Quintuple meurtre de Nantes : et s’il n’y avait personne ? (Anthropiques.org)
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Romand se présent[ait] comme un substitut de personne, un ersatz de l’être auquel il n’est pas advenu, comme une figure qui reste extérieure au petit Jean-Claude, non intégrée à lui, une baudruche flottant au-dessus de sa tête et qu’il s’essoufle à garder gonflée » (Brackelaire, 2009). Il n’était que par procuration, à travers les autres, à travers leurs « attentes ». Jusqu’à ce qu’il tue ceux qui lui avaient procuré cette existence sociale de façade, qu’il n’avait jamais véritablement habitée et ne pouvait plus soutenir… (...)