HTML Sectioning Elements : ARIA Landmarks Example
▻https://www.w3.org/TR/wai-aria-practices/examples/landmarks/HTML5.html
Correspondance des attributs HTML « role » avec les balises de sectionnement (main, nav, header, footer, aside)
HTML Sectioning Elements : ARIA Landmarks Example
▻https://www.w3.org/TR/wai-aria-practices/examples/landmarks/HTML5.html
Correspondance des attributs HTML « role » avec les balises de sectionnement (main, nav, header, footer, aside)
#132 - Amelioration de |balise_img et |balise_svg pour permettre de forcer une taille - spip - SPIP on GIT
▻https://git.spip.net/spip/spip/pulls/132
Le filtre |balise_img est survitamine
Doc temporaire des filtres |balise_img et |balise_svg
\o/
#spip #image #filtre #balise_img #balise_svg
STRONG, B, I, EM : quelle balise utiliser et pourquoi ? - Alsacreations
▻https://www.alsacreations.com/article/lire/552-strong-b-em-i-quelle-balise-utiliser-et-pourquoi.html
Mémo pour l’utilisation des balises inline : mise en évidence et/ou présentation
#sémantique #balise #html
Appel à contributions : dispositifs de #surveillance cachés par les flics dans nos espaces de vie
▻https://nantes.indymedia.org/articles/43692
Appel à contributions pour préparer la rédaction d’une brochure sur les dispositifs de surveillance cachés par les flics (micros, #caméras, #balises GPS) dans nos espaces de vie (bâtiments, véhicules, espace public).
#Répression #contrôle #social #micros #Répression,contrôle,social,surveillance,caméras,micros,balises
Comment Google aide les entreprises à ‘pister’ le comportement d’achat offline d.soenens@gondola.be - 27 Juin 2018 - Gondola
▻http://www.gondola.be/fr/news/digital/comment-google-aide-les-entreprises-pister-le-comportement-dachat-offline
Combien de visiteurs de votre webshop se rendent-ils dans votre magasin ? Et combien y dépensent-ils ? Pour répondre à ces questions, Google a développé un outil que sont venus présenter Lionel Soccal de Google Belgique et Greogry Bauduin d’Ikea Belgique lors du Gondola Day.
▻http://www.gondola.be/sites/default/files/styles/detail-page-full/public/news_aktualiteits_artikel/digital-marketing-1725340_1920.jpg?itok=vniPWH_y
Google en sait beaucoup sur nous. Il en sait beaucoup sur notre comportement online – les vidéos YouTube que nous regardons, nos recherches de produits et nos achats – mais il nous suit également offline. Ces données sont essentielles pour connaître l’impact des publicités et de la communication online sur les visites en magasin et les achats offline. « Lorsque votre mobile Android est connecté et que l’application de localisation est activée, Google peut vous suivre offline, où que vous alliez. Lorsque vous faites vos courses, nous pouvons vous suivre dans n’importe quel magasin et savoir ce que vous y avez acheté. Nous savons que tout le monde n’est pas connecté, mais nous savons quel pourcentage du public belge est connecté. Le pourcentage précis est une information confidentielle mais il nous permet de connaître le nombre de personnes qui se rendent dans un magasin donné – en l’occurrence un magasin Ikea » explique Lionel Soccal, industry manager retail & e-commerce de Google Belgique. « Ensuite, grâce aux données des cartes bancaires et de crédit que nous communiquent nos partenaires, nous sommes en mesure de savoir combien de personnes achètent effectivement un produit et même la valeur moyenne d’un panier. Ces données sont cryptées et comparées au comportement de clic sur les publicités online. Ainsi, nous connaissons la valeur des personnes qui sont entrées dans le magasin et nous la comparons avec le coût de la campagne publicitaire numérique. Nous pouvons donc dire si une campagne numérique a été couronnée de succès en termes de trafic et de transactions en magasin. Le point de départ de l’analyse est le nombre de clics via l’ordinateur ou le mobile. »
On s’en doute, une analyse qui va du clic jusqu’au contenu du panier intéresse au plus haut point les retailers. C’est précisément pour cette raison qu’Ikea Belgique utilise l’outil de Google. Gregory Bauduin, country deputy marketing manager d’Ikea Belgique le confirme : « Nous voulons être en mesure d’évaluer nos investissements en ligne. Cette information est d’une importance cruciale. Il y a deux ans, nous avons lancé notre Click & Collect et, il y a trois mois, nous avons présenté notre nouvelle plate-forme e-commerce. Nous sommes présents online mais nous devons l’être partout. C’est important car le client Ikea est quelqu’un qui cherche beaucoup sur internet et aime ‘fureter’ à gauche et à droite. Les données statistiques des visites sur notre site nous permettent de constater que les clients sont à la recherche d’informations et d’inspiration. Et cela va plus loin : ils veulent aussi pouvoir voir et toucher les produits, surtout quand il s’agit de meubles de grande taille. C’est pourquoi nous tenons à avoir une image aussi précise que possible de l’impact du trafic online sur les visites et sur les ventes en magasin. » Ikea avait déjà une idée du nombre de visiteurs online qui se rendaient en magasin mais la méthode était peu fiable dans la mesure où elle reposait sur les dires des clients eux-mêmes. L’outil de Google est donc une source d’information extrêmement précieuse. Bauduin : « Nous obtenons des informations supplémentaires sur l’impact de nos investissements online et sur la manière dont nous pouvons les améliorer pour augmenter nos ventes. »
Dans le cas d’Ikea, l’outil de recherche de Google a donné de très bons résultats. Le retour sur investissement est de 18:1, largement au-dessus de la moyenne. En outre, grâce à la technologie qu’il a développée, Google peut également diffuser des annonces mieux ciblées, en affichant les promotions des magasins à proximité. Pratique pour le consommateur mais aussi extrêmement rentable pour Google car la probabilité est grande que vous cliquiez sur les promotions en question. Le marketing, la communication et la publicité online continuent de se développer à grande vitesse et, l’an dernier, Google a réalisé sur ce créneau un bénéfice de… 79 milliards de dollars !
#google #espionnage #commerce #internet #surveillance #vie_privée #Belgique #ikéa
Vocabulaire de marketeur qu’a pas grand chose à dire.
Il y a vraiment des gens qui sont si seuls qu’ils proposent à Google de sortir avec eux.
Surtout, Ikea ou le secteur de l’ameublement sont des exemples favorables. Pour l’électroménager ou les équipements de loisir, on est dans une démarche inverse : le client va voir, obtenir des renseignements et se faire une idée en magasin et achète en ligne, aidé éventuellement par les comparateurs ou sur les sites de démarque…
Par contre le #partage_de_données entre le producteur et les distributeurs le long de la chaîne d’approvisionnement devient de plus en plus la norme. Le producteur devient capable de connaitre les stocks des distributeurs…
Enfin, Amazon, fidèle à ses méthodes… et contrairement aux distributeurs à magasin qui ne le peuvent que dans la filiale de leur pays, s’approvisionnent à sa guise chez les différentes filiales européennes, externalisant chez les producteurs la charge de gérer les appros.
Externalisation : Il y a de superbes réussites. Bon, maintenant, ils utilisent d’autres mots.
H&M pénalisé par ses réajustements stratégiques
▻http://www.lefigaro.fr/societes/2018/06/28/20005-20180628ARTFIG00296-hampm-penalise-par-ses-reajustements-strategiques
#MDR
Ça doit être de la stat anonyme, mais ça suffit visiblement à remonter (presque) aux individus... Mais donc la preuve, le débat données anonymes / privées est un faux débat.
Il n’y a pas que de la stat anonyme. J’avais assisté, il y a une paire d’années à la présentation d’une expérience menée par Orange dans (et en association avec) un grand centre commercial en banlieue parisienne, les téléphones étaient localisés individuellement par triangulation sur les relais de téléphonie. À l’époque, c’était surtout pour voir ce qu’on pouvait en faire et, effectivement (dans la présentation…) ça ne dépassait pas vraiment les suivis de flux et les cartes de fréquentation (heat map) éventuellement avec une maille temporelle fine.
Aujourd’hui, ça a beaucoup bougé, ça bouge et ça va bouger … La mode est aux #balises #beacon , commodes et peu onéreuses qui permettent de tracer avec précision le client. Le principal problème étant de savoir ce qu’on peut en faire (pour l’instant, la sécurité, totalement inexistante, n’est pas vraiment considérée comme un problème – on est chez les marketeux, hein…)
Une très bonne synthèse (décembre 2014…)
▻https://fr.slideshare.net/Digitas_fr/marketing-instore-via-la-microlocalisation-focus-sur-le-phnomne-beaco
Le (tout gentil) rappel de la CNIL sur l’utilisation de ces machins (août 2014)
▻https://www.cnil.fr/fr/mesure-de-frequentation-et-analyse-du-comportement-des-consommateurs-dans-les-m
Ajouter une #balise #CHERCHER_LOGO à #SPIP - Phenix
▻http://p.henix.be/Ajouter-une-balise-CHERCHER_LOGO-a-SPIP
une fonction pour créer la balise #CHERCHER_LOGO dans #SPIP
▻https://developers.facebook.com/docs/sharing/best-practices
Mais, n’a-t-on pas déjà un plugin qui ajouterait tout ça un peu partout tout seul ? Sinon c’est dommage et il le faudrait.
Il y a ceci : ▻http://contrib.spip.net/Modeles-Facebook
Mais je préfère optimiser le contenu de ces balises stratégiques en terme de marketing moi même site par site donc je n’ai pas testé ce qu’il donne.
Glossary | HTML5 Doctor
►http://html5doctor.com/glossary
Glossary | HTML5 Doctor
►http://html5doctor.com/glossary
Why do we have an IMG element?
►http://diveintomark.org/archives/2009/11/02/why-do-we-have-an-img-element
“Why an <img> element? Quite simply, because Marc Andreessen shipped one, and shipping code wins.”
#release_early_release_often #rero #img #balise #image #html #historique #w3c #Andreessen #Mozaic #clevermarks #gp:links
Baume au cœur
►http://www.htmlzengarden.com/2009/02/combien_peut-on_mettre_de_h1_dans_une_page
C’est toujours agréable qu’une pointure française du Web moderne approuve ma façon de penser ! (Lisez l’article et les commentaires, au passage)
#standard #structure #sémantique #html #h1 #balise #SEO #référencement #humain #h2 #gp:links #personne:Stéphane_Deschamps