• Rencontre avec L.L. de Mars
    http://www.framablog.org/index.php/post/2013/10/04/ll-de-mars

    Lors des dernières RMLL de Bruxelles, nous avons invité L.L. de Mars à venir nous parler de… ce dont il avait envie ! Vous trouverez la vidéo et la transcription de son intervention remarquée ci-dessous. Pour nous, et ceux qui nous suivent, L.L. de Mars c’est celui qui a dessiné « nos » pingouins. Mais il est bien plus et autre que cela. C’est un artiste polymorphe et iconoclaste qui a été l’un des premiers à utiliser la Licence Art Libre et dont le site foisonnant et labyrinthique Le Terrier date de (...)

    • (j’espère que je commente au bon endroit)
      bon, je dis pas mal de conneries, quand même, ça m’apprendra à ne RIEN préparer pour mes interventions nom de Dieu, grmbll.
      Je corrige les deux premiers trucs qui me viennent en réécoutant ça et qui me choquent le plus : la présentation (dans le cadre du Festival Périscopages) du film de Choron ne s’est pas faite en présence de Délépine mais de ses collaborateurs principaux (je connais pas bien les noms, je mélange, faudrait retrouver le programme de ce jour-là). Donc, quand je dis « Délépine et ses copains », c’est faux. Il est peut-être (à mon avis sûrement) moins épais que ses potes.
      D’autre part, ce n’est pas la salle 43 des Uffizi qui abrite les Boticelli, mais sans doute entre 10 et 14 (je retrouve pas le plan, mais là, à tête reposée, je suis quasi sûr). Ça m’apprendra à faire le malin avec des excès de précision, mais le premier numéro de salle qui me vient à l’esprit ce jour-là n’est pas le bon (c’est celui d’une de mes préférées, la salle des Caravage avec l’incroyable Gentileschi)
      La prochaine fois, je prépare.
      Maudite feignasse.

    • Je n’avais pas relu la transcription et je note au passage deux petites erreurs sur les noms et un correctif à ajouter pour l’un d’entre eux : je ne sais pas qui est Barbeau (enfin, je viens de l’apprendre en ligne) mais c’est de Warburg qdont je parlais. ensuite, Mechenik, c’est Meschonnic ; mais je me trompe d’attribution, d’ailleurs, tout empressé que je suis comme d’habitude à parler de ceux que j’aime : la métaphore du « squelette dictionnaire », c’est de Benveniste, pas deMeschonnic.

    • C’est normal de corriger, sinon les rares personnes que ça pourrait intéresser vont s’évertuer à chercher ici un tableau que j’ai vu ailleurs etc. Bon. C’est pas que ce soit si important, mais puisque des gens se sont échinés à transcrire ça, autant qu’ils n’aient pas bossé pour rien, alors je corrige encore des trucs au fil de la relecture : c’est le Couronnement de la vierge, pas son assomption qui est dans la salle des Offices ( ma mémoire ne garde obstinément qu’une partie en tête du tableau, et évidemment les détails qui m’intéressent uniquement ) ; à le revoir - ça fait très longtemps que je ne suis pas retourné dans la salle des Botticelli (qui contient bien autre chose, mais c’est une autre histoire), toujours blindée de monde - il est d’une bien plus grande complexité d’organisation que dans mon souvenir.
      Un problème pour ma mémoire, c’est que je passe ma vie dans les musées, de Londres (où se trouve l’assomption), de Florence ou d’ailleurs, sans hiérarchiser les musées (le petit musée de San Gimignano est aussi cher à mon coeur que le Rijkmuseum) et qu’à force, évidemment, je m’emmêle les pinceaux quand je fouille dans mes simples souvenirs, ce qui est assez inévitable. Que ces erreurs factuelles n’empêche pas d’aller coller son nez sur les chevelures peintes par Boticelli ou Lippi ni d’aller lire les beaux essais que Warburg a consacré aux peintres toscans.

  • Culture et révolution en Egypte (1/2) : danger de “frérisation” ?
    http://cpa.hypotheses.org/4395

    En proie à toutes sortes de difficultés, le gouvernement Morsi s’est peut-être créé un nouveau problème en nommant à la tête du ministère de la Culture, il y a quelques semaines, un certain Alaa Abdel-Aziz (علاء عبد العزيز). Après le court intermède assumé par Gaber Asfour dans le dernier gouvernement sous Moubarak, le premier titulaire, Imad Abu Ghazi, avait été déjà remplacé par Saber Arab, lui-même démissionnaire depuis février. (...) Source : Culture et politique (...)