• Dolphin abandons efforts to bring emulator to Steam
    https://www.gamedeveloper.com/business/dolphin-abandons-efforts-to-bring-emulator-to-steam

    Developer Dolphin has announced that it’s given up on trying to bring its titular emulator to Steam. On its blog, the company gave an update to months long controversy that saw its emulation software delisted from Valve’s storefront after a DMCA takedown. 

    Dolphin was quick to clarify that Nintendo didn’t file the original takedown, as initially believed. It revealed that Valve’s legal team contacted Nintendo, after which a lawyer from Nintendo of America asked Valve to delist the product.

    The only way to avoid delisting, according to the blog, was to come to an agreement with the Japanese developer. But Dolphin acknowledged Nintendo’s often litigious view on emulation and considered “Valve’s requirement for us to get approval from Nintendo for a Steam release to be impossible.”

    “Considering the strong legal wording at the start of the document and the citation of DMCA law, we took the letter very seriously,” wrote Dolphin. It added that its original statement post-takedown was “fairly frantic” and “as we understood it at the time, which turned out to only fuel the fires of speculation.”

    #jeux_vidéo #jeu_vidéo #émulation #émulateur_dolphin #nintendo #valve #dmca #droit_d_auteur #copyright #piratage

  • Quand une approche “pratique” de l’adressage d’un campus impose un environnement toponymique toujours plus masculin (94%). Le cas de Grenoble-Université-Alpes à Saint-Martin-d’Hères
    https://neotopo.hypotheses.org/5855

    Le Campus historique et principal de l’Université Grenoble-Université-Alpes situé sur la commune de Saint-Martin-d’Hères connaît quelques changements d’adressage liés à une restructuration de son secteur central. Changements qui se traduisent par l’adjonction de trois...

    #Billets #Toponobservations #ToponoGender

    • Réponse des services centraux de l’UGA, reçus par mail, le 8 juin 2023 :

      « Ces propositions permettent juste de résoudre un problème urgent, cela en avance de phase d’une réflexion plus globale portant sur la nécessité de dénommer les accès aux bâtiments, afin que ces derniers soient adressés directement sur les voies qui les desservent. Il nous faudra alors faire le choix d’un certain nombre de toponymes et cela sur la base de critères qui intègreront bien évidemment le problème de parité que vous soulevez et qu’il nous faut corriger. Cette démarche a fait l’objet d’une proposition de méthodologie en cours de validation pour une réflexion que j’espère pouvoir mener l’an prochain. »

      #urgence

    • ll est possible de faire autrement...

      Des amphis aux noms de femmes : ces universités s’emparent de la question

      Amphithéâtres, salles de TD, learning centers… Dans les universités françaises, les lieux nommés d’après des personnalités portent, dans leur écrasante majorité voire en totalité, des noms d’hommes. Certains établissements veulent changer la donne et se tournent vers leur communauté pour soumettre ou sélectionner des noms de femmes.

      En France, à peine 5 % des rues portent un nom de femme. Un constat partagé dans les universités que certains acteurs s’efforcent de faire évoluer. Comment s’y prennent-ils ?
      Des noms de femmes pratiquement toujours absents

      Sur 1 328 lieux recensés sur son campus par l’Université de Strasbourg (Unistra), seuls neuf portent le nom d’une femme contre 78 pour les hommes. Du côté des #amphithéâtres, l’un d’eux est nommé d’après une déesse, pour 37 aux noms masculins.

      Les universités de #Lille et de #Haute-Alsace n’ont pas fait un tel recensement, complexe pour des campus de plus en plus tentaculaires, mais le constat est le même : les femmes sont aux abonnées absentes.

      « Avec un très grand nombre de sites faisant partie de l’#Université_de_Lille, il est difficile d’obtenir des listings complets. Avant la consultation, nous avions seulement trouvé deux salles sur le campus scientifique avec des noms de femmes : Marie Curie et Marie-Louise Delwaulle. Cette dernière est une ancienne chercheuse de l’université qui n’est désignée que par son nom de famille, alors que les autres amphithéâtres ont également des prénoms et certains ont même des plaques biographiques », rapporte Hermeline Pernoud, cheffe de projet égalité-diversité de l’établissement.

      Deux autres salles qui devaient s’appeler Rosalind Franklin et Ada Lovelace n’ont jamais été renommées, pour des raisons inconnues. « Nous voulons les faire réapparaître, dit Hermeline Pernoud. »

      À l’#Université_de_Haute-Alsace (UHA), le syndicat étudiant Communauté solidaire des terres de l’Est ne décompte aucun amphithéâtre avec des #noms_féminins, contre une dizaine de masculins. Les femmes sont pour l’heure seulement présentes sur quelques salles du learning center.

      Impliquer la communauté via consultation ou votes

      Pour faire bouger les choses, les vice-présidentes égalité des universités lilloise et strasbourgeoise, mais aussi le syndicat étudiant de Haute-Alsace se tournent vers la communauté universitaire. « L’idée de renommer 15 amphis a été lancée par Sandrine Rousseau, alors vice-présidente égalité de l’Université de Lille en 2019. 45 noms ont été proposés au vote en 2020. L’objectif est d’inviter chacun et chacune à s’interroger sur ses figures au quotidien et d’inviter chaque faculté à s’approprier les noms mis en avant », retrace Hermeline Pernoud.

      Le travail autour des noms à soumettre au vote a également permis d’impliquer l’association de solidarité des anciens personnels (Asap) de l’université lilloise qui a pu se souvenir de chercheuses illustres de la région.

      L’Unistra a opté pour une consultation : étudiants, enseignants-chercheurs et personnels peuvent soumettre des noms de femmes emblématiques de l’histoire de l’université ou d’une discipline, ayant travaillé ou étudié dans l’établissement et ayant contribué à son rayonnement ou à celui de son pays par ses travaux. Huit seront choisis pour apparaître sur des amphithéâtres, un chiffre faisant référence à la journée des droits des femmes, le 8 mars.

      « Cette initiative produit une #émulation_positive en interne, notamment au sein d’une composante d’enseignement s’étant particulièrement investie allant jusqu’à faire voter les noms soumis devant le conseil de composante ! », se réjouit Isabelle Kraus, vice-présidente égalité, parité, diversité et maîtresse de conférences en physique.

      Cette dernière envisage d’embarquer un public plus large encore : « Aujourd’hui, au-delà de l’établissement, les alumni peuvent participer. Nous réfléchissons maintenant à ouvrir la consultation en dehors de l’université, en communiquant à ce propos dans les journaux de l’Est de la France. »

      À l’Université de Haute-Alsace, ce sont les étudiants, via à la Communauté solidaire des terres de l’Est présente sur 13 campus du Haut-Rhin, qui lancent la dynamique et ouvrent une consultation le 22 mars. 115 votes ont déjà été enregistrés par une majorité d’étudiants et une trentaine d’enseignants-chercheurs.

      « Nous y avons réfléchi pendant deux ans avant de lancer la campagne. L’idée est que ce projet soit plutôt ascendant : qu’il vienne des étudiants. La gouvernance était au courant que nous préparions cela et est encline à nous soutenir », expose Axel Renard, étudiant et président de la Communauté des terres de l’Est.

      Des modifications pourraient cependant encore intervenir : « Le projet de base était de renommer des amphithéâtres, mais l’équipe dirigeante semble plutôt s’orienter vers des bâtiments », poursuit Axel Renard.

      Mettre en valeur des personnalités de l’université et #femmes_scientifiques

      Faire sortir les femmes de l’université, souvent des scientifiques, de l’#anonymat : c’est aussi l’objectif de ces initiatives. À l’Université de Lille, en lien avec l’opération Université avec un grand Elles qui a nourri la liste de noms soumis au vote pour renommer les amphis, des stages ont été proposés.

      Les étudiantes ont cherché des portraits correspondant aux critères : 15 femmes de la région, si possible en lien avec l’université, « dans une volonté de matrimoine, afin de rendre femmage -car c’est bien de cela dont il s’agit ici plutôt qu’un « hommage »- à des personnes que l’on connait moins », souligne Hermeline Pernoud.

      Une diversité qu’observe également Isabelle Kraus de l’Unistra : « Parmi les noms proposés, il en y a des connus et d’autre que je découvre. Quelle richesse ! Certains sont remontés dans toutes les disciplines. »

      Pour sa sélection, la Communauté des terres de l’Est demande dans son formulaire d’argumenter le choix soumis. « Nous n’avons pour le moment pas reçu trop de retours négatifs, seulement une dizaine de propositions de trolls », indique Axel Renard.

      Éviter les personnages trop politiques et représenter la diversité

      « Nous évitons les personnes vivantes, pour ne pas avoir de problèmes », poursuit l’étudiant de l’UHA. En effet, la décision peut s’avérer délicate, notamment lorsque la personnalité se politise comme a pu en faire l’expérience l’Université de Lille.

      « Christiane Taubira devait être invitée pour inaugurer un amphi à son nom, mais il s’est avéré que c’était au moment où elle se lançait en politique. Nous avons préféré mettre les choses en pause pour des questions éthiques », explique Hermeline Pernoud. Il faut dire que l’instigatrice même du projet, Sandrine Rousseau, est aujourd’hui députée écologiste après une tentative à la primaire du parti politique Europe écologie les verts en 2021.

      Autre critère pour l’Université de Lille : proposer aussi des noms de femmes non blanches. À ce sujet, il reste du chemin à parcourir chez les hommes également. C’est pourquoi l’établissement a inauguré, en février dernier, sur le campus de Moulin, une salle en hommage au Chevalier Saint-Georges.
      Débaptiser pour renommer : sujet tabou ?

      Pour Pierre-Alain Muller, le président de l’UHA, s’exprimant dans l’Alsace en mai, il n’est pas question de « débaptiser » les amphis qui portent des noms d’hommes. Alexandre Renard remarque : « La décision se fera avec les composantes. Il y a un seul cas où la question de pose, pour la fac de lettres et sciences humaines : trois amphis portent des noms de physicien, ingénieur… Des personnalités qui ne sont pas en lien avec la thématique. »

      Les universités de Lille et Strasbourg s’accordent également sur le fait de choisir des lieux désignés par des chiffres et seulement en dernier recours des noms d’hommes. Pourtant, à l’Université de Lille la problématique risque de se poser : « En médecine il n’y a que des noms d’hommes. Sur le campus de Roubaix, où les bâtiments sont neufs, nous pourrons sûrement en profiter pour mettre des noms féminins, mais, à terme, il faudrait une parité sur tous les sites », souligne Hermeline Pernoud.

      En pratique, une décision qui n’est pas anodine

      Si renommer moins d’une vingtaine de lieux peut sembler bien peu - et largement insuffisant pour atteindre la parité - ce n’est en réalité pas une mince affaire pour les équipes.

      « Je travaille en collaboration avec le vice-président patrimoine, Nicolas Matt, car la partie pratique est la plus difficile, souligne Isabelle Kraus. La direction des affaires logistiques intérieures a dû recenser les noms et le département du patrimoine et de l’immobilier se penche sur l’aspect logistique. Car renommer un amphi ce n’est pas juste poser une plaque : tous les documents, avec les arrivées d’eau et d’électricités, doivent être modifiés ainsi que le logiciel de planning pour l’occupation des salles. Sans l’adhésion du personnel, cela n’aurait pas été possible. »

      Après la consultation, continuer à faire vivre les noms

      Après la fin de la consultation, les premiers baptêmes à l’Unistra sont prévus pour la rentrée 2023-2024 avec l’organisation d’un événement collectif pour dévoiler les huit noms et présenter ces profils. Une plaque avec un résumé de chaque parcours sera également apposée.

      « Les propositions soumises lors de la consultation pourront servir de banque de données pour les années futures. Nous allons reconduire la consultation l’année prochaine, c’est loin d’être fini ! », ajoute Isabelle Kraus.

      Du côté de la Communauté des terres de l’Est, après la période creuse de l’été, la campagne sera relancée à la rentrée. « Le but est ensuite de faire les inaugurations progressivement, pour que chaque inauguration soit accompagnée d’une campagne expliquant le choix du nom », précise Axel Renard.

      À l’Université de Lille, pourtant pionnière avec une inauguration au nom de Laurence Bloch, journaliste à France Inter, dès 5 mars 2020, les événements ont pris du retard et après de nombreux reports, liés à la crise sanitaire, les changements de présidence et plus récemment les grèves ou encore des problématiques en interne, aucune date n’est fixée.

      « Nous devons encore nous accorder sur des détails techniques comme le choix des plaques, de l’affichage : faut-il percer le mur ? Il faut désormais que les différents campus s’emparent de la question », espère Hermeline Pernoud.

      https://www.campusmatin.com/vie-campus/rse-developpement-durable/pratiques/des-amphis-aux-noms-de-femmes-ces-universites-s-emparent-de-la-question

  • Dans les villages indigènes de la Sierra Norte de Oaxaca, les élèves avaient coutume de se mettre en cercle quand les maîtres procédaient à une interro écrite, et d’en discuter entre eux. Les maîtres d’école essayaient de leur imposer le système qu’on connait tous, chacun dans son coin qui répond isolément, les minots répondaient que « dans la communauté quand il y a un problème on fait une assemblée et on discute, pourquoi c’est pas pareil à l’école ».
    Authentique.

    Un commentaire d’Alèssi Dell’Umbria sur FB sous un article d’Amandine Gay :
    https://badassafrofem.wordpress.com/2015/06/13/emulation-ou-competition-apprenons-a-jouer-collectif

    #compétition #émulation #coopération #école #éducation #Amandine_Gay #Oaxaca (ouais je mélange un peu tout)

  • I. Diu, R. Mouren, De l’autorité à la référence
    http://www.compitum.fr/publications/8632-i-diu-r-mouren-de-lautorite-a-la-reference

    L’histoire du livre, située au carrefour de plusieurs autres disciplines, est fondée à s’intéresser à un champ de recherche qui préoccupe depuis longtemps l’histoire littéraire : celui de l’autorité et de l’auctorialité. Elle est donc conduite à s’interroger sur le statut et l’identité du scripteur, de l’auteur, des cercles qui l’entourent, et invitée à aborder les textes dans leur mouvance. Dans cet ouvrage, de nouvelles perspectives sont apportées, tant par la méthode suivie – l’analyse matérielle des textes, qu’ils soient manuscrits ou, en ces temps de révolution du livre, imprimés – que par le point de vue adopté à partir de la notion, centrale pour la Renaissance, de « référence ».

    Des chercheurs spécialistes de disciplines différentes s’interrogent sur l’émergence de cette notion de « référence ». Bien que de manière implicite, celle-ci régit le statut des textes, de leur édition intellectuelle et matérielle, de leurs auteurs et de leurs transmetteurs, à un moment crucial : celui où le discours médiéval fondé sur l’auctoritas fait place au dialogue humaniste, qui s’appuie sur une intense circulation des idées et des textes à travers correspondances, échanges de manuscrits, participation à des éditions collectives ou successives des sources du savoir.
    Avec le passage du manuscrit à l’imprimé et le développement de réseaux savants dans l’Europe de la Renaissance, l’érudition s’appuie désormais sur la notion de « référence », qui tend à supplanter celle d’« autorité ». La révérence médiévale à l’égard des auctoritates légitimant le discours s’efface devant la « référence », notion emblématique de la culture humaniste.

    #auteur #référence #savoir

  • Five Unemulated Computer Experiences « ASCII by Jason Scott
    http://ascii.textfiles.com/archives/4253

    sur les limites de l’#émulation_logicielle pour recréer l’expérience utilisateur de la micro-informatique des années 1980

    Some games on home computers would feature permanent player death and the requirement to start over in the event of a catastrophic loss. To ensure the death was permanent, the player status would have to be recorded on a floppy disk drive with a floppy disk in it. Therefore, a trick could be implemented: by putting your finger underneath the latch of a floppy disk drive, you could feel the vibration of the disk beginning to spin, and you could flip up the drive door, disengaging the magnetic head and ensuring that the death was not recorded.

  • OpenEmu - Multiple Video Game System
    http://openemu.org

    “OpenEmu is about to change the world of video game emulation. One #console at a time...

    For the first time, the ’It just works’ philosophy now extends to open source video game emulation on the #mac. With OpenEmu, it is extremely easy to add, browse, organize and with a compatible gamepad, play those favorite games (ROMs) you already own.” Tags: #jeu #émulation mac #logiciel console

  • La compétition pour les riches, la coopération pour les pauvres ? (Les Cahiers pédagogiques)
    http://www.cahiers-pedagogiques.com/La-competition-pour-les-riches-la-cooperation-pour-les-pauvres

    L’enjeu principal pour la lutte contre les inégalités est de faire dépasser le plaisir d’agir à plusieurs dans la coopération pour aller vers les apprentissages. Ce qui n’est malheureusement pas toujours le cas.
    C’est la raison pour laquelle la pédagogie a toute sa place avec la coopération, justement pour autoriser chaque élève à progresser, qu’importent ses aptitudes scolaires.
    […]
    En somme, si l’on souhaite faire de la coopération un outil pour lutter efficacement contre le fléau des inégalités scolaires, on ne peut pas faire l’impasse de deux précautions pédagogiques : la formation de tous les élèves aux gestes coopératifs […] et la valorisation des talents, pas seulement ceux en maths et en français. Plus largement, pas seulement ceux traditionnellement mis en valeur par l’école et ses programmes.

    […]

    Pour moi, la coopération, c’est surtout indispensable dans l’adversité, qui est un lit pour les inégalités sociales et scolaires ensuite. Ensemble, on est plus fort que seul.

    […]

    Non, parce que la coopération gagne à favoriser la compétition entre les élèves, si celle-ci s’oppose au culte de la première place, niant ainsi les efforts de tous les seconds. Elle prend alors forme d’émulation, son principe étant surtout d’apprendre à dépasser ses propres limites en s’appuyant sur les performances de ses pairs.

    #éducation #coopération #compétition #émulation

  • How to install Ubuntu in OS X using Parallels - a complete walkthrough - Simplehelp
    http://www.simplehelp.net/2006/09/18/how-to-install-ubuntu-in-os-x-using-parallels-a-complete-walkthrough

    This tutorial will take you every single step of the way through installing Ubuntu 6.06 using Parallels for OS X. In other words, even your parents should be able to follow along.

    #mac #logiciel #type:tutoriel #linux #ubuntu #parallels #virtualisation #émulation