Entre 2002 et 2012, l’extrême droite ne progresse pas : tout le monde oublie Mégret !
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Ces variations, somme toute assez faibles, masquent en fait une sensible réorganisation spatiale du vote d’extrême droite. Il a régressé dans un certain nombre de grandes villes (Paris, Marseille, Nice, Lyon, Strasbourg...), et progressé dans des zones moins peuplées, ou là où le vote FN était historiquement faible, contribuant à réduire les contrastes entre territoires.