• Ultimes consciences
    http://www.greekcrisis.fr/2015/07/Fr0442.html

    Nous savons combien le résultat risque d’être serré, déjà si l’on tient compte de ce déluge de terrorisme exacerbé que les “Institutionnalisés” internes comme externes, exercent sur la population grecque. Autrement, la volonté exprimée du ‘NON’ aurait atteint 80% des bulletins. Mais nous sommes en guerre, sûrement la dernière, avant que la mise à mort des démocraties ne soit ainsi définitive et irréversible. Le sens de notre combat c’est de neutraliser ces assassins des démocraties et des sociétés, déjà en Europe. Nous en sommes bien conscients, nous sentons alors toute l’hybris du temps mauvais bancocrate et eurocrate, leur tyrannie dévoilée et outrancière, sauf pour les nombreux aveugles à la conscience atteinte, voire, éteinte. Source : greek (...)

    • La direction de l’Hôpital privé Metropolitan situé au Pirée, comme le rapporte le quotidien “Avgí”, a d’abord ordonné à ses employés de se rendre aux rassemblements en faveur du ‘OUI’ et par la suite, une employée et comptable de l’entreprise a été licenciée parce qu’elle s’est exprimée en faveur du ‘NON’. La direction de l’hôpital a mis en place une équipe, laquelle passe au crible les profils de l’ensemble des employés à travers les “social media” sur internet (facebook etc.), afin de repérer les adeptes du ‘NON’ et alors... agir en conséquence.

      La direction de cette entreprise, comme de tant d’autres en Grèce en ce moment, n’a pas versé la totalité du salaire aux employés, “le reste de votre salaire sera versé après le référendum et cela, uniquement en cas de victoire du ‘OUI’”. Dans le même... nouvel (?) ordre politique, la direction d’une grande compagnie d’assurances situé dans les quartiers Sud d’Athènes et plus précisément à Palaio Fáliro, aurait toujours selon le reportage du journal “Avgí”, convoqué les employés pour les menacer ouvertement : “Ceux qui voteront en faveur du ’NON’, seront licenciés lundi matin”.