• Pour lutter contre le trafic de drogues et toutes ses conséquences, la France doit repenser une stratégie symbole de déroute
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2023/09/25/face-aux-trafics-de-drogue-des-pistes-pour-sortir-de-l-echec-du-tout-repress


    Un graffiti indiquant les prix d’un point de deal dans le quartier de la Castellane, à Marseille, le 27 juin 2023. NICOLAS TUCAT / AFP

    La « guerre » contre la drogue menée depuis la fin du XXe siècle n’a pas su enrayer le développement du #narcotrafic, qui semble plus puissant que jamais. La France doit revoir sa doctrine, au risque de voir la situation dégénérer comme aux Etats-Unis, avec la crise des opioïdes.

    L’expression sonne comme une rengaine, la posture a un air de déjà-vu : contre les trafics de drogue, c’est « la guerre » qu’un vrai chef doit déclarer. Voilà plus de cinquante ans, en juin 1971, que Richard Nixon la convoqua aux Etats-Unis. Le 8 septembre, dans un entretien au Parisien, Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur, a filé cette métaphore martiale en précisant qu’il entend désormais mener « la bataille de Stalingrad » (en référence au quartier parisien du même nom ) contre les trafiquants [et à un épisode aussi décisif qu’extrêmement meurtrier de la seconde GM..., ndc].

    Les victoires mises en avant par l’exécutif s’expriment au fil des résultats des #saisies, en hausse constante (plus de 150 tonnes en 2022 contre 115 tonnes l’année précédente), et des « points de deal » démantelés. Ces décomptes se veulent rassurants. Ils masquent une autre réalité : l’insolente santé du marché de la drogue, plus disponible que jamais, à un prix maîtrisé, malgré une doctrine immuable du tout-répressif.
    Face à des trafics se régénérant sans cesse, policiers et magistrats spécialisés convoquent à l’envi le mythe de Sisyphe poussant indéfiniment son rocher ; ou parlent de « l’océan vidé à la petite cuillère » lorsque, pour quelques barrettes de shit saisies et une poignée de « choufs » interpellés, ni la marchandise ni le personnel ne manquera le lendemain. Quant aux tribunaux, ils sont embolisés par les comparutions des « petites mains ». Des audiences où règne la loi du silence.

    La menace évolue sans cesse

    « Pilonner » les points de #deal n’a pas tari l’offre et encore moins pacifié des #quartiers où les luttes de territoire ont fait plus de soixante-dix victimes depuis le début de l’année. Une situation dénoncée dans une tribune au Monde par une cinquantaine de maires, jeudi 21 septembre, appelant à un « plan national et européen contre le trafic de drogue » notamment en « généralisant les enquêtes sur le #patrimoine » sans négliger les aspects sanitaires, en termes de prévention et de soins.
    Cette demande d’une réponse ambitieuse et globale a du sens, tandis que les déploiements de la #CRS_8 comme réplique immédiate aux violences liées aux trafics ainsi que l’annonce de la création d’une nouvelle unité d’investigation spécialisée peinent à convaincre les enquêteurs de terrain.

    La menace évolue sans cesse car, à la manière d’entreprises innovantes, les groupes criminels ont su se saisir de la révolution numérique, développer des offres multiproduits, et nouer des partenariats avec des fournisseurs et des brokers (« intermédiaires ») étrangers. Pour déstabiliser pareil ennemi, les politiques publiques doivent prendre en compte les différents niveaux du « spectre » criminel.

    Au sommet, d’abord, en améliorant la coopération policière et judiciaire avec les pays où les chefs de réseau vivent à l’abri des violences, à la manière de #rentiers_du_crime. Ensuite, en investissant dans les enquêtes au long cours visant les organisations françaises prêtes à monter en gamme et à déchaîner la violence : ce « milieu du spectre », fondamental dans la distribution. Enfin, en comprenant que, au bas de l’échelle, la #précarité économique et sociale précipite aussi le début des « carrières » dans le deal. C’est en proposant des projets alternatifs, d’autres horizons, que cette armée de réserve adolescente pourra se détourner d’un travail où elle risque sa vie à chaque « shift » (« relève »).

    Car l’éradication des filières illicites passe aussi par une politique sociale visant le bien-être quotidien des habitants des quartiers où s’organise la vente de drogue. Les victimes « collatérales » des fusillades le rappellent : la problématique de la lutte antistupéfiants dépasse le cercle des initiés, dealeurs et #clients. Elle touche les villes comme les campagnes. La société dans son ensemble.

    Le tabou de la #légalisation

    Mais l’emprise des groupes criminels organisés va plus loin. La procureure de Paris le rappelait, en novembre 2022, dans Le Monde : « Le niveau de la menace est tel que l’on détecte des risques de déstabilisation de notre Etat de droit », disait Laure Beccuau, préoccupée par les développements récents en Belgique et aux Pays-Bas. Intensifier la lutte contre le #blanchiment et la #criminalité_financière apparaît fondamental. Tout comme le fait de cibler aussi les « cols blancs », ces facilitateurs, ces prête-noms, ces complices nichés dans les administrations, essentiels pour la pérennisation du narcotrafic.

    Les rapports des services de renseignements le soulignent : la France tient une place à part dans la géographie des trafics de stupéfiants. Une position stratégique, comme pays de transit, au cœur de l’Europe occidentale… Mais aussi l’un des plus gros marchés du continent, avec 600 000 usagers de cocaïne et 5 millions de consommateurs de cannabis.

    La remise en question de la politique liée au cannabis semble aujourd’hui taboue. Ce n’était pas le cas pour le candidat Emmanuel Macron, le 4 septembre 2016, lorsqu’il annonçait, sur France Inter, que « la légalisation a une forme d’efficacité ». Avant de se raviser une fois élu. Ni la littérature scientifique ni les exemples étrangers (Canada, Portugal, Allemagne désormais…) n’entraînent de réflexion sur de nouvelles approches. Un rapport parlementaire transpartisan, remis en 2021, appelait à ouvrir le débat public sur un « modèle français de législation réglementée ». Un rapport du Conseil économique, social et environnemental, étayé, poursuivait en ce sens début 2023. Les deux sont restés dans les tiroirs.

    Au-delà de ce retard, l’ampleur des défis à venir rend urgente la mise en place d’une doctrine renouvelée. Particulièrement face à l’arrivée sur le marché de nouvelles substances de synthèse aux effets létaux surpuissants. Un demi-siècle après la déclaration de « guerre » de Richard Nixon, les Etats-Unis sont aujourd’hui incapables de se défendre face à la crise des opioïdes (environ 120 000 morts par overdose attendues en 2023). Si elle ne veut pas sombrer à son tour, la France doit repenser d’urgence une stratégie aujourd’hui symbole de déroute.

    aussi :
    « La légalisation du cannabis donnera les moyens d’agir plus efficacement pour protéger davantage nos concitoyens »
    analyse (2021) : A #Marseille, le trafic de #drogue prospère sur l’abandon de la #ville
    Comment la cocaïne arrive-t-elle jusque dans la poche des consommateurs ?

  • Le préfet de la Somme reprend un arrêté « interdisant le transport et le port sur la voie publique d’équipements individuels de protection des voies respiratoires, de casques et de lunettes de protection » dans tout le département de la Somme !

    Déjà l’arrêté qui t’interdit de te protéger en manif est pas piqué des hannetons (oué je kiffe cette expression) mais toutes les explications qui suivent et les réponses à des questions connexes valent leur pesant de cacahouètes. Bref un must-read de thread ⤵
    https://twitter.com/Juristematin/status/1081290437971927041

    A compléter par le thread d’un medic au sujet du gaz : https://twitter.com/ZadStreet/status/1081403159443136512

    (je les ramènerai par ici quand je serai sur un ordinateur, c’est pas facile de seenthisser depuis un smartphone !)

  • Destruction Of Black Wealth During The Obama Presidency – People’s Policy Project
    http://peoplespolicyproject.org/2017/12/07/destruction-of-black-wealth-during-the-obama-presidency

    The paper finds that while President #Obama had wide discretion and appropriated funds to relieve homeowners caught in the economic crisis, the policy design his administration chose for his housing program was a disaster. Instead of helping homeowners, at every turn the administration was obsessed with protecting the financial system — and so homeowners were left to drown.

    As a result, the percentage of black homeowners who were underwater on their mortgage exploded 20-fold from 2007 to 2013.

    #hypothèques #saisies #finance

  • Difficulté avec les #champs_extra pour #SPIP : j’essaie l’« Affichage conditionnel » (dans mon cas : afficher un bouton de sélection pour un document uniquement si son extension est « jpg ».

    J’ai donc rempli ainsi :

    (résultat identifique en remplissant plutôt « Affichage conditionnel lors du remplissage »).

    Et ça ne fait rigoureusement rien. Je vois bien que le pipeline de Champs extra envoie une valeur « affichage_si » à Saisies ; mais si je cherche « affichage_si » dans le plugin #Saisies, je n’arrive pas à piger si c’est branché sur quoi que ce soit.

    • Dans inc/saisies_afficher.php, ça a l’air de se jouer dans la fonction saisies_verifier_afficher_si().

      Et dans mon cas, ça vérifie :

      $env["valeurs"]['extension']=="jpg"

      Mais $env["valeurs"] ne contient à ce moment que les valeurs liées aux champs extra. Pas aux valeurs des autres champs (natifs SPIP) de la table.

    • Ça c’est la vérification php de sécurité (car ce n’est pas bien d’avoir des vérif que JS si désactivé), et effectivement cette partie là est sûrement pété pour ce qui concerne les champs extras car on a pas tout le contexte (le constructeur de formulaires de saisies et ces fonctions sont utilisés aussi pur Formidable par exemple et là ça marche car tout le contexte).

      En revanche dans la page là c’est tout en javascript et là ce n’est rien sensé changer puis qu’il n’y a pas d’histoire de contexte, c’est tout en JS. Normalement le plugin génère une fonction javascript dédié à chaque champ où on a configuré ça. Est-ce qu’elle est présente, est-ce qu’il y a une erreur JS dans la console ?

      (Sinon ya un forum sous Saisies ou Champs Extras pour signaler les bugs, afin que ça profite à tout le monde quand on répond, car les utilisateurices c’est là qu’il vont chercher s’illes ont un problème similaire.) :)

    • Pas sûr que afficher_si fonctionne avec les champs extras...
      Il me semble que ça ne fonctionne que lors d’une génération d’un tableau de saisies, ou avec Formidable par exemple.

  • Le Conseil constitutionnel sauve les #saisies informatiques de l’état d’urgence | Le Club de Mediapart
    https://blogs.mediapart.fr/paul-cassia/blog/021216/le-conseil-constitutionnel-sauve-les-saisies-informatiques-de-l-etat

    Ce qui frappe dans cette décision du 2 décembre 2016, outre son absence de motivation, c’est que le Conseil constitutionnel n’a pas repris le considérant de sa décision rendue le 19 février 2016. Autrement dit, c’est au prix d’un assouplissement et même d’une renonciation aux exigences qu’il avait lui-même posées que le Conseil constitutionnel a validé le régime des saisies informatiques permises par la loi du 21 juillet 2016.

  • Un petit #shameless_autopromo : je viens d’ouvrir les formulaires des inscriptions aux concours de la Fémis :
    http://www.femis.fr/concours-general-25

    C’est évidemment, comme le reste du site, du #SPIP #HTML5.

    Tu vas me dire : ben c’est des formulaires… Oui, c’est des formulaires, donc le CVT de SPIP, et le #plugin #SAISIES que tu peux pas vivre sans si tu fais des formulaires.

    Les choses rigolotes ici (parce que sinon, hein, « formulaires Web » et « rigolo », ça ne va pas ensemble dans la même phrase)…

    – c’est un formulaire à onglets ; pour le coup, le passage en affichage à onglets et le passage d’un onglet à l’autre se fait directement en Javascript, et pas via le serveur (je l’ai fait une fois, il y a longtemps, avec déjà CVT, mais c’est super-relou à gérer ; en javascript, c’est tout de même beaucoup plus simple – normalement si pas javascript on se retrouve avec un formulaire sans onglets).

    – l’aspect le plus sympa, c’est l’utilisation de Polyfiller.js (webshim) pour gérer les formulaires HTML5 directement du côté client :
    http://afarkas.github.io/webshim/demos

    Mais pas que : ici je valide chaque champ au fur et à mesure de la saisie, avec des codes couleur (vert c’est OK…). C’est pas bien compliqué à faire, mais je ne crois pas que ce soit un fonctionnement de base de webshims, et ça rend bien.

    Ce qui ajoute un peu de complexité, évidemment, ce sont les onglets : je colorie la onglets également au fur et à mesure mais, surtout, au moment de la validation finale, je dois détecter le champ de la première erreur bloquante et activer l’onglet qui le contient.

    Encore une fois, le code n’est pas compliqué (le javascript qui fait ça est directement dans la page HTML, alors tu peux aller regarder). La seule astuce, réellement, c’est de faire remonter le statut du champ (input, select en statut "error" ou "ok") dans une classe appliquée au <li> qui contient le truc.

    – petites difficultés avec #SAISIES : je n’arrive pas à faire passer les valeurs max et min (pour les champs de type number), ça semble se perdre en route. Pour ceux-là, j’ai dû faire le HTML à la main. Et surtout, pas de "required" quand obligatoire=oui ; je corrige donc en javascript au chargement (j’ajoute « required » dans le <input> quand il est enfant de <li.obligatoire>).

    À la fin de la saisie, on arrive sur une page qui fabrique un PDF récapitulatif, expédie un email, et (super-important) affiche un bouton de paiement en ligne vers la banque.

    Alors du côté du paiement en ligne, un bug détecté ce matin : je balance le #NOM (enregistré dans la base de données) pour fabriquer le formulaire qui va vers la banque et – si si, c’est possible – le plugin « orthotypo » le corrige. Le cas qui a planté : ces gens qui saisissent leur nom en majuscules, du coup Orthotype ajoute un <span> pour signaler que c’est tout en majuscules. Évidemment, le système de la banque refuse de répondre quand il y a du HTML dans le champ « nom du client ». (Solution facile : une étoile et |textebrut)

    • @arno, il n’y a pas de saisie de type « number », donc je suppute que tu utilises la saisie « input » à laquelle tu passes le type « number » ? Chaque saisie a son HTML/squelette qui lui est propre et qui ne continent que les attributs qui lui sont dédiés. Or « input » ne gère que les attributs basiques, pas les ajouts des nouveaux types.

      http://zone.spip.org/trac/spip-zone/browser/_plugins_/saisies/saisies/input.html

      Deux solutions :
      – Soit tu ajoutes les trucs non prévus dans le paramètre « attributs », en chaîne de caractères complète (attributs=’truc="machin" bidule="chouette"’) qui va s’ajouter avant la fermeture de balise.
      – Soit, plus propre sûrement, il faudrait ajouter (toi ?) une nouvelle saisie « saisies/number.html » qui gère les attributs propres à ce nouveau type. Peut-être en faisant une inclusion de la saisie « input » mais avec le paramètre « attributs » modifié en amont, un truc comme ça, pour ne pas doublonner du code (comme ça toute amélioration à « input » est prise en compte par les autres).

      Pour le « required », il est présent dans « input » déjà. Il faut avoir HTML5 d’activé dans la configuration de SPIP.

      [(#ENV{obligatoire}|et{#ENV{obligatoire} !={non}}|et{#HTML5}|oui) required="required"]

  • Fraude à la viande de cheval : nouvelles saisies en Belgique - Agroalimentaire
    http://www.usinenouvelle.com/article/fraude-a-la-viande-de-cheval-nouvelles-saisies-en-belgique.N228761

    Les autorités belges ont saisi plus de 16 tonnes de viande de cheval, dont une partie provenait du trafic mis à jour au début du mois dans le sud de la France.
    Le trafic de viande de cheval mis à jour mi-décembre dans le sud de la France avait des ramifications dans toute l’Europe. Illustration ce 27 décembre : la Belgique annonce avoir saisi plus de 16 tonnes de viande impropre à la consommation, dont une partie provenait du trafic français. La France avait prévenu la Belgique la semaine dernière que 17,5 tonnes de viande au passeport falsifié avaient été livrées dans le pays.
    Les autorités belges ont donc procédé à la saisie de la viande, qui provenait de centres équestres, de laboratoires pharmaceutiques ou avaient été vendues par des particuliers. Les autorités sanitaires belges dénoncent au passage l’inaction de la Commission européenne dans ce dossier. « Cette fraude montre que des problèmes d’identification de chevaux existent dans divers pays européens. Bien que l’Agence alimentaire ait soulevé de nombreuses fois ce problèmes auprès de la Commission européenne, aucune action concrète n’a encore été prise pour harmoniser les contrôles dans les différents Etats membres pour une correcte application de la réglementation européenne dans l’ensemble de l’Union », accuse l’Afsca, l’Agence fédérale belge pour la sécurité de la chaîne alimentaire, dans un communiqué. Les leçons des scandales sanitaires du début 2013 n’auraient donc pas été tirées.

    #Fraude
    #viande-de-cheval
    nouvelles #saisies en #Belgique
    #scandale encore et encore ! Les leçons des scandales sanitaires du début 2013 n’auraient donc pas été tirées !!
    #voyous
    #sanitaire
    #agroalimentaire

  • Les saisies d’argent liquide aux frontières en hausse de 500 %
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/09/08/les-saisies-d-argent-liquide-aux-frontieres-en-hausse-de-500_3473035_3234.ht

    Avec plus de 103 millions d’euros saisis au premier trimestre, les saisies aux frontières d’argent liquide non déclaré ont bondi de 518,6 % par rapport au premier trimestre 2012, selon une note confidentielle de la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières évoquée par Le Parisien/Aujourd’hui en France dimanche 8 septembre.
    D’après Le Parisien, la forte hausse était déjà perceptible au dernier trimestre 2012 avec 102 millions d’euros saisis aux frontières. Interrogée par le journal, la direction des douanes n’a pas souhaité faire de commentaire. Selon des douaniers cités anonymement, les raisons avancées par les personnes en possession de l’argent saisi sont « majoritairement » d’ordre fiscal. « Les [sommes issues du trafic de] stupéfiants ne représentent que 10 % du volume », selon un enquêteur.

    LA SUISSE ET LE LUXEMBOURG, PREMIÈRES DESTINATIONS

    D’après les statistiques des douanes mentionnées par le quotidien, la Suisse et le Luxembourg sont les premières destinations de ces flux d’argent liquide. Le code des douanes stipule que tout transfert international en liquide, à l’intérieur de l’Union européenne, doit faire l’objet d’une déclaration, sauf pour les sommes inférieures à 10 000 euros.

    Il y a quelques jours, le site Mediapart révélait que Boris Boillon, l’ex-conseiller de Nicolas Sarkozy à l’Elysée et ancien ambassadeur de France en Tunisie avait été interpellé le 31 juillet par la douane à la gare du Nord avec 350 000 euros et 40 000 dollars en espèces.

    #SUISSE
    #LUXEMBOURG
    #Saisies (aux frontières,"majoritairement" d’ordre fiscal)
    #douanes

  • Revue de presse sur la #Chine semaine du 15.10.12

    #Amnesty dénonce la hausse des violentes expulsions foncières

    Les #saisies de terres sont la principale raison des #révoltes contre les autorités en Chine, pays où les zones urbanisées s’étendent rapidement.

    Les affrontements entre les villageois spoliés et les représentants des autorités locales ou des hommes de main engagés par les promoteurs prennent souvent une tournure extrêmement violente. Les compensations financières offertes, lorsqu’il y en a, sont en général considérées comme insuffisantes par les #familles #expropriées.

    http://www.liberation.fr/depeches/2012/10/14/amnesty-denonce-la-hausse-des-violentes-expulsions-foncieres-en-chine_853