Leduc.s éditions : La vérité sur les cosmétiques - L’information la plus complète et la plus actualisée, jusque-là dissimulée sous des noms de codes et des appellations complexes

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  • Elle n’est pas bonne ma crème de beauté ? - L’Obs
    http://tempsreel.nouvelobs.com/economie/20151009.OBS7400/elle-n-est-pas-bonne-ma-creme-de-beaute.html

    En gros, que ce soit dans les fonds de teint, les laits pour le corps, les dentifrices (une catégorie plutôt vertueuse), les mousses à raser, les gels douche (là c’est l’hécatombe !), les savons liquides ou les shampoings, les ingrédients indésirables seraient légion. « Plus d’un produit sur deux à éviter », écrit le magazine.

    Et aussi :
    Perturbateurs endocriniens : comment les lobbys ont gagné
    http://www.liberation.fr/monde/2015/10/07/perturbateurs-endocriniens-comment-les-lobbys-ont-gagne_1399272

    Rappel : le livre de Rita Stiens « La vérité sur les cosmétiques » contient un lexique très utile qui permet de décrypter les listes de composants des produits :
    http://www.editionsleduc.com/produit/9782848995038

    Et son site :
    http://www.laveritesurlescosmetiques.com

    #cosmétiques #santé

    • Je me bats depuis 13 ou 14 ans contre une dyshidrose à coup de cortisone & co. Des reculs ponctuels et systématiquement des récidives.

      J’ai pris le problème à l’envers par rapport aux médecins : j’ai estimé que ce n’était pas endogène et indéterminé, mais exogène avec une ou plusieurs causes à identifier.

      J’ai noté que les crises avaient commencé après la naissance de ma fille et que cette coïncidence avait été attribuée au stress (en gros, je psychosomatise comme à chaque fois qu’on ne comprend pas).

      Qu’est-ce qui a vraiment changé avec l’arrivée de ma fille ?
      L’hygiène, avec la multiplication effarante des lavages de mains. J’ai donc examiné tout ce qui entrait en contact avec mes mains, parce que, bizarrement, mes éruptions cutanées sont localisées aux mains, ce qui, selon moi, remet sérieusement en question le facteur endogène (ben oui, si ça vient de dedans, il n’y a pas de raison particulière que ça sorte juste à un endroit du corps).

      Là, j’ai remarqué qu’il était très difficile d’avoir accès à l’intégralité des ingrédients des produits avec lesquels je suis en contact au quotidien. Puis, j’ai fini par trouver mon info : 99% des produits que j’utilise contiennent des irritants cutanés connus.
      Pire : alors que l’allergie au nickel touche énormément de femmes (encore une bizarrerie …), il y en a dans une grande partie des cosmétiques et produits d’entretien que j’utilise. J’ai été diagnostiquée hyperallergique au nickel il y a une vingtaine d’années. Comme dans le produit vaisselle, le savon pour se laver le corps, celui pour les mains, les crèmes pour éviter les irritations (on voit l’ironie de mettre des composant irritants dans des crèmes calmantes : plus tu en mets, plus tu en a besoin), tous contiennent des sels ou des sulfates de nickel. Ce qui, subitement, rend mes éruptions cutanées vachement moins mystérieuses !

      Bref, depuis ce printemps, chasse aux produits irritants et allergènes auxquels je suis sensible. Donc, j’ai à peu près tout viré. Passée à des produits bios… mais attention, beaucoup de produits bios contiennent quand même des irritants, et particulièrement du nickel : donc, on vérifie la formulation et on préfère systématiquement les produits avec la liste d’ingrédient la plus courte possible.

      Et miracle ! Plus de traitement et plus de récidive.