South Africa FM : Struggle of Palestinians is ’our struggle’

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  • South Africa FM : Struggle of Palestinians is ’our struggle’ | Maan News Agency
    http://www.maannews.net/eng/ViewDetails.aspx?ID=643956

    BETHLEHEM (Ma’an) — South Africa’s foreign minister strongly criticized the Israeli occupation of Palestine and compared the situation in the occupied territories to apartheid in South Africa on Friday.

    “The struggle of the people of Palestine is our struggle,” South Africa’s The Times quoted her as saying.

    “The last time I saw a map of Palestine, I couldn’t go to sleep. It is just dots, smaller than those of the homelands, and that broke my heart,” she added, referring to apartheid-era Bantustans on which black residents of South Africa were forced to live as part of a system of racial separation engineered by the formerly ruling white minority.

    “Ministers of South Africa do not visit Israel currently,” she added. “We have agreed to slow down and curtail senior leadership contact with that regime until things begin to look better.”

    “Our Palestinian friends have never asked us to disengage with Israel. They had asked us in formal meetings to not engage with the regime,” Nkoana-Mashabane was quoted as saying.

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    Taking Apartheid Apart par Uri Avnery
    26/10/13
    http://zope.gush-shalom.org/home/en/channels/avnery/1382707541

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    Comment se fait-il qu’Uri Avnery en sache si peu sur Israël, ou sur l’apartheid ?

    dimanche 3 novembre 2013 - Jonathan Cook - The Palestine Chronicle
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article14148

    (...) Il y a beaucoup à critiquer dans son papier faiblement étayé, où il se base sur une conversation récente avec un « expert » dont il ne divulgue pas le nom. Avnery, comme beaucoup avant lui, commet l’erreur de croire que, en mettant en avant les différences entre Israël et l’Afrique du Sud de l’apartheid, il apporte la preuve qu’Israël n’est pas un État d’apartheid. Mais ce n’est là que l’ultime argument d’un homme de paille. Personne ne prétend qu’Israël est identique à l’Afrique du Sud. Vous n’avez quand même pas besoin d’un expert pour vous en rendre compte.

    Quand on dit qu’Israël est un État d’apartheid, on se réfère au crime d’apartheid tel que défini par le droit international. Selon le Statut de Rome de 2002 de la Cour pénale internationale, l’apartheid comprend les actes inhumains « commis dans le cadre d’un régime institutionnalisé d’oppression systématique et de domination par un groupe racial sur un autre ou plusieurs autres groupes raciaux et commis avec l’intention de maintenir ce régime. »

    Aussi, de savoir de quelle couleur sont les victimes de l’apartheid, la part de population qu’elles représentent, si l’économie dépend de leur travail productif, que les premiers sionistes étaient socialistes, où que les Palestiniens ont un Nelson Mandela, et cætera, tout cela n’a absolument aucun intérêt pour déterminer si Israël est un État d’apartheid.

    La distinction essentielle pour Avnery se situe entre « Israël proprement dit » et les territoires occupés. Dans les territoires, Avnery admet qu’il existe certains parallèles avec l’Afrique du Sud de l’apartheid. Mais à l’intérieur d’Israël, il pense que la comparaison est outrancièrement injuste. Laissons de côté la question, qui n’est pas sans importance, qu’Israël refuse de reconnaître ses frontières telles qu’internationalement définies ; ou que l’une de ses principales stratégies est une politique de diviser pour régner, dans un style colonial, qui compte sur l’instauration de différences concernant les droits des Palestiniens sous sa domination, comme d’un moyen pour mieux les opprimer.

    Les motifs qui poussent Avnery à mettre l’accent sur une distinction territoriale doivent être clairs. Il croit que l’occupation est un crime, et qu’elle doit cesser. Mais il croit aussi qu’Israël, en tant qu’État juif, doit subsister après la fin de cette occupation. En réalité, pour lui, les deux questions sont inextricablement liées. Selon lui, pour qu’à long terme Israël puisse survivre en tant qu’État juif, il lui faut se séparer des territoires occupés.

    Cela concorde avec une idéologie sioniste libérale assez classique : la ségrégation est considérée comme offrant une protection contre les menaces démographiques posées par les non juifs pour la future réussite de l’État juif, et elle est arrivée à son apothéose avec la construction du mur en Cisjordanie et le désengagement de Gaza. Avnery se place simplement parmi les partisans les plus humains de cette logique.(...)

    #apartheid #israel