Rezo

Le portail des copains

    • « Il est logique de reconnaître aux Maires la possibilité d’exiger des devoirs en contrepartie de droits, le respect de son pays et des morts pour la France en fait partie. »

      Le front de l’air est vraiment putride.
      Bientot le RSA conditionné à la présence lors des commemoration de Pétain et Maurras. La CAF à condition de dire notre fierté pour Depardieu....
      Bientôt tu pourra crever la dalle si t’es pas Charlie

    • Le tribunal administratif de Toulon a (...) validé le 26 janvier 2024, cette décision du maire, adoptée en septembre 2022, par la majorité des élus de #droite. Cette mesure avait été cependant contestée par la suite par la préfecture qui dénonçait : "une ingérence dans les libertés d’association et de conscience".

      Le tribunal administratif de Toulon a estimé que cette dernière favorisait "l’engagement des associations lors d’événements ayant un intérêt public local" sans enfreindre "le principe de neutralité".

      #Associations #subventions

      Droits et devoirs : la rupture Macron
      https://www.mediapart.fr/journal/france/250322/droits-et-devoirs-la-rupture-macron

      Pour le président-candidat, « les devoirs valent avant les droits ». Cette logique, qui va à l’encontre des principes fondamentaux de l’État social et l’#État_de_droit, irrigue l’ensemble de son projet de réélection. En distinguant les bons et les mauvais citoyens.
      Romaric Godin et Ellen Salvi
      25 mars 2022


      EmmanuelEmmanuel Macron a rarement parlé de « droits » sans y accoler le mot « devoirs ». En 2017 déjà, il présentait les contours de sa future réforme de l’assurance-chômage, en expliquant vouloir « un système exigeant de droits et de devoirs ». Deux ans plus tard, au démarrage du « grand débat national », pensé comme une campagne de mi-mandat pour endiguer la crise des « gilets jaunes », il déplorait l’usage de l’expression « cahier de doléances », lui préférant celle de « cahiers de droits et de devoirs » [le droit de se plaindre, et surtout le devoir de la fermer et d’obéir, ndc]..
      À l’époque, le chef de l’État prenait encore soin, au moins dans son expression, de maintenir un semblant d’équilibre. Mais celui-ci a volé en éclats au printemps 2021, en marge d’un déplacement à Nevers (Nièvre). Interpellé par un homme sans papiers, le président de la République avait déclaré : « Vous avez des devoirs, avant d’avoir des droits. On n’arrive pas en disant : “On doit être considéré, on a des droits.” » Avant d’ajouter, sans l’ombre d’une ambiguïté : « Les choses ne sont pas données. »

      Jeudi 17 mars, le président-candidat a de nouveau invoqué la question des devoirs en abordant le volet régalien de son projet. Rappelant son engagement à accueillir des familles ukrainiennes fuyant la guerre, il a immédiatement prévenu vouloir « changer les modes d’accès aux titres de séjour » et notamment les titres de séjour longs, qui seront désormais accordés « dans des conditions beaucoup plus restrictives ». Parce que non, définitivement, « les choses ne sont pas données ».
      Cette rhétorique du donnant-donnant irrigue aujourd’hui l’ensemble du programme d’Emmanuel Macron. Elle s’impose ainsi dans le volet économique de celui-ci. La mesure la plus représentative en la matière étant sans doute la mise sous condition de travail ou de formation du revenu de solidarité active (#RSA). Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a d’ailleurs explicitement indiqué que cette proposition s’inscrivait dans cette « logique de droits et devoirs » proposée par le candidat.
      Une logique, ou plus exactement une précédence, que le chef de l’État a lentement installée, l’étendant des sans-papiers à tous les citoyens et citoyennes. « Être #citoyen, ce n’est pas demander toujours des droits supplémentaires, c’est veiller d’abord à tenir ses devoirs à l’égard de la nation », avait-il lancé en août 2021. « Être un citoyen libre et toujours être un citoyen responsable pour soi et pour autrui ; les devoirs valent avant les droits », insistait-il en décembre, à destination des personnes non vaccinées.

      Une vision digne de l’Ancien Régime

      Emmanuel Macron a balayé, en l’espace de quelques mois, l’héritage émancipateur de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. Pour les rédacteurs de cette dernière, rappelait l’avocat Henri Leclerc dans ce texte, « les droits qu’ils énoncent sont affaire de principe, ils découlent de la nature de l’homme, et c’est pourquoi ils sont imprescriptibles ; les devoirs eux sont les conséquences du contrat social qui détermine les bornes de la liberté, par la loi, expression de la volonté générale ».
      « Ce sont les sociétés totalitaires qui reposent d’abord sur l’#obéissance à des impératifs non négociables qui, en fait, ne sont pas des devoirs auxquels chacun devrait subordonner librement ses actes, écrivait-il en guise de conclusion. Les sociétés démocratiques reposent sur l’existence de droits égaux de citoyens libres qui constituent le peuple d’où émane la souveraineté. Chacun y a des devoirs qui, sans qu’il soit nécessaire de les préciser autrement, répondent à ses droits universels. »
      Début 2022, face aux critiques – Jean-Luc Mélenchon avait notamment tweeté : « Les devoirs avant les droits, c’est la monarchie féodale et ses sujets. Le respect des droits créant le devoir, c’est la République et la citoyenneté » –, Gabriel Attal avait assuré un nouveau service après-vente. Dans Le Parisien, le porte-parole du gouvernement avait expliqué vouloir « poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales ».

      La conception conservatrice du « bon sens »

      Cette « redéfinition de notre contrat social » se traduit par plusieurs mesures du projet présidentiel : le RSA donc, mais aussi l’augmentation des salaires du corps enseignant contre de nouvelles tâches – « C’est difficile de dire : on va mieux payer tout le monde, y compris celles et ceux qui ne sont pas prêts à davantage s’engager ou à faire plus d’efforts », a justifié Emmanuel Macron [avant d’introduire la notion de #salaire_au_mérite dans la fonction publique, ndc]–, ou même la réforme des retraites qui soumet ce droit devenu fondamental à des exigences économiques et financières.
      Cette vision s’appuie sur une conception conservatrice du « bon sens », qui conditionne l’accès aux droits liés aux prestations sociales à certains comportements méritants. Elle va à l’encontre total des principes qui fondent l’État social. Ce dernier, tel qu’il a été conçu en France par le Conseil national de la Résistance, repose en effet sur l’idée que le capitalisme fait porter sur les travailleurs et travailleuses un certain nombre de risques contre lesquels il faut se prémunir.

      Ce ne sont pas alors d’hypothétiques « devoirs » qui fondent les droits, c’est le statut même du salarié, qui est en première ligne de la production de valeur et qui en essuie les modalités par les conditions de travail, le chômage, la pénibilité, la faiblesse de la rémunération. Des conditions à l’accès aux droits furent toutefois posées d’emblée, l’État social relevant d’un compromis avec les forces économiques qui ne pouvaient accepter que le risque du chômage, et sa force disciplinaire centrale, ne disparaisse totalement.
      Mais ces conditions ne peuvent prendre la forme de devoirs économiques, qui relèvent, eux, d’une logique différente. Cette logique prévoit des contreparties concrètes aux aides sociales ou à la rémunération décente de certains fonctionnaires. Et ce, alors même que chacun, y compris Emmanuel Macron, convient de la dévalorisation du métier d’enseignant. Elle conduit à modifier profondément la conception de l’aide sociale et du traitement des fonctionnaires. À trois niveaux.
      Le premier est celui de la définition même des « devoirs ». Devoirs envers qui ou envers quoi ? Répondre à cette question, c’est révéler les fondements philosophiques conservateurs du macronisme. Un bénéficiaire du RSA aurait des devoirs envers un État et une société qui lui demandent de vivre avec un peu plus de 500 euros par mois ? Il aurait en quelque sorte des « contreparties » à payer à sa propre survie.
      Si ces contreparties prenaient la forme d’un travail pour le secteur privé, celui-ci deviendrait la source du paiement de l’allocation. C’est alors tout le centre de gravité de l’État social qui évoluerait, passant du travail au capital. En créant la richesse et en payant l’allocation, les entreprises seraient en droit de demander, en contrepartie, du travail aux allocataires au RSA, lesquels deviendraient forcément des « chômeurs volontaires » puisque le travail serait disponible.

      Les allocataires du RSA devront choisir leur camp

      Ce chômage volontaire serait une forme de comportement antisocial qui ferait perdre à la société sa seule véritable richesse : celle de produire du profit. On perçoit, dès lors, le retournement. La notion de « devoirs » place l’allocataire du RSA dans le rôle de #coupable, là où le RMI, certes imaginé par Michel Rocard dans une logique d’insertion assez ambiguë, avait été pensé pour compléter l’assurance-chômage, qui laissait de côté de plus en plus de personnes touchées par le chômage de longue durée.

      Ce retournement a une fonction simple : #discipliner le monde du travail par trois mouvements. Le premier, c’est celui qui veut lui faire croire qu’il doit tout au capital et qu’il doit donc accepter ses règles. Le second conduit à une forme de #criminalisation de la #pauvreté qui renforce la peur de cette dernière au sein du salariat – un usage central au XIXe siècle. Le dernier divise le monde du travail entre les « bons » citoyens qui seraient insérés et les « mauvais » qui seraient parasitaires.
      C’est le retour, déjà visible avec les « gilets jaunes », à l’idée que déployait Adolphe Thiers dans son discours du 24 mai 1850, en distinguant la « vile multitude » et le « vrai peuple », « le pauvre qui travaille » et le « vagabond ». Bientôt, les allocataires du RSA devront choisir leur camp. Ce qui mène à la deuxième rupture de cette logique de « devoirs ». Le devoir suprême, selon le projet d’Emmanuel Macron, est de travailler. Autrement dit de produire de la valeur pour le capital.

      Individualisation croissante

      C’est le non-dit de ces discours où se retrouvent la « valeur #travail », les « devoirs générateurs de droits » et le « #mérite ». Désormais, ce qui produit des droits, c’est une capacité concrète à produire cette valeur. Il y a, dans cette démarche, une logique marchande, là où l’État social traditionnel voyait dans la protection sociale une fenêtre de démarchandisation – c’est parce qu’on devenait improductif qu’on devait être protégé. À présent, chacun, y compris les plus fragiles, doit faire preuve de sa capacité constante de production pour justifier son droit à survivre.

      Cette #marchandisation va de pair avec une individualisation croissante. Dans le modèle traditionnel, la pensée est systémique : le capitalisme produit des risques sociaux globaux dont il faut protéger tous les travailleurs et travailleuses. Dans le modèle des contreparties, chacun est mis face à l’injonction de devoir justifier individuellement ses droits par une mise à l’épreuve du marché qui est le juge de paix final. On comprend dès lors pourquoi Christophe Castaner prétend que l’allocation sans contrepartie est « la réponse des lâches ».
      Car ce choix laisserait les individus sans obligations devant le marché. Or, pour les partisans d’Emmanuel Macron, comme pour Friedrich Hayek, la seule façon de reconnaître un mérite, c’est de se confronter au marché qui donne à chacun ce à quoi il a droit. La vraie justice est donc celle qui permet d’être compétitif. C’est la vision qu’a d’ailleurs défendue le président-candidat le 22 mars, sur France Bleu, en expliquant que la « vraie inégalité » résidait dans « les inégalités de départ ». L’inégalité de résultat, elle, n’est pas remise en cause. [voir L’égalité des chances contre l’égalité http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4443]

      Le dernier point d’inflexion concerne l’État. Dans la logique initiale de la Sécurité sociale, la protection contre les risques induits par le capitalisme excluait l’État. De 1946 à 1967, seuls les salariés géraient la Sécu. Pour une raison simple : toutes et tous étaient les victimes du système économique et les bénéficiaires de l’assurance contre ces risques. Le patronat cotisait en tant qu’origine des risques, mais ne pouvait décider des protections contre ceux qu’il causait. Ce système a été progressivement détruit, notamment en s’étatisant.
      Le phénomène fut loin d’être anecdotique puisqu’il a modifié le modèle initial et changé la nature profonde de l’État : désormais, le monde du travail est redevable à celui-ci et au patronat de ses allocations. Ces deux entités – qui en réalité n’en forment qu’une – exigent des contreparties aux allocataires pour compenser le prix de leur prise en charge. L’État étant lui-même soumis à des choix de rentabilité, l’allocataire doit devenir davantage rentable. Dans cet état d’esprit, cette « #rentabilité » est synonyme « d’#intérêt_général ».
      Les propositions sur le RSA et le corps enseignant entrent dans la même logique. Emmanuel Macron agit en capitaliste pur. Derrière sa rhétorique des droits et des devoirs se profilent les vieilles lunes néolibérales : marchandisation avancée de la société, discipline du monde du travail et, enfin, idée selon laquelle l’État serait une entreprise comme les autres. Le rideau de fumée de la morale, tiré par un candidat qui ose parler de « dignité », cache mal le conservatisme social de son système de pensée.

      Romaric Godin et Ellen Salvi

      #subventions #associations #contrepartie #droits #devoirs #égalité #inégalité

  • Saldmann à « Quelle époque ! » : du « Hanouna pour CSP+ » | Pauline Bock
    https://www.arretsurimages.net/articles/saldmann-a-quelle-epoque-du-hanouna-pour-csp

    Frédéric Saldmann est médecin et en promo pour son 17ème livre. Sur le plateau de « Quelle époque ! » sur France 2, il a partagé son enthousiasme pour le jeûne séquentiel, qui « rend intelligent » et permettrait de « rester jeune »... sans aucune remise en contexte de la part de Léa Salamé, fascinée. Sauf que pour des médecins, Saldmann est « un charlatan » qui « raconte des insanités scientifiques ». Oups. Source : Arrêt sur images

  • Médecin du travail interdit d’exercer : « Le patronat cherche à court-circuiter les règles » | Maïa Courtois
    https://rapportsdeforce.fr/ici-et-maintenant/medecin-du-travail-interdit-dexercer-le-patronat-cherche-a-court-cir

    Exerçant dans le secteur du BTP, un médecin du travail, le Dr Jean-Louis Zylberberg, vient d’être lourdement sanctionné par l’Ordre des médecins. Sa faute ? Avoir délivré des avis d’inaptitude « de complaisance », de nature à « léser » l’entreprise, estime l’Ordre. Le médecin concerné et ses soutiens dénoncent un système de pression exercé sur la profession, au détriment de la protection des salariés. Source : Rapports de Force

  • L’État français menace d’expulser une famille palestinienne vers Gaza - Contre Attaque
    https://contre-attaque.net/2024/02/06/letat-francais-menace-dexpulser-une-famille-palestinienne-vers-gaza

    L’État français menace d’expulser une famille palestinienne vers Gaza
    6 février 2024Exilés, Guerre, Répression
    Ce pays est fou. Après que les autorités françaises aient interdit les manifestations de solidarité avec le peuple palestinien et traqué toute parole qui contestait la propagande de guerre israélienne, apporté son soutien inconditionnel à un régime génocidaire, fourni des armes et financé l’un des pires massacres de l’histoire contemporaine, elles souhaitent expulser une famille palestinienne qui vit à Rennes vers la bande de Gaza, devenue un véritable tombeau à ciel ouvert.

    C’est par voie de presse, dans un article de Ouest-France du 5 février, qu’on apprend que la préfecture d’Ille-et-Vilaine ne s’opposait pas à l’expulsion de Shaden et Ibrahim Awad ainsi que leurs 3 enfants.

    L’enclave palestinienne a littéralement été rasée par les bombardements de l’armée coloniale israélienne. Plusieurs dizaines de milliers de palestiniens ont été tués depuis le 7 octobre, d’autres sont encore ensevelis sous les décombres. Deux millions de personnes ont été déplacées de force. Le risque de famine et le manque de soins menacent directement la vie de centaines de milliers de gazaouis. Le sud de la bande de Gaza, où s’entassent les réfugiés palestiniens dans la région de Khan Younes, est pilonné par l’aviation israélienne. Il s’agit du plus grand massacre d’enfants de ce début de siècle. Mais un Préfet valide l’ordre d’expulsion dans cet enfer.

    Cette famille gazaouie avait réussi à fuir les bombardements israéliens de 2014 et à échapper à la mort. En 2018, les autorités françaises leur refusaient le droit d’asile, les empêchant de travailler. Depuis 2021, malgré différents recours et la fin de validité de leurs attestations de demandeurs d’asile, le couple est sans-papiers. Malgré une promesse d’embauche, leurs demandes de titres de séjour sont restées sans réponse et leur vie est en suspens. En février 2024, ils sont menacés d’être déportés dans la ville cimetière de Gaza. Et ce n’est pas un cas isolé.

    En juin 2023, à Lille, un professeur de français, Waleed Aboudipaa, palestinien de 38 ans, recevait par courrier une obligation de quitter le territoire par la préfecture du Nord. Il vit aujourd’hui sous la menace d’une expulsion. Le 10 novembre 2023, Mariam Abu Daqqa, militante révolutionnaire du Front Populaire de Libération de la Palestine était expulsée après avoir été arrêtée et enfermée dans un centre de rétention administrative alors qu’elle devait donner un cycle de conférences en France.

    Nommons les choses : il s’agit de mises en danger délibérées d’un cynisme absolu. La Cour internationale de justice a alerté sur le risque de génocide tandis que le gouvernement fasciste israélien poursuit son opération de nettoyage ethnique et son expansion coloniale à Gaza et en Cisjordanie. L’État Français n’est pas simplement complice. En fournissant les armes et en finançant l’État Israélien d’un côté tout en expulsant les réfugiés palestiniens de son territoire de l’autre, il collabore activement avec un régime barbare et colonial d’un bout à l’autre de la chaîne génocidaire.

    • Ce compromis, approuvé par un juge, permet d’éviter un procès qui se profilait notamment dans le Massachusetts, mais dans son communiqué, Letitia James met violemment en cause Publicis. « Pendant une décennie, Publicis a aidé les fabricants d’opioïdes comme Purdue Pharma à convaincre les médecins de prescrire trop d’opioïdes, alimentant directement la crise des opioïdes et provoquant la dévastation de communautés à l’échelle nationale », déclare la procureure.

      Si t’es riche, suffit de payer un peu et la justice passe à autre chose, même si ton crime est immense.

      #justice

      https://justpaste.it/9r87d

    • Pour les forfaitures infects mises sous le tapis grâce à cet accord avec #publicis faudra voir avec le mari de Amélie Claire Castéra (devenue Amélie Oudéa-Castéra et multiministre) qui en est directeur.

      Oups, EDIT, c’est son père qui était directeur de Publicis !

    • Tu vois les gars qui tentent d’échapper à l’incendie ce qui leur arrive ? https://www.dailymotion.com/video/x1uxl85?start=600


      Ben d’après ta copine, ils sont morts « asphyxiés et brûlés » :
      https://blogs.mediapart.fr/anna-colin-lebedev/blog/290116/d-ou-me-venait-cette-legere-impression-de-m-etre-fait-avoir
      Ahlala ! Ils sont vraiment trop cons ces prorusses à brancher 26 appareils sur leur multiprise, un accident domestique est si vite arrivé... heureusement que Anna-la-vérité et rezo.net-nous-sommes-des-antifas sont la pour rétablir la vérité !
      T’as pas l’impression quand même de défendre l’indéfendable ?

    • « Si les Noirs sont lourdement surreprésentés dans les prisons américaines, avec 40% des détenus, ils le sont aussi dans le cabinet Biden. Alors que la population américaine compte 13% de Noirs, le cabinet Biden en compte 26% » (p. 64), avant de conclure : « L’élite WASP indiquait une direction, des objectifs moraux, bons ou mauvais. Le groupe dirigeant actuel (je n’ose l’appeler élite) ne propose rien de tel » (p. 65). Sans ambiguïté, Todd associe de manière explicite ce qu’il décrit comme une décadence des élites américaines et la présence de Noirs en leur sein. Évidemment, Todd s’exprime poliment, mais l’objectif de cette juxtaposition entre décadence et présence des Noirs dans l’administration Biden est tout à fait clair. De même, comment ne pas voir une référence antisémite lorsqu’il écrit :
      « les deux personnalités les plus influentes qui « gèrent » l’Ukraine, Antony Blinken, le secrétaire d’État, et Victoria Nuland, la sous-secrétaire d’État, sont d’origine juive. (…) Cette guerre, si elle présente l’avantage, dans les rêves des néoconservateurs, d’user démographiquement la Russie, ne contribuera nullement, quelle que soit son issue, à consolider la nation ukrainienne mais à la détruire. À la fin du mois de septembre 2023, la police militaire ukrainienne a ceint le pays de barbelés pour empêcher les hommes valides, écœurés par la contre-offensive inutile et meurtrière de l’été, exigée par Washington, de fuir en Roumanie ou en Pologne pour échapper à la conscription. Quelle importance ? Pourquoi les Américains d’origine juive ukrainienne qui, avec le gouvernement de Kiev, copilotent cette boucherie ne ressentiraient-ils pas cela comme une juste punition infligée à ce pays qui a tant fait souffrir leurs ancêtres ? » (p. 67).

      https://www.jean-jaures.org/publication/defaite-de-loccident-ou-defaite-du-marche-des-idees-sur-le-dernier-ouvr

    • Je constate que la vaporisation du protestantisme aux États-Unis, en Angleterre et dans l’ensemble du monde protestant a fait disparaître ce qui constituait la force et la spécificité de l’Occident. La variable centrale est la dynamique religieuse. Après l’état actif puis « zombie », on peut parler d’un état zéro de la religion en Occident. J’utilise la date du mariage homosexuel comme indicateur ultime du passage du stade « zombie » de la religion au stade zéro.

      [...]

      Vous notez, à ce propos, une surreprésentation des Noirs et des Juifs au sein du cabinet de Biden, lequel Biden est catholique d’origine irlandaise. Pourquoi partir de la souche pour expliquer une orientation géopolitique ?

      Mon analyse est plus fine. Je constate que la matrice protestante a disparu au sommet du pouvoir américain.

      [...]

      Ce pays fait 17 millions de kilomètres carrés ! Comment est-ce que les Russes pourraient avoir envie d’accroître leur territoire ?

      [...]

      L’histoire dira si je suis l’héritier de Marx et de Weber combinés ou de Woody Allen – ce qui n’est déjà pas si mal.

      [...]

      L’Angleterre est encore moins puissante que la France. Les Anglais n’ont pas vraiment l’arme nucléaire. Ils ne sont même pas capables de se faire détester en Afrique, comme nous.

      https://archive.ph/Qrg35

  • Questions structurelles : le coût des matériaux et la valeur du travail
    https://topophile.net/savoir/questions-structurelles-le-cout-des-materiaux-et-la-valeur-du-travail

    Dans un avenir alternatif, les taxes protègent le travail humain et pénalisent l’utilisation excessive de matériaux pour mettre fin aux pratiques de gaspillage. Dans ce futur possible, il y a davantage d’emplois mais la production industrielle est en baisse. La réduction des déchets engendre moins d’exploitation de la matière et de l’énergie, en échange d’une... Voir l’article

    • #DNS et #politique de la #Russie
      Les déclarations de politiciens à propos de l’internet ont souvent un côté comique involontaire. Cela touche ausse les chancelières cf. #Neuland de Merkel.

      Notez que la phrase du ministre « le problème a été résolu pour les abonnés du système national de noms de domaine » était fausse. Le problème a été résolu pour tout le monde (ce « système national de noms de domaine » est l’objet de beaucoup de propagande et de fantasme et il n’est pas du tout sûr qu’il ait une existence réelle).

  • Cancel culture : le lobby agro-industriel fait annuler une journée d’étude sur l’écologie - Contre Attaque
    https://contre-attaque.net/2024/01/25/cancel-culture-le-lobby-agro-industriel-fait-annuler-une-journee-det

    Il en faut peu pour énerver le lobby agro-industriel. Ce jeudi 25 janvier, la prestigieuse école d’agronomie Agro Paris Tech devait organiser une journée d’étude intitulée : « Paradoxes de l’action stratégique écologiste contemporaine ».

    Une rencontre prévue de longue date, réunissant des professeurs, des chercheurs et des personnes engagées dans les mobilisations écologistes, pour aborder, avec les étudiant-es, les questions relatives à l’écologie, aux modalités de son action et à la répression à laquelle elles sont confrontées.

    Une simple journée de formation, comme il y en a régulièrement à Agro Paris, avec des intervenants de diverses sensibilité, y compris pratiquant l’agriculture intensive. « Cette journée d’étude s’inscrit dans des recherches que nous menons depuis plusieurs années sur les évolutions des pratiques écologistes, au regard de l’aggravation des situations écologiques » explique Arnaud Villalbal, enseignant à l’initiative de ces rencontres. Mais cela n’a pas plu au lobby de l’agriculture intensive. Pourquoi ? Parmi les invité-es se trouvent le collectif Bassines Non Merci, les Soulèvements de la Terre, des spécialistes de la répression ou un acteur de la cause anti-spéciste, entre autres.

    #lobby de l’#agroindustrie

    • « J’ai honte de mon école » : AgroParisTech annule l’invitation de militants écolos
      https://reporterre.net/J-ai-honte-de-mon-ecole-AgroParisTech-annule-l-invitation-de-militants-e

      L’école AgroParisTech a annulé une journée d’étude avec des activistes antibassines et antispécistes, prévue le 25 janvier. Motif : éviter qu’elle ne leur serve de « caisse de résonance ». Elle a finalement été déplacée ailleurs.

      lundi 22 janvier à 13 h 30, Bruno Villalba a reçu un coup de fil d’une tout autre teneur : « Il m’a fait savoir dès le départ de la conversation qu’il avait décidé d’interdire la journée, se remémore le chercheur dépité. Il a remis en cause la portée scientifique de l’événement, sans réellement apporter d’éléments probants. Il a précisé que le contexte ne se prêtait pas à cette journée. Qu’il n’était pas souhaitable de recevoir des personnes condamnées pour leurs actions . »

  • « Une nouvelle bande dessinée d’Alessandro Pignocchi, participant de l’expédition de cet automne en défense du glacier de la Grave contre la construction d’un 3ème tronçon de téléphérique 🏔️🦫 »

    À lire librement sur son blog
    https://puntish.blogspot.com/2024/01/defendre-le-glacier-de-la-grave.html?m=1

    https://www.terrestres.org/2024/01/26/defendre-le-glacier-de-la-grave

    L’auteur de bande dessinée à l’aquarelle A. Pignocchi partage avec Terrestres sa dernière création artistique et politique. Avec humour, ces nouvelles planches nous embarquent au cœur de la lutte sur le Glacier de la Grave dans les Alpes

    • Quand un service est « rentable » juste parce qu’il est trop cher, est-il vraiment rentable ? (comment je te brain fuck l’offre et la demande - notion de « service incontournable »). L’article m’a fait penser au transport de passagers.

  • Nouvelle-Calédonie-Kanaky : un processus de décolonisation en panne
    https://www.ritimo.org/Nouvelle-Caledonie-Kanaky-Un-processus-de-decolonisation-en-panne

    Malgré un modèle économique à bout de souffle, un déficit budgétaire de 220 millions d’euros, de très fortes menaces sur les opérateurs du nickel, un solde migratoire et naturel en berne et de réelles inquiétudes environnementales, la Nouvelle-Calédonie-Kanaky reste un espoir pour les militant·es indépendantistes qui refusent d’accepter que la souveraineté leur soit confisquée. « Cette France peut tout nous prendre, mais elle ne nous prendra pas notre liberté et notre farouche volonté d’émancipation. » Source : ritimo

    • Dans la nuit du 3 au 4 novembre 2023, Fanta, 3 mois, est décédée suite à une intoxication au monoxyde de carbone. La veille, sa mère, privée depuis presque un an par la politique de #dématérialisation des procédures administratives et par la #Préfecture du Nord de son droit au travail et de ses droits sociaux, avait tenté de réchauffer leur appartement privé d’électricité, avec un brasero de fortune, conduisant au drame.
      Une marche blanche le 3 février 2024 à 14h devant la Préfecture du Nord, 12 rue Jean Sans Peur à Lille, appelle à rendre hommage à ce bébé, victime de la non-impression d’un bout de papier.

      Il est des coupables qui viennent de loin et qui n’ont pas toujours de visage, ni même d’arme pour tuer. Ici, la plateforme de dématérialisation #ANEF, gérée par le #ministère_de_l’Intérieur, et la Préfecture du Nord ont mis plus d’un an à fournir à Fatima, 26 ans, sa carte de résidente de réfugiée, indispensable pour circuler, travailler et bénéficier des droits sociaux reconnus aux personnes réfugiées. Un an à faire la sourde oreille aux interpellations de tous les travailleurs sociaux, un an à se renvoyer la balle, jusqu’à conduire Fatima à une précarité extrême telle que sa fille Fanta, âgée d’à peine 3 mois, n’y survivra pas.

      #immigration #étrangers #carte_de_séjour

  • Combattre la pandémie de COVID-19 doit devenir un enjeu central | Hugo Maltais
    https://www.wsws.org/fr/articles/2024/01/23/rhtv-j23.html

    La capacité de l’élite dirigeante à cacher les immenses dangers posés par la pandémie à des masses de gens, ainsi que son indifférence totale face à ces dangers, dépend avant tout de la complicité des appareils syndicaux – en particulier, des syndicats du secteur public censés représenter les travailleurs de première ligne, notamment en santé et en éducation, qui sont les plus exposés au virus mortel. Source : World Socialist Web Site

  • En finir avec l’inclusion scolaire | Le Club
    https://blogs.mediapart.fr/jadran-svrdlin/blog/240124/en-finir-avec-linclusion-scolaire

    Le syndicat Force Ouvrière est à l’initiative d’une mobilisation nationale « contre l’inclusion systémique ». Objectif affiché : « dénoncer la maltraitance qu’induit le système actuel ». De quoi s’agit-il et en quoi est-ce problématique ? Explications.

    Il faut bien lire ce texte jusqu’au bout.