Un article qui répond au mien : ▻http://bibliobs.nouvelobs.com/salon-du-livre-2014/20140320.OBS0581/jusqu-ou-ira-le-livre-numerique.html
Et surtout qui explique bien la connerie de la grosse masse des éditeurs en France. Alors qu’aux USA, les ebooks représentent 40 % des ventes en volume et 23 % en CA, en France, on est coincé à moins de 5 % et considérés comme marché de niche. Les éditeurs disent que ce n’est bon que pour la littérature populaire, pas pour les bouquins pointus (ceux que je recherche particulièrement). Mais surtout, ils nous racontent qu’ils ont trop de frais pour pouvoir faire des décotes dignes de ce nom sur les livres... ah, parce que les Américains n’ont pas de frais, peut-être ? Et puis je connais la politique salariale des grosses maisons d’édition sur les community managers qui sont précisément censés s’occuper de la diffusion des ebooks : c’est chanceux quand ce ne sont pas des stagiaires... pas très ruineux, hein, comme frais !