Farming online social profiles and age them like fine wine to use them many years later as cover identities- must be a big hidden industry !
Farming online social profiles and age them like fine wine to use them many years later as cover identities- must be a big hidden industry !
« A catfish is someone who pretends to be someone they’re not using Facebook or other social media to create false identities, particularly to pursue deceptive online romances » ▻http://www.urbandictionary.com/define.php?term=catfish - je ne connaissais pas ce terme.
En tout cas ça pourrait expliquer une partie de l’activité de personnes sentant faux et s’abonnant à mes profils Google+ et Facebook sans pour autant tenter de me contacter et sans ressembler à des spammeurs traditionnels... C’est peut-être juste pour mûrir des profils de poisson-chatte (l’inverse d’une sirène ?)...
How to Catch a Liar on the Internet - Megan Garber - The Atlantic
▻http://www.theatlantic.com/magazine/archive/2013/09/the-way-we-lie-now/309431
Technology makes it easier than ever to play fast and loose with the truth—but easier than ever to get caught.
If the director of the CIA [Petraeus] can be caught in a lie, anyone can.
j’en profite pour faire encore une fois la pub de Catfish : ►http://seenthis.net/messages/8947
« Noah », le premier film qui comprend Internet, et nous avec | Slate.fr
▻http://www.slate.fr/culture/77862/noah-court-metrage-internet
Noah, le film de 17’ qui nous montre les gens dans l’internet. Tags : internetactu internetactu2net fing #culturenumérique #netculture
▻https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=h6eNuJdxAoQ
c’est un peu la suite de „catfish”
►http://seenthis.net/messages/8947
Ils sont payés pour draguer sur internet | Si je comprends bien, tu craques pour un homme bien sous tous rapports, et au final, tu découvres que c’était juste un boute-en-train pour te fourguer un type qui n’a pas de temps à consacrer à une relation ??? ▻http://fr.wikipedia.org/wiki/Boute-en-train
▻http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/27/1615177-ils-sont-payes-pour-draguer.html
Serait-ce le job idéal ? L’entreprise toulousaine Net Dating Assistant, créée à l’été 2011, regroupe une dizaine de séducteurs freelance. Leur tâche : draguer sur les sites de rencontres pour le compte de leurs fortunés clients, trop pressés ou insuffisamment doués dans ce domaine.
Sans déconner, si le mec n’a même pas le temps du début d’une relation, mais qu’il crève tout seul comme un clébard avec la veuve poignée !
je crois que l’expression consacrée est «to be catfished», cf. ►http://seenthis.net/messages/8947
Cette boite est donc là pour piéger des femmes, en les offrant à des mecs qui sont prêts à payer pour baiser, mais n’ont pas le courage d’aller aux putes ?
L’acte sexuel obtenu par tromperie institutionnalisée ne peut pas être considéré comme un #viol ?
Et en quoi l’activité de cette boite serait-elle plus saine que du #proxénétisme ?
Je suis atterré..
Fait étonnant, 20 à 25 % de la clientèle serait féminine. « Nous attirons un public de jeunes actifs, entre 25 et 45 ans. Des cadres supérieurs, des chefs d’entreprises, des avocats… », décrit une responsable du site.
Je serais curieux de connaitre ce qui motive ces 25% de femmes évoquées. Une hypothèse #sexiste me fait penser que les mecs paient pour gagner du temps, tandis que les femmes paient pour compenser leur manque de confiance dans leur capacité de séduction. A moins que des femmes puissent être pressées de shunter toute la phase des préliminaires ?
Je trouve ça abjecte : tromper dès le début ! Tu peux présenter cela sous l’angle romanesque à la Cyrano, mais il s’agit d’une tromperie sur la « marchandise ». Si tu n’as pas le temps ou l’envie de t’investir dans la phase de séduction, c’est que tu cherches quoi exactement dans une relation : une pute à domicile, avec option vaisselle et dîners en ville ?
Ah, oui, je croyais que c’était pour des rencontres éphémères, mais si les gens qui paient le font pour trouver l’âme soeur, c’est différent, quoique tout aussi pathétique...
Dans ce cas là ce n’est pas une nouvelle forme de proxénétisme de la part de la société en question, mais simplement ce que j’appelle une démarche d’ambulancier-prédateur, ceux qui dépouillent les gens en détresse qu’ils viennent secourir. La misère affective est aussi un marché lucratif...
Et du côté des clients « assistés », c’est la grande confusion mentale entre ce qu’ils sont, et l’argent qu’il possède...
Comme si l’argent pouvait permettre d’obtenir ce que leurs « compétences » ne leur permettent pas d’obtenir, ou pire, ce que leur emploi du temps ne leur permet pas de chercher...
Ce billet plombe vraiment mon début de semaine... :-)
euh je cherche le mot juste. J’hésite entre méga-connard, giga-merde et #gougnafier (c’est trop gentil mais j’aime bien les vieux mots).
Oui, bon, l’homme n’est pas toujours bon à chacun des rapports c’est ça ? (je parle de rapports humains, bien sûr) #joke
Condamnée pour un faux profil Facebook - lesoir.be
►http://www.lesoir.be/actualite/vie_du_net/2011-09-21/condamnee-pour-un-faux-profil-facebook-864720.php
Le tribunal correctionnel de Gand a condamné à sept mois de prison avec sursis et une amende de 550 euros une femme qui avait créé un faux profil Facebook au nom de son ancien patron pour l’accuser d’adultère.
Bon ben ça c’est du titre, non ?
En résumé elle est condamnée pour avoir créé de toutes pièces des faits imaginaires en vue de nuire à autrui. Via fb certes...
#les_dangers_des_reseaux_sociaux_c_est_pas_de_la_tarte_a_la_creme #titre_A_la_con #journaliste_c_est_un_metier
#Internet, terrain de rêve pour petits et grands menteurs » Article » OWNI, Digital Journalism
►http://owni.fr/2011/02/20/internet-terrain-de-reve-pour-petits-et-grands-menteurs
Pour certains ce ne sont que des petits mensonges, pour d’autres ça devient vite une escalade. La seule manière de s’en sortir est de mentir un peu plus. Si on fouille un peu, on se rend compte que la jeune fille passionnée de chevaux ne fait pas que voler les photos, elle vole aussi le nom d’une association qui guérit les chevaux et invente au passage un nom, une vie et des défauts à ce cheval.
Baroug, et si tu coaxes tous ces auteurs de blogs affabulateurs et hypocondriaques, qui s’inventent des maladies, avec leurs lecteurs qui se répandent dans les commentaires que « moi aussi je souffre de la même maladie et je suis de tout coeur avec toi, etc... », cela devrait créer de très belles épidémies, virtuelles.
Salomé, histoire d’un fake à l’empathie. C’était une ado à qui il arrivait bien des malheurs. Elle les racontait sur le Net et au fil des années, a attiré énormément de sympathie, noué des liens forts. Aujourd’hui les billets blessés fleurissent, car ce n’était qu’un fake. Manifestement de très bonne qualité vu sa durée et le nombre de victimes. Cela n’a rien à voir avec Ternet, ce genre d’histoire est vieille comme le monde, mais je les trouve troublantes.
Quelques sources : « Petite menteuse » ►http://dariamarx.com/2011/02/12/petite-menteuse - « Fake me I’m famous » (de quelqu’un qui a participé à un triathlon pour recueillir des dons à l’invitation de Salomé) ►https://unpetitpaspourlhomme.wordpress.com/2011/02/10/fake-me-im-famous - « C’est un fake ! » ►http://internetestmonami.wordpress.com/2011/02/11/cest-un-fake - « Comment je me suis faite berner » ►http://laurence.todayinchina.com/?p=1480 - un groupe Facebook ►https://www.facebook.com/pages/La-fin-des-mensonges-de-Salome-Elisheva-lymwn/188820747815147
#fake #Salomé