au regard de l’importance prise par ce sujet, lancé une réflexion afin de déterminer la qualification juridique exacte du bitcoin.

      En cas de qualification en « monnaie », cela reviendrait à remettre en cause l’absence de régulation du bitcoin.

  • Déclaration faites lors de l’occupation de Wall Street à New-york

    « Traduction réalisée par Élisa.

    Rassemblé aujourd’hui solidairement pour exprimer un sentiment d’injustice de masse, nous ne devons pas perdre de vue ce qui nous rassemble. Nous écrivons afin que toute personne sentant que la puissance et le contrôle qu’exercent les multinationales leur portent tort puisse savoir que nous sommes votre alliés.

    Comme un seul peuple, uni, nous reconnaissons la réalité : que l’avenir de la race humaine exige la coopération de ses membres ; que notre système doit protéger nos droits, et que la corruption de système étant avéré, il appartient à chacun d’entre nous de protéger nos propres droits, et ceux de leurs voisins ; qu’un gouvernement démocratique tire sa puissance du peuple, mais que les multinationales elles, ne cherchent qu’à extraire la richesse des peuples, du peuple de la Terre sans leur consentement, et que la démocratie véritable n’est pas réalisable lorsque le processus est déterminé par le pouvoir économique. Nous venons à vous à un moment où les multinationales, qui mettent le profit économique au-dessus du la vie humaine, leurs intérêts au-dessus de la justice et de la loi, et l’oppression à la place de l’égalité, sont en fait ceux qui dirigent aujourd’hui nos gouvernements. Nous sommes réunis ici paisiblement, comme c’est notre droit, afin que ces faits soient connus.

    Ils ont pris nos maisons à travers un processus d’expulsion illégale, sans avoir en main les contrats d’hypothèque initiale.
    Ils ont taxés les contribuables pour sauver les banques en toute impunité, et continuent à donner aux dirigeants des bonus exorbitants.
    Ils ont perpétué l’inégalité et la discrimination au travail fondée sur l’âge, la couleur de la peau, le sexe, l’identité de genre et l’orientation sexuelle.
    Ils ont empoisonné l’approvisionnement alimentaire par négligence, et sapé le système d’agriculture et d’élevage par le biais de monopoles.
    Ils ont profité d’innombrables animaux par la torture, l’enfermement et le traitement cruel, et activement cacher ces pratiques.
    Ils ont constamment cherché à dépouiller les employés de le droits de négocier de meilleurs salaires et conditions de travail plus sûr.
    Ils ont pris en otage des étudiants en les obligeant à s’endetter de plusieurs dizaines de milliers de dollars pour accéder à l’enseignement supérieur, qui est en soi un droit humain.
    Ils ont systématiquement délocalisé le travail et utilisées l’externalisation comme levier pour couper l’assurance santé des travailleurs et diminuer leurs rémunération.
    Ils ont influencé les tribunaux pour obtenir les mêmes droits que l’être humain, sans en avoir ni la responsabilité, ni la culpabilité.
    Ils ont dépensé des millions de dollars sur les équipes juridiques qui cherchent tous les moyens possibles pour sortir de leurs contrats en ce qui concerne l’assurance santé.
    Ils ont vendu notre vie privée comme une marchandise.
    Ils ont utilisé la force militaire et policière pour empêcher la liberté de la presse. Ils ont délibérément refusé de rappeler les produits défectueux qui mettent en danger la vie et ce pour la poursuite du profit à tout prix.
    Ils déterminent la politique économique, malgré les échecs catastrophiques que leurs politiques ont produit et continuent à produire.
    Ils ont donné de grosses sommes d’argent à des politiciens, qui sont chargés de les réglementer.
    Ils continuent à bloquer les formes alternatives d’énergie pour sauvegarder le monopole pétrolier.
    Ils continuent à bloquer les formes génériques de médicaments qui pourraient sauver la vie des gens ou de fournir des secours afin de protéger les investissements qui ont déjà rapporté des profits substantiel.
    Ils ont délibérément dissimulé : des déversements d’hydrocarbures, des accidents, des comptabilité défectueuse, et des ingrédients inactifs dans leur poursuite du profit.
    Ils maintiennent les peuples délibérément mal informés et dans la crainte à travers leur contrôle des médias.
    Ils ont accepté des contrats privés pour assassiner des prisonniers, même lorsqu’il y a de sérieux doutes quand à leur culpabilité.
    Ils ont perpétué le colonialisme chez nous et à l’étranger. Ils ont participé à la torture et à l’assassinat des civils innocents à l’étranger.
    Ils continuent à créer des armes de destruction massive afin de recevoir des contrats du gouvernement. *

    Au peuple du monde,

    Nous, l’Assemblée générale de la ville de New York occupant Wall Street en Place de la Liberté, vous invite à affirmer votre pouvoir.

    A : Exercez votre droit de vous assembler paisiblement ; occuper l’espace public, de créer un processus pour résoudre les problèmes auxquels nous faisons face, et de générer des solutions accessibles à tous.

    Pour toutes les communautés qui prennent de telles mesures et tous les groupes qui se forment dans l’esprit de la démocratie directe, nous offrons notre soutien, la documentation et toutes les ressources à notre disposition.

    Rejoignez-nous et faire entendre votre voix ! »

    Source de cette cette traduction :

    http://agora32.fr/spip.php?article205

    #occupywallstreet

  • Plusieurs failles de sécurité ont été repérées dans les versions 1.9.2, 2.0 et 2.1 de SPIP.

    La faille concernant la version 1.9.2 est majeure (injection sql) et si vous avez une version 1.9.2 de SPIP, nous conseillons vivement de faire la mise à jour en 1.9.2.k.

    Concernant les versions 2.0 et 2.1, si l’impact sur un site est moins important (full path disclosure), nous conseillons toutefois de mettre à jour en 2.0.16 et 2.1.11.

    Dans tous les cas vous avez toujours la possibilité de protéger rapidement votre site (en attendant sa mise à jour complète) en téléchargeant la version 1.0.5 (26 juillet 2011) de l’écran de sécurité, et en la déposant dans votre répertoire config/ (cf. http://www.spip.net/fr_article4200.html).

    N’hésitez pas à utiliser les différents moyens mis à disposition de la communauté (http://boussole.spip.org) pour obtenir de l’aide lors de cette mise à jour ; en particulier :

    liste spip-user http://listes.rezo.net/mailman/list...
    forum http://forum.spip.org
    IRC http://spip.net/irc

    Avertissement :

    Noter qu’à la sortie de la version 3.0, le support de la branche 1.9.2 sera définitivement abandonné.
    SPIP 1.9.2k, 2.0.16, 2.1.11 et 3.0.0-beta disponibles - SPIP-Contrib
    http://www.spip-contrib.net/SPIP-1-9-2k-2-0-16-2-1-11-et-3-0-0-beta-disponibles

  • L’enfumage de « la dette » | Social, économie et politique
    http://www.actuchomage.org/2011091817162/Social-economie-et-politique/lenfumage-de-lla-detter.html

    Pourtant, l’imposture est énorme. Car 1.640 milliards, c’est le montant de la dette totale de la France qui — à tort et volontairement — est rapporté au volume de son PIB annuel, alors qu’il convient de rapporter le stock de dettes au volume total du PIB sur toute la durée de vie de celles-ci — soit plusieurs années —, comme cela se fait pour les ménages qui contractent des prêts.