Gilles Finchelstein — Wikipédia

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  • Morceaux choisis d’Éloge de l’anormalité de Matthieu Pigasse, DG de la banque Lazard :

    « Le programme de Siriza, la gauche radicale grecque, séduit les plus déboussolés, et ils sont nombreux.
    (...)
    Son discours comporte des points de convergence avec l’extrême droite. »

    « Les clivages ne sont plus idéologiques. La compétition mondiale est identitaire. Les économies en sont l’instrument. »

    « Nul besoin d’épiloguer : si la durée du travail baisse, la productivité
    recule. »

    « Ce n’est pas la finance qui est responsable de la crise, mais l’effondrement d’un modèle encouragé par les politiques. »

    « En France, on favorise la rente (livret A) on pénalise le risque (création d’entreprises). »

    « La promesse d’un monde meilleur n’est plus de changer le monde ou la vie, mais de donner à chacun la possibilité de changer sa vie. »

    « Le marché du travail doit être reformé à image de ce que l’Allemagne a fait avec les lois Hartz. »

    « Il faut des accords salariaux qui permettent de faire évoluer les salaires en fonction de la situation économique. » [NB. L’auteur, notamment conseil du gouvernement grec, gagne 5 millions d’euros par an]

    « Éviter que tous ceux qui ont raté leur concours se retrouvent en licence de sociologie. »

    « L’aération des structures publiques provoquera un formidable appel d’air aux acteurs privés. »

    « Il faut des allocations sous conditions de ressources. »

    La faillite de la gauche à redouter ? « N’avoir pas su repenser le monde à l’aune du marché. »

    « L’arrivée de la gauche au pouvoir en 2012 m’a fait passer de l’enfance à l’âge adulte... 10 ans d’attente, de combat pour rien. »

    Merci à Jacques Rosselin de s’être rayé la rétine à notre place :

    Il a au moins une qualité, il se lit vite.