Sandburg

Développeur, col blanc en T-shirt noir.

  • J’ai rêvé que dans un futur proche, il faudra remplir des déclarations pour lister nos possessions d’hydrocarbures , un peu comme on déclare ses impôts.
    Je ne sais pas dans quelle DDR française post crise climatique je me trouvais, mais c’était un dispositif mis en place pour lutter contre les dérèglements écologiques.
    J’imagine que des sanctions pouvaient ensuite s’appliquer.

    Et moi, j’étais à recenser mes bidons d’Essence E, White Spirit et autres Acétones, seuls hydrocarbures en ma possession.

    J’adore les rêves. Pas besoin de ChatGPT.

  • Le « micro-féminisme », une arme subtile pour lutter contre le sexisme du quotidien

    – « Lorsque j’envoie un mail à un PDG ou un chef d’entreprise qui a une assistante, je mets toujours cette dernière comme destinataire principale »
    – « J’utilise toujours le féminin pour identifier, donc si tu me dis que tu es allé chez le docteur, je réponds : qu’est-ce qu’ELLE t’a dit ? »
    – « Je travaille en crèche et j’ai pour règle de toujours appeler les papas en premier quand l’enfant est malade »
    – « Lorsqu’un groupe de collègues masculins termine un projet ou une présentation, je ne dis pas ’’excellent travail, messieurs’’ mais ’’excellent travail, les garçons’’, de la même manière que les hommes professionnels disent ’’excellent travail, les filles’’ »

    https://www.ouest-france.fr/societe/famille/feminisme/le-micro-feminisme-une-arme-subtile-pour-lutter-contre-le-sexisme-du-qu

    Ca me rappelle une copine qui voulait faire comme dans Le Nom Des Gens (2010) , et crier des slogans marxistes à des droitards quand ils joussaient (je crois que c’est resté au stade de projet).

  • La Belgique confrontée à une flambée de l’absentéisme au travail en 2023

    D’après une enquête de la société spécialisée Securex, les défections d’un jour ont crû de plus de 44 % à la suite d’une réforme prévoyant une dispense de certificat médical pour une première journée d’absence.
    Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, correspondant)

    Ils ne sont sans doute pas tous paresseux ou en mauvaise santé, mais ils sont peut-être finauds : les travailleurs belges savent apparemment profiter de tous les avantages que leur octroie la loi. Leurs patrons, eux, sont un peu moins satisfaits ; c’est ce que vient de révéler une étude de Securex, une société spécialisée dans les ressources humaines.

    La grande enquête, menée auprès d’environ 24 000 employeurs et 198 000 travailleurs, confirme une flambée de l’#absentéisme en 2023, à la suite d’une réforme adoptée l’année précédente. Elle prévoyait une dispense de certificat médical pour une première journée d’absence. Résultat : une augmentation spectaculaire (+ 44,2 %) de ces défections d’un jour. Et une hausse importante aussi (+ 16 %) du nombre de ceux qui se sont déclarés malades pendant un jour trois fois dans l’année, en conformité avec les nouvelles dispositions.

    « Certains semblent considérer tout cela comme une nouvelle forme de congé », déplore le Voka, la principale organisation d’employeurs flamande. « Les entreprises nous indiquent que des employés estiment avoir droit à ces #arrêts_de_travail et les planifient, parfois des semaines à l’avance. C’était le risque. Aujourd’hui, il est démontré », explique Matthieu Dewèvre, conseiller à l’Union des classes moyennes.

    Réorganisation des tâches

    Les syndicats, en revanche, refusent d’évoquer un quelconque abus. « Un jour d’absence, c’est un signal d’alarme. [Le patron] qui investit dans son personnel et assure un bon équilibre entre travail et vie privée sera, lui, récompensé », affirme, dans le quotidien De Morgen, Raf De Weerdt, secrétaire général du syndicat socialiste ABVV.
    Du côté de Securex, on préfère parler de « proactivité » et de prévention. Détecter un malaise au #travail, la fatigue ou les erreurs éventuelles commises par un employé permet souvent d’éviter les absences, commente la société. Qui souligne aussi qu’impliquer les collègues d’un absent dans la recherche de solutions est une démarche à privilégier.

    Les spécialistes observent par ailleurs que les absences d’un jour, même répétées et forçant à une réorganisation des tâches, sont, en définitive, moins pénalisantes pour les #entreprises que celles, souvent plus longues, prescrites par un certificat médical.

    Il est à noter que, dans les sociétés de moins de 50 personnes, pour lesquelles la loi ne s’applique pas, donc où les travailleurs doivent justifier toute absence, les défections d’un jour ont progressé trois fois moins vite (+ 15 %). Et le pourcentage des employés se disant malades trois fois par an, ou plus, a, lui, baissé de 3,9 %.

    https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/04/13/la-belgique-confrontee-a-une-flambee-de-l-absenteisme-au-travail-en-2023_622

    • Donc en Belgique, ils vont à rebours de ce qui se propose en France, c’est a dire rallonger les jours de carence, empêcher toute exception et taxer l’absence.
      Ça m’étonne toujours que de droit européen se porte si peu sur le code du travail ou sur l’économie de marché. Y’a pas de destination commune. Ou alors pas assez dite donc pas assez politisée.

    • Les absences d’un jour dans les grandes entreprises (+50 travailleurs) en Belgique ont augmenté de près de moitié (44,2%) l’année dernière après la suppression du certificat médical pour un jour d’absence en raison de maladie.

      – Je n’arrive pas à savoir si on parle de gens qui ne prennent qu’un seul jour dans l’année, ou de gens qui à chaque fois s’arrêtent juste un jour. Dans tous les cas, j’imagine que cette augmentation s’explique par le fait que des gens qui ne s’arrêtaient jamais s’arrêtent désormais juste un jour (1 ou plusieurs fois).
      – Cette augmentation spectaculaire de 44%, c’est en fait le passage de 2.56% de travailleur.euses à 3.7%... Wow, quelle folie !

      la suppression du certificat médical a entrainé une augmentation significative de l’absentéisme fréquent dans les entreprises de plus de 50 travailleurs. Le pourcentage de travailleurs se signalant malades trois fois ou plus au cours d’une année y a augmenté de 5,74% (passant de 20,91% en 2022 à 22,11% en 2023). Dans les entreprises de moins de 50 travailleurs, on observe le mouvement inverse. Il y a eu une baisse significative de 3,88% (passant de 11,61% en 2022 à 11,16% en 2023).

      Ici, plus que l’augmentation de 21 à 22%, ce qui me semble marquant (même si c’est sûrement déjà connu), c’est la différence de ~10 points entre les grosses et petites entreprises.


      Résultat non commenté dans le post, mais cette augmentation quasi continue depuis 20 ans du « taux de maladie » (je sais pas bien ce que ça veut dire cela dit) de plus d’un an, ça me semble assez inquiétant.

      https://press.securex.be/absenteisme--jamais-autant-de-travailleurs-nont-ete-aussi-frequemment-

  • [Déverdissement] « Le bavardage politique des plateaux étouffe et dépolitise les préoccupations environnementales »

    L’excès de « commentaire politique » compte au nombre de ce que la société a inventé de plus inutilement dangereux pour elle-même. A mesure que la vie publique s’est médiocrisée au point de rendre superflue sa caricature, les commentateurs de plateau des chaînes d’info en continu sont devenus les principaux agents de la relativisation ou de l’euphémisation des faits scientifiques en lien avec l’#environnement. Ils s’imposent comme une des causes majeures de l’étouffement, de la relégation et de la dépolitisation des préoccupations environnementales.

    Chercher à établir une hiérarchie de ce qui menace la qualité du débat démocratique sur la question écologique, c’est placer le commentaire politique au niveau d’autres phénomènes que sont le trucage de l’expertise, l’instrumentalisation du discours scientifique, le lobbying de l’industrie, etc.

    Ces derniers mois l’ont montré : les reculs historiques dans la protection de l’environnement, à l’échelon national et communautaire, ont été inlassablement commentés comme autant de marques d’une « déroute des écologistes », d’une « défaite pour les Verts », etc. Non que cela soit inexact, ou que ces derniers n’aient effectivement une prédisposition au sabordage et à la guerre picrocholine – tropisme qui les rend incapables de défendre le cœur de leur projet. Mais ce n’est qu’une part minuscule de la réalité, et elle occupe la plus grande part de l’espace. Pour la majorité des commentateurs, la valeur et l’intérêt d’une décision ou d’une déclaration dépendent plus de ses conséquences possibles sur le Landerneau politico-médiatique que des effets qu’elle aura sur le monde physique.

    Tout renvoyer aux affrontements des partis, au théâtre des manœuvres et des petites phrases, au jeu des alliances, des disputes et des tractations d’appareils, tout réduire à l’état de l’opinion, à la chronique de la conquête et de l’exercice du pouvoir contribue à faire disparaître la réalité factuelle des radars. Celle-ci devient, dans les esprits, une sorte de réalité vaporeuse, ectoplasmique, soluble dans les idéologies et les positionnements partisans.

    Des enjeux immenses

    Le « déverdissement » de l’agriculture ne serait-il qu’une « déroute pour les écologistes » ? Cette façon de se placer hors ou au-dessus du monde a quelque chose d’inquiétant. A ce compte, on pourrait dire que l’augmentation de l’incidence du cancer n’est qu’un revers pour la Ligue contre le cancer. De la même manière que la progression de cette maladie est un risque pour chacun de nous, la dégradation de l’environnement affecte ou affectera directement ou indirectement toute la population à des degrés divers (commentateurs politiques inclus).

    Ce qui se raconte à longueur de journée sur les plateaux de télévision ramène toujours l’écologie à des jeux politiciens, ce qui, paradoxalement, en dépolitise les enjeux pourtant immenses. La récurrence des inondations, les sécheresses, la qualité de l’eau potable et l’augmentation du coût de son traitement, la recrudescence des maladies chroniques, les canicules, la destruction des paysages, la disparition des oiseaux…

    Cette variété de choses aussi désagréables au peuple de gauche qu’à celui de droite est, pour tout ou partie, le fruit de décisions politiques. Mais celles-ci ne sont que très peu commentées du point de vue de leurs effets environnementaux. Ce sont presque exclusivement leurs conséquences socio-économiques de court terme ou leurs effets sur la vie politique elle-même qui sont discutés.

    Eléments de langage

    Le bavardage politique de plateau : voilà le danger. Sa puissance performative − le fait qu’il imprime ses biais sur la réalité elle-même – est considérable. Et ce, d’autant plus que le développement des chaînes « tout info » a fait de l’opinion bon marché le principal ingrédient des antennes (sans même évoquer leur « bollorisation »). Sur les choix démocratiques, l’effet est mesurable à ce seul paradoxe : alors que les enquêtes placent invariablement l’environnement au nombre des principales préoccupations des Français, c’est le Rassemblement national – le parti le plus hostile à l’#écologie – qui caracole en tête des sondages.

    Sur la caste dirigeante, l’effet est sans doute plus inquiétant encore. Les premiers et les plus avides consommateurs du commentaire politique sont les commentés eux-mêmes : la manière dont leur parole et leurs décisions sur la question environnementale sont reçues et discutées à longueur d’antenne ne peut que contribuer à les déresponsabiliser. Qu’on se mette à leur place : lorsque vos intentions sont débattues sur des plateaux où des savoirs scientifiques constitués sont mis sur un pied d’égalité avec vos éléments de langage, fussent-ils de probité variable, comment ne pas finir par croire à la validité de vos propres balivernes ?

    Depuis des mois, par exemple, les critiques et les mises en garde unanimes des scientifiques à l’endroit des décisions affaiblissant les #normes_environnementales en #agriculture sont contrebalancées par un unique élément de langage, inlassablement ressassé : la nécessité de la « souveraineté alimentaire ». Cela procède non seulement d’un relativisme trompeur, mais aussi d’un renversement sémantique, la « souveraineté » dont il est question ici revenant à maintenir des systèmes agricoles intensifs dépendant des importations d’engrais de synthèse, notamment russes et biélorusses. Une souveraineté sous dépendance russe : il fallait y penser.

    En définitive, les normes culturelles propres au commentaire politique offrent sans doute une part de l’explication à ce mystère : pourquoi, par leur inconséquence sur la question environnementale, les responsables aux affaires nous mettent-ils collectivement en danger ? Peut-être, tout simplement, parce qu’ils sont enfermés dans la même boucle cognitive que leurs commentateurs.

    Stéphane Foucart

    https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/04/14/le-bavardage-politique-des-plateaux-etouffe-et-depolitise-les-preoccupations

  • La Caption de seenthis.net dans les moteurs de recherche, c’est le dernier article (sans filtre) publié...
    Habituellement un caption c’est le résumé du site (sans doute une balise spéciale) ou le premier paragraphe.
    Normalement pour seenthis, faudrait tenter d’avoir qqchose comme
    « Réseau social de micro-bloging... etc »
    Pas le random post du dernier qui a parlé.

  • Train Bordeaux-Lyon : la coopérative #Railcoop jette l’éponge avec « regret » et annonce sa prochaine liquidation
    https://www.lefigaro.fr/lyon/train-bordeaux-lyon-la-cooperative-railcoop-jette-l-eponge-avec-regret-et-a

    La coopérative Railcoop, qui voulait relancer la liaison ferroviaire entre Bordeaux et Lyon, a annoncé mercredi « avec le plus grand regret » sa prochaine liquidation, après un jugement qui fait peser sur elle une dette « insoutenable » .

    « Le schéma prévu pour sortir du redressement judiciaire est désormais caduc. En l’état, le tribunal de commerce de Cahors ne devrait pas avoir d’autre choix que de prononcer, le 15 avril 2024, la liquidation de notre coopérative », a indiqué Railcoop dans un message à ses sociétaires.

    https://seenthis.net/recherche?recherche=railcoop
    Ils se sont bien goinfrés d’argent public au passage ou j’ai mal compris ?

    • La création sous forme coopérative d’une ligne de chemin de fer, de surcroît sur un tracé délaissé par le système marchand, est une gageure. Ce type de projet est typiquement une opération non rentable, d’un point de vue économique, mais il est hautement souhaitable d’un point de vue social et écologique. C’est typiquement le genre de projet qui ne peut être déployé que par volonté politique territoriale (État, fédération, etc.). La faillite de ce projet coopératif, dans le contexte actuel de forte poussé de rationalisation libérale, était donc malheureusement tout à fait probable.

      L’économie « sociale et solidaire » peut représenter plusieurs formes d’expérience plus ou moins intéressante du monde de travail. Ce peut être aussi le cas dans les entreprises « classiques ».

      Le modèle SCOP n’échappe nullement, pour l’essentiel, aux contraintes du marché, du salariat, de la dépendance financière des banques, de l’(auto)exploitation capitaliste ; au mieux le résultat est partagé, à l’issue de chaque exercice, entre sociétaires, voire entre salarié·es : la belle affaire !

    • J’avais suivi RailCoop (j’avais meme hésité à adhérer), ils avaient eu une période « pub » sur le net.
      Évidemment que ce n’est pas rentable... qui a cru le contraire.
      Croire pouvoir le rendre « à nouveau » rentable est un rêve.
      Alors oui, on peut gagner un peu grace à la micro-gestion, mais on perd comparé à des mastodontes du rail sur l’économie d’échelle.
      Donc soit on attend que le contexte des transports change (exemple, litre d’essence à 10 €, bientôt), soit...
      ... il ne faut pas le monter en projet seul, mais en projet jumelé : une ligne TGV Paris-Lille + une ligne TER Macon-Bézieux.
      L’une finançant l’autre...
      Mais c’est incompatible avec une vision analytique projet par projet... donc incompatible avec notre époque et notre régime politique.

  • Virgilio Hernández E sur X :
    https://twitter.com/virgiliohernand/status/1776494978664997261

    Urgente: Está foto será la vergüenza mundial:
    El Embajador encargado de México #RobertoCanseco golpeado y en el piso, luego que policías y militares irrumpieron la Embajada mexicana para detener al ex vicepresidente @JorgeGlas, a quien México había concedido asilo político, precisamente, por ser víctima de persecución!

    En este momento se desconoce la ubicación del ex vicepresidente!

    Esto se vive en el Ecuador, se perdieron las formas democráticas y solo queda el autoritarismo, ciego y sin sentido, el odio los enloqueció!

    #loi_de_la_jungle
    #ordre_fondé_sur_des_règles
    #états-unis
    #leadership

  • Wohaaa, je suis sur le cul.
    Valentina Terechkova (Majore Gale) (Валентина Терешкова), première femme dans l’espace, non seulement, elle vit encore, mais elle est membre de la Douma.
    Elle est en politique depuis 66.

    Page wiki : https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%A2%D0%B5%D1%80%D0%B5%D1%88%D0%BA%D0%BE%D0%B2%D0%B0%2C_%D0%92%D0%B0

  • Plastic experts say recycling is a scam. Should we even do it anymore?

    Evidence shows fossil fuel companies pushed recycling instead of addressing our growing plastic problem

    When the #Center_for_Climate_Integrity released its report (https://climateintegrity.org/plastics-fraud) about plastic recycling, one might have expected the environmentalist non-profit to encourage the practice. Anyone raised in the late-20th and early-21st century knows that the term “recycle” is often synonymous with “environmentalist causes.”

    Yet the title of Center for Climate Integrity’s report — “The Fraud of Plastic Recycling” — reveals a very different point-of-view. What if plastic recycling in fact does little to help the environment, and instead serves the interests of the same Big Oil interest groups destroying Earth’s ecosystems?

    “Through new and existing research, ’The Fraud of Plastic Recycling’ shows how Big Oil and the plastics industry have deceptively promoted recycling as a solution to plastic waste management for more than 50 years, despite their long-standing knowledge that plastic recycling is not technically or economically viable at scale,” the authors of the report proclaim. “Now it’s time for accountability.”

    The Center for Climate Integrity is not alone in characterizing plastic recycling as a false crusade. Erica Cirino, communications manager at the Plastic Pollution Coalition and author of “Thicker Than Water: The Quest for Solutions to the Plastic Crisis,” pointed to data that clearly shows we do very little recycling anyway, despite the overwhelming emphasis on it.

    “In 2017, scientists estimated that just 9% of the 6.3 billion metric tons of plastics produced from about the 1950s (when plastics were first mass produced) up to 2015 had been recycled,” Cirino told Salon. “Plastic recycling rates vary widely from region to region around the world. In the U.S., plastic recycling rates are currently below 6 percent.”

    Yet even those numbers are deceptive, Cirino warned, as they incorrectly imply that at least the plastic which does get “recycled” is handled in ways that help the environment. “Unfortunately, it doesn’t matter where or how you set out your plastic for recycling collection, whether at the end of your driveway, at your local recycling center, or in a municipal recycling bin: Most plastic items collected as recycling are not actually recycled,” Cirino explained. “Surprisingly, plastic is not designed to be recycled — despite industries and governments telling the public that we should recycle plastic.”

    Instead the plastics that people think get “recycled” are often instead shipped from the Global North to the Global South, with waste haulers often dumping and openly burning plastic without regard to environmental laws, Cirino explained. People who live near the sites where these things happen face a lifetime of health risks, to say nothing of living in a degraded environment.

    “People who earn incomes by picking wastes make the least from cheap plastics, and because of constant exposure to plastics in their line of work face elevated risks of cancers, infectious diseases (which cling to plastics), respiratory problems and other serious health issues.” Even the plastics that do get reused somehow are less “recycled” than “downcycled,” as “manufacturers mix in a large portion of freshly made plastic or toxic additives to melted down plastic waste to restore some of its desirable properties.”

    If you want to understand why the general public mistakenly believes that plastic pollution significantly helps the environment, one must look at the same fossil fuel companies that caused the problem.

    “Many people in the Baby Boomer Generation and Generation X remember the ’crying Indian ad’ that was published in the 1970s,” Melissa Valliant, communications director for the nonprofit Beyond Plastics, told Salon by email. “It was an iconic ad of the time, created by Keep America Beautiful — a corporate front created in 1953 by powerful generators of plastic waste, like PepsiCo and Coca-Cola. This was really the start of a decades-long streak of multi-million dollar ad campaigns leveraged by the plastics industry to convince consumers that if they just were a little better at putting the right plastic in the right bin, the plastic pollution problem would disappear.”

    Simply put, the same companies that created the plastic pollution crisis are motivated to keep the public from believing that their product needs to be phased out. By claiming to care about the environment while presenting a false solution to the problem of plastic pollution — one that, conveniently, removes the onus of responsibility from the companies themselves — plastic manufacturers have been able to have their cake and eat it too.

    “The continued promotion of recycling, which is a proven failure, distracts from the real solutions,” John Hocevar, Greenpeace USA Oceans Campaign Director, told Salon by email. “Most people agree that we can no longer afford to produce trillions of items packaged in a material that will last for generations and that we will only use for a few minutes or seconds before being discarded. Plastic bottles and bags don’t typically get turned into bottles and bags, but the myth that they will is one of the biggest barriers to real solutions.”

    Indeed, a compelling question arises from the fact that the crusade to recycle plastic is more corporate propaganda than true Earth-saving measure: Should we recycle plastic at all?

    “No,” Cirino told Salon. “Even if plastic recycling rates were higher, recycling alone could never come close to solving the serious and wide-ranging health, justice, socio-economic, and environmental crises caused by industries’ continued plastic production and plastic pollution, which go hand in hand.” Cirino argued that, given how plastic production has grown exponentially and its pollution problems have likewise worsened, emphasizing recycling over meaningful solutions is at best irresponsible.

    “It’s clear recycling is not enough to solve the plastic pollution crisis,” Cirino concluded. “The fossil fuel industry, governments, and corporations really need to turn off the plastic tap, and the UN Plastics Treaty could be an opportunity to do so on a global level—if member states can come together and form a treaty with real ambition. Ultimately, our world must decide what it values: money or life.”

    Erin Simon, the vice president and head of plastic waste and business at the World Wildlife Fund (WWF), offered a different perspective.

    “Everyone has a role to play – and that includes the average consumer as well,” Simon wrote to Salon. “But individuals are often limited in what they can contribute because recycling infrastructure and availability is different in every community. For those who can recycle, they should understand what can and can’t go in their recycling bin by contacting their local waste manager. For those who currently can’t recycle at home or work, they should advocate for better access to recycling services by contacting local community leaders and local government officials. In addition to recycling, shifting to reusable products is another way for individuals to reduce personal waste.”

    Simon also advocates for multinational approaches, writing to Salon that the upcoming fourth (of five) negotiating session for a United Nations Global Treaty to End Plastic Pollution has promise.

    “A Global Treaty is a once-in-a-generation opportunity for governments, businesses, and communities to secure a future free from plastic pollution,” Simon explained. “As we approach the next round of negotiations in April 2024 in Canada, WWF will be advocating to ensure the final draft of the treaty is globally binding for all Member states, and provides a clear path to ban, phase out or reduce problematic single-use plastics. WWF is also calling for the treaty to include defined requirements for product design and innovation in plastic waste management systems, while also providing policies and incentives that allow businesses to transition to more sustainable and innovative options.”

    Hocevar also praised the Global Plastics Treaty as a possible solution to the pollution crisis.

    “The Global Plastics Treaty being negotiated right now is a huge opportunity to finally solve the plastics crisis,” Hocevar told Salon. “We need President Biden to ensure that the U.S. deals with the root cause and works to reduce plastic production and use. Without dramatically reducing plastic production, it will be impossible to end plastic pollution.”

    Chelsea Linsley, a staff attorney at the Center for Climate Integrity and one of the report co-authors, perhaps summed it up best.

    “The best and most effective solution to the plastic waste crisis is to reduce the amount of plastic produced in the first place, especially for unnecessary single-use plastics,” Linsley wrote to Salon. “The Break Free from Plastic Pollution Act is an example of legislation that could implement real solutions, such as reducing and banning non-recyclable or easily replaced single-use plastics and establishing programs to support reuse and refill efforts. However, for such measures to be successful, the plastics industry must not be allowed to perpetuate the myth that recycling is an equally effective solution.”

    https://www.salon.com/2024/02/23/plastic-experts-say-recycling-is-a-scam-should-we-even-do-it-anymore

    #recyclage #plastique #greenwashing #green-washing #rapport #arnaque #escroquerie
    via @freakonometrics

  • Ca me dérange les séries fondées sur un principe improbable.

    Un système planétaire quel qu’il soit, se forme par accrétion.
    Ca veut dire que toute particule va finir par appartenir à un corps.
    Et ce qui n’est pas « tombé » dans l’attraction d’un corps forme un autre corps à lui tout seul. Et si on attend assez longtemps, tout ce qui reste est dit stable.
    Si on attend encore plus, il ne devrait donc plus rien se passer de tragique.

    D’autre part, sur une planète tellurique qui aurait la chance de voir apparaître la vie, cette vie va en permanence s’adapter. Comprendre, se faire défoncer la gueule et ne pas entrer dans les livres d’histoire.
    Donc au bout d´un certain temps presque aussi long, si ce n’est un peu moins, que l’age du système qui l’héberge, cette vie aura tous les attributs pour survivre dans les conditions qui règnent sur ce corps.

    Donc il y a peu de raison que tu souhaites partir à cause du milieu dans lequel tu vies, c’est automatiquement le plus adapté à ton espèce (même si c’est l’inverse qu’il faut dire pour rester juste).

    Je n’ai pas lu le livre, donc je ne connais pas les révélations suivantes, mais si c’est ça le pitch, c’est nul.

  • Pour les journalistes Radio : non, nous ne confondons pas Simone Veil avec Simone Weil . Et j’espère que vous non plus.

    Il y a Veil , déportée, magistrate et ministre de droite sous Mitterrand qui a porté les lois pour l’IVG. Morte à 90 ans.
    Et il a Weil , philosophe et anarchiste qui a théorisé le communisme et joint le geste a la parole en s’embrigadant au P.O.U.M. Morte a 34 ans.

    Et franchement, Veil, ouais cool, mais bof ; alors que Weil, téma la taille de l’anarchiste, déification, première classe (hi hi classe). T’as pigé ?

  • Vous avez suivi l’histoire avec la librairie #XZ ?
    C’est Mission Impossible IRL (ou le poisson d’avril le plus dingue de l’histoire des poissons d’avril)

    Rémy sur Mastodon

    Ça fait deux jours que je suis fasciné par ce qui se passe dans le monde de la sécurité informatique, autour de la backdoor XZ. Je vais essayer de vous l’expliquer, ça va être technique, mais c’est important.

    Pour Internet, c’est l’équivalent d’un gros astéroïde qui serait passé à 5000km de la Terre. Pas d’impact, pas de dégâts directs, mais on aurait pu tous y passer et personne ne l’a vu venir.

    Je vais chercher à vulgariser un maximum, tout en donnant des liens vers les sources directes, qui sont souvent très techniques et en anglais.

    Le fil complet :
    https://mamot.fr/@rusty@piaille.fr/112190942190403821

    #cybersecurité #hacking #InfoSec #backdoor #OpenSSH

    • Pauvres hommes qui ne peuvent plus avoir de servantes ménagères, sexuelles et gestatives enfermées à domicile qu’ils peuvent soumettre et humilier quotidiennement. Ils ne savent plus à quoi ils sont utiles désormais les zomes. C’est dur pour eux de découvrir que les femmes ne sont pas que des vagins ambulants sans cervelles. Ils ne supportent pas cette découverte récente les bichons ca les rend encore plus agressifs et violents qu’ils le sont déjà. Au moins dans ce domaine ils sont infiniment plus performants que les femmes. Laissez les tabasser et violer en paix les pauvres choux sinon ils vont être tout tristes.
      #misogynie #masculinisme #sexisme

    • C’est un article vidéo cumulatif de plusieurs études socio et économiques qu’on a d’ailleurs vu passer une à une ici, sur Seenthis, mais sans se rendre compte d’un tendance générale.
      Ici, l’anomalie qui ressort semble vraie dans les pays ultra-libéraux : Royaume Uni, Etats-Unis et Corée (du sud).
      C’est sociologique... dans le sens de « c’est comme ca ». C’est tragique et ca aura surement des conséquences quand ces générations seront « aux commandes »... peut être un renforcement du masculinisme, ou des trucs crades comme ca... mais l’article, il n’est pas masculiniste.

      Je me suis aussi demandé si ces hommes ne seraient que des Ouin-Ouin qui simulent souffrir, sans se rendre compte que les femmes de leur entourage vivent pires... Comme de bons gros masculinistes justement. Mais les questionnaires semblent avoir cette capacité à faire ressortir des faits sans poser la question directement au risque d’activer le trigger « c’est l’occasion de se plaindre ».

    • Je ne voie pas de lien vers un article seulement une video ou un homme explique que les filles sont cérébralement matures plus jeunes et que leurs meilleurs performances à l’ecole sont en lien à la biologie.

  • Hey, le #sionisme, c’est pas un truc qui a eu cours jusqu’en 1948, puis fini ?

    Je me fais peut être mon propre monde et mes propres définitions, basées sur des approximations, mais il me semblait que le sionisme, c’était l’ intention de créer un état hébreux, qué s’appelerio Israël, si possible en Judée (mais bon, les lois de l’immobilier auraient peut le mettre au nouveau Mexique).
    L’origine, c’est une velléité d’une partie de la communauté juive diaspora.
    Mais le vrai déclic, c’est le procès Dreyfus qui a rallumé un anti judaïsme contagieux, qui a déclenché chez les concernés un pressentiment d’insécurité.
    Et en parallèle, ça jouait des lobby fort depuis 1900, pour finalement obtenir tapis rouge après guerre, surtout auprès de l’Angleterre qui voulait se débarrasser de ses colonies poudrières pour pas revivre l’Inde.

    Tout ca pour dire, le sionisme, si c’est fini depuis 1948... aujourd’hui, être anti sioniste, c’est vouloir réécrire l’histoire ?
    Et si c’est juste une simplification pour dire qu’on critique la politique colonialiste et droitière des gouvernements successifs et de la Knesset, alors faudrait peut être changer de mot ? Et n’accuser d’anti-sionisme que les révisionnistes.

  • Plusieurs failles de sécurité ont été repérées dans les versions 1.9.2, 2.0 et 2.1 de SPIP.

    La faille concernant la version 1.9.2 est majeure (injection sql) et si vous avez une version 1.9.2 de SPIP, nous conseillons vivement de faire la mise à jour en 1.9.2.k.

    Concernant les versions 2.0 et 2.1, si l’impact sur un site est moins important (full path disclosure), nous conseillons toutefois de mettre à jour en 2.0.16 et 2.1.11.

    Dans tous les cas vous avez toujours la possibilité de protéger rapidement votre site (en attendant sa mise à jour complète) en téléchargeant la version 1.0.5 (26 juillet 2011) de l’écran de sécurité, et en la déposant dans votre répertoire config/ (cf. http://www.spip.net/fr_article4200.html).

    N’hésitez pas à utiliser les différents moyens mis à disposition de la communauté (http://boussole.spip.org) pour obtenir de l’aide lors de cette mise à jour ; en particulier :

    liste spip-user http://listes.rezo.net/mailman/list...
    forum http://forum.spip.org
    IRC http://spip.net/irc

    Avertissement :

    Noter qu’à la sortie de la version 3.0, le support de la branche 1.9.2 sera définitivement abandonné.
    SPIP 1.9.2k, 2.0.16, 2.1.11 et 3.0.0-beta disponibles - SPIP-Contrib
    http://www.spip-contrib.net/SPIP-1-9-2k-2-0-16-2-1-11-et-3-0-0-beta-disponibles

  • CrimethInc. : Germany: The Fight against the Tesla Gigafactory : Some Occupy the Forest, Some Shut Down the Power Grid
    https://fr.crimethinc.com/2024/03/08/germany-the-fight-against-the-tesla-gigafactory-some-occupy-the-fores

    For several years now, locals, anarchists, environmentalists, and others have been engaged in a struggle against a Tesla “gigafactory” in the small town of Grünheide, only five kilometers southeast of Berlin. This is the biggest factory producing electric cars for Tesla in all of Europe. Many important issues converge in this conflict: the struggle between global capitalism and local ecosystems, the question of what counts as “sustainable” and who gets to define it, the power that billionaires like Elon Musk have acquired and are using to reshape our society in line with their authoritarian vision.

    #zad #tesla #bagnole

  • Irlande du Nord : Michelle O’Neill, issue du Sinn Fein, élue officiellement première ministre
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/03/irlande-du-nord-michelle-o-neill-issue-du-sinn-fein-elue-officiellement-prem


    Michelle O’Neill, au palais de Stormont, siège de l’Assemblée d’Irlande du Nord situé à Belfast, le 3 février 2024. PETER MORRISON / AP

    La vice-présidente du parti nationaliste Sinn Fein est devenue samedi la première cheffe de gouvernement républicaine de la province britannique. Une décision historique.

    Le Monde avec AFP
    Publié aujourd’hui à 17h07

    Michelle O’Neill est devenue officiellement, samedi 3 février, la première républicaine, favorable à l’unification de l’Irlande, à prendre la tête du gouvernement nord-irlandais. Cette élection marque une étape historique pour la province britannique dominée pendant des décennies par les unionistes, et au passé marqué par trois décennies de conflit sanglant.

    La cheffe de file du Sinn Fein nord-irlandais, âgée de 47 ans, a été désignée première ministre après le redémarrage des institutions de la province, boycottées depuis deux ans par les unionistes pour s’opposer aux dispositions commerciales post-Brexit, qu’ils dénonçaient comme une menace pour la place de l’Irlande du Nord au sein du Royaume-Uni.

    En 2022, Michelle O’Neill avait porté au sommet le Sinn Fein, ancien bras politique du groupe paramilitaire de l’Armée républicaine irlandaise (IRA) [on disait plutôt l’inverse, mais bon], qui a remporté des élections locales, du jamais-vu en Irlande du Nord. Mais il a fallu attendre près de deux ans pour qu’elle puisse prendre la tête du gouvernement, car les unionistes, attachés à la place de l’Irlande du Nord au sein du Royaume-Uni, bloquaient l’assemblée locale à Belfast. Elle avait notamment remporté l’élection en mettant en avant les thèmes du quotidien, comme l’amélioration des services de santé en Irlande du Nord.

    « Un jour historique »

    Devant les élus réunis au palais de Stormont samedi, Michelle O’Neill a salué « un jour historique », une « nouvelle ère », et a promis une assemblée « pour tous », rappelant qu’il aurait été « inimaginable pour la génération de [ses] parents » qu’un nationaliste dirige l’exécutif local.

    A son arrivée à Stormont, la cheffe du Sinn Fein pour toute l’île d’Irlande, Mary Lou McDonald, a estimé que le gouvernement nord-irlandais ne « pouvait pas être entre de meilleures mains ». « C’est une victoire pour tout le monde aujourd’hui, la démonstration que l’égalité et l’inclusion sont à l’ordre du jour », a-t-elle ajouté.

    En vertu de la cogouvernance issue des accords de paix de 1998, l’unioniste Emma Little-Pengelly (attachée au maintien de l’Irlande du Nord au sein du Royaume-Uni) a été choisie comme vice-première ministre.

    Une nouvelle génération entrée en politique

    Michelle O’Neill incarne une nouvelle génération entrée en politique après l’accord de paix du Vendredi saint, en 1998, qui a mis fin à trente années de violences entre nationalistes, principalement catholiques et favorables à la réunification de l’île d’Irlande, et loyalistes, essentiellement protestants, attachés au maintien de la province sous la couronne britannique.

    Rompant avec la tradition républicaine, elle a assisté en septembre 2022 aux funérailles de la reine Elizabeth II puis au couronnement de Charles III, en mai 2023. Elle est particulièrement appréciée des jeunes pour ses idées de gauche, face aux unionistes aux positions conservatrices sur des sujets comme l’avortement.

    Michelle O’Neill a remisé au second plan l’objectif historique du Sinn Fein, la réunification de l’Irlande. En 2019, au congrès du parti, elle avait déclaré que « la question [n’était] plus de savoir si, mais quand se tiendra le référendum sur la réunification ». Mais son discours est désormais plus modéré, qualifiant mercredi la partition d’« échec pour tous les habitants de l’île » : « Notre peuple a été contraint de vivre dos à dos au lieu de vivre côte à côte ». Elle a appelé à un débat « inclusif », sur les identités britannique et irlandaise, « tous ensemble ».

    Des mois de négociations

    Après des mois de négociations avec le gouvernement britannique, les unionistes du Democratic Unionist Party (DUP) avaient annoncé leur décision cette semaine de mettre fin à leur boycott. Celui-ci entraînait la paralysie de l’Assemblée et de l’exécutif local, où le pouvoir est partagé entre les unionistes – attachés au maintien de l’Irlande du Nord dans le giron britannique – et les républicains.

    Evoquant le difficile chemin parcouru, le chef du DUP, Jeffrey Donaldson, a fait valoir que son parti avait « apporté le changement que beaucoup décrivaient comme impossible ». Il a salué une « bonne journée pour l’Irlande du Nord », où « notre place au sein du Royaume-Uni et son marché intérieur est respectée et protégée ».

    Un argumentaire loin de convaincre les unionistes les plus durs, à l’instar de Jim Allister (TUV, Traditional Unionist Voice), pour qui l’Irlande du Nord reste « dirigée en bonne partie par des lois étrangères », celles de l’UE.
    Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Brexit : l’Irlande du Nord « de plus en plus à part »

    Le Monde avec AFP