• [The Locomotion] #melenas
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/melenas

    Melenas est un groupe composé de quatre femmes originaires de la ville de Pampelune en Espagne. Elles ont sorti l’année dernière Ahora, un excellent album de dream pop sorti sur le label américain Trouble in Mind.

    En février dernier, Melenas jouait au #botanique à l’occasion du festival #europavox, avec d’autres musicien.ne.s des quatre coins de l’Europe. Dans les loges du Botanique, on a parlé de leurs influences, de leur situation géogaphique et des groupes des environs.

    The Locomotion épisode 25

    Melenas - K2 Melenas - Osa Polar Kokoschka - Te sigo esperando (feat. Mujeres) Tatxers - Saiatu Nintzen Melenas - Una voz Melenas - 1000 canciones En attendant ana - Same Old Story Melenas - Dos Pasarejos

    The Locomotion est une émission musicale créée par Thomas Guillot, enregistrée sur Radio (...)

    #botanique,europavox,melenas
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/melenas_17471__1.mp3

  • [The Locomotion] Agenda du 14 mars - #melenas
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/melenas/#17470

    Agenda du 14 mars

    Melenas est un groupe composé de quatre femmes originaires de la ville de Pampelune en Espagne. Elles ont sorti l’année dernière Ahora, un excellent album de dream pop sorti sur le label américain Trouble in Mind.

    En février dernier, Melenas jouait au #botanique à l’occasion du festival #europavox, avec d’autres musicien.ne.s des quatre coins de l’Europe. Dans les loges du Botanique, on a parlé de leurs influences, de leur situation géogaphique et des groupes des environs.

    The Locomotion est une émission musicale créée par Thomas Guillot, enregistrée sur Radio Panik et diffusée également sur Radio Campus Paris. Pour lire une retranscription de certaines réponses, recevoir des bonus ainsi qu’une playlist augmentée de cet épisode, abonnez (...)

    #botanique,europavox,melenas
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/melenas_17470__0.mp3

  • L’herbier de prison de Rosa Luxembourg
    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-book-club/l-herbier-de-prison-de-rosa-luxembourg-6088892


    Rosa Luxembourg à la tribune - Deuxième Internationale - Stuttgard 1907 ©Getty - ullstein bild Dtl. / Contributeur

    Mercredi 20 décembre 2023

    https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/23875-20.12.2023-ITEMA_23590336-2023C49162S0354-21.mp3

    Provenant du podcast Le Book Club
    Aujourd’hui dans le Book Club, Muriel Pic revient sur l’herbier réalisé par Rosa Luxemburg durant ses années carcérales, à l’occasion de la parution de “Herbier de prison” aux éditions Heros-Limite.

    Avec
    Muriel Pic Écrivaine, photographe, traductrice

    Quoi de plus iconoclaste qu’un herbier composé entre quatre murs, sans l’étendue de la nature ? Comme une contradiction dans les termes, l’herbier de Rosa Luxemburg est une archive sans équivalent. Troublante et attachante, sa fragilité et son histoire en font un témoignage de résistance et d’évasion, une fabrique de formes et de joie, un document sur le sentiment politique de la nature, fondement de toute écologie.

    https://www.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2023/12/8fbc1aa2-c6ec-4504-bc02-23a3369f676e/860_sc_illustrationrosa-page-0001.webp
    Extrait de l’Herbier de Prison Extrait de l’Herbier de Prison - Rosa Luxembourg - éditions Héros Limites

    Composé de sept cahiers datés d’avril 1915 à octobre 1918, l’herbier a pu être réalisé par la révolutionnaire emprisonnée grâce à l’amitié sans faille de quelques femmes, ses amies intimes dont la féministe Clara Zetkin.

    Au-delà des quelques fleurs et mauvaises herbes de la cour de la prison que Rosa glane lorsqu’elle sort sous surveillance, ce sont ses proches qui lui envoyèrent par lettres des spécimens séchés ou des bouquets de fleurs fraîches qu’elle-même pressait. Aux planches de l’herbier répond ainsi une correspondance où il est question de botanique, de nature, de romantisme allemand, d’amour de toutes créatures, et cela, « en dépit de l’humanité ».

    Herbier de prison est constitué de 133 planches botaniques accompagnées de la traduction des légendes manuscrites de celles-ci. Cet ouvrage recueille également une soixantaine de lettres, dans lesquelles la révolutionnaire évoque sa passion pour les plantes, ainsi que pour les animaux.

    Des documents inédits en français complètent le volume, notamment un calendrier de prison où Rosa Luxemburg consigne les faits et gestes de sa vie d’incarcérée, ainsi que les souvenirs d’Arthur Gertel le jeune sergent de la prison de Breslau qui accompagnait Rosa Luxemburg quand on lui permettait de se rendre au jardin botanique.

    Muriel Pic revient avec nous sur les années carcérales de Rosa Luxembourg, figure du militantisme de gauche dans l’Allemagne du début du siècle, fervente opposante à l’entrée en guerre, incarnée à plusieurs reprises pour son engagement politique et assassinée à Berlin en 1919.

    L’herbier permet à Rosa Luxembourg d’affirmer sa liberté malgré la tyrannie
    "Sortir de soi c’est pour Rosa Luxemburg la question de sortir de l’humain mais aussi garder une forme de joie c’est à dire ne pas céder à ce qui lui est imposé. La guerre, l’enfermement. Elle refuse d’être aliénée aux passions tristes. C’est garder une forme de liberté, sa puissance et refuser la tyrannie du pouvoir. Et l’herbier est la preuve tangible qu’elle y arrive." (Muriel Pic)

    La note vocale
    La question de Christina " Je connaissais la passion politique de j’avais enfermé Rosa Luxembourg dans une case. Avec cet herbier j’ai découvert quelque chose de complètement nouveau et insoupçonné. Pensez vous que ce côté botaniste ait pu la suivre dans le côté théoricienne de son œuvre et sa théorie politique ? "

    Un esprit révolutionnaire est capable de sortir des cases d’une pensée et d’aller toujours vers ailleurs
    "Il y a un esprit scientifique chez Rosa Luxembourg. Le lien entre sa pensée politique et la botanique. Il y a chez Rosa Luxembourg un esprit scientifique et en même temps un esprit complètement poétique. Et je crois que c’est cette dialectique, cette tension qui m’a attaché à Rosa Luxembourg et qui fait aussi un esprit révolutionnaire. Un esprit révolutionnaire c’est pas quelqu’un qui reste dans une case, dans des gestes qui sont toujours les même. C’est un esprit qui est capable d’aller ailleurs, de s’exprimer avec d’autres gestes." (Muriel Pic)
    [...]

    #herbier #herbier_de_prison_de_Rosa_Luxembourg #esprit_scientifique #esprit_poétique #esprit_révolutionnaire #botanique

    • Herbier de prison - Les éditions Héros-Limite
      https://heros-limite.com/livres/herbier-de-prison

      2023 360 pages 148 x 210 mm ISBN 978-2-88955-090-6 36 € 43.20 CHF Disponible pdf couverture
      Herbier de prison
      Rosa Luxemburg
      Traduction Claudie Weill, Gilbert Badia, Irène Petit, Muriel Pic

      Édition établie et préfacée par Muriel Pic

      Quoi de plus iconoclaste qu’un herbier composé entre quatre murs, sans l’étendue de la nature ? Au-delà des quelques fleurs et mauvaises herbes glanée dans la cour de la prison, Rosa Luxemburg reçoit par lettres de ses amies intimes des spécimens séchés ou des bouquets de fleurs fraîches qu’elle-même pressait. Aux planches de l’herbier répond ainsi tout une correspondance où il est question de botanique, de nature, de romantisme allemand, d’amour de toutes créatures, et cela, « en dépit de l’humanité ». Rosa Luxemburg ne cesse d’encourager ses proches à garder leur joie de vivre et leur gaieté alors que les nuages qu’elle entraperçoit par une fenêtre à barreaux se chargent des couleurs de la guerre et de l’acier.

      L’herbier de Rosa Luxemburg est une archive sans équivalent. Composé de sept cahiers, datés d’avril 1915 à octobre 1918, sa fragilité et son histoire en font un témoignage de résistance et d’évasion, une fabrique de formes et de joie, un document sur le sentiment politique de la nature, fondement de toute écologie.

      Herbier de prison est constitué de 133 planches botaniques accompagnées de la traduction des légendes manuscrites de celles-ci. Cet ouvrage recueille également une soixantaine de lettres, dans lesquelles la révolutionnaire évoque sa passion pour les plantes, ainsi que pour les animaux. Des documents inédits en français complètent le volume, notamment un journal où Rosa Luxemburg consigne les faits et gestes de sa vie d’incarcérée.

      Herbier de prison a reçu le soutien de la Fondation Leenaards, de la Fondation Jan Michalski et de la République et canton de Genève.

      Le livre est momentanément indisponible, une réimpression est en cours. Il est encore possible de le trouver dans certaines librairies.

  • Rhapsodies in Blue : Anna Atkins’ Cyanotypes – The Public Domain Review
    https://publicdomainreview.org/essay/anna-atkins-cyanotypes

    Superbe article, qui partant de cyanotypes d’algues revisite la question de l’illustration botanique, et les débats autour de la théorie de l’évolution autant que de l’étude des relations entre espèces passant avant la description isolée d’une espèce. Un travail de poète au XIXeme siècle... dont Goethe fut un des porteurs. Anticipation. Et en plus les illustrations sont magnifiques.

    We can see a similar attitude displayed in Atkins’ cyanotypes. Rather than the artist choosing which parts of the plant to show or emphasize, her subject is put in a position to “draw” itself. Throughout her work, Atkins acts as an equal collaborator, arranging her specimens in desirable configurations but ultimately endowing each plant with the capacity to produce its own image. This authorial shift has important ramifications, not only for the study of Atkins’ work but for the understanding of the human relationship to the natural world at a time when the professionalization of science was still underway. While the Enlightenment vision of nature — and the illustrational conventions it produced — supported the idea that humans existed at the apex of a rigid hierarchy of being, Atkins’ cyanotypes, with all their individual imperfections, seem to hint at the existence of an underlying flux that could not be sufficiently captured by a fixed natural order.

    In many ways these images are the product of a distinct historical moment — cyanotypes would not catch on as a viable replacement for botanical illustration — but modern science has legitimized a version of the worldview that Atkins’ images tacitly endorsed. Increasingly we are discovering that the maintenance of a livable biome relies upon vast webs of entanglement, yet still many of us cling to the nineteenth-century notion that we are somehow set apart from the natural world. We have developed tools that allow us to “see” everything from individual atoms to the origins of our solar system, but all of this knowledge has not stopped us from plunging headfirst into the earth’s sixth mass extinction. To understand Atkins’ cyanotypes as merely the relics of an outdated science or the fanciful experimentation of a budding artist is to disregard their most salient contribution. Her images demonstrate a way of knowing the world that is based in mutuality rather than domination. We discount such a lesson at our peril.

    Photographs of British Algae: Cyanotype Impressions
    Anna Atkins 1843
    New York Public Library
    Metropolitan Museum of Art
    Public Domain Review

    The editors would like to thank Madeline Grimm, who oversaw the initial rounds of editing on this essay for Lapham’s Quarterly.

    Paige Hirschey is an independent writer and critic specializing in the intersection of art, science, and technology. She holds a PhD in art history from the University of Toronto.

    #Domaine_public #Cyanotypes #Algues #Théorie_evolution #Botanique

  • [The Locomotion] #milk_tv
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/milk-tv

    J’ai eu la chance d’interviewer Milk TV lors de la release party de leur dernier album Neo Geo au #botanique. Le disque, sorti chez EXAG’ Records, oscille entre post-punk jouissif et art punk soigné. Le trio jouaient en première partie de Peter Kernel.

    Une #interview en plein repas, dans la cantine du Bota, où on a parlé de leur tournée française et canadienne, du soutien de la fédération Wallonie-Bruxelles, de leur nouvel album, bien sûr, et sa production américaine, de leurs influences et de la scène bruxelloise.

    Prochainement, Milk TV jouera le 14 décembre au Café Central, le 15 décembre au George & The Bear, un disquaire de Genk et le 16 décembre pour la fête de Noël du Rokerill de Charleroi.

    The Locomotion est une émission musicale créée par Thomas Guillot, enregistrée sur Radio Panik et (...)

    #bruxelles #bruxelles,interview,botanique,milk_tv
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/milk-tv_16861__1.mp3

  • [The Locomotion] Agenda du 23 novembre - #milk_tv
    https://www.radiopanik.org/emissions/the-locomotion/milk-tv/#16858

    Agenda du 23 novembre

    J’ai eu la chance d’interviewer Milk TV lors de la release party de leur dernier album Neo Geo au #botanique. Le disque, sorti chez EXAG’ Records, oscille entre post-punk jouissif et art punk soigné. Le trio jouaient en première partie de Peter Kernel.

    Une #interview en plein repas, dans la cantine du Bota, où on a parlé de leur tournée française et canadienne, du soutien de la fédération Wallonie-Bruxelles, de leur nouvel album, bien sûr, et sa production américaine, de leurs influences et de la scène bruxelloise.

    Prochainement, Milk TV jouera le 14 décembre au Café Central, le 15 décembre au George & The Bear, un disquaire de Genk et le 16 décembre pour la fête de Noël du Rokerill de Charleroi.

    The Locomotion est une émission (...)

    #bruxelles #bruxelles,interview,botanique,milk_tv
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/the-locomotion/milk-tv_16858__0.mp3

  • Internet is for... robots ? Près de la moitié du trafic mondial ne serait pas humain
    https://www.clubic.com/internet/actualite-469953-internet-is-for-robots-pres-de-la-moitie-du-trafic-mondial-
    https://pic.clubic.com/v1/images/2107191/raw

    En effet, selon le dixième Bad Bot Report émis par la société Imperva, 47,4 % du trafic internet a été produit en 2022 par des bots. Une augmentation en à peine un an de 5,1 % !

    #Robots #Bots #traffic_internet

  • [Daydream Nation] #carte_blanche Frédéric Maréchal - #botanique
    https://www.radiopanik.org/emissions/daydream-nation/carte-blanche-frederic-marechal-botanique

    Après 35 années de bons et loyaux services, dont 5 aux commandes du Botanique, Paul-Henri Wauters a passé la main à Frédéric Maréchal, ancien directeur du centre culturel René Magritte à Lessines et initiateur du festival Roots & Roses.

    Un savant mélange de nouveautés et d’artistes confirmés cet automne / hiver assure la continuité de la programmation pointue du légendaire Botanique.

    Découvrez la sélection musicale de Frédéric Maréchal ce mardi 29 août 2023 de 22h à 23h, pour une carte blanche, suivie par un petit mix de vos tendres et chers Unckle Al’ et Pitou, jusqu’à l’heure des citrouilles.

    La playlist de Frédéric Maréchal :

    The Kinks - Have love will travel Hound Dog Taylor & the HouseRockers - Let’s get funky La Muerte - Kung Fu fighting Canned Heat - nine below zero Catherine Feeny - Maggie (...)

    #daydream_nation #carte_blanche_daydream_nation #carte_blanche,daydream_nation,carte_blanche_daydream_nation,botanique
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/daydream-nation/carte-blanche-frederic-marechal-botanique_16471__1.mp3

  • Arbeiten »wie ein Sklave«
    https://www.jungewelt.de/artikel/454502.prime-day-arbeiten-wie-ein-sklave.html

    11.7.2023 von Ralf Wurzbacher - Es ist mal wieder »Prime Day« bei Amazon. Zwei Tage lang ab diesem Dienstag gibt es Angebote satt, zum Schnäppchenpreis und exklusiv für »Prime«-Mitglieder und solche, die es werden wollen, möglich macht’s ein Probeabo. Wer sich locken lässt, spart sich ein paar Euro beim Einkaufen, was allerdings 90 Euro jährlich extra kostet. Dafür ist man dann irgendwie der bessere Kunde, »Prime« steht wahlweise für »prima«, »vorzüglich« oder »erster«. Die Allerletzten sind dagegen diejenigen, die den ganzen Plunder liefern müssen, insbesondere Beschäftigte von Subunternehmen, die für den Onlineriesen von Tür zu Tür müssen. Mehrere von ihnen haben sich in der Vorwoche gegenüber der Presse zu ihren Arbeitsbedingungen geäußert. Einer sagte: »Ich habe getragen wie ein Sklave vom Morgen bis zum Abend.«

    Auch wegen solcher Zustände wird bei Amazon erneut gestreikt – zum gefühlt tausendsten Mal in den vergangenen zehn Jahren. Seit einer Dekade verweigert der US-Konzern seinen Angestellten in den mittlerweile 20 Waren- und Versandzentren in der BRD den Abschluss eines Tarifvertrags nach den Vorgaben des Einzel- und Versandhandels. Aber die Gewerkschaft Verdi lässt nicht locker. Am Standort Winsen in Niedersachsen traten Teile der Belegschaft bereits zur Spätschicht am Sonntag abend in den Ausstand, für knapp 52 Stunden. Zudem rief Verdi zu einem Protestmarsch zum Hamburger Verteilerzentrum Veddel am späten Montag nachmittag auf. Durch die Rabattschlachten am »Prime Day« stünden wieder viele Überstunden bevor, teilte der Verdi-Landesbezirk Niedersachsen/Bremen mit. Die Beschäftigten hätten »für ihre harte Arbeit ein besseres Leben verdient, dafür kämpfen wir«, erklärte Verdi-Sekretär Nonni Morisse.

    Noch übler als den eigenen Leuten wird den an »selbständige« Firmen outgesourcten Paketzustellern mitgespielt. »Wenn um 20.00 Uhr Feierabend ist, dann kommst du heim, duschen, ins Bett«, schilderte einer von acht Fahrern, die täglich vom Verteilzentrum Völklingen-Wehrden ausschwärmen, gegenüber dem Saarländischen Rundfunk (SR). Im Rahmen gemeinsamer Recherchen mit Correctiv und der Nordsee-Zeitung haben die Journalisten die Angaben der Befragten auf ihre Richtigkeit überprüft. Demnach müssen diese regelmäßig bis zu 300 Sendungen täglich zustellen, während in einer offiziellen Amazon-Verlautbarung von einer »Standardroute mit ungefähr 8,5 bis neun Stunden Arbeitszeit« bei »ungefähr (…) 135 Paketen« die Rede ist. Dagegen berichteten die Betroffenen übereinstimmend davon, dass sie kaum leistbare Mengen zustellen mussten, von enormem Zeitdruck und einer hohen körperlichen wie seelischen Belastung. Dazu kommen Klagen wegen zu niedriger Lohnabrechnungen und unbezahlter Überstunden.

    Zitiert wird in den Beiträgen ein ehemaliger Subunternehmer: »Man kann kein erfolgreiches Amazon-Subunternehmen führen mit menschenwürdigen Arbeitsbedingungen«. Um einen Gewinn von 60.000 Euro jährlich einzuspielen, müssten den Recherchen zufolge zwölf Monate lang 20 Lieferwagen im Einsatz sein. Außerdem wären wesentliche Posten vom Autoleasing über die Buchhaltungssoftware bis zu Versicherungen zu vorgegebenen Konditionen über Vertragspartner von Amazon abzuwickeln. Nicht zuletzt ist man als Sub darauf angewiesen, dass Amazon genügend Touren beauftragt, wofür es keine Garantie gibt. Unter solchen Bedingungen wird Ausbeutung zum Regelfall. »Der Druck wird dann wirklich ungefiltert, ungebremst an die eigenen Mitarbeiter weitergegeben«, gab der SR den Sozialwissenschaftler Stefan Sell von der Hochschule Koblenz wieder. Das sei »Kern der Strategie von Amazon«. Der Bremer Fachanwalt für Arbeitsrecht, Frank Ewald, sieht gar Hinweise auf unerlaubte »Arbeitnehmerüberlassung«.

    Immerhin hat sich die Politik des Problems angenommen. Der Bundesrat will das Paketbotenschutzgesetz verschärfen, und in einer Prüfbitte an die Bundesregierung geht es unter anderem um ein Verbot des Subunternehmertums. Ausgenommen werden sollen jedoch Anbieter, die Tariflohn zahlen. Professor Sell ist skeptisch: »Tariflohn für die Paketzusteller, das müsste ja auch kontrolliert werden«, wozu die Behörden aber nicht in der Lage seien. Deshalb werde dieser Vorschlag den Leidtragenden kaum weiterhelfen.

    #Deutschland #Amazon #Botendienst #Lieferant #Ausbeutung #Fahrer #Logistik #Subunternehmer #Überstunden #Bundesrat

  • Cuisine Generation et Tech Génération
    https://www.cuisine-generation.fr
    https://www.tech-generation.fr

    Deux sites gérés à 100% par des IA (#chatGPT notamment) : tout est généré sans interventions humaines...
    Voir https://twitter.com/arikouts/status/1649163855375769613 pour les explications

    Les 2 fonctionnent aujourd’hui sans aucune intervention humaine, et crées du contenus « original », en choisissant leurs sujets.
    [...]
    Un site de cuisine, qui crées de nouvelles recettes originales chaque jour, ainsi que les photos (qui n’existent donc pas non plus).
    Géré par 4 chefs (qui n’existent pas donc) eux-mêmes inventés par des IA.

    ...même si les titres et textes des recettes sont assez consternants, il y a de quoi s’inquiéter pour ce que le web peut (va ?) devenir...
    (et c’est le référencement des sites qui va prendre une claque aussi...)

    #bot #site_web #IA #chatGPT #cuisine #référencement

  • [Daydream Nation] Focus #botanique
    https://www.radiopanik.org/emissions/daydream-nation/focus-botanique

    Ce mardi 21 mars, on fête le printemps et on se branche dès 23h pour une émission spéciale #nuits_botanique, qui auront lieu du 23 avril au 12 mai prochain. Un effeuillage en bonne et dûe forme pour faire pousser les graines de découvertes que le Bota a pris le soin de programmer pour cette édition 2023.

    Avec, en prime, l’interview des fantastiques Wild Classical Music Ensemble & Lee Ranaldo, enregistrée dans les loges du Bota le 19 mars 2023 !

    Stay tuned 🎶

    #podcast_daydream_nation #daydream_nation #podcast_daydream_nation,daydream_nation,botanique,nuits_botanique
    https://www.radiopanik.org/media/sounds/daydream-nation/focus-botanique_15544__1.mp3

  • Crise de l’énergie : à Lille, on ferme une serre botanique mais on agrandit l’aéroport Luc Semal - Reporterre

    Lille a fermé sa serre botanique, pour une question de sobriété. Une aberration, selon l’auteur de cette tribune, qui plaide pour d’autres mesures plus efficaces, comme l’abandon de l’agrandissement de l’aéroport.
    Luc Semal est maître de conférences en science politique au Muséum national d’histoire naturelle. Il est l’auteur de Face à l’effondrement — Militer à l’ombre des catastrophes (PUF, 2019) et a codirigé l’ouvrage collectif Sobriété énergétique — Contraintes matérielles, équité sociale et perspectives institutionnelles (Quae, 2018).

    Le 9 octobre 2022, la Ville de Lille a fermé les portes de la grande serre du Jardin des plantes de Lille. Cette fermeture, prétendument rendue nécessaire par l’impératif de sobriété, est présentée comme définitive. En réaction, le collectif Sauvons la serre a lancé une pétition pour s’opposer à toute fermeture définitive, demander des mesures d’urgence qui feraient faire à la serre sa juste part de l’effort de sobriété cet hiver, et proposer l’étude d’un projet de rénovation ambitieuse pour ce lieu potentiellement emblématique de la transition écologique dans la métropole et la région.

    Pour l’heure, ces demandes ont été rejetées. Face à une contestation croissante, la mairie a préféré accélérer le démantèlement et le « déplacement » _ de la collection, impliquant concrètement la mutilation ou le sacrifice de spécimens remarquables, comme la Monstera [1], dont les jardiniers disent que celle de Lille est la plus grande de France.

    La Ville de Lille est ainsi en passe d’entrer dans l’Histoire comme la première ville française à fermer définitivement un équipement culturel au nom de la sobriété. Et de quelle manière ! Absence de concertation, aucun vote en conseil municipal ; invectives adressées aux mécontents https://www.lavoixdunord.fr/1243039/article/2022-10-18/lille-face-aux-critiques-martine-aubry-defend-l-epineux-demenagement-de réclamant un groupe de travail ; argumentaire invoquant des études prétendument sans appel, mais non communiquées et dont l’existence même est mise en doute…

    Tout cela pour finalement choisir comme seul équipement à sacrifier l’un des seuls qui soient consacrés à l’émerveillement naturaliste et à la découverte de la biodiversité. Pour éparpiller façon puzzle, dans un simulacre de dispositif participatif grotesquement baptisé « adopte une plante », la ressource publique que constituent ensemble cette serre et la collection botanique qu’elle abrite. À Lille, la sobriété a bon dos…

    L’égalité d’accès à la biodiversité est sacrifiée
    Car finalement, qu’est-ce qu’une serre ? Est-ce vraiment une gabegie énergétique, un luxe désormais incompatible avec la nouvelle donne géopolitique et climatique ? Dans son récent texte de soutien au collectif Sauvons la serre, la Société botanique de France prend le contre-pied de ces clichés : « Fermer des serres, c’est priver les générations futures, gestionnaires après nous de nos sociétés et de la nature, d’une acculturation à la biodiversité et aux écosystèmes du monde entier, déjà bien mis à mal par les changements globaux. » Un argument qui pourrait compter dans une ville telle que Lille, notoirement mal dotée en espaces verts (seulement 15 m² par habitant, quand la moyenne pour les villes françaises est de 51 m² par habitant).

    Car la serre de Lille est un microcosme de nature extraordinaire à portée de marche et de métro, dont l’entrée est gratuite, et visité chaque année par des centaines de scolaires. Les enfants des familles les plus aisées ne seront pas les plus impactés par sa fermeture : beaucoup prendront l’avion avec leurs parents pour aller admirer la nature exotique « sur place » , en mieux, en vrai.

    Les militants mobilisés à l’aéroport de Lille pour dénoncer les projets d’extension d’aéroports, samedi 8 octobre 2022. © ANV-COP21 Lille/Basile Mesré Barjon

    Et tant pis si la catastrophe climatique en cours devrait nous conduire à réduire nos trajets aériens. Et tant pis si les enfants des familles moins favorisées n’ont pas accès à de tels voyages. Une sobriété par le petit bout de la lorgnette peut donner l’impression qu’il est préférable de fermer une serre, plutôt que d’intégrer sa rénovation dans un projet pédagogique ambitieux conçu en cohérence avec la nécessaire réduction de la mobilité.

    Demain, va-t-on fermer les musées et les écoles ?
    Et cette sobriété par le petit bout de la lorgnette est bien le problème, depuis que les pouvoirs publics ont enfin admis, lamentablement tardivement, la nécessité de la sobriété. Longtemps marqueur d’une écologie exigeante, voire radicale, ce mot « sobriété » est devenu la cible d’une intense opération d’institutionnalisation, voire de récupération.

    Mais il ne suffit pas de sauter sur sa chaise comme un cabri en répétant « sobriété » pour conduire une politique de sobriété écologiquement cohérente et socialement juste. L’enjeu central est — ou pourrait être, ou devrait être — de produire les conditions d’une réflexion démocratique, d’une part, sur la répartition équitable des efforts de sobriété, et, d’autre part, sur l’identification des cibles prioritaires en matière de sobriété.

    Or, c’est ici que le cas lillois pourrait constituer un précédent fâcheux. Pour la Ville de Lille, la serre n’est pas une pépite de nature extraordinaire en ville : elle est une « passoire énergétique » représentant 1,4 % de sa consommation énergétique. Mais ce chiffre, soupçonné d’être artificiellement grossi par un périmètre de calcul opaque, d’une part, ne dit rien de ce que serait la consommation après rénovation du bâtiment, et, d’autre part, témoigne d’une conception rabougrie du périmètre dans lequel penser la sobriété collective.

    Car à jouer ce jeu-là, est-ce la seule passoire énergétique potentiellement en ligne de mire dans le parc immobilier lillois ? Va-t-on fermer aussi le Palais des beaux-arts en 2024, quand il faudra à nouveau réduire de 10 % les consommations énergétiques ? Les écoles, en 2026 ? Les mairies de quartier ? Car après tout, l’Union européenne est en train de revoir à la hausse nos objectifs de réduction des consommations d’énergie, pour viser 40 % de réduction d’ici 2030 : donc il faudra bien trouver quelque chose à fermer…

    Pendant qu’on ferme la serre, on agrandit l’aéroport
    Sauf, bien sûr, si l’on questionne enfin la pertinence de ce périmètre d’action. Si l’on s’accorde sur le fait qu’il est absurde de demander plus aux équipements publics qu’aux jets privés — les premiers contribuant au bien commun, quand les seconds pourraient être regardés comme un privilège énergétique méritant d’être aboli. https://reporterre.net/Jets-prives-l-Etat-ne-vole-pas-haut

    À Lille, pendant que l’on ferme une serre à vocation pédagogique et scientifique, le projet d’extension de l’aéroport de Lille-Lesquin est maintenu https://reporterre.net/A-Lille-les-militants-determines-contre-l-extension-de-l-aeroport . Et dans les environs, il existe pleins d’hectares de serres à tomates chauffées pour une production hors-saison. La Ville de Lille dira que ces deux exemples ne relèvent pas de ses compétences : certes, mais une approche écologiquement cohérente et socialement juste de la sobriété ne vaudrait-elle pas justement créer un espace politique où mettre en balance ces différents usages ?

    Une pétition a été lancée par le collectif Les Amis du Jardin des plantes de Lille. Elle est ici.

    #Lille #ps #martine_aubry #destruction #énergie #béton aéroport #botanique #savoirs #école #d&couverte #Lesquin #aéroport

    Source : https://reporterre.net/Crise-de-l-energie-a-Lille-on-ferme-une-serre-botanique-mais-on-agrandit

  • Berlins dunkle Geschichte: Die vergessene Geheimdienstzentrale der Nazis
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/ns-vergangenheit-berlins-dunkle-geschichte-an-diesem-ort-sassen-goe

    29.7.2022 von Armin Fuhrer - In Charlottenburg befand sich die Zentrale von Hermann Görings „Forschungsamt“, eines streng geheimen Abhördienstes. Stadtgeschichte, die man kennen sollte.

    Die Schillerstraße in Charlottenburg wirkt an diesem Sommertag ein wenig abgehoben vom brausenden Großstadtverkehr, der nur einen Steinwurf entfernt am Ernst-Reuter-Platz tobt. Ruhig liegt sie da, nur wenige Menschen queren die Bürgersteige und nur ab und an durchfährt ein Auto die stille Straße. Vor allem die Kreuzung Schiller- und Schlüterstraße, wirkt geradezu heimelig. Hier beginnt leicht zurückgesetzt ein großer Gebäudekomplex, das Oberstufenzentrum Körperpflege, ein moderner Zweckbau, der sich zig Meter an der Schillerstraße entlangzieht.

    Was kaum jemand weiß: Genau an dieser Stelle mitten in Charlottenburg, wo heute zukünftige Friseure, Maskenbilderinnen und Zahntechniker ausgebildet werden, befand sich von 1935 bis 1945 die Zentrale des „Forschungsamtes des Reichsluftfahrtministeriums“. Der harmlos klingende Name war eine geschickte Tarnung.

    Tatsächlich verbarg sich dahinter ein großer, heute vergessener Geheimdienst des Dritten Reiches, der über ein Beinahe-Monopol bei der Telefonüberwachung und zahlreiche weitere Kompetenzen verfügte. Sein oberster Herr war Hermann Göring. Adolf Hitlers zweiter Mann hatte sich mit dieser Behörde, die in ihren besten Zeiten bis zu 6000 Mitarbeiter hatte, ein äußerst wirkungsvolles Instrument geschaffen, mit dem er alles und jeden überwachen konnte: Regimegegner, Wehrmachtsgeneräle, Wirtschaftsunternehmen, Botschaften und ausländische Staatsmänner und Nazi-Funktionäre.

    Die äußerst breite Geschichtsschreibung zum Dritten Reich hat das Forschungsamt fast völlig ignoriert, weil es kaum Spuren hinterließ. Selbst renommierte Historiker sind oft ahnungslos, was diese Institution betrifft.

    Von Göring verborgen hinter dem Namen „Forschungsamt“
    Göring baute seine neue Behörde fast vom ersten Tag nach der Machtübernahme Hitlers auf. Er erkannte sofort die Möglichkeiten, die ihm eine solche Einrichtung bieten würde, denn ihm war klar, dass er durch die heimliche Überwachung des Telefonverkehrs viele wertvolle Informationen in die Hände bekommen würde. Er integrierte die neue Überwachungsbehörde, obwohl sie eine Einrichtung der NSDAP war, in sein gerade im Entstehen befindliches Reichsluftfahrtministerium und nannte es „Forschungsamt“, sodass seine wirkliche Bedeutung vor der Öffentlichkeit und dem Ausland verborgen blieb.

    Zu den Aufgaben des Forschungsamtes gehörten die Überwachung des Funkverkehrs, die Dechiffrierung verschlüsselter Nachrichten zum Beispiel der Botschaften in Berlin und später der Kriegsgegner sowie die Auswertung der gewonnenen Erkenntnisse ebenso wie die intensive Beobachtung des ausländischen Rundfunks und der Zeitungen.

    Für die Bedeutung, die es bald erlangen sollte, war aber vor allem eine Entscheidung Hitlers ausschlaggebend, die Göring bei ihm durchgesetzt hatte: Das Amt bekam das Monopol bei der Überwachung der Telefone – keine andere Institution des Dritten Reiches durfte die Telefonleitungen anzapfen. Erst 1940 setzte Reichspostminister Wilhelm Ohnseorge durch, dass auch seine Behörde, in deutlich geringerem Umfang, den Telefonverkehr überwachen durfte.

    Die Akten wurden fast komplett vernichtet
    Die Anfänge waren sehr bescheiden. In den ersten Monaten nach der Gründung im April 1933 arbeiteten etwa zehn Männer am Aufbau der Behörde, die zunächst im Dachgeschoss des neuen Luftfahrtministeriums in der Behrenstraße (das später in sein neues Gebäude an der Wilhelmstraße wechselte) in Mitte untergebracht wurde. Doch schon wenige Monate später stand aus Platzgründen der erste Umzug in ein Gebäude gegenüber an. Bis Ende des Jahres 1933 erhöhte sich die Mitarbeiterzahl auf 133. Zwei Jahre später folgte der Umzug in die Schillerstraße.

    Hermann Göring als oberster Chef delegierte die Kontrolle des Forschungsamts an seinen Staatssekretär Paul Körner. Darunter stand an der Spitze ein Leiter. Es gab während der zwölfjährigen Existenz des Amts insgesamt drei Chefs, am längsten stand Prinz Christoph von Hessen an der Spitze, von 1935 bis 1943. Das Amt wurde in sechs Hauptabteilungen gegliedert, später kam es zu mehreren Umstrukturierungen.

    Schon bald konnte die neue Einrichtung auf große Erfolge blicken. Wen genau die Mitarbeiter des Forschungsamtes alles abhörten, ist heute leider nicht mehr nachzuvollziehen, denn die Akten wurden fast vollständig in der letzten Phase des Zweiten Weltkrieges vernichtet. Aber aus Funden in anderen Archivunterlagen und späteren Aussagen von Angestellten des Amtes kann immerhin einiges nachvollzogen werden.

    „Braune Blätter“ mit Berichten für Göring
    Göring setzte sein Machtmittel natürlich gegen die Gegner des NS-Regimes ein. Zum Beispiel wurden Kritiker aus Kirchenkreisen überwacht. Auch Wirtschaftsunternehmen gerieten ins Visier, so zum Beispiel die Zentrale der Junkers-Flugzeugwerke in Dessau, die Göring unter seine Kontrolle bringen wollte. Er bekam die Berichte über abgehörte Telefonate schriftlich auf den Schreibtisch. Sie waren auf braunem Papier gedruckt und hießen daher intern „Braune Blätter“. Auch Hitler wurde jeder Bericht geschickt. Ein Kreis von hohen Behördenchefs bekam ebenfalls ausgewählte Berichte zur Ansicht.

    Kaum überraschend gerieten auch schnell ausländische Regierungen ins Visier von Görings Lauscher. Das gilt zuallererst für die in Berlin angesiedelten Botschaften, deren Funk- und Telefonverkehre intensiv überwacht wurden. Aber Deutschlands Lage in der Mitte Europa bot noch mehr Möglichkeiten: Weil viele Telefonverbindungen von Ost nach West durch das Land gingen, konnten auch sie angezapft und damit der Verkehr zwischen den Botschaften beispielsweise in Prag oder Warschau mit den Außenministerien in London oder Paris überwacht werden.

    Ein spektakulärer Erfolg gelang dem Forschungsamt zum Beispiel während der Konferenz von Bad Godesberg vom 22. und 23. September 1938, auf der es um die von Hitler erhobenen Ansprüche auf das Sudetenland ging. Das Forschungsamt hörte während dieser Konferenz den gesamten Telefon- und Funkverkehr zwischen dem angereisten britischen Premierminister Neville Chamberlain und seiner Regierungszentrale in London ab.

    Auch die eigenen Leute waren nicht sicher
    Der größte Abhör-Coup gelang allerdings nicht dem Forschungsamt, sondern der Reichspost. Ihrer „Forschungsstelle“ gelang es, in der Nacht vom 28. auf den 29. Juli 1943 über eine Abhörstation in Holland ein Telefongespräch zwischen US-Präsident Franklin D. Roosevelt und dem britischen Premierminister Winston Churchill abzuhören.

    Aber auch die eigenen Leute waren nicht sicher vor Görings Lauschern. So gibt es beispielsweise den schriftlichen Bericht eines ehemaligen Mitarbeiters aus der Nachkriegszeit, nach dem nahezu alle Telefonate von SA-Führer Ernst Röhm in den Wochen vor seiner von Hitler angeordneten Ermordung am 30. Juni 1934 im Zuge des sogenannten Röhm-Putsches abgehört worden seien. Erwiesen ist, dass hohe Wehrmachtsoffiziere, denen gegenüber Hitler und Göring stets misstrauisch waren, überwacht wurden.

    Abgehört wurde auch der Gauleiter aus Franken und Herausgeber des antisemitischen Hetzblattes „Der Stürmer“, Julius Streicher. Und eine Weile konnten sich die Männer in der Schillerstraße sogar den nächtlichen Abhördienst mit dem Liebesgesäusel von Joseph Goebbels versüßen. Als der liebestolle Propagandaminister seine Frau Magda betrog und stundenlang mit seiner Geliebten, der Schauspielerin Lida Baarova, telefonierte, wurde er regelmäßig abgehört. Daran erinnerte sich nach dem Krieg im Verhör mit dem britischen Geheimdienst ein Mitarbeiter, der selbst gebannt die nächtlichen Telefonate mitgehört haben wollte. Die Berichte wurden sehr wahrscheinlich Hitler vorgelegt, der Goebbels zur Beendigung des Verhältnisses zwang.

    Die Zahl der Mitarbeiter stieg nach dem ersten Umzug des Amts 1933 rasant an. 1938 soll sie nach der Aussage eines Mitarbeiters aus der Nachkriegszeit bei 3800 gelegen haben, während der Hochphase im Krieg bei 6000. Ein großer Teil davon arbeitete in Abhörstationen, genannt „Forschungsstellen“, die in deutschen Städten und nach dem Beginn des Krieges in den besetzten Gebieten aufgebaut wurden und der Zentrale ihre Berichte lieferten.

    Das hochgesicherte Gebäude fiel Passanten kaum auf
    Als 1935 die Räume in der Behrenstraße nicht mehr ausreichten, wurde dringend nach einer neuen Zentrale gesucht. Sie wurde schließlich in Charlottenburg gefunden. In der Schillerstraße 116–120 bot sich ein großer Komplex, die Schillerkolonnaden, an, die vermutlich ursprünglich als Wohngebäude für Angehörige der Reichswehr gebaut worden waren. Hier wurde auch ein riesiges Archiv mit Karteikarten und auf Schelllackplatten aufgezeichneten Gesprächen angelegt.

    Obwohl das Gebäude hochgesichert war, fiel ahnungslosen Passanten nicht auf, was sich in dem Komplex, der später noch vergrößert wurde, befand. Das Forschungsamt war unter seiner offiziellen Bezeichnung sogar mit Rufnummer und Adresse im Berliner Adressbuch aufgeführt und verfügte über einen eigenen Poststempel.

    Mitten im Zentrum der Reichshauptstadt befand sich nun also eine Einrichtung, die nahezu jeden ins Visier nehmen konnte. Bald schwirrten Gerüchte durch die Berliner Luft, dass zahlreiche Telefonate abgehört werden würden, man mahnte zur Vorsicht. Insgesamt soll das Amt nach Schätzungen ehemaliger Mitarbeiter rund eine halbe Million Telefongespräche abgehört haben. Das mag uns heute in Zeiten von NSA und BND wenig erscheinen, aber für die damalige Zeit war das eine beeindruckende Menge.

    Während des Krieges nahm die Bedeutung des Forschungsamtes aber stetig ab. Vor allem, weil Hitler lieber seiner „Intuition“ vertraute als den Erkenntnissen der Abhörexperten. Sie hatten beispielsweise viele Daten zu Fabriken in der Sowjetunion gesammelt und daraus geschlossen, dass Armee und Wirtschaft des Landes bei weitem nicht so schwach waren, wie Hitler und die Führung der Wehrmacht glaubten. Doch der „Führer“ hörte nicht auf sie und griff im Juni 1941 die Sowjetunion an. Das Ergebnis ist bekannt.

    Die Alliierten ahnten nichts von der Existenz des Amts
    Am 22. November 1943 wurden große Teile des Gebäudekomplexes in der Schillerstraße bei einem verheerenden Bombenangriff zerstört. Mit ihm ging ein Teil der Akten in Flammen auf. Die Zentrale wurde daraufhin nach Breslau verlegt. Nach dem gescheiterten Attentat vom 20. Juli 1944 auf Hitler übernahm SS-Führer Heinrich Himmler die Kontrolle über das Forschungsamt.

    Kurz vor der Belagerung Breslaus durch die Rote Armee wurden die verbliebenen Mitarbeiter Anfang 1945 in zwei Gruppen aufgeteilt. Die eine ging nach Schleswig-Holstein, die andere nach Bayern. Bei Kriegsende verstreuten sie sich in alle Himmelsrichtungen. Weil sie genau wussten, welch gefährliches Wissen in den noch verbliebenen Akten steckte, verbrannten sie vorher das Material. Auf die Brisanz der Unterlagen deutet auch die Tatsache hin, dass zwei der drei Chefs des Amtes unter mysteriösen Umständen bei Unfällen ums Leben kamen, nachdem Göring das Vertrauen in sie verloren hatte. In beiden Fällen ist es gut möglich, dass er seine Finger im Spiel hatte.

    Wie erfolgreich das Forschungsamt arbeitete, können wir heute nur erahnen. Übrigens hatten auch die Alliierten absolut keine Ahnung von seiner Existenz. Sie kamen ihm erst in der unmittelbaren Nachkriegszeit durch Äußerungen ehemaliger Mitarbeiter, die zufällig in ihre Hände geraten waren, auf die Spur und begannen, Informationen zu sammeln, die sich heute noch in den Archiven in den USA und England finden. Auch Göring erwähnte während des Kriegsverbrechertribunals in Nürnberg sein Forschungsamt – mit unverhohlenem Stolz.

    Armin Fuhrer ist Journalist und Historiker. Er hat das Buch „Görings NSA. Das ‚Forschungsamt‘ im Dritten Reich. Die unbekannte Geschichte des größten Geheimdienstes der Nazis“ veröffentlicht.

    Das ist ein Beitrag, der im Rahmen unserer Open-Source-Initiative eingereicht wurde. Mit Open Source gibt der Berliner Verlag freien Autorinnen und Autoren sowie jedem Interessierten die Möglichkeit, Texte mit inhaltlicher Relevanz und professionellen Qualitätsstandards anzubieten. Ausgewählte Beiträge werden veröffentlicht und honoriert.

    #Berlin #Charlottenburg #Schillerstraße #Ernst-Reuter-Platz #Schillerkolonnaden

    #Geschichte #Nazis #Geheimdienst #Forschungsamt #Forschungsstelle #Reichsluftfahrtministerium #Funkverkehr #Rundfunk #Überwachung #Telefon #Botschaft

  • Steglitz-Zehlendorf: Reise ins Mittelalter, bestes Essen und Spionagetunnel
    https://www.berliner-zeitung.de/ratgeber/berlin-bezirke-serie-ratgeber-tipps-steglitz-zehlendorf-reise-ins-m

    2.10.2022 von Nicole Schulze - Authentische Thai-Gerichte, schönste Villenviertel und beeindruckende Zeitreisen: Unsere Wochenend-Serie entführt Sie in den Berliner Südwesten.

    Berlin ist ein Dorf. Sagt man so, und das stimmt auch, wenn man genauer hinguckt. Aber wer tut das schon? Wer fährt einfach mal in einen anderen Kiez, um zu gucken, was da so los ist? Das wollen wir ändern. In der Bezirke-Serie stellen wir alle 12 Berliner Bezirke vor, lassen Einheimische zu Wort kommen, verraten Geheimtipps, tauchen ein in die Vielfalt der Möglichkeiten. Heute: #Steglitz-Zehlendorf.

    Der Berliner Südwesten galt schon immer als schicker und teurer als andere Kieze Berlins. Dabei ist es längst nicht überall „posh“ und etepetete, siehe Thermometersiedlung in Lichterfelde.

    Rund um die #Fahrenheitstraße stehen um die 60 Plattenbauten und Hochhäuser, die Tausenden von Steglitzern ein Zuhause sind. Das Zusammenleben war und ist nicht immer einfach, der Kiez wurde 2017 als ‚Gebiet mit besonderem Aufmerksamkeitsbedarf‘ eingestuft. Der Rapper Fler ist hier groß geworden.

    Aber natürlich haben wir alle die sprachlos machenden Villen vor Augen, wenn wir an die Architektur von Steglitz und Zehlendorf denken. Falls Sie nicht wissen, was gemeint ist: Fahren Sie zum Bahnhof Lichterfelde-West und machen dann einen Spaziergang. Zuerst entlang der #Curtiusstraße, wo Sie an der Villa Holzhüter vorbeikommen, benannt nach ihrem Bauherrn. Besichtigen kann man das südländisch wirkende Gebäude zwar nicht, aber von außen bestaunen. Immerhin.

    Weiter geht’s über den #Kadettenweg zur #Kommandantenstraße, wo sich ein Prachtbau an den nächsten reiht. In Höhe der #Friedrichstraße sollten Sie einmal kurz innehalten und das Rother-Stift näher betrachten, ein Backsteinbau vom Ende des 19. Jahrhunderts. „Im Jahr 1840 wurde von dem preußischen Minister Christian Rother die Rother-Stiftung gegründet. Diese Stiftung sollte unverheirateten Töchtern von Offizieren und Beamten im Alter Unterkunft bieten“, weiß Wikipedia zu berichten. Heute sind dort Wohnungen. Eine traumhafte Vorstellung, nicht wahr?

    Wenn Sie die Kommandantenstraße weiter entlanglaufen und die #Ringstraße überquert haben, kommen Sie zur Kreuzung #Weddingenweg. Biegen Sie nach links ab und laufen bis zur #Paulinenstraße – staunen Sie über Villen, die wie kleine Burgen aussehen, mit Türmchen und Zinnen, mit (nicht echten) Zugbrücken und so vielen Details, dass man am liebsten sofort Umzugspläne schmieden möchte.

    Was macht Steglitz-Zehlendorf so besonders?

    Michael Pawlik, Leiter der Wirtschaftsförderung des Bezirkes: „Das Besondere an Steglitz-Zehlendorf ist aus meiner Sicht die besondere Lage innerhalb Berlins. Im Norden des Bezirks tummelt sich eine mobile Urbanität rund um die Steglitzer #Schloßstraße mit ihrem bekannten ‚Bierpinsel‘, auf der ein riesiges Shopping-Angebot präsentiert wird, und gleichzeitig locken im Umfeld dieser großen Einkaufsstraße kulturelle Angebote wie der #Titania-Palast, die #Schwartzsche_Villa oder das #Schloßparktheater unter der Intendanz von Dieter Hallervorden.“

    Mittendrin befänden sich grüne Oasen wie der #Stadtpark_Steglitz oder der #Bäkepark in unmittelbarer Nähe des Naturschutzgebietes Schlosspark Lichterfelde sowie „die größte Oase: der Botanische Garten“, so Michael Pawlik, der im dortigen Mittelmeerhaus vor zehn Jahren seine Frau geheiratet hat.

    „Man spürt deutlich, dass auch immer mehr junge Familien in den Bezirk ziehen, da die Lehreinrichtungen wie Kitas, Schulen und die ansässige #Freie_Universität Berlin mit zahlreichen Forschungsinstituten sich berlinweit auf dem höchsten Niveau befinden“, so der Wirtschaftsförderungs-Chef. „Hinzu kommen Sport- und Freizeitangebote an der Havel und am Wannsee für Wasserbegeisterte. Unzählige Radwege durch Wald- und Grünanlagen, auf denen die Natur zu erleben ist und versteckte Plätze wie das #Kleist-Grab zu finden sind.“

    Damit nicht genug: „Kulturelle Angebote mit Alleinstellungsmerkmal wie beispielsweise das Alliiertenmuseum, das #Museumsdorf_Düppel, das #Brücke-Museum oder die #Domäne_Dahlem runden die vielfältigen Angebote des Bezirkes ab“, so Michael Pawlik.

    Für Architekturfans wartet Steglitz-Zehlendorf gleich mit mehreren Highlights auf, wie der Fachmann berichtet: „Die besondere Architektur der Villenkolonie Lichterfelde, für die es einen empfehlenswerten Audio-Walk gibt, ist sehenswert, ebenso die der Wald-Siedlung Zehlendorf, bekannt als #Bruno-Taut-Siedlung. Diese wurde als siebte ‚Siedlung der Berliner Moderne‘ für die Unesco-Welterbeliste vorgeschlagen.“

    Die Tipps des Locals: Das muss man gesehen haben

    Eigentlich stolpert man von einem Highlight zum nächsten, wenn man nach Steglitz-Zehlendorf fährt. Ein vielleicht nicht alltägliches, aber doch beliebtes Ausflugsziel ist der mit altem Baumbestand gesäumte #Waldfriedhof_Zehlendorf (Potsdamer Chaussee 75), wo unter anderem Willy Brandt, Günter Pfitzmann und Ernst Reuter begraben liegen.

    Noch schöner ist der #Waldfriedhof_Dahlem (Hüttenweg 47) mit seinen vielen Grüften, Engelsstatuen und einer ebenso hohen Promidichte. Hier ruhen Harald Juhnke, Horst Buchholz, Udo Walz, Heinz Berggruen und Richard von Weizsäcker.

    Das Grab des Literaten #Heinrich_von_Kleist hingegen finden Sie auf keinem Friedhof, sondern zwischen der Bismarckstraße und dem Kleinen Wannsee. Eingezäunt und unter hohen Bäumen steht hier sein Grabmal. Zusammen mit seiner schwer kranken Freundin Henriette Vogel beging von Kleist im November 1811 Suizid – und damals wurden „Selbstmörder“ nicht auf Friedhöfen, sondern außerhalb der Friedhofsmauern bestattet. Nicht ganz klar ist, ob der Freitod tatsächlich an dieser Stelle stattfand.

    Szenenwechsel. Nach dem Krieg gehörte Steglitz-Zehlendorf zum amerikanischen Sektor, ebenso wie Kreuzberg, Tempelhof, Schöneberg und Neukölln. Heute erinnert das #Alliiertenmuseum (Clayallee 135) an jene Zeit. Anschaulich wird hier die Geschichte der Westmächte in Berlin dargestellt.

    Zu sehen gibt es beispielsweise einen US-Jeep aus den Nachkriegsjahren, Carepakete mit originalem Inhalt, das Rias-Leuchtschild, ein Stück der #Berliner_Mauer (bemalt von Thierry Noir!), ein Kontrollhäuschen vom Checkpoint Charlie, ein Luftbrücken-Flugzeug ebenso wie die Taschentuch-Fallschirmchen oder auch einen Spionagetunnel. Alles ist im Original vor Ort. Der Eintritt ist übrigens kostenlos.

    Ebenso kostenfrei kommen Sie in die #Schwartzsche_Villa (Grunewaldstraße 55), eine kommunale Galerie. Gegenwartskunst, Regionalgeschichte, Zimmertheater, Konzerte, Lesungen, Performances – hier ist für alles Platz. Der Bankier Carl Schwartz ließ das herrschaftliche Gebäude zwischen 1895 und 1898 errichten, es war sein Sommersitz. Nach dem Krieg war hier ein Waisenhaus untergebracht, aber es stand auch viele Jahre leer. Seit 1983 steht es unter Denkmalschutz und wurde 1995 als Kulturhaus eröffnet.

    Es werden Kunstkurse für Kinder angeboten, ebenso wie kolonialhistorische Stadtspaziergänge durch Lichterfelde, aber man kann auch Räume mieten. Im Erdgeschoss gibt es ein kleines, feines Café, das man sich nicht entgehen lassen sollte. Es sitzt sich hier nett. Und: Hier haben einige Menschen mit Behinderungen einen Job gefunden. Die Schwartzsche Villa bietet nicht nur für alles Dingliche Platz, sondern auch für jeden von uns, egal, wie und wer wir sind. Schön.

    Etwas rustikaler geht’s im #Museumsdorf_Düppel (#Clauertstraße 11) in Nikolassee zu. Hier dreht sich alles ums Leben im Mittelalter, inklusive der damaligen Tierhaltung (Schafe, Ochsen, Schweine, Ziegen). Im Freilichtmuseum stehen zudem originalgetreue Häuser aus der Zeit um 1200, auch altes Handwerk wird gezeigt, das Schmieden und das Bronzegießen. Selbstverständlich werden auch mittelalterliche Pflanzen angebaut und erklärt.

    Aber Achtung: Das Museumsdorf Düppel hat nur bis zum 6. November geöffnet. Dann ist es bis zum Frühling geschlossen. Ganzjährig geöffnet ist hingegen die #Domäne_Dahlem (#Königin-Luise-Straße 49), wo Sie auch hiesige Tierarten sowie echte in Handarbeit auf dem Feld beobachten können. Die hier angebauten und geernteten Lebensmittel können Sie unter anderem im Hofladen kaufen.

    Wo kann man in Steglitz-Zehlendorf gut essen?

    4,7 von 5 möglichen Sternen bei 460 Google-Rezensionen, 4,5 von 5 bei Tripadvisor. Und der kritische Guide Michelin schreibt: „Sympathisch-leger und ungezwungen ist hier die Atmosphäre, schmackhaft und frisch die Küche, die sich bei der Produktwahl an der Saison orientiert. Tipp: Lassen Sie sich mit einem 3-Gänge-Menü überraschen. Dazu wird man freundlich umsorgt.“ Offenkundig ist das Restaurant Jungbluth (#Lepsiusstraße 63) eines der besten Restaurants der Stadt.

    Die Steglitzer interpretieren die deutsche Küche neu, legen Wert auf viel Gemüse. Untergebracht ist das stilvolle, stuckverzierte Restaurant in einem ehemaligen Wein-Ecklokal, von dem der alte Bartresen erhalten geblieben ist.

    Das Jungbluth liegt vis-à-vis der thailändischen Botschaft, von deren Botschafter man sich erzählt, dass er gern mal ums Eck in ein kleines Restaurant essen geht: Das Dokmai Thai ist nur wenige Schritte entfernt (#Muthesiusstraße 38) und bietet authentische thailändische Küche – keine Tourikost, wie wir es vielfach serviert bekommen. Eigentlich ist das Dokmai Thai mit seiner Handvoll Tischen eher ein Imbiss, aber das tut dem kulinarischen Genuss keinen Abbruch. Absoluter Geheimtipp!

    Ein Potpourri für alle Sinne finden Sie bei Mutter Fourage in Wannsee (#Chausseestraße 1 a), wo es nicht nur eine Galerie samt Kunsthandel sowie eine Gärtnerei gibt, sondern auch allerhand Leckereien. Egal, ob Sie zum Frühstück hierherkommen, mittagessen wollen oder bei Kaffee und Kuchen die ruhige Abgeschiedenheit eines kleinen alten Hinterhofes genießen möchten.

    Früher wurde hier Viehfutter gehandelt, und optisch erzählt noch einiges von den vergangenen Zeiten. Lassen Sie sich entführen und verführen – Auge und Gaumen kommen hier voll auf ihre Kosten. Es gibt vieles auch zum Mitnehmen, sogar liebevoll arrangierte Präsentkörbe.

    Und wo wir gerade bei Kaffee und schönen Blumen sind: Das Café der Königlichen Gartenakademie ist ein Muss für Pflanzenfans und Freunde des gepflegten Schlemmens. Die Gerichte sind auf den Punkt, die Bedienung ausgesprochen freundlich – und das Ambiente in der Tat eine grüne Oase. Die Außenterrasse schließt saisonbedingt im Laufe des Oktobers, aber auch drinnen in dem Glashaus lässt es sich ganz formidabel sitzen, schlemmen und gucken.

    Last, but not least: Das Lutter & Wegner im Schloss Glienicke (#Königstraße 36) ist nicht nur, aber auch wegen seiner unvergleichlichen Lage einen Besuch wert. Das nach antikem Vorbild erbaute Schloss liegt unweit der Glienicker Brücke und war einstmals die Sommerresidenz des Prinzen Carl von Preußen.

    Man kann das Schloss besichtigen: „In das Schloss gelangt der Besucher über einen mit Passionsblumen und Pfeifenwinde berankten Laubengang, dessen Wände zahlreiche Marmorfragmente von antiken Skulpturen und Sarkophagen schmücken“, schreibt die Stiftung Preußische Schlösser und Gärten in Berlin und Brandenburg.

    Auch drinnen wird nicht gegeizt: „Das Zentrum bildet der Rote Saal, an den sich der grüne Salon, das türkise Schlafzimmer, das Marmorzimmer und die tiefblaue Bibliothek anschließen. Vor den kräftigen Farben der Wände leuchten die Goldrahmen der Gemälde, funkeln die Kronleuchter, setzen Marmorkamin und das edle Mobiliar reizvolle Akzente“, heißt es weiter.

    Falls Sie nach dem Besichtigen oder vor dem Spaziergang durch den wunderschönen Park eine Pause brauchen, ist das Lutter & Wegner in der Remise genau richtig. Ausgewählte Gerichte, nicht abgehoben, sondern eher gutbürgerlich-delikat, dazu natürlich herrlichste Weine inmitten einer royalen Location. So lässt sich’s leben!

    #Berlin #Setglitz #Zehlendorf #Wannsee #Lichterfelde #Lichterfelde-Süd #Lichterfelde-West #Tourismus #Gaststätte #Botanischer_Garten #Glienicke

  • La fièvre du lithium gagne le Portugal
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/02/04/la-fievre-du-lithium-gagne-le-portugal_6112250_3234.html

    « Nous n’avons rien d’autre que cette nature et, en même temps, nous avons tout ce dont nous avons besoin, souffle cette agricultrice de 43 ans, qui élève, avec son mari, vingt-six vaches de la race autochtone barrosa, dont la viande est réputée dans tout le pays. Il n’y a pas de boutiques, pas de cinéma, mais ce paysage n’a pas de prix, de même que la qualité des produits de la terre et la pureté de l’eau des rivières. Avec 500 euros, nous vivons mieux que ceux qui, en ville, en gagnent 1 500. Mais si la mine vient, nous perdrons tout et nous devrons partir… »

    #paywall 😶

    • Sur le promontoire rocheux qui domine « sa » vallée, Aida Fernandes ouvre les bras en grand, comme pour embrasser les collines verdoyantes qui lui font face, où serpentent des chemins de campagne. Rien ne vient troubler le silence qui règne sur ce paysage idyllique de bocages. Pas même le bruit des vaches à longues cornes, que l’on croise, plus souvent que les hommes, sur les routes en lacet qui mènent à #Covas_do_Barroso, hameau de 180 âmes du nord du Portugal.

      « Nous n’avons rien d’autre que cette nature et, en même temps, nous avons tout ce dont nous avons besoin, souffle cette agricultrice de 43 ans, qui élève, avec son mari, vingt-six vaches de la race autochtone barrosa, dont la viande est réputée dans tout le pays. Il n’y a pas de boutiques, pas de cinéma, mais ce paysage n’a pas de prix, de même que la qualité des produits de la terre et la pureté de l’eau des rivières. Avec 500 euros, nous vivons mieux que ceux qui, en ville, en gagnent 1 500. Mais si la mine vient, nous perdrons tout et nous devrons partir... »

      Alors que la #Serbie a annoncé par surprise, le 20 janvier, qu’elle mettait un terme au projet d’exploitation de mines de lithium le long de la rivière #Jadar, dans l’ouest du pays, par l’entreprise anglo-australienne #Rio_Tinto, après des mois de manifestations massives, le Portugal est sur le point de faire l’inverse. Lisbonne pourrait débloquer dans les prochaines semaines le projet de la plus grande mine à ciel ouvert d’Europe de l’Ouest de ce minerai stratégique, utilisé dans la fabrication des batteries des voitures électriques, sur les terres peu habitées de la région de #Barroso, classée au #Patrimoine_agricole_mondial, à 150 kilomètres au nord-est de Porto.

      Six nouvelles zones

      La société #Savannah_Resources, implantée à Londres, travaille sur le projet depuis 2017. Elle a obtenu le permis d’exploration et déjà réalisé les prospections qui lui ont permis d’identifier des gisements de #spodumène, des #minéraux très riches en lithium, renfermant près de 287 000 tonnes du précieux #métal. De quoi produire les #batteries de 500 000 #véhicules_électriques par an pendant une dizaine d’années, grâce à un projet de #mine_à_ciel ouvert de 542 hectares, comprenant quatre cratères profonds et un immense terril.

      Il reste encore à cette société d’investissement britannique à rédiger la version définitive de l’étude de faisabilité, qui doit déterminer la #rentabilité du projet, le #coût de la production étant considérablement plus élevé que celui des bassins d’évaporation des saumures dont est extrait le lithium d’Amérique latine, où se trouvent les principales réserves mondiales. Et elle n’attend plus que l’avis des autorités portugaises sur l’étude d’#impact_environnemental. Les conclusions, imminentes, ont été repoussées après les élections législatives anticipées, qui ont eu lieu dimanche 30 janvier au Portugal.

      S’il n’y a pas de contretemps, #Savannah espère commencer à produire du lithium dans deux ans, et promet pour cela 110 millions d’euros d’investissement. Elle n’est pas la seule à avoir flairé le filon. Les réserves de lithium ont éveillé l’appétit de nombreuses compagnies nationales et internationales, en particulier australiennes, qui ont déposé des demandes de prospections, ces dernières années. Et ce mercredi 2 février, le ministère de l’environnement portugais a donné son accord pour que des prospections soient lancées dans six nouvelles zones du pays. Leurs droits seront attribués grâce à un appel d’offres international dans les deux prochains mois.

      Non seulement le gouvernement portugais du premier ministre socialiste, Antonio Costa, qui vient d’être reconduit au pouvoir avec une majorité absolue à l’Assemblée, est favorable à la production de lithium, considéré comme essentiel à la #transition_énergétique. Mais, assis sur des réserves confirmées de 60 millions de tonnes, les plus importantes de l’Union européenne, il souhaite qu’une #industrie_métallurgique de pointe se développe autour des mines. « Le pays a une grande opportunité économique et industrielle de se positionner sur la chaîne de valeur d’un élément crucial pour la #décarbonation », a encore déclaré, en décembre 2021, le ministre de l’environnement, Joao Pedro Matos Fernandes, qui espère qu’ « aucun gramme de lithium ne s’exportera .

      L’enjeu est prioritaire pour le Portugal. Et pour l’Union européenne, qui s’est fixé comme objectif d’atteindre 25 % de la production mondiale de batteries d’ici à 2030, contre 3 % en 2020, alors que le marché est actuellement dominé par la Chine. Et les #fonds_de_relance européens #post-Covid-19, qui, pour le Portugal, s’élèvent à 16,6 milliards d’euros, pourraient permettre de soutenir des projets innovants. C’est, en tout cas, ce qu’espère la compagnie d’énergie portugaise #Galp, qui, en décembre 2021, s’est unie au géant de la fabrication de batterie électrique suédois #Northvolt pour créer un joint-venture, baptisé #Aurora, pour la construction, d’ici à 2026, de « la plus importante usine de transformation du lithium d’Europe », à #Sines ou à #Matosinhos.

      Avec une capacité de production annuelle de 35 000 tonnes d’hydroxyde de lithium, cette usine de #raffinage pourrait produire 50 gigawattheures (GWh) de batteries : de quoi fournir 700 000 #voitures_électriques par an. Le projet, qui espère bénéficier des fonds de relance européens et aboutir en 2026, prévoit un investissement de 700 millions d’euros et la création de 1 500 #emplois directs et indirects. « C’est une occasion unique de repositionner l’Europe comme leader d’une industrie qui sera vitale pour réduire les émissions globales de CO2 », a souligné le président de Galp, Andy Brown, lors de la présentation. « Cette initiative vient compléter une stratégie globale basée sur des critères élevés de #durabilité, de #diversification des sources et de réductions de l’exposition des #risques_géopolitiques », a ajouté le cofondateur de #Northvolt, Paolo Cerruti. La proximité de mines serait un atout.

      Résistance

      D’autres projets de #raffinerie sont en cours de développement, comme celui de l’entreprise chimique portugaise #Bondalti, à #Estarreja, au sud de Porto, qui a annoncé en décembre 2021 s’être associée à la compagnie australienne #Reed_Advanced_Materials (#RAM). Mais, dans les régions convoitées, la #résistance s’organise et les élus se divisent sur la question. Le maire de la commune de #Boticas, à laquelle est rattachée Covas de Barroso, du Parti social-démocrate (PSD, centre droit), doute publiquement de sa capacité à créer de la richesse localement, et craint qu’elle ne détruise le #tourisme rural, la #gastronomie et l’#agriculture. Tandis qu’à 25 kilomètres de là, à #Montalegre, où la compagnie portugaise #Lusorecursos entend construire une mine à ciel ouvert sur une surface de 825 hectares avec une raffinerie, le maire socialiste, Orlando Alves, y est a priori favorable, à condition qu’elle obtienne la validation de son étude d’impact environnemental .

      « C’est une occasion de combattre le #dépeuplement, explique-t-il. La réalité actuelle du territoire, c’est que les gens émigrent ou s’en vont dans les grandes villes, que les jeunes partent pour faire leurs études et ne reviennent pas. Sans habitant, il n’y aura plus de #tourisme_rural ni d’agriculture... » Au gouvernement, on essaie aussi de rassurer en rappelant que le pays compte déjà vingt-six mines de #feldspath « semblables à celle du lithium » .

      « Près de 125 exploitations agricoles et la réserve de biosphère transfrontalière #Gerês-Xures se trouvent dans un rayon de 5 kilomètres autour du projet de #Montalegre. Et, ces derniers temps, des jeunes reviennent pour devenir apiculteurs ou produire des châtaignes... », rétorque Armando Pinto, 46 ans, professeur et coordinateur de la plate-forme #Montalegre_com_Vida (« Montalegre vivante »). Le 22 janvier, près de 200 personnes ont manifesté dans les rues de cette commune dominée par les ruines d’un château médiéval.

      Conscient de l’importance de rallier l’opinion publique, lors d’une conférence sur les « #mines_vertes » , organisée en mai 2021, le ministre Matos Fernandes a insisté sur l’importance « d’aligner les intérêts de l’#économie et de l’#industrie en général avec ceux des communautés locales », pour qu’elles perçoivent des « bénéfices mutuels . Pour y remédier, le directeur général de Savannah, #David_Archer, a assuré qu’il tâchera de recycler l’#eau utilisée sur place, qu’il investira près de 6 millions d’euros pour construire une #route de contournement du village, qu’il créera 200 #emplois_directs, ou qu’il versera des #fonds_de_compensation de 600 000 euros par an pour les communautés affectées par la mine. Sans parvenir à convaincre les habitants de Covas, dont le village est parsemé de graffitis clamant « #Nao_a_minas » (« non aux mines »).

      « Pas de #sulfure »

      « Il y a toujours des impacts, mais si le projet est bien bâti, en utilisant les dernières technologies pour le traitement et l’#exploitation_minière, elles peuvent être très acceptables, estime l’ingénieur Antonio Fiuza, professeur émérite à l’université de Porto. L’avantage est que les roches qui renferment le lithium sont des #pegmatites qui ne contiennent pas de sulfures, ce qui rend le risque de #contamination de l’eau très limité. » Selon ses calculs, si l’intégralité des réserves connues de lithium du Portugal est exploitée, elles pourraient permettre la construction de batteries pour 7,5 millions de véhicules électriques.

      « Pour nous, un projet si grand pour un si petit territoire, c’est inconcevable. Nous sommes tous des petits fermiers et il n’y a pas d’argent qui compense la destruction des montagnes », résume Aida Fernandes. Ses deux jeunes enfants sont scolarisés à Boticas, à une vingtaine de kilomètres de là. Il n’y a que quatre autres enfants à Covas do Barroso, un hameau sans école, ni médecin. « Il y a bien sûr des problèmes dans les villages de l’intérieur du pays, mais les mines ne peuvent pas être une solution, dit Nelson Gomes, porte-parole de la plate-forme Unis en défense de Covas do Barroso. On n’est pas des milliers ici et personne ne voudra travailler dans des mines. Des gens viendront d’ailleurs et nous, on devra partir. Quand les cours d’eau seront déviés et pollués, les terres agricoles détruites et que la mine fermera, douze ans plus tard, que se passera-t-il ? Ils veulent nous arracher un bras pour nous mettre une prothèse... »

      https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/02/04/la-fievre-du-lithium-gagne-le-portugal_6112250_3234.html

      #lithium #Portugal #mines #extractivisme
      #green-washing #Europe

  • Sajid Javid clears England’s travel red list as Omicron takes hold | Transport policy | The Guardian
    https://www.theguardian.com/politics/2021/dec/14/englands-travel-red-list-to-be-cleared-again-as-omicron-takes-hold
    https://i.guim.co.uk/img/media/0bb5c74d6e582ccd553dae044f23b34285936e8b/0_0_6278_3767/master/6278.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Sajid Javid clears England’s travel red list as Omicron takes hold
    All 11 countries to be removed from list as concerns about importing variant diminish
    All 11 countries on England’s travel red list are to be taken off it from 4am on Wednesday, amid diminishing concern about Omicron cases being imported into the country.Given that the variant has already taken hold in the UK – making up a third of new infections in London – the health secretary, Sajid Javid, announced that mandatory hotel quarantine for those arriving from some southern African countries was set to end.Instead, all travellers arriving in England will be able to isolate at home. If double-vaccinated, they can be released with a negative PCR test taken within two days of arrival. If not they must stay at home for 10 days and get a test before day two and another on day eight or later.The red list was cleared at the end of October, but after the discovery of the Omicron variant in South Africa, 11 countries were put back on it. They were: Angola, Botswana, Eswatini, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibia, Nigeria, South Africa, Zambia and Zimbabwe.Omicron’s spread through the UK has been swift. The UK Health Security Agency said on Monday that the number of confirmed cases of the variant was 4,700, but estimated daily infections were about 200,000.Javid announced in parliament on Tuesday that the red list was being emptied, saying it had become “less effective in slowing the incursion of Omicron from abroad”. He said the requirement to get tested before departure would remain in place.He had hinted at the move in a statement to the Commons last week. Under pressure from Tory MPs who raised concerns about the aviation and tourism sectors, Javid said that because Omicron cases would probably spread quickly in the UK, there would be “less need to have any kind of travel restrictions at all”.As health restrictions are devolved, it will be up to the administrations in Scotland, Wales and Northern Ireland whether to follow suit.Last week, EU leaders discussed easing similar curbs. Reuters reported a senior official as saying the travel ban was “a time-limited measure” but there were no immediate plans to lift it.The US has kept up its own travel ban, with the White House’s chief medical adviser saying action was taken when the country was “in the dark” about the variant, to give time to assess its threat.Some political leaders in southern Africa said the restrictions were unfair. Cyril Ramaphosa, the president of South Africa, said he was “deeply disappointed” by the action. According to the BBC, he said: “The only thing the prohibition on travel will do is to further damage the economies of the affected countries and undermine their ability to respond to, and recover from, the pandemic.”Akinwumi Adesina, the president of the African Development Bank Group, tweeted last week: “Now that Omicron has been found in many non-African and developed countries, why are travels from those countries not banned? Singling out African countries is very unfair, non-scientific and discriminatory.”

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#omicron#sante#angola#botswana#eswantini#lesotho#malawi#mozambique#namibie#nigeria#africadusud#zambie#zimbabwe#frontiere#circulation#santepublique#restrictionsanitaire

  • Coronavirus: UK lifts Omicron travel ban for 11 African nations | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/world/europe/article/3159718/coronavirus-uk-lifts-omicron-travel-ban-11-african-nations

    Coronavirus: UK lifts Omicron travel ban for 11 African nations
    Countries on the UK’s travel red list include South Africa, Zambia and Botswana. Health Secretary Sajid Javid said the measure is less effective in slowing the incursion of Omicron from abroad as the new variant has already taken hold in Britain
    Britain will remove all 11 countries from its Covid-19 travel red list from Wednesday because there is now community transmission of Omicron, Health Secretary Sajid Javid told parliament.The British government added the southern African countries to its red list in late November, meaning that entry was only allowed to UK citizens or residents who then must quarantine in a hotel, in a bid to slow the spread of the new variant.“Now that there is community transmission of Omicron in the UK and Omicron has spread so widely across the world, the travel red list is now less effective in slowing the incursion of Omicron from abroad,” Javid said.
    UK’s PM Boris Johnson accused of ‘culture of disregard’ for Covid-19 rules
    13 Dec 2021“Whilst we will maintain our temporary testing measures for international travel we will be removing all 11 countries from the travel red list effective from 4am tomorrow morning.”Britain requires all inbound travellers to take either a PCR or a rapid lateral flow test a maximum of 48 hours before departure.Transport Secretary Grant Shapps said these testing measures would be reviewed in the first week of January.
    What do we know about the new coronavirus variant Omicron?“As always, we keep all our travel measures under review and we may impose new restrictions should there be a need to do so to protect public health,” he said on Twitter.The 11 countries which will be removed from the list are Angola, Botswana, Eswantini, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibia, Nigeria, South Africa, Zambia and Zimbabwe.

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#omicron#sante#angola#botswana#eswantini#lesotho#malawi#mozambique#namibie#nigeria#africadusud#zambie#zimbabwe#frontiere#circulation#santepublique#restrictionsanitaire

  • Covid-19 : la France impose un test négatif obligatoire à tous les voyageurs, vaccinés ou non, arrivant de pays situés en dehors de l’UE
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/01/covid-19-la-france-prolonge-jusqu-a-samedi-la-suspension-des-vols-depuis-l-a

    Covid-19 : la France impose un test négatif obligatoire à tous les voyageurs, vaccinés ou non, arrivant de pays situés en dehors de l’UE
    Les autorités sanitaires françaises ont recensé treize cas suspects de contamination par le variant Omicron du coronavirus SARS-CoV-2 sur l’ensemble du territoire français, a par ailleurs annoncé Gabriel Attal, mercredi, après le conseil des ministres.
    Face à la propagation du variant Omicron du nouveau coronavirus, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a annoncé un renforcement du protocole sanitaire pour les voyageurs internationaux, mercredi 1er décembre. Paris va imposer un test de dépistage négatif au coronavirus pour tout voyageur, vacciné ou non vacciné, provenant de pays extérieurs à l’Union européenne (UE), a-t-il dit. Ce test devra être de moins de quarante-huit heures pour les personnes vaccinées et de moins de vingt-quatre heures pour celles qui ne sont pas vaccinées, a-t-il déclaré à l’issue du conseil des ministres.Les autorités sanitaires françaises ont recensé treize cas suspects de contamination par le variant Omicron du SARS-CoV-2 sur l’ensemble du territoire français, a annoncé par ailleurs Gabriel Attal, lors du compte rendu du conseil des ministres. Selon lui, il est donc fort probable que des cas d’infection par ce nouveau variant identifié en Afrique du Sud soient déjà présents en France et identifiés dans les heures ou jours à venir.
    Le porte-parole du gouvernement a également expliqué mercredi que les vols avec dix pays de l’Afrique australe reprendront à partir de samedi avec un encadrement « drastique » qui ne permettra de voyager qu’aux Français, aux ressortissants de l’UE, aux diplomates et aux navigants. Ces dix pays sont l’Afrique du Sud, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique, la Namibie, l’Eswatini, le Malawi, la Zambie et l’île Maurice.
    Ces voyageurs subiront en outre un test de détection du SARS-CoV-2 à leur arrivée en France, suivi d’un isolement de sept jours en cas de résultat négatif et de dix jours si le résultat est positif. Dans les deux cas, l’isolement « sera surveillé par des forces de sécurité intérieure, et, en cas de non-respect de l’isolement, une amende de 1 000 à 1 500 euros » sera infligée, a ajouté M. Attal. Plus tôt dans la matinée, le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Clément Beaune, avait détaillé sur RTL un protocole européen « extrêmement renforcé », faisant actuellement l’objet de discussions entre les Vingt-Sept. Il devrait comprendre des restrictions déjà prises à l’encontre des pays « en liste rouge » lors des précédentes vagues de propagation du Covid-19 (« test à l’arrivée, test au départ et isolement »). « Nous irons sans doute encore plus loin », avait alors ajouté le secrétaire d’Etat, expliquant déjà que mêmes les personnes vaccinées devraient probablement se soumettre à un test pour voyager entre la France et ces pays d’Afrique australe.

    #Covid-19#migrant#migration#afriquedusud#sante#france#lesotho#botswana#zimbabwe#mozambique#namibie#eswatini#malawi#zambie#ilemaurice#test#frontiere#circulation#vaccination

  • Covid-19 : le Royaume-Uni va interdire son territoire aux voyageurs en provenance de six pays d’Afrique en raison d’un nouveau variant
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/25/covid-19-le-royaume-uni-va-interdire-son-territoire-aux-voyageurs-en-provena

    Covid-19 : le Royaume-Uni va interdire son territoire aux voyageurs en provenance de six pays d’Afrique en raison d’un nouveau variant Les vols en provenance d’Afrique du Sud, de Namibie, du Lesotho, d’Eswatini, du Zimbabwe et du Botswana seront suspendus à compter de vendredi midi. Ce variant détecté en Afrique du Sud présente un « potentiel de propagation très rapide ». Le Royaume-Uni a annoncé, jeudi 25 novembre, qu’il allait interdire l’entrée aux voyageurs en provenance de six pays d’Afrique, après l’annonce par l’Afrique du Sud de la découverte d’un nouveau variant du Covid-19 aux multiples mutations. « Les premières indications que nous avons de ce variant sont qu’il pourrait être plus transmissible que le variant Delta et que les vaccins dont nous disposons actuellement pourraient être moins efficaces », a ajouté M. Javid. Selon lui, les scientifiques britanniques sont « très préoccupés » par ce variant, auquel l’Afrique du Sud attribue la récente augmentation des cas enregistrée dans le pays et qui a aussi été détecté chez des voyageurs du Bostwana ou de Hongkong. Aucun cas n’a en revanche été enregistré en Grande-Bretagne. « Nous demanderons à toute personne arrivant de ces pays à partir de 4 heures (GMT) dimanche de se mettre en quarantaine dans des hôtels », a précisé M. Javid, ajoutant que ceux arrivant avant cette date devront s’auto-isoler et faire deux tests PCR aux deuxième et huitième jours de leur confinement. « Et si quelqu’un est arrivé de ces pays dans les dix derniers jours, nous lui demanderons de faire des tests PCR », a-t-il encore ajouté.
    Ce nouveau variant du Covid-19 détecté en Afrique du Sud, nommé B.1.1.529, présente un nombre « extrêmement élevé » de mutations et « nous pouvons voir qu’il a un potentiel de propagation très rapide », a déclaré le virologue sud-africain Tulio de Oliveira, lors d’une conférence de presse en ligne. Son équipe de l’institut de recherche KRISP, adossé à l’université du KwaZulu-Natal, avait déjà découvert, l’année dernière, le variant Beta, très contagieux.Les métamorphoses du virus initial peuvent potentiellement le rendre plus transmissible, jusqu’à ce que le nouveau variant devienne dominant : cela a été le cas avec le variant Delta découvert initialement en Inde, et qui, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a réduit à 40 % l’efficacité des vaccins anti-Covid-19 contre la transmission de la maladie.A ce stade, les scientifiques sud-africains ne sont pas certains de l’efficacité des vaccins existants contre la nouvelle forme du virus. « Ce qui nous préoccupe, c’est que ce variant pourrait non seulement avoir une capacité de transmission accrue, mais aussi être capable de contourner certaines parties de notre système immunitaire », a déclaré un autre chercheur, le professeur Richard Lessells.
    La Grande-Bretagne a été parmi les pays les plus durement touchés par le Covid-19, avec 144 000 décès depuis le début de la pandémie. Le nombre de cas reste élevé – plus de 47 000 dans les dernières 24 heures jeudi – mais plus de 80 % des personnes âgées de 12 ans et plus ont reçu une double injection de vaccin, et presque 30 % ont eu une troisième dose.
    Le gouvernement britannique a été très critiqué pour avoir tardé à durcir les restrictions sur les voyages au début de la pandémie, lorsqu’il a gardé ses frontières ouvertes alors que les taux d’infection montaient en flèche.

    #Covid-19#migrant#migration#grandebretagne#afriquedusud#namibie#lesotho#eswatini#zimbabwe#botswana#variant#vaccination#circulation#frontiere#test#isolement#sante

  • Covid-19 : la France suspend les vols en provenance d’Afrique australe après la découverte d’un nouveau variant
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/26/covid-19-un-nouveau-variant-inquiete-plusieurs-pays-europeens-interdisent-l-

    Covid-19 : la France suspend les vols en provenance d’Afrique australe après la découverte d’un nouveau variant
    L’OMS a voulu apporter de la nuance, estimant qu’il faudra encore des semaines pour comprendre le niveau transmissibilité du variant. Elle déconseille, pour l’instant, de prendre des mesures de restriction aux voyages.La France a devancé l’avis des autorités européennes, ainsi que celui de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : Matignon a annoncé, vendredi 26 novembre, suspendre immédiatement les arrivées en provenance de sept pays d’Afrique australe, dont l’Afrique du Sud, en raison de « la découverte d’un nouveau variant du coronavirus particulièrement préoccupant ».Cette mesure, appliquée « pour une durée minimale de quarante-huit heures », concerne également les voyageurs venant du Lesotho, du Botswana, du Zimbabwe, de Mozambique, de Namibie et d’Eswatini. « Les personnes ayant voyagé au cours des quatorze derniers jours dans l’un de ces pays sont invitées à se signaler aux autorités et à réaliser dans les meilleurs délais un test de dépistage RT-PCR », ajoute également Matignon.La Commission européenne avait proposé peu avant de suspendre les vols en provenance d’Afrique australe. L’exécutif européen doit faire une proposition aux représentants de tous les Etats membres lors d’une réunion prévue ce vendredi.Ce sera ensuite au Conseil (institution représentant les Vingt-Sept) d’adopter une telle recommandation. « La situation est en train d’évoluer très vite ; nous voulons nous assurer de faire le maximum pour ralentir la diffusion de ce variant » B.1.1.529, a déclaré un porte-parole de la Commission.
    L’OMS a voulu apporter de la nuance, vendredi, estimant qu’il faudrait encore quelques semaines pour comprendre le niveau transmissibilité et de virulence du nouveau variant B.1.1.529, en déconseillant aux pays de prendre des mesures de restriction aux voyages.Des experts chargés de suivre les évolutions du virus Covid se réunissent toutefois déjà aujourd’hui pour déterminer si le variant doit être classifié comme « préoccupant » ou « à suivre », a expliqué Christian Lindmeier, lors d’un point de presse régulier des agences de l’Organisation des Nations unies (ONU). Des scientifiques sud-africains ont annoncé jeudi qu’un nouveau variant du Covid-19 présentant un nombre « extrêmement élevé » de mutations et avec un « potentiel de propagation très rapide », avait été détecté dans le pays.
    Lire aussi Covid-19 : visualisez la part des variants du SARS-CoV-2 qui circulent en FranceAprès cette annonce, plusieurs pays ont fait savoir qu’ils allaient interdire l’entrée aux voyageurs en provenance des pays d’Afrique australe. Interrogé sur ces mesures, M. Lindmeier a rappelé quelle était la position officielle de l’OMS à ce sujet.« L’OMS recommande aux pays de continuer à appliquer une approche scientifique et fondée sur les risques lors de la mise en œuvre des mesures relatives aux voyages, conformément aux recommandations temporaires du comité d’urgence (…). A ce stade, encore une fois, la mise en œuvre de mesures de restrictions aux voyages est déconseillée », a-t-il dit.Pour faciliter les débats publics sur les variants, l’OMS nomme les variants à l’aide du nom des lettres de l’alphabet grec (alpha, bêta, gamma, delta…), plus accessible à un public non scientifique et qui permet d’éviter de stigmatiser le pays où ce variant est initialement découvert. L’OMS n’a toutefois pas encore donné de noms au nouveau variant, étant donné que ses experts ne l’ont pas encore classifié.

    #Covid-19#migrant#migration#UE#OMS#Afriquedusud#lesotho#botswana#zimbabwe#mozambique#namibie#eswatin#variant#circulation#frontiere

  • Tweet2Doom sur Twitter : « ROOT node for Doom Shareware 1.9 Read the instructions in the images below. » / Twitter
    https://twitter.com/tweet2doom/status/1444355917160534024

    Bot Twitter permettant de jouer à Doom sur Twitter. Pour y jouer, il suffit d’indiquer la séquence de touches pressées, le bot génère une partie de Doom en conséquence, générant une vidéo de la partie en guise de réponse.

    #jeu_vidéo #jeux_vidéo #twitter #jeu_vidéo_doom #bot