• #clapper Video Player for Linux Gets First Update in 2 Years
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/04/clapper-0-6-video-player-released

    A new version of Clapper, a GTK4-based video player for Linux desktop has been released — the first major update in nearly 2 years. I first wrote about Clapper back in 2021 having been seduced over by its slick user interface (a superficial reason to like a media player, I know), its use of GStreamer, and a small but focused feature set that wasn’t trying to distract me with features I’d never need. Subsequent updates to the app refined and expanded those selling points further and player remained my preferred video player, despite the lack of any major update since […] You’re reading Clapper Video Player for Linux Gets First Update in 2 Years, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #App_Updates #mediaplayers

  • #audacity 3.5 Released with Cloud Saves, Beat Detection + More
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/04/audacity-3-5-released-with-cloud-saves-beat-detection-more

    A new version of Audacity, a popular open-source audio workstation, is available to download. Audacity 3.5 introduces major new features and improvements, fixes a number of issues in earlier builds, and removes a number of older, less-used options. The headline addition is sure to be the new cloud-saving feature. This allows users to save Audacity projects to the audio.com website (requires a signup), permitting projects to be accessed from different devices, and enabling sharing and collaboration. And, arguably more important, it acts as a versioned backup. If something goes wrong with a project you can restore an earlier version — […] You’re reading Audacity 3.5 Released with Cloud Saves, Beat Detection + More, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #App_Updates

  • « Mais pourquoi ils veulent faire revenir les jeans taille basse ? » Sur les réseaux sociaux, les générations se taquinent... et tentent de mieux se comprendre
    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/mais-pourquoi-ils-veulent-faire-revenir-les-jeans-taille-basse-sur-les-rese

    Par Klara Durand

    Selon la plateforme de veille Visibrain, rien que ces trente derniers jours, les vidéos en lien avec les générations totalisent 37 millions de mentions « j’aime ». Capture d’écran le Figaro

    « GenZ », « millenials » et « boomers » se moquent par publications interposées des clichés accolées à leurs années de naissance. Une tendance qui permet aussi d’ouvrir la discussion entre familles, amis et collègues.

    « Je suis une millennial et hier, j’ai vu une vidéo qui décrivait les choses que la GenZ trouve dépassées dans ma génération….Comment vous dire que je me suis sentie vieille. » Auriane Lavaux, la trentaine, fait mine d’être désespérée en entamant sa vidéo de maquillage sur TikTok. Elle est donc considérée, à son grand désarroi, comme faisant partie de la génération Y, qui englobe les personnes nées entre 1980 et 1996. Depuis plusieurs mois, elles sont devenues un objet de moquerie pour la GenZ, la génération née juste après, entre 1997 et les années 2010.
    À découvrir

    PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech
    PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech

    Ces derniers imitent leurs aînés dans des vidéos TikTok virales où ils apparaissent vêtus de jean moulant et dansent sur le titre Turn Down for What, sorti en 2013. Lequel servaient le plus souvent lors des flashs mob, ces rassemblements diffusés sur Internet dans les années 2000 où les personnes se mettaient soudainement à faire une action inattendue en public.

    Auriane raconte, quant à elle, avoir découvert sur TikTok que les plus jeunes estiment « que les gifs et les mèmes sont dépassés. » Mais, pour la jeune femme, le coup de massue arrive avec une autre information. « Je ne comprends pas.... Ils veulent faire revenir les jeans taille basse alors que ça n’est pas confortable », s’indigne-t-elle en s’appliquant son mascara.

    @_aurianelavaux

    bref, je suis une jeune vieille #milenials #milenialsvsgenz
    son original - Auriane

    Auriane est loin d’être la seule à s’intéresser à ce que la GenZ pense d’elle et de sa tranche d’âge. De façon générale, le sujet des générations passionne sur le réseau social chinois. Ces trente derniers jours, les vidéos comportant les mots « GenZ », « millennials », « boomer » (les personnes nées entre 1947 et les années 60) et « GenX » (les personnes nées entre 1965 et 1981), totalisent 37 millions de mentions « j’aime », rapporte la plateforme de veille du web Visibrain.
    Communication par vidéos interposées

    « Sur TikTok, les personnes aiment bien raconter leurs anecdotes du quotidien », confirme la tiktokeuse Adeline du compte unamourdechef. La millennial, comme elle aime à se surnommer, a découvert grâce à ces contenus ce que pense la GenZ du monde du travail. « Moi comme d’autres, on avait la sensation d’être les aînés qui ont eu à respecter toutes les règles, devant les petits derniers qui, eux, racontent face caméra leurs besoins d’avoir une vie privée en dehors du travail ». La vidéaste décide toutefois d’aller plus loin et d’interroger ses jeunes abonnés sur ce qui leur déplaît chez certains codes du monde de l’entreprise.

    Des discussions qui donnent lieu à vidéos humoristiques, où la jeune femme ironise sur sa propre génération. « Je suis choquée, la GenZ quand elle est malade... Elle pose un arrêt maladie », entame-t-elle, l’air éberlué, dans une des publications les plus vues de son compte. Une vidéo qui lui permet d’ouvrir, dans la section commentaires, les discussions entre générations. « Des employeurs ont expliqué mieux comprendre la vision du travail des plus jeunes et, parmi ces mêmes jeunes, certains se sont défendus en disant ne pas se reconnaître dans ce qu’on dépeint de leur génération », reprend Adeline. « Ça permet de dépasser les clichés chez chacun finalement ». Toujours selon la plateforme de veille Visibrain, le seul hashtag GenZ a généré 1,4 million de publications depuis sa création.

    @unamourdechef

    Faut pas dire aVous vous rendez pas compte#rh #humour #tiktokacademie #apprendresurtiktok #tiktokcomedie #hr #corporatehumor #entretien
    Quirky - Oleg Kirilkov

    Au sein des familles, on se partage aussi ce type de vidéos entre parents et enfants, qu’ils soient encore à la maison... ou loin du nid. Les réseaux sociaux permettent en effet de maintenir une forme de lien. À l’instar de Véronique 63 ans et sa fille Alice*, 24 ans, qui lui a créé un compte sur TikTok il y a deux ans. « Souvent, on s’envoie des vidéos drôles qu’on découvre sur TikTok, comme des extraits de spectacles d’humoristes ou de courtes publications de chutes drôles », détaille Véronique. « Ça devient un moment le soir où on échange via des références communes et puis, pour moi, ça me permet de me vider la tête », confie-t-elle, amusée.
    Instagram, le réseau social intergénérationnel

    Cette façon de communiquer ne surprend pas la chercheuse Anne Cordier, professeure des universités en science de l’information et de la communication. « Il faut arrêter avec ce discours de la rupture générationnelle sur les réseaux sociaux. Les parents d’aujourd’hui ont 40 ans ou 50 ans, bien sûr qu’ils sont sur les mêmes espaces que leurs enfants », souligne-t-elle. « Au moment du confinement, les générations de parents et de grands-parents ont pris la mesure de l’épaisseur sociale des vidéos TikTok », poursuit la professeure. « De façon générale, ils ont compris l’outil que représentent les réseaux sociaux pour maintenir le lien social ».

    D’après Anne Cordier, c’est Instagram (détenu par le groupe Meta) qui serait le plus utilisé par l’ensemble de ces générations. Avec 2 milliards d’utilisateurs actifs mensuels, on y retrouve aussi bien la GenZ, « qui poste peu mais partage des publications éphémères avec la fonction story », constate Anne Cordier, mais aussi leurs parents et grands-parents. « Les familles suivent des comptes en commun et elles voient des vidéos similaires sur le nouveau fil ’’découvertes’’ d’Instagram », complète-t-elle. « Elles partagent ainsi un lieu commun sur le numérique. »
    Les parents tout aussi actifs que leurs enfants

    Antoine, 28 ans, en sait quelque chose. Instagram est devenu le point de départ des potins avec ses parents et, surtout, avec sa mère. « Si je poste une story, elle va forcément y répondre », décrit-il. Cette dernière s’est créé un compte peu avant le confinement. Elle est depuis devenue une fervente utilisatrice de ce réseau social. « Elle a carrément ajouté mes propres amis, qui ont trouvé ça drôle », témoigne le jeune homme. « Parfois, c’est même elle qui me dit au téléphone ce que tel ami est allé voir en concert récemment, ou dans quel pays il s’est rendu », s’amuse-t-il. « Et c’est ma mère qui publie le plus de photos, surtout de ses vacances avec mon père. Moi je ne publie presque jamais rien ».

    Un point qui interpelle Anne Cordier. « Dans ces nouvelles formes de communication, on pose souvent la question de ce que les enfants dévoilent à leurs parents sur les réseaux, mais très peu de ce que les parents donnent à voir à leurs enfants », souligne la spécialiste en communication. « Pourtant, cela vaudrait le coup de s’interroger sur ce qu’on leur laisse à voir sur les réseaux sociaux », conclut-elle, pensive.

    #Médias_sociaux #Genérations #Anne_Cordier

  • A Paris, quand des immeubles entiers sont convertis en apparthôtels de luxe
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2024/04/20/a-paris-quand-des-immeubles-entiers-sont-convertis-en-apparthotels-de-luxe_6

    .... le modèle tourne avec des coûts bien moindres que dans l’hôtellerie. « Par rapport à un hôtel classique, on a des besoins en personnel divisés par trois. On peut être rentable avec moins de mètres carrés », explique Xavier O’Quin, cofondateur d’Edgar Suites, l’une des entreprises les plus en vue de ce petit monde des #apparthôtels, avec plus de 600 unités réparties dans une vingtaine d’immeubles. Pas d’espaces communs, pas de salle de petit déjeuner, un accueil réduit, des procédures qui profitent à fond de la digitalisation, un ménage seulement à la demande…
    Ce jour-là, Xavier O’Quin nous fait visiter un hôtel particulier du XVIIe siècle, près des Halles, qui appartenait jusqu’en 2020 au barreau de Paris, et qu’il a découpé, en 2022, en onze appartements mansardés. Certains offrent une belle vue sur l’église Saint-Eustache. « Vous voyez, il y a des plantes, des livres dans la bibliothèque, du mobilier vintage. L’idée, c’est de se sentir dans un vrai appartement parisien », explique ce diplômé d’un master of business administration à HEC. En 2021, sa société a levé 100 millions d’euros auprès de BC Partners, ce qui lui a permis de racheter plusieurs immeubles. Parmi eux, un bureau de 2 500 mètres carrés dans le 15e arrondissement – l’ex-siège de la marque de vêtements Caroll –, qui ouvrira bientôt avec une cinquantaine d’appartements hôteliers. D’autres projets sont en cours à Levallois-Perret, Clichy, Châtillon (Hauts-de-Seine)…

    https://justpaste.it/fd069

    #Paris #tourisme #rente_foncière #luxe #industrie_du_luxe #Ville_de_Paris

  • Giorgia Meloni de retour à Tunis pour consolider son projet de coopération migratoire
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/18/giorgia-meloni-de-retour-a-tunis-pour-consolider-son-projet-de-cooperation-m

    Giorgia Meloni de retour à Tunis pour consolider son projet de coopération migratoire
    Cette quatrième visite de la présidente du conseil italien en moins d’un an consacre le président Kaïs Saïed comme son premier partenaire africain dans lutte contre les arrivées irrégulières dans la péninsule.
    Par Nissim Gasteli (Tunis) et Allan Kaval (Rome, correspondant)
    La Tunisie continue d’occuper une place à part dans la politique étrangère de Giorgia Meloni. Pour la quatrième fois en moins d’un an, la présidente du conseil italien s’est rendue à Tunis, mercredi 17 avril, pour rencontrer son homologue, le président Kaïs Saïed.
    Accompagnée d’une large délégation ministérielle, Mme Meloni n’est restée que quelques heures dans la capitale tunisienne, avant de s’envoler pour la réunion du Conseil européen à Bruxelles. Elle en a profité pour annoncer plusieurs protocoles de coopération : un soutien direct d’une valeur de 50 millions d’euros au budget de l’Etat tunisien en faveur de « l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables », une ligne de crédit de 55 millions d’euros pour soutenir les petites et moyennes entreprises tunisiennes et un accord-cadre permettant de poser les bases d’une collaboration dans le domaine universitaire.
    Lors de sa « déclaration à la presse » – à laquelle les journalistes n’étaient pas conviés –, Giorgia Meloni a mis en avant, à travers ces accords, une approche « complètement nouvelle », « égalitaire », basée sur « l’intérêt mutuel » des nations, qui s’inscrit dans son ambitieuse politique africaine, placée au cœur de sa diplomatie et désormais inséparable d’une stratégie migratoire centrée sur l’objectif de mettre un terme aux arrivées irrégulières sur le territoire italien. « Nous ne pouvons plus traiter la question migratoire de manière isolée avec nos partenaires africains, explique une source diplomatique italienne haut placée. Elle doit être incluse dans une approche globale et prendre pour base les exigences des pays de départs et de transit. »
    La vision de Giorgia Meloni, qui relève d’abord d’un récit et d’un discours mais qui se construit progressivement de visites officielles en accords divers, intègre son concept de « plan Mattei pour l’Afrique ». Lancé lors du sommet Italie-Afrique, les 28 et 29 janvier, celui-ci doit impliquer tout son gouvernement ainsi que les différents acteurs de l’économie italienne. « Cette nouvelle visite de Giorgia Meloni en Tunisie a pour objet de montrer que ce plan commence à avoir des applications concrètes et à projeter l’image d’une diplomatie en action en direction ses partenaires internationaux comme à son électorat », explique Maria Fantappie, directrice du département Méditerranée, Moyen-Orient et Afrique à l’Istituto Affari Internazionali, un influent centre de réflexion romain, précisant que « la Tunisie est le pays où la politique africaine du gouvernement italien a été testée pour la première fois grâce à la relation personnelle entre la présidente du conseil et Kaïs Saïed. »
    Le président tunisien, qui a multiplié au cours des derniers jours les mises en garde, répétant que son pays ne traiterait avec les autres nations que « sur un pied d’égalité » semble apprécier la rhétorique de Giorgia Meloni, seule dirigeante européenne avec laquelle il entretient un dialogue aussi régulier, qui évite soigneusement d’aborder sa dérive autoritaire. Au cours de la visite, M. Saïed a salué cette collaboration et exprimé son souhait de « renforcer et diversifier les liens de coopération et de partenariat entre les deux pays amis ».
    Une volonté partagée par Rome pour qui la Tunisie représente de nombreux intérêts. Dans le domaine énergétique, dans lequel l’Italie ambitionne de devenir un « hub » entre les deux rives de la Méditerranée, les réseaux électriques des deux pays devraient, d’ici à 2025, être interconnectés par le câble sous-marin El Med ouvrant la voie à l’exploitation du vaste potentiel du sud tunisien dans la production d’énergies solaires et éoliennes. Le territoire tunisien sert aussi de plateforme de transit du gaz algérien vers la péninsule italienne. La Tunisie est enfin un important débouché pour près de 900 entreprises de la péninsule, présentes sur son territoire.
    Sur le plan migratoire, alors que le printemps apporte des conditions climatiques favorables aux traversées de la Méditerranée et que les élections européennes de juin approchent, Giorgia Meloni mise en effet sur la coopération de la Tunisie pour éviter que la campagne ne soit affectée par des pics d’arrivées dont les effets seraient politiquement désastreux. Les images de septembre 2023 montrant un afflux exceptionnel de plus de 10 000 migrants partis des rivages de la Tunisie pour débarquer sur l’île de Lampedusa avaient produit un vent de panique parmi les gouvernements européens et remis en cause la pertinence des premiers efforts de la présidente du conseil italien sur le front tunisien.Depuis cet épisode, les autorités tunisiennes ont soigneusement réaffirmé leur contrôle sur la frontière maritime tout en renforçant, sur terre, la répression des exilés, multipliant les campagnes d’expulsion vers les frontières de l’Algérie et de la Libye. Si celles-ci s’étaient faites au prix de nombreuses violations de droits humains, Giorgia Meloni n’a pas manqué lors de son discours de « remercier encore une fois les autorités tunisiennes » pour le travail effectué et de se féliciter des résultats de l’accord de « partenariat stratégique complet » signé, sous ses auspices, par l’Union européenne et la Tunisie, le 16 juillet 2023.
    Au-delà de cette satisfaction affichée, sa visite intervient dans un contexte d’augmentation des arrivées de migrants sur le rivage italien en provenance des côtes tunisiennes, au cours des dernières semaines. Si cette tendance reste à relativiser car elles ont diminué de moitié au cours des quatre premiers mois de l’année 2024 par rapport à la précédente, elle montre toutefois la volatilité du contrôle migratoire tunisien. Le président Kaïs Saïed a ainsi rappelé, une fois de plus, son refus catégorique que son pays soit « une destination ou un point de passage pour les migrants irréguliers ». A El Amra, région côtière du centre-est de la Tunisie, située à plus d’une centaine de kilomètres de Lampedusa, ils sont pourtant des milliers à attendre, dans des conditions extrêmement précaires, de pouvoir traverser la Méditerranée. Le contrôle migratoire délégué à la Tunisie par le mémorandum de juillet 2023, présenté par Giorgia Meloni lors de sa signature comme « un modèle pour l’établissement de nouvelles relations avec l’Afrique du Nord » et depuis dupliqué avec l’Egypte et prochainement la Mauritanie, paraît aujourd’hui fragile

    #covid-19#migrant#migration#italie#tunisie#lampedusa#afriquedunord#mediterranee#traversee#migrationirreguliere#approcheglobale#partenariat#sante

  • #Organic_Maps, une alternative à #google_maps :

    Organic Maps est un #logiciel_libre de #cartographie et de navigation utilisable #hors-ligne et basé les données cartographiques d’#OpenStreetMap. Il se base uniquement sur des données vectorielles pour le rendu des objets et permet un rendu 2D ou 3D temps réel. Il s’adapte au logiciel de synthèse vocale disponible du système d’exploitation sur lequel il tourne. Il est disponible pour Android et GNU/Linux et iOS. Il s’agît à l’origine d’un fork de #Maps.me, fait par ses propres développeurs.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Organic_Maps

    #offline #off-line #OSM #marche #vélo #app

  • « No Tech For #Apartheid » : chez #Google et #Amazon, la fronde grandit contre un partenariat avec Israël
    https://www.rfi.fr/fr/technologies/20240417-no-tech-for-apartheid-chez-google-et-amazon-la-fronde-grandit-contre-un

    En 2021, le ministre des Finances israélien annonce la signature avec Amazon et Google d’un contrat faramineux de 1,2 milliard de dollars en échange de l’installation de centres de données régionaux en Israël, assortie de l’utilisation de ses services d’intelligence d’artificielle et de sauvegarde dans le cloud.

    À l’époque déjà, de nombreux employés émettent de vives inquiétudes quant à ce contrat. Une première tribune signée par des employés de Google et Amazon avait été publiée par le Guardian en octobre 2021 pour dénoncer le « projet Nimbus » et la « vente d’une technologie dangereuse à l’armée et au gouvernement israélien » qui pourrait permettre « une surveillance massive des Palestiniens et une collecte de données illégale », notamment en matière de reconnaissance faciale.

    Mais la pression est encore montée d’un cran le 4 mars dernier. Un jeune ingénieur de Google, portant un tee-shirt siglé du slogan « No Tech for Apartheid » a interrompu une conférence sur la tech israélienne se tenant à New York et sponsorisée par le moteur de recherche en criant devant le public : « Je suis ingénieur logiciel chez Google et je refuse de créer une technologie qui alimente un génocide, l’apartheid ou la surveillance ». Le jeune homme de 23 ans est alors évacué manu militari de la salle. Trois jours plus tard, il est convoqué par ses supérieurs et licencié par Google.

  • Mozilla #Firefox 125 Released with Added Conveniences
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/04/mozilla-firefox-125-released

    You know the drill by now: a new month rolls around, and a new version of the inimitable Mozilla Firefox rolls off the release server for us all to enjoy. And bang on cue, Firefox 125 has arrived. The big-ticket new feature in this update is URL paste suggestions: Mozilla says this feature “provides a convenient way for users to quickly visit URLs copied to the clipboard in the address bar of Firefox.” How does it work? If you copy a URL to the system clipboard and then focus the URL bar (in Firefox 125, that is) you will see […] You’re reading Mozilla Firefox 125 Released with Added Conveniences, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #App_Updates

  • In Tunisia continuano le violazioni dei diritti delle persone migranti
    https://www.meltingpot.org/2024/04/in-tunisia-continuano-le-violazioni-dei-diritti-delle-persone-migranti

    In un comunicato congiunto 36 organizzazioni della società civile, tra cui il Forum Tunisien pour les Droits Economiques et Sociaux (FTDES), Avocats Sans Frontières (ASF) e Migreurop, a un anno dal discorso razzista del presidente Kaïs Saïd, denunciano la sistematizzazione della violenza commessa dalle autorità tunisine contro le persone africane. A più di un anno dal comunicato emesso dalla Presidenza della Repubblica tunisina a seguito della riunione del Consiglio di sicurezza nazionale, che collegava la presenza dei migranti “a un complotto per cambiare la composizione demografica della Tunisia“, le violazioni sistematiche e le campagne razziste e xenofobe contro le (...)

    #Approfondimenti #Silvia_Di_Meo #Luca_Ramello #Ludovica_Gualandi #Vincent_Bianco

  • #apt is Getting a Colourful New UI (it’s a BIG Improvement)
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/04/apt-3-0-colours-columns-new-ui

    I think most of us are familiar with the way that APT, the package management tool underpinning Ubuntu and all other Debian-based Linux distributions, looks and behaves. But some (much needed) visual changes are coming in the next major stable release, APT 3.0 — and they look great. Hey, don’t pretend you’re not excited by fancier looking APT print outs, my friend! 🤭 One of the (many) things I love about Fedora is how clean, ordered, and legible DNF printout looks — no, i’m not sure “printout” is the right term for what I mean but saying it makes me […] You’re reading APT is Getting a Colourful New UI (it’s a BIG Improvement), a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #Ubuntu_24.10

  • #Blanket Ambient Sounds App for Linux Gets Calming New Look
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/04/blanket-ambient-noise-app-update-new-ui

    If you want to relax or need to concentrate on a task at your computer then listening to ambient sounds can often help — and the best Linux app for this task just got a big update! Blanket is a free, open-source GTK4/libadwaita app that comes packaged with a variety of ambient looping sounds. These range from classic nature tracks (rain, wind, waves, birds, etc) through to environmental buzz (coffee shop, city, train, etc). You can play just a single sound or layer several sounds simultaneously by adjusting the volume level for each preset individually so everything sits right aurally. […] You’re reading Blanket Ambient Sounds App for Linux Gets Calming New Look, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #App_Updates

  • L’économie sociale et solidaire au service d’une #alimentation durable et accessible ?
    https://metropolitiques.eu/L-economie-sociale-et-solidaire-au-service-d-une-alimentation-durabl

    Pour renforcer l’accès de tous à une alimentation durable, les pouvoirs publics s’appuient de plus en plus sur l’économie sociale et solidaire. À partir du cas parisien, Carla Altenburger montre que la recherche de viabilité économique compromet parfois les objectifs de durabilité et d’accessibilité. Supermarchés coopératifs, AMAP, épiceries vrac, paniers solidaires : les initiatives alternatives visant à rendre le système alimentaire plus durable ne manquent pas. Ces projets sont souvent issus de #Terrains

    / #collectivités_territoriales, #économie_sociale_et_solidaire, #appel_à_projets, alimentation, accessibilité

    #accessibilité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_altenburger.pdf

  • La FIDH rejoint le mouvement global pour la reconnaissance de l’apartheid de genre comme crime de droit international

    Le 23 mars 2024, le Bureau international de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH) – son corps élu composé de défenseur·es des droits humains originaires de tous les continents a adopté à la majorité une résolution alignant l’organisation au mouvement global appelant à la reconnaissance du crime d’apartheid de genre en droit international.

    Paris, 28 mars 2024. Reconnaissant le travail considérable initié et réalisé ces dernières années par des féministes, des universitaires et des expert⋅es du monde entier, la FIDH est convaincue qu’il est temps d’élargir la définition du crime d’« apartheid » pour y inclure des situations dans lesquelles l’oppression est dirigée contre un ou plusieurs groupes de genre spécifiques, comme c’est le cas en Afghanistan pour les femmes et les jeunes filles. La FIDH estime de façon plus générale que l’apartheid de genre est le crime le plus approprié pour caractériser les situations où il existe une discrimination institutionnalisée et systématisée sévère.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/04/10/la-fidh-rejoint-le-mouvement-global-pour-la-re

    #international #féminisme #apartheid

  • Les ruptures de contrat en formation par apprentissage : l’hécatombe ! Une contribution de Christian Sauce | ESS, Emploi, Formation, Insertion et bien d’autres choses. | Michel Abhervé | Les blogs d’Alternatives Économiques
    https://blogs.alternatives-economiques.fr/abherve/2024/04/08/les-ruptures-de-contrat-en-formation-par-apprentissag

    Quelle ne fut donc pas ma surprise de découvrir en février 2024 que la Dares retrouvait le chemin de la raison en publiant à nouveau les taux de ruptures des contrats commencés en 2020 ! Force est de constater que la situation ne s’est pas améliorée : 38 % des contrats d’une durée prévue d’environ deux ans ont été rompus (dont 27,3 % la première année). Ce qui correspond à plusieurs centaines de milliers de ruptures par an ! Une hécatombe au regard des 10 % d’élèves de lycées professionnels qui décrochent chaque année et dont on fait toute une montagne ! Qui est informé de cela ? Qui le sait parmi les parents et les jeunes “clients” de l’apprentissage, appâtés chaque jour par les boniments des libéraux ?? Et est-ce acceptable que la France dépense autant de milliards d’euros d’argent public, sans aucun contrôle, pour un système de formation privé qui génère autant de souffrances chez nos adolescents et jeunes adultes ?

  • «Se muoio riportate il mio corpo in Guinea»
    https://www.meltingpot.org/2024/04/se-muoio-riportate-il-mio-corpo-in-guinea

    «Si je meurs jaimerais quon rianvoi mon corps en Afrique, ma mère serait ravie(…)les militaire Italien ne conait rien saufe largent,mon Afrique me manque beaucoup et ma mère aussi. Il ne faut que pleure a cause de moi, paix á mon âme que je repose en paix» Aveva lasciato un messaggio di addio su una parete della sua camerata: un suo autoritratto e qualche riga in francese, poi Ousmane Sylla, detenuto nel CPR di Ponte Galeria di Roma, muore. Solo 10 giorni dopo, attraverso le reti sociali, la famiglia apprende la triste notizia e fin da subito dichiara di non

    #Approfondimenti #CPR,_Hotspot,_CPA #Francesca_Reppucci #Nicoletta_Alessio

  • “A ellos no les vamos a abrir…”
    https://www.meltingpot.org/2024/04/a-ellos-no-les-vamos-a-abrir

    Pubblichiamo la prima parte del reportage di approfondimento sui fatti avvenuti il 27 marzo del 2023 in Messico nel centro di detenzione di Ciudad Juárez. Quella notte in un incendio morirono soffocate 40 persone in una cella chiusa a chiave, altri 27 sono sopravvissuti ma hanno subito amputazioni, danni ai polmoni e altre conseguenze che li accompagneranno per tutta la vita. A distanza di un anno un’inchiesta giornalistica indipendente fornisce nuovi dettagli su quanto accaduto quella notte finita in una strage smentendo il resoconto ufficiale. È stata la peggiore tragedia in una struttura di detenzione per persone migranti gestita (...)

    #Approfondimenti #CPR,_Hotspot,_CPA #Mara_Girardi

  • Discrimination 2.0 : ces algorithmes qui perpétuent le racisme

    L’IA et les systèmes algorithmiques peuvent désavantager des personnes en raison de leur origine, voire conduire à des discriminations raciales sur le marché du travail. A l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale, AlgorithmWatch CH, humanrights.ch et le National Coalition Building Institute NCBI mettent en lumière la manière dont les systèmes automatisés utilisés dans les procédures de recrutement peuvent reproduire les inégalités.

    Les procédures d’embauche sont et ont toujours été caractérisées par une certaine inégalité des chances. Aujourd’hui, les entreprises utilisent souvent des systèmes algorithmiques pour traiter les candidatures, les trier et faire des recommandations pour sélectionner des candidat·e·x·s. Si les départements des ressources humaines des grandes entreprises souhaitent augmenter leur efficacité grâce aux « Applicant Tracking Systems » (ATS), l’utilisation de tels systèmes peut renforcer les stéréotypes discriminatoires ou même en créer de nouveaux. Les personnes issues de l’immigration sont souvent concernées par cette problématique.
    Exemple 1 : un algorithme qui préfère les CV « indigènes »

    Une étude récente menée en Grande-Bretagne a comparé les CV sélectionnés par une personne experte en ressources humaines et ceux qu’un système de recommandation algorithmique avait identifiés comme étant ceux de candidat·e·x·s compétent·e·x·s. La comparaison a montré que les personnes que les recruteur·euse·x·s considéraient comme les meilleur·e·x·s candidat·e·x·s ne faisaient parfois même pas partie de la sélection effectuée par les systèmes basés sur des algorithmes. Ces systèmes ne sont pas capables pas lire tous les formats avec la même efficacité ; aussi les candidatures compétentes ne correspondant pas au format approprié sont-elles automatiquement éliminées. Une étude portant sur un autre système a également permis de constater des différences claires dans l’évaluation des CV. Ainsi, il s’est avéré que le système attribuait davantage de points aux candidatures « indigènes », en l’occurrence britanniques, qu’aux CV internationaux. Les candidat·e·x·s britanniques avaient donc un avantage par rapport aux personnes migrantes ou ayant une origine étrangère pour obtenir une meilleure place dans le classement.
    Exemple 2 : les formations à l’étranger moins bien classées

    En règle générale, les systèmes de recrutement automatisés sont entraînés de manière à éviter l’influence de facteurs tels que le pays d’origine, l’âge ou le sexe sur la sélection. Les candidatures contiennent toutefois également des attributs plus subtils, appelés « proxies » (en français : variables de substitution), qui peuvent indirectement donner des informations sur ces caractéristiques démographiques, par exemple les compétences linguistiques ou encore l’expérience professionnelle ou les études à l’étranger. Ainsi, la même étude a révélé que le fait d’avoir étudié à l’étranger entraînait une baisse des points attribués par le système pour 80% des candidatures. Cela peut conduire à des inégalités de traitement dans le processus de recrutement pour les personnes n’ayant pas grandi ou étudié dans le pays dans lequel le poste est proposé.

    Les critères de sélection de nombreux systèmes de recrutement basés sur les algorithmes utilisés par les entreprises sont souvent totalement opaques. De même, les jeux de données utilisés pour entraîner les algorithmes d’auto-apprentissage se basent généralement sur des données historiques. Si une entreprise a par exemple jusqu’à présent recruté principalement des hommes blancs âgés de 25 à 30 ans, il se peut que l’algorithme « apprenne » sur cette base que de tels profils doivent également être privilégiés pour les nouveaux postes à pourvoir. Ces stéréotypes et effets discriminatoires ne viennent pas de l’algorithme lui-même, mais découlent de structures ancrées dans notre société ; ils peuvent toutefois être répétés, repris et donc renforcés par l’algorithme.

    Ces exemples illustrent la discrimination par les algorithmes de personnes sur la base de leur origine. Les algorithmes discriminent également de nombreux autres groupes de population. En Suisse aussi, de plus en plus d’entreprises font usage d’algorithmes pour leurs processus de recrutement ainsi que sur le lieu de travail.

    Discrimination algorithmique en Suisse : le cadre légal de protection contre la discrimination en Suisse ne protège pas suffisamment contre la discrimination par les systèmes algorithmiques et doit être renforcé. Ce papier de position présente les problématiques liées à la discrimination algorithmique et décrit les moyens d’améliorer la protection contre ce type de discrimination.

    Les algorithmes discriminent également de nombreux autres groupes de population. Dans la série « Discrimination 2.0 : ces algorithmes qui discriminent », AlgorithmWatch CH et humanrights.ch, en collaboration avec d’autres organisations, mettent en lumière divers cas de discrimination algorithmique.

    https://www.humanrights.ch/fr/nouvelles/discrimination-20-algorithmes-perpetuent-racisme
    #discrimination #racisme #algorithme #xénophobie #IA #AI #intelligence_artificielle #travail #recrutement #discrimination_raciale #inégalités #ressources_humaines #Applicant_Tracking_Systems (#ATS) #CV #curriculum_vitae #sélection #tri

    • « L’IA et les systèmes algorithmiques peuvent désavantager des personnes en raison de leur origine, voire conduire à des discriminations raciales sur le marché du travail. » mais l’ia et les systemes algorithmiques peuvent tout aussi bien avantager des personnes en raison de leur origine, voire conduire à des discriminations raciales sur le marché du travail. La banque mondiale exige déja une discrimination selon les pratiques sexuelles pour favoriser emprunts et subventions !

  • Time of israel : Gaza : Des images de soldats israéliens jouant avec de la lingerie féminine deviennent virales Reuters

    Des soldats de l’armée israélienne ont publié des photos et des vidéos les montrant en train de s’amuser avec de la lingerie féminine trouvée dans des habitations de Gaza.

    Dans une vidéo, un soldat est assis dans un fauteuil, souriant, une arme à la main et un sous-vêtement en satin blanc dans l’autre, qu’il tient au-dessus de la bouche ouverte d’un camarade allongé sur un sofa.

    Sur une autre, un militaire est assis sur un char avec un mannequin de femme simplement vêtu d’un soutien-gorge noir et d’un casque. Il dit : « J’ai trouvé une belle femme, une relation sérieuse à Gaza, une femme formidable ».

    Ces deux vidéos tournées par des soldats israéliens figurent parmi des dizaines de posts où des soldats, à Gaza, présentent des pièces de lingerie, des mannequins et parfois les deux dans certains cas. Ces images ont été vues des dizaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux – une a glané plus d’un demi-million de vues – après avoir été signalées et partagées par Younis Tirawi, qui se dit être un journaliste palestinien.

    Interrogé sur les images qu’il a partagées à l’attention de ses plus de 100 000 abonnés sur X, entre le 23 février et le 1er mars, Tirawi a fourni les liens des publications originales, téléchargées sur internet par les soldats. Reuters a pu vérifier huit de ses photos et séquences qui avaient été postées sur Instagram ou sur YouTube.

    « La publication de telles images est humiliante pour les femmes palestiniennes comme pour toutes les femmes », a estimé Ravina Shamdasani, porte-parole du Bureau des Droits de l’Homme des Nations unies.

    Reuters a transmis à l’armée israélienne tous les renseignements qui ont pu être obtenus sur les huit publications vérifiées sur YouTube et sur Instagram, demandant d’éventuels commentaires.
    . . . . .
    Parmi les posts qui ont été authentifiés, la photo d’un militaire tenant un mannequin de femme, nue, de derrière, la main posée sur ses seins. Une autre montre un soldat tenant une poupée à moitié dénudée.

    Sur une image, un militaire pose avec son arme, levant le pouce, devant un lit double sur lequel des sous-vêtements féminins ont été éparpillés.

    YouTube a annoncé avoir supprimé l’une des vidéos trouvées par Reuters, estimant qu’elle contrevient aux politiques sur le harcèlement de la plateforme qui interdisent des contenus susceptibles de révéler des informations personnelles identifiables. Instagram, de son côté, n’a fait aucun commentaire.
    . . . . .
    Au mois de février, la générale Yifat Tomer-Yerushalmi, la procureure-générale militaire, avait indiqué qu’elle avait « rencontré des cas de conduite inacceptable, qui nient les valeurs et les protocoles de tsahal ».

    Tomer-Yerushalmi avait expliqué qu’il y avait, parmi ces cas, « des déclarations inappropriées qui encouragent des phénomènes inacceptables ; un usage injustifié de la force, notamment contre les détenus ; des pillages, ce qui comprend l’utilisation ou la saisie pure et simple de biens privés à des fins non-opérationnelles et des actes de destruction de biens civils, ce qui est contraire au protocole ».

    « Certains incidents vont au-delà du domaine disciplinaire et franchissent le seuil du pénal », avait-elle averti.

    Également au mois de février, le chef d’état-major, le général Herzi Halevi, avait expliqué aux troupes que « nous agissons comme des êtres humains et, contrairement à notre ennemi, nous conservons notre humanité. Nous devons prendre garde à ne pas utiliser la force quand elle n’est pas requise ; nous devons prendre garde à faire la distinction entre les terroristes et ceux qui ne le sont pas ; à ne pas prendre quelque chose qui ne nous appartient pas – un souvenir ou des armes – et à ne pas filmer de vidéo à des fins de vengeance ».

    Les propos tenus par Halevi et par Tomer-Yerushalmi étaient survenus quelques semaines après la publication d’un article paru dans le New York Times qui était intitulé : « Ce que révèlent les vidéos filmées par les soldats : Acclamation des destructions et railleries à l’encontre des Gazaouis ». L’article montrait des vidéos filmées par les troupes israéliennes, leurs pairs prononçant des paroles méprisantes à l’égard des Palestiniens, commettant des actes de vandalisme chez les particuliers et souriant à la caméra alors qu’ils conduisaient des bulldozers ou qu’ils utilisaient des explosifs.

    L’article avait publié une déclaration de l’armée qui avait estimé que les séquences étaient « déplorables ».

    Le porte-parole de Tsahal, Daniel Hagari, avait aussi, à l’époque, appelé les militaires à ne pas se filmer si les images n’avaient pas une visée opérationnelle, évoquant une violation des ordres militaires.

    #femmes #palestiniennes #Palestine #Gaza #Gazaouis #tsahal #violences #pillages #YouTube #palestine_assassinée #bds #occupation #apartheid #racisme #sexisme #culture_du_viol #israel

    Source : https://fr.timesofisrael.com/gaza-des-images-de-soldats-jouant-avec-de-la-lingerie-feminine-dev

  • Prison avec sursis requise contre un responsable de la CGT à la suite d’un tract sur l’attaque du Hamas en Israël
    Le Monde avec AFP - Publié le 29 mars 2024
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/03/29/prison-avec-sursis-requise-contre-un-responsable-cgt-apres-un-tract-sur-l-at

    Un an de prison avec sursis a été requis, jeudi 28 mars, contre un responsable de la Confédération général du travail (CGT) du Nord, jugé à Lille pour « apologie du terrorisme » à la suite d’un tract controversé de soutien aux Palestiniens. La décision a été mise en délibéré au 18 avril.

    « Ce tract présente ces horreurs comme si elles avaient eu un caractère inévitable », a lancé la procureure. « C’est une légitimation d’un attentat de masse sous couvert d’une analyse historique », a-t-elle ajouté, estimant le délit « parfaitement caractérisé ».

    En tant que responsable de la publication du site Internet de la CGT 59, Jean-Paul Delescaut, 57 ans , est jugé pour « apologie publique d’un acte de terrorisme » et « provocation publique à la haine ou à la violence », pour la diffusion d’un message le 10 octobre 2023, trois jours après l’attaque sanglante du Hamas contre Israël.

    Un passage avait été particulièrement mis en cause : « Les horreurs de l’occupation illégale se sont accumulées. Depuis samedi [7 octobre 2023], elles reçoivent les réponses qu’elles ont provoquées. » Retiré du site Internet, le tract avait été remplacé par une version « confédérale » corrigée, trois jours plus tard. (...)

    #apologie_du_terrorisme

    • Ici à Montpellier, je crois qu’on a eu la condamnation d’un manifestant lors d’une manif pro-Palestinienne, pour des motifs similaires.

      Pendant ce temps, on a des gens qui se relaient à la télévision pour défendre le fait qu’on peut massacrer 10 000 enfants parce que « regardez, à Dresde, on a rasé la ville… ». Mais je n’ai pas vu qu’on avait des procureurs qui dénonçaient là « une légitimation d’un génocide sous couvert d’une analyse historique ».

      On est vraiment dans un système totalement malade.

    • Répression du soutien à la Palestine : des centaines de personnes aux côtés du secrétaire de l’UD CGT 59
      https://www.revolutionpermanente.fr/Repression-du-soutien-a-la-Palestine-des-centaines-de-personnes
      Un an de prison avec sursis requis contre le secrétaire de l’UD CGT 59 : il faut faire front !
      https://revolutionpermanente.fr/Un-an-de-prison-avec-sursis-requis-contre-le-secretaire-de-l-UD

      Alors que la décision du tribunal sera rendue le 18 avril, la procureure, le tract publié par le syndicaliste constituerait un « délit caractérisé », « une légitimation d’un attentat de masse sous couvert d’une analyse historique ». Une interprétation rejetée par Jean-Paul Delescaut, qui, devant le tribunal, à réinsisté sur les « valeurs d’humanité, de défense de salariés, contre l’injustice sociale et pour la solidarité entre les peuples » de la CGT. « On condamne les actes terroristes en général et bien entendu celui du 7 octobre. On condamne toutes les violences ».

      Des centaines de personnes, regroupant syndicalistes, militants de la cause palestinienne et organisations politiques, se sont rassemblés devant le tribunal de Lille pour réclamer l’abandon de toute poursuite contre le militant ouvrier. Plusieurs figures syndicales et politiques étaient présentes à cette occasion, comme Jean-Luc Mélenchon, Sophie Binet, Olivier Mateu, ou encore Jean-Pierre Mercier, pour soutenir le militant CGT et défendre la voix de la cause palestinienne. Pour Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, les accusation portées contre Jean-Paul Delescaut « s’inscrivent dans un climat très inquiétant de répression des libertés syndicales », avec « plus de 1 000 militants poursuivis au nom des actions menées collectivement par la CGT » contre la réforme des retraites. Alors que le nombre de militants syndicaux poursuivis par la justice atteint en effet un record historique, le syndicat a lancé une pétition pour exiger sa relaxe totale.

      Le rassemblement a également été l’occasion de dénoncer les tentatives pour empêcher depuis 6 mois toutes formes d’expression de soutien et de solidarité avec le peuple palestinien. Des interdictions de manifester aux nombreuses enquêtes ouvertes pour « apologie du terrorisme », le gouvernement a usé de tous les moyens possibles pour faire taire les soutiens à la Palestine et cacher sa complicité avec l’État colonial d’Israël.

      Ce procès ainsi que la réquisition du procureur s’inscrivent dans une offensive répressive majeure contre le mouvement ouvrier et le droit syndical. Dans le cas présent, il constitue une attaque supplémentaire visant à construire un délit d’opinion contre tous ceux qui soutiennent le mouvement pour la Palestine. Une attaque contre toutes les voix qui s’élèvent contre la colonisation, mais aussi une offensive conséquente contre le mouvement ouvrier syndical, et une tentative de tuer dans l’œuf toute convergence entre mouvement ouvrier et soutien internationaliste au peuple palestinien. Contre la répression, solidarité avec Jean-Paul Delescaut !

  • Unpatchable vulnerability in Apple chip leaks secret encryption keys | Ars Technica
    https://arstechnica.com/security/2024/03/hackers-can-extract-secret-encryption-keys-from-apples-mac-chips

    Finalement, se promener sur les autoroutes numériques, c’est un peu comme se retrouver tout nu au milieu des Champs Elysées. Avant, ça n’arrivait que dans les cauchemards...

    A newly discovered vulnerability baked into Apple’s M-series of chips allows attackers to extract secret keys from Macs when they perform widely used cryptographic operations, academic researchers have revealed in a paper published Thursday.

    The flaw—a side channel allowing end-to-end key extractions when Apple chips run implementations of widely used cryptographic protocols—can’t be patched directly because it stems from the microarchitectural design of the silicon itself. Instead, it can only be mitigated by building defenses into third-party cryptographic software that could drastically degrade M-series performance when executing cryptographic operations, particularly on the earlier M1 and M2 generations. The vulnerability can be exploited when the targeted cryptographic operation and the malicious application with normal user system privileges run on the same CPU cluster.
    Beware of hardware optimizations

    The threat resides in the chips’ data memory-dependent prefetcher, a hardware optimization that predicts the memory addresses of data that running code is likely to access in the near future. By loading the contents into the CPU cache before it’s actually needed, the DMP, as the feature is abbreviated, reduces latency between the main memory and the CPU, a common bottleneck in modern computing. DMPs are a relatively new phenomenon found only in M-series chips and Intel’s 13th-generation Raptor Lake microarchitecture, although older forms of prefetchers have been common for years.

    Security experts have long known that classical prefetchers open a side channel that malicious processes can probe to obtain secret key material from cryptographic operations. This vulnerability is the result of the prefetchers making predictions based on previous access patterns, which can create changes in state that attackers can exploit to leak information. In response, cryptographic engineers have devised constant-time programming, an approach that ensures that all operations take the same amount of time to complete, regardless of their operands. It does this by keeping code free of secret-dependent memory accesses or structures.

    The breakthrough of the new research is that it exposes a previously overlooked behavior of DMPs in Apple silicon: Sometimes they confuse memory content, such as key material, with the pointer value that is used to load other data. As a result, the DMP often reads the data and attempts to treat it as an address to perform memory access. This “dereferencing” of “pointers”—meaning the reading of data and leaking it through a side channel—is a flagrant violation of the constant-time paradigm.

    #Cybersécurité #Faille_M1 #Apple #Cryptographie

  • Ubuntu 24.04 Gives ‘App Center’ a Brand New Icon
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/03/ubuntu-app-center-new-icon-noble

    App Center, Ubuntu’s Flutter-based replacement for the Ubuntu Software app, has picked up a redesigned app icon in the latest Ubuntu 24.04 daily builds. This isn’t the first icon change that the #App_Center has received in recent months. An updated build of the software installation frontend rolled out a few months back, and it unintentionally swapped the full-colour, 3D #yaru icon for a flat, 2D, solid orange icon with transparent elements. While a subsequent update fixed the issue some users say they still see the ‘wrong icon’. Now the App Center icon has changed again — though this time […] You’re reading Ubuntu 24.04 Gives ‘App Center’ a Brand New Icon, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #Icons #Ubuntu_24.04_LTS

  • Migranti, nei centri italiani in Albania un rotolo di carta igienica a persona a settimana

    I paradossi del #bando da 34 milioni di euro pubblicato dal Viminale per la gestione delle strutture. Applicata la procedura di estrema urgenza, negoziazione tra tre soli operatori economici, una sola settimana di tempo per la manifestazione d’interesse.

    Un appalto da 34 milioni di euro e un rotolo di carta igienica a settimana per migrante. Basterebbe questo paradosso a bollare come frettoloso e sommario il bando per l’affidamento dei servizi per i centri di accoglienza e trattenimento dei richiedenti asilo che il governo Meloni prevede di aprire in Albania entro il 20 maggio. Una improbabile corsa contro il tempo per un’operazione che ancora manca del requisito di legittimità giuridico fondamentale ma che la premier intende giocarsi in vista della campagna elettorale per le Europee del 9 giugno.

    Misteriose ragioni di estrema urgenza

    E dunque ecco il ricorso a «#ragioni_di_estrema_urgenza» ( che non si sa quali siano visto che gli sbarchi sono nettamente diminuiti) per giustificare la procedura negoziale riservata a tre soli concorrenti che, nel giro di soli sette giorni, dovrà aggiudicare l’affidamento dei servizi di accoglienza e di gestione dei tre centri previsti dove i lavori non sono neanche cominciati: quello nel porto di Shengjin, adibito allo screening sanitario, all’identificazione e alla raccolta delle richieste di asilo, e i due di Gjader, la struttura di accoglienza da 880 posti dove i migranti resteranno (teoricamente) per un mese in attesa di conoscere l’esito della procedura accelerata di frontiera, e il Cpr da 144 posti dove verranno trasferiti quelli destinati al rimpatrio.

    Si risparmia sull’igiene dei migranti

    Il bando è stato pubblicato il 21 marzo, con avviso di manifestazione di interesse che si concluderà nel tempo record di una settimana. Un appalto da 34 milioni di euro a cui si aggiungono i rimborsi ( non quantificabili) di servizi di trasporto, utenze, raccolta dei rifiuti, manutenzione ordinaria e straordinaria, e dell’assistenza sanitaria. Non proprio quattro spiccioli, a fronte dei quali, però, spulciando il bando si trovano vere e proprie “perle”. Sull’igiene personale dei migranti, tanto per cominciare, chi si aggiudicherà l’appalto, potrà risparmiare: un solo rotolo di carta igienica a settimana a testa dove i richiedenti asilo attenderanno ( in detenzione amministrativa) l’esito della richiesta di asilo. Rotoli che, chissà poi perchè, diventeranno sei a settimana per gli sfortunati che, a fronte del diniego, verranno trasferiti nell’ala destinata a Cpr.

    Solo un cambio di abiti a stagione

    Nel kit di primo ingresso nei centri solo un paio di mutande e un paio di calze e, più in generale, un solo cambio di abiti a stagione.E dunque, a differenza dei centri di accoglienza italiani dove i migranti sono liberi e possono procurarsi altri abiti, i richiedenti asilo portati in Albania saranno detenuti e costretti ad indossare sempre gli stessi. Avranno il detersivo per lavarli due volte a settimana, nel frattempo evidentemente staranno in pigiama. Almeno si consoleranno con il cibo che prevede persino la pizza e il dolce due volte a settimana.

    Per raccontare la loro storia alla commissione d’asilo che deciderà il loro destino o per comparire davanti ai giudici di Roma, competenti sui ricorsi, dovranno accontentarsi di un collegamento da remoto, con tutte le limitazioni in tema di diritti che nascono dalle difficoltà di espressione e comprensione.

    Magi: “Un gigantesco spot elettorale”

    «Una bella photo-opportunity elettorale - commenta Riccardo Magi di Più Europa - Giorgia Meloni vuole allestire questi centri in fretta e furia e usarli come un gigantesco spot a pochi giorni dal voto a spese degli italiani».

    https://www.repubblica.it/cronaca/2024/03/23/news/migranti_centri_albania_bando_viminale-422362144

    #Albanie #Italie #asile #migrations #réfugiés #coût #urgence #gestion #appel_d'offre #externalisation

    –-

    ajouté à la métaliste sur l’#accord entre #Italie et #Albanie pour la construction de #centres d’accueil (sic) et identification des migrants/#réfugiés sur le territoire albanais...
    https://seenthis.net/messages/1043873

    • Protocollo Italia-Albania: il Viminale avvia la gara milionaria per la gestione dei centri

      Dal bando pubblicato il 21 marzo dalla prefettura di Roma emergono i primi dettagli dell’accordo contro i migranti: solo per le spese vive e il personale delle strutture, due hotspot e un Centro di permanenza per il rimpatrio, sono assicurati al gestore privato quasi 40 milioni di euro all’anno. I tempi sono strettissimi, le europee incombono

      Il ministero dell’Interno ha pubblicato i bandi di gara per la gestione delle nuove strutture per i migranti in Albania che diventeranno operative, documenti alla mano, entro il 20 maggio 2024. Un primo passo concreto verso la messa in pratica del protocollo annunciato dal Governo Meloni con Tirana lo scorso 6 novembre 2023 -poi ratificato dal Parlamento a fine febbraio 2024- e che prevede di dislocare i naufraghi soccorsi in operazioni di salvataggio in mare sul territorio albanese. Più precisamente in tre strutture con una capienza totale che supera i mille posti disponibili: due hotspot, ovvero i centri di identificazione, che in Italia troviamo nei cosiddetti “punti di crisi”, principali punti di sbarco (Lampedusa, Pozzallo e Taranto tra gli altri), più un Centro di permanenza per il rimpatrio (Cpr) dove trattenere coloro che sono in attesa di essere espulsi nel proprio Paese d’origine. La spesa annuale stimata è pari a quasi 40 milioni di euro, calcolando esclusivamente il costo a persona (pro-capite pro-die), che però esclude diverse spese vive (dal trasporto all’assistenza sanitaria fino alle utenze).

      La gara è stata pubblicata il 21 marzo e individua nella prefettura di Roma la stazione appaltante, la quale ha scelto di attivare una procedura negoziata con cui consulterà un “numero congruo di operatori economici” per aggiudicare i servizi all’ente gestore. Un bando di questo genere può essere giustificato solo in casi di estrema urgenza. E secondo il ministero l’affidamento in oggetto, essendo un presupposto fondamentale per “l’attuazione del Protocollo tra Italia e Albania in conformità ai tempi ed agli adempimenti che risultano necessari per rispettare, alle scadenze previste, gli impegni assunti dal Governo della Repubblica Italiana”, rientra tra quelle procedure basate proprio su “ragioni di estrema urgenza”.

      La prima struttura è sita nella città portuale di Shenjin e sarà a tutti gli effetti un hotspot. “Una struttura dimensionata per l’accoglienza, senza pernottamento, dei migranti condotti in porto e destinati alle procedure di screening sanitario, identificazione e raccolta delle eventuali domande di asilo, all’esito delle quali i migranti saranno trasferiti presso le strutture di Gjader”. Gjader è la seconda località coinvolta dove saranno costruite le altre due strutture: un centro destinato “all’accertamento dei presupposti per il riconoscimento della protezione internazionale” con un’accoglienza massima a regime di 880 migranti, e un altro, sempre nella stessa città albanese che sarà invece un Centro di permanenza per il rimpatrio, che ricalca quelli presenti sul territorio italiano, con una capienza fino a 144 persone. A Gjader saranno disponibili poi 168 posti per alloggi di servizio, di cui 60 riservati al personale dell’ente gestore.

      Come detto, i corrispettivi riconosciuti pro-capite pro-die, secondo la tipologia di centro ed il relativo numero degli ospiti presenti, ammontano “presuntivamente a complessivi 33.950.139 euro annui”. La gara d’appalto ha una durata di due anni, prorogabili fino ad un massimo di altri due. Sono esclusi dai quasi 40 milioni di euro, invece, i costi di trasporto, le utenze idriche, elettriche, del servizio di raccolta rifiuti, la connessione wifi e la manutenzione ordinaria e straordinaria. Così come quelli per la “predisposizione e manutenzione dei presidi antincendio” e quelli “relativi all’assistenza sanitaria”.

      Proprio questo è uno degli aspetti paradossali affrontati dal bando. Per la struttura sita nel porto di Shenjin si prevede “un ambulatorio medico dedicato per assistenza sanitaria, inclusa la stabilizzazione di condizioni cliniche ai fini del trasferimento” con “una sala per visite ambulatoriali, una stanza per osservazioni brevi con tre posti letto e una stanza di isolamento con due posti”.

      Invece nel sito di Gjader verrà di fatto allestito un vero e proprio “mini ospedale”. Vengono previste “tre sale per visite ambulatoriali, due stanze per osservazioni brevi (ognuna dotata di tre posti letto), una medicheria, una sala operatoria e una recovery room, un laboratorio analisi, una stanza per diagnostica per immagini (rx ed ecografia), una per visite psicologiche/psichiatriche all’uopo utilizzabile anche per consulenze in telemedicina e due stanze di isolamento”. Una struttura in cui opererà un elevatissimo numero di personale sanitario. Oltre a medici e infermieri per l’attività standard, viene prevista una équipe operativa 24 ore al giorno formata rispettivamente da: “medico specialista in anestesia-rianimazione, medico specialista in chirurgia generale, medico specialista in ortopedia con competenze chirurgiche, personale medico specialista in psichiatria, un infermiere strumentista, un operatore socio-sanitario (in caso di attivazione della sala operatoria), un tecnico di laboratorio, un tecnico di radiologia, un personale medico specialista in radiologia”.

      L’ente gestore, oltre a fornire kit di primo ingresso, sia igienici sia vestiari e a garantire la fornitura dei pasti e l’informativa legale, dovrà garantire la predisposizione di “appositi locali e strumenti tecnici che assicurino la connessione alla rete e il collegamento audio-visivo nel rispetto della privacy e della libertà di autodeterminazione del beneficiario per l’eventuale audizione da remoto davanti alle Commissioni territoriali, nonché davanti al Tribunale ordinario e ad altri uffici amministrativi”. In altri termini: saranno implementate delle stanze per svolgere le audizioni di chi, una volta richiesto asilo, dovrà affrontare l’iter per vedersi o meno riconosciuto il permesso di soggiorno. Tutto inevitabilmente online. Dovrà esserci anche un locale “al fine di tutelare la riservatezza della persona nei colloqui con il proprio legale” o favorire l’incontro con “eventuali visitatori ammessi”. La prefettura di Roma, dovrà essere messa a conoscenza “di ogni notizia di rilievo inerente la regolare conduzione della convivenza e le condizioni del centro e tenuta di un registro con gli eventuali episodi che hanno causato lesioni a ospiti od operatori”, nonché la consegna della certificazione di idoneità al trattenimento.

      La gara è aperta fino al 28 marzo. La prefettura valuterà le offerte pervenute da imprese o cooperative già attive nel settore con un fatturato complessivo, negli ultimi tre esercizi disponibili, non inferiore a cinque milioni di euro. Non certo piccole realtà dell’accoglienza. L’avvio dell’operatività dei centri è prevista non oltre il 20 maggio 2024. Quindici giorni prima di quella data, il ministero dell’Interno potrà confermare o meno l’effettivo avvio a pieno regime oppure anche con “una ricettività progressiva rispetto a quella massima prevista nelle more del completamento degli eventuali lavori di allestimento”. L’importante è partire: le elezioni europee di inizio giugno incombono.

      https://altreconomia.it/protocollo-italia-albania-il-viminale-avvia-la-gara-milionaria-per-la-g

    • Albania-Italy migrant deal moves ahead as Rome publishes tender for processing centre

      As of 20 May 2024, camps in Albania that will process the asylum applications of individuals rescued by the Italian authorities will be up and running, as a recently published tender document reveals more details about the deal and how the site will function.

      In November 2023, Albanian Prime Minister Edi Rama and Italian Prime Minister Giorgia Meloni signed a deal that would see migrants rescued in Italian territorial waters or by Italian authorities sent to Albania for their asylum applications to be processed. The deal has divided opinion on both sides of the Adriatic from the outset, but both governments remain adamant about it going ahead.

      The tender notifications, published by the Rome prefect’s department, invite bidders to submit their offers before 28 March with the deadline of 20 May as the start of operations.

      According to the tender details, worth €34 million, the site will consist of three structures able to accommodate a total of around 3000 people.

      One structure will be built at the port of Shengjin, where landing and identification procedures will be carried out.

      The other two sites will be located in Gjader. One will be dedicated to ascertaining the prerequisites for the recognition of international protection, while the other will serve as a repatriation detention centre.

      According to the Italian government, the site will process individuals rescued by the Italian authorities involved in maritime rescue, such as the coast guard, financial police, or navy, and explicitly exclude those rescued by NGOs. It will also not include disabled people, women, children, or other vulnerable individuals.

      The tender states that the facility in Shengjin will have a medical clinic, including a room for outpatient visits, an isolation room, and a three-bed ward. In Gjader, there will be three outpatient rooms, two wards, an operating theatre, a laboratory, an x-ray and ultrasound room, and a space for psychological and psychiatric visits.

      Medical specialists on site will include a doctor specialising in anaesthesia and resuscitation, a doctor specialising in general surgery, a doctor specialising in orthopaedics with surgical skills, medical staff specialising in psychiatry, an instrumental nurse, a social doctor, a health worker, a laboratory technician, a radiology technician, and a health worker specialising in radiology.

      Upon arrival, welcome kits will also be presented to each individual, including an undershirt, T-shirt, pair of pyjamas, three pairs of shorts, and three pairs of socks. They will also be given one roll of toilet paper a week, one toothbrush and 100ml tube of toothpaste per week, and one bottle of shampoo and liquid soap per week.

      The Italian Interior Ministry will conduct spot checks on the site to ensure compliance with the tender.

      During their stay in Albania, estimated at around three months for each person, individuals will not be able to leave the centre, which is to be guarded by Italian and Albanian authorities. If they do, the Albanian police will return them. Once their application has been processed, whatever the outcome, they will be removed from Albania’s territory.

      While on-site, individuals can access legal assistance from representatives of international organisations, including the EU, which aims to provide legal aid to all asylum seekers as required by Italian, Albanian and EU law.

      The agreement caused controversy in Italy and Albania, with the Constitutional Court in Tirana narrowly ruling that it did not violate the laws of the land earlier this year. Meanwhile, despite claims from international law experts that it is not compliant with EU law, European Commissioner for Home Affairs Ylva Johansson said it did not break the law as it is “outside of it”.

      Work has not yet begun at the sites in Shengjin and Gjader, leading to questions about whether they can be operational by spring.

      Shengjin was also home to hundreds of Afghan refugees that Albania took in after the US withdrawal from Afghanistan led to the takeover of the Taliban. While the US promised to take responsibility for them, asking Albania to keep them while it processed their visas, a number still remain with no news or idea if they will ever leave.

      As for the migrant deal, several other EU countries have hinted they may look at similar deals to deal with their immigration issues, a move likely to score votes from the conservative parts of society, ahead of EU elections.

      https://www.euractiv.com/section/politics/news/albania-italy-migrant-deal-moves-ahead-as-rome-publishes-tender-for-proces

    • #Medihospes, #Consorzio_Hera, #Officine_sociali: chi gestirà i centri per migranti in Albania

      La prefettura di Roma ha reso noti i tre partecipanti selezionati tra le trenta proposte pervenute per gestire i due hotspot e il Cpr previsti dall’accordo tra Roma e Tirana. Entro il 20 maggio la gara verrà aggiudicata per un importo che supera i 150 milioni di euro. Ma i lavori di adeguamento alle strutture non sono ancora completati

      Medihospes, Consorzio Hera e Officine sociali. Sono le tre cooperative in corsa per la gestione dei centri italiani in Albania selezionate per le “esperienze contrattuali pregresse afferenti a questi servizi” tra le trenta che hanno manifestato alla prefettura di Roma la propria volontà di partecipare alla gara. Un appalto da oltre 151 milioni di euro (per quattro anni) che verrà aggiudicato, nelle prossime settimane, all’operatore economico che ha presentato l’offerta economicamente più vantaggiosa.

      Alle tre cooperative in corsa una certa “esperienza” non manca. Officine sociali, con sede legale a Siracusa, gestisce attualmente il Centro di permanenza per il rimpatrio (Cpr) di Palazzo San Gervasio a Potenza e l’hotspot di Taranto in Puglia. Attualmente è in gara anche per l’aggiudicazione della gestione del Cpr di Gradisca d’Isonzo, dove sta correndo al fianco di Martinina Srl, finita sotto indagine della Procura di Milano per le condizioni disumane in cui versavano i trattenuti al Cpr di via Corelli di Milano. Il legame tra le due società, come già raccontato su Altreconomia, perdura da tempo: insieme hanno partecipato anche alla gara pubblica per la gestione del Cpr di Torino.


      Consorzio Hera, invece, con sede legale a Castelvetrano, in provincia di Trapani, gestisce attualmente il Cara e il Cpr di Brindisi e quello di Trapani, in cordata con la cooperativa Vivere Con. Inoltre la cooperativa ha “vinto” anche l’hotspot di Pozzallo e Ragusa di cui è l’attuale ente gestore.

      Poi c’è Medihospes, è un colosso da 126 milioni di euro di fatturato nel 2022 che si occupa di assistenza ad anziani, alle persone con disabilità, servizi alberghieri e accoglienza ai migranti. Gestisce attualmente l’ex caserma Cavarzerani di Udine -di cui abbiamo già raccontato in precedenza- ma è attiva in diverse province italiane nell’accoglienza dei richiedenti asilo. Basti pensare che nel 2022 ha incassato, in totale, oltre 34 milioni di euro in tutta Italia per la gestione dei centri.

      Briciole rispetto agli oltre 151 milioni di euro preventivati dalla prefettura di Roma per la “gara” relativa alla gestione delle strutture previste dal protocollo Italia-Albania: un centro nella città portuale albanese Shengjin (hotspot) e due strutture (un altro hotspot e un Cpr) a Gjader (ne abbiamo parlato in questo approfondimento).

      La fornitura di servizi è preventivata con una base d’asta di 130 milioni di euro, con l’aggiunta di quasi sei milioni per il pocket-money e la tessera telefonica. La durata è di 24 mesi, prorogabili per altri 24 a partire dal 20 maggio 2024. Data entro la quale la prefettura di Roma dovrebbe aggiudicare la gara alla cooperativa che avrà presentato l’offerta economicamente più vantaggiosa. Nei nuovi documenti di gara si sottolinea che i lavori di adeguamento delle strutture non sono ancora stati conclusi. Una corsa contro il tempo. Obiettivo: non certo la tutela dei diritti delle persone ma le elezioni europee.

      https://altreconomia.it/medihospes-consorzio-hera-officine-sociali-chi-gestira-i-centri-per-mig
      #externalisation #Italie #accord #Albanie #migrations #réfugiés #coopérative #sous-traitance #Engel #Engel_Italia #business #Shengjin #Gjader

  • Croatie : le président #Zoran_Milanović appelle à la haine contre les migrants

    21 mars - 7h50 : Le président Zoran Milanović, officiellement non candidat aux élections législatives du 17 avril, mais qui mène, de fait, la campagne du Parti social-démocrate (SDP), accélère sa transformation en « Trump croate ». Il a publié trois posts sur Facebook, évoquant respectivement la guerre en Ukraine, les fonds européens et la crise des migrants.

    A ce sujet, il écrit : « La Croatie est confrontée au problème de la migration. Mais aujourd’hui, il ne s’agit plus des migrants comme en 2015, lorsque nous avions une approche humaine et ouverte, mais aussi calculée de ce problème, lorsque moi-même, en tant que Premier ministre, cherchais comment aider ces gens. Aujourd’hui, tout est différent parce que les migrants arrivent ici avec une stratégie et veulent seulement bénéficier de l’aide sociale. Certes, ceux qui fuient les persécutions, la guerre ou le génocide doivent être protégés, mais les migrants d’aujourd’hui ne fuient pas pour cela. Ces personnes sont ici illégalement et doivent être traitées comme telles. Continuons à être honnêtes et sympathiques à leur égard, mais ne soyons pas idiots. La frontière croate est sacrée, des gens sont morts pour elle pendant la guerre, des gens se sont soulevés pour résister, des brigades ont été formées - pour que l’on sache ce qui nous appartenait. Aidons ceux qui en ont besoin, mais protégeons avant tout le peuple croate ! »

    #anti-migrants #anti-réfugiés #appel_à_la_haine #Croatie #racisme #xénophobie #migrations #réfugiés #Milanović #Milanovic

  • GNOME Shell Extension Manager App Gets Updated
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/03/gnome-shell-extension-manager-app-updated

    A big update to Extension Manager, a popular 3rd-party tool to browse, install, and manage GNOME Shell extensions without the need for a web browser, has been released. If you’re into customising Ubuntu, be it changing the look and layout, adding animated effects, patching in new features and capabilities, or modifying underlying behaviour, you’ll know that GNOME Shell extensions are essential — as is this terrific, user-friendly tool. Extension Manager 0.5 is described as a “Performance & Polish” release by its developer Matt Wakeman, and with an update to libadwaita 1.5, smarter adaptive behaviour, (much needed) search fixes, and other […] You’re reading GNOME Shell Extension Manager App Gets Updated, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #App_Updates #GNOME_Extensions