• Gaza : mensonges et vérités factuelles, désinformation et indignations
    http://blog.emceebeulogue.fr/post/2012/11/22/Gaza-:-mensonges-et-v%C3%A9rit%C3%A9s-factuelles,-d%C3%A9sinforma

    La brutale offensive contre la Bande de Gaza par l’armée israélienne a déclenché une propagande intense dans tous les grands médias, et, en particulier, à la BBC dont il est beaucoup question ici.
    Parallèlement, les médias indépendants et certaines personnalités du monde entier se sont indignés des mensonges débités sur cette nouvelle agression violente dont est victime la population de Gaza.
    Je citerai quelques exemples, mais, d’abord, voici la traduction partielle d’un texte de Medias Lens, l’observatoire des médias britannique.

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  • Etats-Unis – prochain arrêt : le Tiers-Monde - Des bassines et du zèle.
    http://blog.emceebeulogue.fr/post/2012/11/16/Etats-Unis-%E2%80%93-prochain-arr%C3%AAt%3A-le-Tiers-Monde

    Dans les années 1960, un Américain sur trois travaillait dans le secteur industriel, produisant des objets qui créaient une prospérité durable. Aujourd’hui, depuis qu’on a sauté la tête la première d’un accord de libre échange à l’autre, il n’y a plus qu’un Américain sur 10 qui travaille dans l’industrie manufacturière.
    Au cours de ces dix dernières années, 50.000 usines ont fermé aux Etats-Unis et il y a eu 5 millions de pertes d’emplois. Ceux-ci n’ont pas disparu, ils sont simplement partis vers des usines à bas salaires, comme Foxconn, dans des pays étrangers.
    Avant que Reagan n’arrive à la Maison Blanche, les Etats-Unis étaient les plus gros importateurs de matières premières et les premiers exportateurs de produits manufacturés, ainsi que le créditeur le plus important dans le monde. Mais aujourd’hui, nous sommes les plus gros exportateurs de matières premières et importateurs de produits manufacturés. Sans surprise, nous sommes également les plus grands débiteurs mondiaux.
    Quand la production industrielle meurt, l’économie la suit.

  • Obama-Romney : la bataille entre le « mal » et le « moindre mal » (Des bassines et du zèle)
    http://blog.emceebeulogue.fr/post/2012/11/05/Obama-Romney:-la-bataille-entre-le-"mal"-et-le-"moindre-mal"

    J- quelques heures Le candidat Romney est une caricature des candidats républicains précédents à la présidence (les colistiers, et surtout la colistière comme Sarah Palin, étant hors concours, évidemment). Milliardaire, menteur, fourbe, malhonnête, bigot, méprisant pour le peuple, inculte et fier de l’être, etc., il réunit tous les vices des candidats aux élections des pays démocratiques actuels. Ses propositions sont tellement grossières et tellement ouvertement en faveur des grandes entreprises que même Bush n’avait pas osé et avait enrobé cela avec des considérations morales et l’ode à la taprie ... euh ... patrie. Et les progressistes, devant l’horreur que représente la présidence de cet idéologue de Wall st, en sont réduits à appeler à voter pour le « moindre mal ». Et, qu’est-ce que le « moindre mal », dans ces élections ? James Petras développe la politique d’Obama pendant son mandat, celle qu’il compte mener quand il sera réélu et nous explique comment les militants libéraux en sont venus à taire le bilan catastrophique d’Obama pour éviter que Romney se retrouve à la Maison Blanche. Ca me rappelle quelque chose … Une élection très serrée, selon les sondages, sans doute à cause du jet de l’éponge de ceux, dont les pauvres et les minorités, qui avaient mis tous leurs espoirs dans l’arrivée un président noir et qui en sont largement revenus. Nous en sommes tous là et tant que cela ne changera pas radicalement, ce sera toujours pire. Source : Des bassines et (...)

  • Sandy, un ouragan à New-York (Des bassines et du zèle)
    http://blog.emceebeulogue.fr/post/2012/11/02/Sandy,-un-ouragan-%C3%A0-New-York

    une fois que l’effervescence sera retombée, que les caméras se seront éteintes et les médias affairés à nouveau à attirer notre attention sur un autre trompe-l’œil. Les pauvres seront alors abandonnés à leur triste sort, devant écoper l’eau avec une canette, ou abandonner leur domicile et leurs maigres possessions, et, soit, s’entasser chez des gens compatissants et généreux, soit prendre la route pour gonfler encore davantage le nombre des sans-abri dont personne dans les médias ne songera à faire le décompte. Pendant ce temps, les vautours de la finance pourront s’emparer des quartiers sinistrés, les rénover, les « gentrifier » (en faire des quartiers bourgeois), augmenter les prix des loyers et des ventes de logements, remplacer les écoles publiques par des écoles privées et éloigner à jamais les pauvres. (...) Source : Des bassines et du zèle