Pour une autre pornographie - Cairn.info

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  • Pour une autre pornographie - Cairn.info

    http://www.cairn.info/revue-rue-descartes-2013-3.htm

    http://www.cairn.info/revue-rue-descartes-2013-3-p-1.htm

    Je reçois ceci dans ma revue de presse, mais je vois que @baroug m’a précédé. Je ne suis qu’à moitié étonné.

    Pour Rue Descartes, c’est la première fois. La première fois que Rue Descartes ouvre ses pages à la question de la pornographie. De façon explicite – si bien qu’il y aura d’ailleurs (que le lecteur en soit prévenu) des mots « explicites » (comme on parle d’explicit lyrics...

    #pornographie_alternative #pornographie_critique ?

    • Bien vu @aude_v, mon prof de français en 4em nous apprenait à démonter les représentations pédantes de la littérature (et d’ailleurs). #branlette

      Si l’on a largement privilégié ici l’objet pornographique audiovisuel, ce n’est pas seulement parce qu’il s’impose partout. Se disséminant sur toutes sortes d’écrans (cinématographique, télévisuel, informatique ou téléphonique) mais aussi dans des espaces de performance publique, il représente, certes, l’une des techniques contemporaines les plus massives de production des identités – ce que Judith Butler, lisant Michel Foucault, appelle la « production disciplinaire du genre », ou ce que Beatriz Preciado, lisant Butler et Foucault, appelle le régime pharmacopornographique, à savoir cette nouvelle forme du biopouvoir qui, à l’époque capitaliste, procède à une miniaturisation des techniques du contrôle par l’administration hormonale surveillée du corps[3][3] Beatriz Preciado, Testo junkie. Sexe, drogue et biopolitique,...
      suite.

      Certes, oui, mais, j’ai pourtant bien tenté de comprendre le sens de cette phrase…