• #Wauquiez veut surveiller les #trains et #lycées régionaux avec l’#intelligence_artificielle

    #Laurent_Wauquiez a fait voter le déploiement de la #vidéosurveillance_algorithmique dans tous les lycées et trains d’#Auvergne-Rhône-Alpes, profitant de l’#expérimentation accordée aux #Jeux_olympiques de Paris.

    Laurent Wauquiez savoure. « Nous avions pris position sur la vidéosurveillance pendant la campagne des régionales. Depuis, les esprits ont bougé », sourit le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, en référence à l’expérimentation de la #vidéosurveillance algorithmique (#VSA) accordée dans le cadre des Jeux olympiques de Paris. Surfant sur l’opportunité, il a fait voter jeudi 21 mars en Conseil régional sa propre expérimentation de vidéosurveillance « intelligente » des lycées et des trains d’Auvergne-Rhône-Alpes.

    L’ancien patron des Républicains (LR) justifie cette avancée technosécuritaire par l’assassinat du professeur #Dominique_Bernard dans un lycée d’Arras en octobre. Pour l’élu, cette tragédie « confirme la nécessité de renforcer la #sécurité des lycées ».

    Reste que cette expérimentation n’est pour l’instant pas légale. Laurent Wauquiez va demander au Premier ministre, Gabriel Attal, la permission d’élargir la loi pour couvrir les lycées et les transports régionaux. « L’expérimentation des JO est faite pour tester ce qui sera appliqué. Il faut en profiter », défend Renaud Pfeffer, vice-président délégué à la sécurité de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

    Selon la délibération votée par le Conseil régional, cette #technologie qui combine vidéosurveillance et intelligence artificielle peut détecter huit types d’événements prédéterminés : « le non-respect du sens de circulation, le franchissement d’une zone interdite, la présence ou l’utilisation d’une arme, un départ de feu, un mouvement de foule, une personne au sol, une densité trop importante, un colis abandonné. » Les événements sont ensuite vérifiés par un agent, qui décide des mesures à prendre.

    L’expérimentation doit durer deux ans

    L’exécutif régional promet d’utiliser cette vidéosurveillance algorithmique « sans mettre en œuvre de reconnaissance faciale, ni d’identification de données biométriques [qui permettent d’identifier une personne]. » « On est sur du situationnel, pas sur de l’individu », insiste #Renaud_Pfeffer. Des promesses auxquelles ne croit pas Marne Strazielle, directrice de la communication de l’association de défense des droits et libertés sur internet La Quadrature du net. « En réalité, l’#algorithme identifie des actions qui peuvent être rattachées à son auteur », insiste-t-elle.

    Cette expérimentation est programmée pour durer deux ans dans les trains, #gares, lycées et #cars_scolaires. Les flux vidéos seront examinés au #Centre_régional_de_surveillance_des_transports (#CRST) aménagé en gare de Lyon Part-Dieu. « Les caméras sont prêtes », assure Renaud Pfeffer. Depuis son arrivée à la tête de la Région en 2016, Laurent Wauquiez l’a généreusement équipée en vidéosurveillance : 129 gares sont surveillées par 2 300 caméras, dont les images sont visionnées en temps réel au CRST. 285 lycées, 750 cars et la totalité des rames ferroviaires sont également équipés.

    « L’illusion d’avoir une approche pratique de l’insécurité »

    Pour défendre son projet, l’exécutif régional s’appuie sur la loi du 19 mai 2023, adoptée pour les Jeux olympiques de Paris et qui autorise l’expérimentation à grande échelle de la VSA par la police nationale jusqu’au 31 mars 2025. « On n’a le droit à la sécurité que pendant les Jeux olympiques et que à Paris ? On ne peut pas tester [la VSA] pour nos enfants, contre les problèmes de drogue ? », s’offusque Laurent Wauquiez.

    « Cette technologie permet aux décideurs politiques d’offrir l’illusion d’avoir une approche pratique de l’insécurité car ils mettent en place un dispositif, dénonce Marne Strazielle. Mais ce n’est pas parce qu’on enregistre et détecte une action dans l’espace public qu’elle va moins se produire. Souvent, cela ne fait que déplacer le problème. Il faut faire le travail de comprendre pourquoi elle s’est produite et comment la réduire. »

    La #Commission_nationale_de_l’informatique_et_des_libertés (#Cnil), qui n’a pas été consultée par l’équipe de Laurent Wauquiez, rappelle à Reporterre sa position de principe, qui « considère que la mise en œuvre de caméras augmentées conduit fréquemment à limiter les droits des personnes filmées ». Pour l’autorité administrative indépendante, « le déploiement de ces dispositifs dans les espaces publics, où s’exercent de nombreuses libertés individuelles (liberté d’aller et venir, d’expression, de réunion, droit de manifester, liberté de culte, etc.), présente incontestablement des risques pour les droits et libertés fondamentaux des personnes et la préservation de leur anonymat ».

    https://reporterre.net/Wauquiez-veut-surveiller-les-trains-et-lycees-regionaux-avec-l-intellige
    #surveillance #IA #AI #France #JO #JO_2024

    • La région #AURA vote le déploiement de la VSA dans les gares et les lycées

      Il en rêvait, il l’a fait. Un article de Reporterre nous apprend que Laurent Wauquiez a fait voter jeudi 21 mars en Conseil régional, le déploiement de la vidéosurveillance algorithmique dans tous les lycées et trains d’Auvergne-Rhône-Alpes, profitant de l’expérimentation accordée aux Jeux olympiques de Paris.

      Actuellement 129 gares seraient surveillées par 2 300 caméras, dont les images sont visionnées en temps réel au CRST. 285 lycées, 750 cars et la totalité des rames ferroviaires seraient également équipés.

      Selon la délibération votée par le Conseil régional, l’équipement de ces caméras avec la vidéosurveillance automatisée pourra détecter huit types d’événements prédéterminés : « le non-respect du sens de circulation, le franchissement d’une zone interdite, la présence ou l’utilisation d’une arme, un départ de feu, un mouvement de foule, une personne au sol, une densité trop importante, un colis abandonné. ». Les événements seront ensuite vérifiés par un agent, qui décidera des mesures à prendre.

      L’exécutif régional promet d’utiliser cette vidéosurveillance algorithmique « sans mettre en œuvre de reconnaissance faciale, ni d’identification de données biométriques [qui permettent d’identifier une personne]. » Cependant, comme l’a très bien démontré la Quadrature du Net, la VSA implique nécessairement une identification biométrique.

      La VSA et la reconnaissance faciale reposent sur les mêmes algorithmes d’analyse d’images, la seule différence est que la première isole et reconnaît des corps, des mouvements ou des objets, lorsque la seconde détecte un visage.

      La VSA est capable de s’intéresser à des « événements » (déplacements rapides, altercations, immobilité prolongée) ou aux traits distinctifs des personnes : une silhouette, un habillement, une démarche, grâce à quoi ils peuvent isoler une personne au sein d’une foule et la suivre tout le long de son déplacement dans la ville. La VSA identifie et analyse donc en permanence des données biométriques.

      « En réalité, l’algorithme identifie des actions qui peuvent être rattachées à son auteur » (Marne Strazielle, directrice de la communication de La Quadrature du net.)

      Ce sont généralement les mêmes entreprises qui développent ces deux technologies. Par exemple, la start-up française Two-I s’est d’abord lancé dans la détection d’émotion, a voulu la tester dans les tramways niçois, avant d’expérimenter la reconnaissance faciale sur des supporters de football à Metz. Finalement, l’entreprise semble se concentrer sur la VSA et en vendre à plusieurs communes de France. La VSA est une technologie biométrique intrinsèquement dangereuse, l’accepter c’est ouvrir la voie aux pires outils de surveillance.
      "Loi J.O. : refusons la surveillance biométrique", La Quadrature du Net

      Cela fait longtemps que M. Wauquiez projette d’équiper massivement cars scolaires et inter-urbains, gares et TER d’Auvergne-Rhône-Alpes en caméras et de connecter le tout à la reconnaissance faciale.

      En juin 2023, nous avions déjà sorti un article sur le sujet, au moment de la signature d’une convention entre la région Auvergne Rhône Alpes, le préfet et la SNCF, autorisant le transfert aux forces de sécurité, des images des caméras de vidéosurveillance de 129 gares sur les quelque 350 que compte la région AURA.

      Depuis fin 2023, il demande également d’utiliser à titre expérimental des "logiciels de reconnaissance faciale" aux abords des lycées pour pouvoir identifier des personnes "suivies pour radicalisation terroriste".

      Une mesure qui a déjà été reconnue comme illégale par la justice, comme l’a rappelé le media Reporterre. En 2019 un projet de mise en place de portiques de reconnaissance faciale à l’entrée de lycées à Nice et Marseille avait été contesté par La Quadrature du net et la LDH. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), qui avait déjà formulé des recommandations, a rendu à l’époque un avis qui jugeait le dispositif pas nécessaire et disproportionné.

      Mais cela qui n’arrêtera Laurent Wauquiez, celui-ci a déclaré qu’il allait demander au Premier ministre, Gabriel Attal, la permission d’élargir la loi pour couvrir les lycées et les transports régionaux...

      La CNIL, qui n’a pas été consultée par l’équipe de Laurent Wauquiez, a rappelé à Reporterre sa position de principe, qui « considère que la mise en œuvre de caméras augmentées conduit fréquemment à limiter les droits des personnes filmées ».

      Pour elle, « le déploiement de ces dispositifs dans les espaces publics, où s’exercent de nombreuses libertés individuelles (liberté d’aller et venir, d’expression, de réunion, droit de manifester, liberté de culte, etc.), présente incontestablement des risques pour les droits et libertés fondamentaux des personnes et la préservation de leur anonymat ».

      Des dizaines d’organisations, parmi lesquelles Human Rights Watch, ont adressé une lettre publique aux députés, les alertant sur le fait que les nouvelles dispositions créent un précédent inquiétant de surveillance injustifiée et disproportionnée dans les espaces publics, et menacent les droits fondamentaux, tels que le droit à la vie privée, la liberté de réunion et d’association, et le droit à la non-discrimination.

      Résistons à la #VSA et à la technopolice !


      https://halteaucontrolenumerique.fr/?p=5351

  • Immer in die Hot Zone: Warum ich nach Feierabend Autos durch Berlin fahre
    https://www.berliner-zeitung.de/mensch-metropole/brutal-berlin-unternehmen-ubiq-streetcrowd-carsharing-immer-in-die-

    4.2.2023 von Tiago Pinto Pais - Unser Autor ist Mitglied der StreetCrowd. Er fährt Carsharing-Autos in Gegenden, wo sie gebucht werden. Das wird nicht nur bezahlt, sondern ist auch eine Art Meditation.

    Die Firma hat verstanden, dass der Job für viele StreetCrowder ein Spaß ist, wie eine Schnitzeljagd durch Berlin.

    Es ist Sonntag, einer der wenigen sehr kalten Tage im Dezember. Um 17 Uhr steige ich aus dem Bus X7 am Flughafen BER. Ich habe kein Gepäck dabei und laufe auch nicht wie alle anderen zum hell erleuchteten Terminal. Ich laufe allein zu den Parkplätzen im Dunklen. Das heißt, nein, ein zweiter Typ mit Leuchtweste dreht sich genau wie ich in Richtung der Autos. Er überholt mich. Ist er ein Flughafenmitarbeiter? Oder haben wir dasselbe Ziel? Als wir kurz darauf vor demselben Auto stehen, sagt er zu mir: „Das ist meins! Willst du irgendwohin mitfahren?“

    Ach, er ist ein StreetCrowder, wie ich.

    StreetCrowd ist ein Angebot des österreichischen Unternehmens Ubiq, das am 9. Dezember 2020 in Berlin startete. Sie versprachen: „Mach deinen eigenen Zeitplan“, „Verdiene Geld, wann du willst“, „Die Gelegenheit ist überall“ und „Täglich 100 Euro und mehr“. All das sei möglich, indem man einfach Carsharing-Autos aus Gebieten mit geringerer Nachfrage in Gebiete mit höherer Nachfrage fahre.

    Wie bei einem nicht verkauften Sitzplatz auf einem Flug oder einem nicht vermieteten Zimmer in einem Hotel verliert ein Carsharing-Unternehmen Geld mit jeder Minute, in der ein Auto aus seinem Fuhrpark nicht vermietet ist. Daher ist ein stehendes Auto nicht in seinem Interesse. Das Unternehmen muss permanent Anreize schaffen, um diese „kalten Autos“ in Bewegung zu halten. Fahren also Carsharing-Nutzer mit dem Auto von A nach B, sind wir Streetcrowder dazu da, sie zurück von B nach A zu fahren.

    In Berlin gibt es mehrere sogenannte Hot Zones. Hier leben Menschen, die gern Carsharing nutzen, vor allem dann, wenn sie nicht weit zum Auto laufen müssen. Prenzlauer Berg, Kreuzberg, Friedrichshain, Savignyplatz und Neukölln (Reuterkiez) – das sind die Zonen, in die wir die „kalten Autos“ bringen. Die App schlägt drei Zonen vor und wir entschieden uns für eine, entweder, weil dort das nächste kalte Auto nicht weit weg steht, oder weil wir heimfahren wollen.

    Ich habe die StreetCrowd-App in der Pandemie für mich entdeckt. Ich fahre gern Auto, und gerade nachts ist das in Berlin einfach eine schöne Beschäftigung. Musik oder Nachrichten hören und in einem schönen, sauberen und warmen Auto durch die Stadt fahren – das ist für mich Freizeit. Zusätzlich ist es auch ein Spiel: Ich kann durch die Stadt laufen und wie beim Spiel PokemónGo nach „kalten Autos“ suchen. Finde ich sie, bevor ein anderer StreetCrowder sie wegfängt? Oder jemand vom Wartungsteam des Carsharing-Unternehmens?

    Eigentlich bin ich Besitzer eines kleinen Geschäfts in Kreuzberg, aber im zweiten Lockdown wurde StreetCrowding für mich zur Rettung. Ich konnte etwas tun, das zumindest etwas Geld einbrachte und gleichzeitig wie Meditation für mich war. Es wurde zu meinem Feierabend-Job. Außerdem saß ich in schönen neuen Autos und lernte die Stadt kennen: Ich war im tiefsten Lichtenberg, Steglitz und im Märkischen Viertel, ich nahm den 240er-Bus, die M13 und die 16. Ich kenne mich jetzt wirklich gut aus in Berlin.

    Je nach Länge der Fahrt verdient ein StreetCrowder zwischen drei und 13 Euro. Das ist nicht wahnsinnig viel, zumal man ja erst einmal das Auto erreichen muss. Mehr als drei Fahrten pro Stunde habe ich nie geschafft – und Gott weiß, dass ich es probiert habe. Das Gute: Am Ende eines Tages wird das Geld sofort überwiesen. Das Nervige: Gerade im Reuterkiez kann abends die Suche nach einem Parkplatz mehr Zeit einnehmen als die Fahrt dorthin.

    Aber die Firma hat auch verstanden, dass es für viele StreetCrowder ein Spaß ist, wie eine Schnitzeljagd durch Berlin. Sie begannen irgendwann mit Sonderaktionen: Wer zum Beispiel 30 Autos an einem Tag bewegte, bekam 50 Euro extra. Ich probierte es aus, ich begann morgens um fünf Uhr und schaffte es kurz vor Mitternacht. Ein Tag, 30 Autos. Aber ich hatte immer noch nicht genug.

    Die nächste Aktion: Wer von den StreetCrowdern schafft die meisten Auto-Bewegungen in einer Woche? Ich schaffte 72 Fahrten, das war der zweite Platz. Immerhin gab es dafür einen Preis. Die letzte große Aktion dieser Art gab es zu Weihnachten 2021: Wer zwischen dem 25. November und dem 31. Dezember 670 Autos bewegte, erhielt 670 Euro Prämie. Ich konnte nicht teilnehmen, aber es ist eben nicht mein Haupt-Job.

    Denn ich merkte, ich arbeite für ein Unternehmen, das für einen Service noch nicht einmal den Mindestlohn zahlen muss, weil wir StreetCrowder es ja freiwillig und gern tun. Doch inzwischen sind wir eine Gruppe von rund 400 registrierten Nutzern in Berlin. Davon sind rund 100 so aktiv wie ich. Wir bringen dem Unternehmen Millionen Euro ein, dafür will uns StreetCrowd mit einer Art Gemeinschaftsgefühl belohnen. Es gibt eine WhatsApp-Gruppe, in der die unterschiedlichsten Berliner sind: Studenten, Migranten, Auto-Nerds und Kleinunternehmer wie ich.

    Neulich trafen sich viele von uns in echt, nicht in einer Chatgruppe: Frauen waren nur wenige dabei, und endlich konnten wir uns einmal richtig unterhalten. Zunächst die üblichen Fragen nach der Steuerabrechnung und wie man das Gewerbe angemeldet hat. Da merkte ich, dass es wirklich Menschen gibt, die das hauptberuflich machen. Und für sie ist es wirklich von Bedeutung, dass ab jetzt zum Beispiel die Vergütung für Fahrten länger als 10 Kilometer sinkt – während die Carsharing-Preise in derselben Zeit gestiegen sind. Wie kann das sein?! Alle regten sich sofort auf.

    Aber für mich ist es ja ohnehin nur ein Hinzuverdienst. Ich spare das Geld, um einmal gut essen zu gehen oder ein schönes Wochenende an der Ostsee zu haben. Es ist nicht das Geld, das ich zum Überleben brauche. Trotzdem merke ich, dass wir StreetCrowder auch Teil einer neuen Art von Kapitalismus sind: der UBERifizierung der Wirtschaft. Alle sind Freiberufler, oder: gut gelaunte Selbstausbeuter.

    Obwohl es auch diese Tage gibt, an denen gar nichts klappt. Das war neulich, an einem Sonntag, als ich mal wieder Zeit übrig hatte und etwas Auto fahren wollte. Ich fuhr zum ersten Wagen nach Lichtenberg: vor meiner Nase weg. Der zweite in Friedrichshain ebenfalls, der dritte in Neukölln. Jedes Auto, zu dem ich fuhr, verschwand, kurz bevor ich dort ankam. Irgendwann gab ich auf. Es war einfach nicht mein Tag.

    Ganz anders der Sonntag im Dezember, an dem der andere StreetCrowder mir am Flughafen BER das Auto wegschnappte. Ich habe sein Angebot, mit zurückzufahren, nicht angenommen. Zeit ist Geld, und Stillstand bringt weder Einkommen noch Fahrspaß. Ich öffnete die StreetCrowd-App und fand in Schönefeld ein „kaltes“ Auto. Die App schlug Prenzlauer Berg als Ziel vor. Dort wohne ich. Ich verdiente also zwölf Euro mit der Fahrt zu meiner Haustür. Und machte Feierabend von meinem Feierabend-Job.

    #Berlin #Arbeit #Ausbeutung #Disruption #platform_capitalism #carsharing

  • Le problème de la conduite autonome est-il technologique ou humain ?
    https://www.numerama.com/vroom/736047-le-probleme-de-la-conduite-autonome-est-il-technologique-ou-humain.

    Même Elon Musk, pourtant connu pour son optimisme, a rétropédalé sur la conduite autonome. « La conduite autonome généralisée est un problème compliqué, puisqu’il faut composer avec l’intelligence du monde réel. Je ne m’attendais pas à ce que ça soit si dur, mais le challenge est évident en y repensant. Rien n’a plus de degré de liberté que la réalité », soufflait-il en juillet 2021, après des années à promettre des délais trop compliqués à tenir. En 2015, le même Elon Musk annonçait « de la conduite autonome d’ici 3 ans ». Soit en 2018. Soit il y a 3 ans.

    #ia #cars

  • dom
    20 oct. 2020
    Une belle aventure qui s’achève

    Une belle aventure qui s’achève. Ancien Capitaine chez Ouibus puis Blablabus..... Je me suis amusé pendant 3 ans « Capitaine Tagada » que l’on m’appelé car au pause de 30 minutes sur les aires de repos j’offrais des fraises Tagada tout en comptent les passagers...... Souvenir et belle aventure car pour l’ouest de la France Rennes.... Lorient..... Quimper....Brest etc..... la société de transport qui assurait ces lignes à déposé le bilan..... il faut dire que la re-négociation de Blablabus sur les prix au kilomètres pour un autocar de 20 tonnes (carburant-péage autoroute-assurance-salaire-rentabilité du véhicule etc...etc.....) Blablabus propose 1€ symbolique pour 1 kilomètre soit 700€ le Brest-Paris même avec une bonne gestion cela est impossible a faire...... du moins pour une société Française.
    Mais vous allez pouvoir voyager pour encore moins chère car les autocars des pays de l’Est arrivent au grand galop (autocars Polonais ou Roumain et chauffeur de même nationalité) se SMIC étant beaucoup plus bas chez eux ils pourront vous faire voyager à bon prix.
    Voyager pour pas chère c’est bien mais les conséquences..... je vous laisse seules juges.
    Une bonne journée à toutes et tous

    https://fr.trustpilot.com/review/blablabus.com
    https://fr.trustpilot.com/users/5f8eefd1a31bcf0019257301

    Je n’y avais pas pensé. Qui aurait des infos sur ce qui se passe là ? Est-ce vraiment possible ? Largement ?

    #blablabus (ex)#ouibus #flixbus ? #cars_Macron #transport #troisième_classe pour tout le monde....

  • Mi smo tu / Noi siamo qui : sul confine tra l’Isonzo e la Balkan route

    Questo post nasce dopo un’escursione sul #Carso triestino seguendo i sentieri percorsi dai migranti. A spingerci la retorica sull’invasione e le continue richieste di provvedimenti straordinari e strumenti tecnologici (ultimo caso, l’ipotetico ricorso alle #fototrappole) a fare da argine ai passaggi di persone attraverso i confini.

    Nel frattempo l’escalation di violenza di questi giorni – caratterizzata dall’ipocrisia della faccia moderata dell’Unione europea, più fascista dei fasci stessi, come abbiamo visto in Grecia dove del resto anche i fascisti sono impegnati, Alba dorata in testa, nella caccia al migrante – ha spostato su un piano se possibile ancora più deteriore e repressiva la politica verso i migranti.

    È domenica mattina, il cielo è coperto e noi quattro stiamo per percorrere una delle tratte finali della “Balkan Route” al contrario. Attraverseremo la frontiera dal bosco, perché oggi noi possiamo farlo. Cammineremo un passo dopo l’altro lungo una delle vie di entrata in Europa su cui hanno mosso i loro passi migliaia di persone in fuga da guerre, violenza, repressione politica, o semplicemente in cammino, vive, con lo sguardo aperto verso ciò che verrà.
    “Quando senti parlare del Carso ti immagini un territorio lunare, un cumulo di pietre scaricato dagli dei sulla terra Kras”, dice Davide, che del Carso conosce ogni piega, ogni pietra, sentiero e anfratto. E ogni singolo accento della lingua locale, che è anche la sua.

    Il Carso terreno duro, aspro, a tratti gentile. Un territorio brutalmente lacerato dalle XII battaglie dell’Isonzo e poi dalla Seconda guerra mondiale che ha lasciato molte ferite aperte. Alcune come in questi giorni si riaprono nel giorno in cui i fascisti carnefici si mascherano da vittime. Una striscia di terra, questa, che ha dato aiuto alla resistenza partigiana, quella che da est ha liberato queste terre dal nazifascismo affermando: “Mi smo tu” (noi siamo qui), come riecheggia in un inno dei partigiani del Litorale che viene tuttora cantato ogni anno alla Risiera di San Sabba il 25 aprile.

    Una terra divisa in due da un confine invisibile, alberi e rocce calcaree, taglienti come lame, prati e voragini che si aprono all’improvviso, fiumi sotterranei che continuano per chilometri unendo un territorio che la politica ha diviso e continua a farlo. Un frontiera invisibile che riprende forma con le resistenze di oggi, quelle dei migranti che attraversano questi boschi e camminano su queste pietre, le stesse su cui camminiamo noi, respirando libertà.

    Le prime vittime del “viaggio” di cui possiamo ricordarci risalgono agli anni Settanta. Morirono in tre. Congelati sulle pietre del gelido Carso. Trovarono pace grazie al sindaco partigiano che di morti in cerca di libertà ne aveva visti molti.
    Una storia ormai molto lontana, ma qui si continua a passare, sperare, morire… L’ultima delle vittime è caduta poche settimane fa, all’alba del primo giorno di questi anni Venti. Si tratta di Sid Ahmed Bendisari, precipitato da venti metri di altezza in fondo ad un burrone sotto il monte Carso poco distante dal castello di San Servolo. Un errore nel percorso, la stanchezza, forse un inciampo e scivola giù. Avrebbe compiuto trent’anni il prossimo 8 novembre. Impossibile trovare il suo nome sulla stampa nella consueta damnatio memorie riservata alle morti dei migranti. Morte di un padre. Sua moglie era con lui. Loro figlio attendeva ad Aïn Témouchent in Algeria a neanche trecento chilometri da Melilla, Spagna, Europa. Per tentare di raggiungerla sua mamma e suo papà dopo aver attraversato il nord Africa hanno proseguito il viaggio fino alla Turchia, quindi ai Balcani e quindi la morte a Trieste in una sorta di circumnavigazione terrestre del Mediterraneo per evitare un muro.

    *

    Vogliamo cercare di capirne qualcosa di più, per questo ci siamo detti, la cosa migliore è andare, muovere i nostri passi tra questi boschi e queste rocce. La nostra storia parte a pochi chilometri da Trieste, da Boršt, tradotto, chissà perché, Sant’Antonio in Bosco, frazione del comune di Dolina, San Dorligo della Valle come era stato goffamente italianizzato. In una giornata uggiosa di inizio febbraio ci avventuriamo nella landa carsica avvelenata dai nuvoloni neri che come ogni anno imperversano sopra Bazovica/Basovizza il 10 del mese. Questo febbraio, come non accadeva da almeno trent’anni, nazionalisti e ultradestra hanno perfino organizzato, senza nessuno che vi si opponesse come in passato, un corteo per le vie del paese: un reflusso di putrefazione e morte aliene alla terra che calpestiamo.

    Ci incamminiamo – Elena, Alessandro, Luca e Davide – percorrendo una delle vie dove i migranti sognano la libertà ma molto spesso cadono nelle trappole della paranoia creata dai politicanti per avere un consenso politico. Tutto qui si trasforma in futuri voti per il lato marcio della nostra società, i politici saldamente ancorati sulle loro sedie e quelli che da loro si aspettano dei favori.
    Il Carso di oggi è un misto di elementi diversi non solo umani: animali, vegetali e perfino minerali qui convivono senza l’assurda pretesa di affermare “questo è il mio territorio”, cosa che noi bipedi pensanti non capiremo mai. Nel bosco ci sono diverse varietà: querce, frassini, carpini e pini.

    E proprio il pino nero, ci diciamo, è un migrante della prima ora: piantato centinaia di anni fa per il rimboschimento del Carso e non autoctono, ora guardalo, come si trova a proprio agio in un territorio che nel bene o nel male lo ha ospitato. Sul pino nero le processionarie nidificano per poi liberare dei bruchi che in fila partono alla ricerca di un rifugio dove trasformarsi. Il loro incolonnamento ci fa pensare alla storia di queste terre, alle guardie di confine che si notavano durante la Guerra fredda, su e giù tra i boschi. Ora i migranti, anche loro in fila, per non perdersi, nella boscaglia e su questo terreno impervio. Dei confini di allora rimangono solo dei cartelloni tra gli alberi che avvertono la fine di uno stato e l’inizio di un altro. Era un territorio libero dalle ideologie e nazionalismi che in questi giorni vengono rimarcati nel giorno del vittimismo fascista, quello che ha lacerato con odio e intolleranza per sempre queste terre.

    Ci guardiamo un po’ in giro per scovare le fototrappole tanto sbandierate dai gerarchi leghisti, uno dei motivi per cui ci siamo messi in cammino. Non ne troviamo traccia delle scatole malefiche, che non verranno mai usate contro chi getta rifiuti nei boschi. Di rifiuti, purtroppo, ce ne sono in abbondanza. Chissà se chi li ha lasciati poi nelle città predica il decoro, chissà se si indigna per quelle due cose abbandonate dai migranti in fuga da guerre e fame.
    Nel grigiore dell’inverno che non c’è si notano le postazioni dei cacciatori, quelli che non accettano animali e mal sopportano i forestieri in cerca di pace, diventando i nuovi guardiani del confine nei tempi della evocata caccia ai migranti. Ne incontriamo un paio con il cane al guinzaglio. Ci guardano in maniera diffidente, sembrano non accettare le nostre ombre e il nostro cane che corre libero intontito dagli odori della natura e per nulla interessato alle regole di noi umani.

    Con passo lento si continua sulla strada del ritorno e all’arrivo davanti ad una birra ci confrontiamo su una giornata decisamente molotov.

    *

    Andando il corpo si attiva, e si attivano pensieri e riflessioni che condividiamo tra noi. Alessandro raccoglie le voci, vede le tracce, ascolta i racconti di chi attraversa l’altipiano, lui che vive qui, nella sua casa in pietra lontana dal traffico della città. È lui a guidarci nella ricostruzione di queste due storie, mentre camminiamo.

    Molti anni fa, 47 per la precisione. Sera del 12 novembre, anno 1973. Bora forte e novembre freddo – una volta era così! – in località Boršt/Sant’Antonio in Bosco, pochi chilometri da Trieste e altrettanti dal ciglione carsico con relativo confine. Cinque persone provenienti dal Mali bussano alla porta di una casa ai margini del paese. Erano arrivati in aereo a Spalato, poi in bus sino a Fiume. Volevano raggiungere Venezia, per poi recarsi in Francia, con la promessa di un lavoro, in nero si scoprirà in seguito.
    Qualcuno disse che dietro a tutto questo poteva esserci un’organizzazione che gestiva un traffico illegale di potenziali lavoratori da sistemare in Europa, le indagini successive non hanno portato a niente di rilevante. In ogni caso, qualcosa deve essere andato storto ai cinque ragazzi, forse non erano riusciti ad avere un visto, non lo sappiamo. Di certo erano in Jugoslavia, e per muoversi da li rimaneva come unica soluzione quella di andare a piedi a correggere la fortuna, verso un sogno occidentale. Erano a piedi quando arrivarono a Boršt, bussarono a una porta, avevano fame e freddo, molto freddo. Ma nessuno gli aprì.
    I cinque trascorsero la notte nei paraggi del casello ferroviario in disuso. Tre persone su cinque morirono assiderate, una persona seppur in gravi condizioni riuscì a salvarsi, mentre un’altra riuscì a richiamare l’attenzione di un abitante del luogo.
    Arrivarono i soccorsi, troppo tardi purtroppo. Persero la vita #Seydou_Dembele, anni 22, #Mamdor_Niakhate, anni 19, e #Diambou_Lassana, anni 27. Dopo quasi un mese venne ritrovato un altro corpo, quello di #Djibi_Somaili, anni 25; lui veniva dalla Mauritania.

    Si fanno molte supposizioni circa la loro presenza e la loro morte, alla fine la realtà emerge nuda e cruda, sono morti per assideramento. E per fame.
    La comunità del luogo rimase molto colpita, il piccolo paese di Boršt/Sant’Antonio in Bosco, fa parte del comune di San Dorligo, non del comune di Trieste, e nella tragedia di quel freddo inverno la piccola comunità si è stretta attorno a quei poveri migranti in fuga per una vita migliore donandogli pace nel cimitero del paese.
    Un paese che, già prima della Seconda guerra mondiale, ha conosciuto i valori della fratellanza e della solidarietà: qui è nato Drago Žerjal tra i fondatori nel 1927 della triestina Borba (Lotta in sloveno), organizzazione che aveva come obiettivo la “lotta senza compromessi contro il fascismo e per l’annessione del Litorale e dell’Istria alla Jugoslavia”.
    Si decide allora di procedere ad una sepoltura delle quattro persone nel piccolo cimitero del paese, in un luogo dello stesso cimitero esposto al sole, dove ogni anno vengono ricordati e commemorati.
    Partecipano in tanti al funerale, in pratica l’intera comunità e le tombe sono sempre curate e ricoperte di fiori freschi, su una lapide un braccialetto africano messo di recente. Oltre il muro di quel cimitero si vedono il monte Carso e, dall’altro lato, il mare.

    Ci guardiamo, non si sa se siamo più tristi o incazzati. Una disgrazia quella di Boršt: il freddo, la notte e la paura forse l’hanno generata. Chissà chi c’era dietro a quella porta che non è stata aperta. Forse una parte di ciascuna e ciascuno di noi.

    La seconda ricostruzione ci porta indietro solo di qualche settimana da oggi, al primo gennaio, anno bisesto 2020. È sempre Alessandro a parlare. Un uomo percorre a piedi, da solo, ci dice, la strada che dai pressi del Castello di San Servolo, sul confine tra Slovenia e Italia, porta alla stazione centrale ferroviaria di Trieste. Non so quanto sia la distanza in chilometri, so che è lunga, in particolar modo per chi viene da lontano e di questi luoghi non conosce niente. Non so se sia arrivato di corsa, quante strade abbia sbagliato, quante voci lo abbiano ignorato. Quanta forza e rabbia abbia avuto dentro sé.
    Entra in un bar, uno all’interno conosce il suo dialetto e capisce. Chiede aiuto, dice che un uomo, un suo amico, è precipitato nel vuoto “in montagna”. Per fortuna gli credono, lo caricano in macchina e lui li porta nel posto dove tutto questo si è verificato, su uno dei ciglioni della Val Rosandra.
    Poche ore prima, sul far del mattino, mentre tanti ancora dormivano per i fasti della nottata di Capodanno, un uomo di 29 anni, stava attraversando il confine assieme alla moglie di 27 anni e un amico, non conoscendo affatto la conformità del terreno carsico e il territorio circostante. Vengono dall’Algeria, sono arrivati qui attraverso la rotta balcanica e non passando per Gibilterra, più vicina al suo paese ma presidiata oltremodo per impedire il passaggio dei migranti.
    Hanno un figlio di 6 mesi, rimasto con i nonni in Algeria. La maggior parte dei migranti arriva attraverso la rotta balcanica partendo dal Pakistan, dall’Afghanistan e dall’Algeria.
    A pochi metri dalla moglie, all’improvviso, l’uomo scivola in un dirupo, venti metri più in basso. Impossibile raggiungerlo e cercare di dargli aiuto. L’amico poco distante dal luogo della tragedia non esita e si lancia in discesa senza sapere dove andare, verso un paese, in cerca di aiuto.
    Quando arrivano i soccorsi, il Soccorso Alpino di Trieste e i Vigili del Fuoco, per il giovane migrante non c’è più niente da fare. La moglie, in evidente e comprensibile stato di choc, sarà assistita dalla Caritas Diocesana di Trieste e richiederà asilo politico in Italia.
    Quanta strada hanno percorso viaggiando a piedi tra deserti, attraversando mari, rischiando in ogni giorno la vita nell’attraversare frontiere spesso invisibili senza capire dove realmente sarebbero arrivati. Quanti di noi sarebbero disposti a fare qualcosa del genere in cerca di un posto dove poter vivere liberi. Loro lo hanno fatto. Erano vicini alla meta, una meta alta venti ripidi metri di roccia calcarea. Nessuna targa, nessun ricordo per loro.

    In questo presente rosso sangue, non potevano mancare “i migliori”. La notizia di questa tragedia, data in pasto nei ritrovi delle carogne, metteva in luce quello che possiamo poi osservare ogni giorno, purtroppo, con commenti di questo genere:

    Niente ferie per i coglioni con tastiera, nessuna pausa per i cervelli in pausa. Poi fa niente se non venivano dal Marocco, fa niente se il reddito di cittadinanza non ci azzecca per un cazzo.

    *

    La zona della Val Rosandra è una delle tante vie di accesso che dalla Slovenia scendono verso Trieste e i suoi mezzi di trasporto, verso Milano o ancora oltre verso la Germania, la Francia e il resto d’Europa. Non è raro trovare mucchi di abiti, zaini, sacchi a pelo, documenti nei sentieri della Valle, battuti anche dalle centinaia di turisti e camminatori delle domeniche fuori porta. Da Draga a Boršt, nei pressi delle falesie dove arrampicava Comici, si snoda un nuovo crocevia di sentieri verso la speranza di un avvenire.

    Va a periodi, dipende anche dal tempo, se piove è più probabile, ci dice Alessandro. Nei mesi estivi di pomeriggio, nei mesi freddi al mattino. Non sono statistiche provate, è la mia esperienza. Passano anche quando tira vento forte, e la gente di norma sta chiusa in casa.

    Li incontro spesso, passano in pratica davanti casa. Non sono mai soli, generalmente in gruppi da 5 a 10 persone. Finora tra le persone che ho incontrato c’erano solamente uomini, anche se sarebbe più corretto definirli ragazzi. Non hanno in genere, credo, più di 20 anni, molti direi erano minori, anche se l’idea di minore per noi non coincide con quella dei paesi da dove provengono.
    Come siano potuti arrivare al confine che non c’è, quello tra Slovenia e Italia, non lo so e nemmeno ho mai pensato di chiederglielo. Non avrebbe senso e perché poi dovrebbero dirlo proprio a me.
    Non è poi così complicato parlare con alcuni di loro, superata una prima, doverosa, diffidenza. Non chiedono nulla, e non si aspettano nulla da noi “locali”. Di solito almeno uno in ciascun gruppo parla l’ inglese, e così può iniziare un dialogo per loro insperato.
    Non vogliono né acqua né cibo; non hanno nulla, né borse né zaini. Chiedono soltanto come arrivare alla stazione ferroviaria, ma non sanno esattamente dove si trovano. Alla faccia dei GPS e dei navigatori satellitari, non sanno nulla. Chi racconta il contrario racconta cazzate.
    Alcuni aspetti di questi incontri li tralascio. I telefoni in loro possesso, a volte tutt’altro che moderni, non funzionano, necessitano di una scheda diciamo “europea”. Che non hanno con sé e non sanno dove acquistare.

    Mi è capitato di incontrarli in giornate di pioggia, completamente fradici, forse avevano un cambio di indumenti, forse no, ma non mi hanno chiesto nulla, nemmeno di potersi in qualche modo asciugare.
    Mi sono chiesto quale strada o meglio sentiero percorrano, con quale logica. L’impressione è che vengano abbandonati a se stessi, ad un certo punto, qualche volta addirittura a ridosso della superstrada, delimitata da reti piuttosto alte e con i rischi che ne possono conseguire.
    Per la mia esperienza, superato il primo momento, e forse il timore legittimo di fronte a uno sconosciuto, l’aiuto offerto viene di buon grado accettato, sono già contenti e sorpresi che qualcuno gli parli senza chiedere nulla in cambio.
    Non mi è capitato di incrociare nessuno che avesse come obiettivo quello di rimanere qui. Cercano la stazione e il modo di arrivarci. Tutti i fenomeni che sostengono il contrario semplicemente non ci hanno mai scambiato parola, per paura o chissà ché. Questo è un fatto importante, che rende bene l’idea di quanto stupidità mista a ignoranza vi sia nel giudicare questa, a volte tragica, migrazione.

    Ci sono più o meno 5.500 chilometri tra Pakistan e Italia, mi sembrerebbe assurdo che questi ragazzi si sobbarchino un viaggio come questo avendo come meta… Trieste! Con tutto il rispetto, ma davvero sembra poco plausibile. Eppure ne avanza di gente che sui social media dice questo, chissà poi su quali basi.
    Per quanto ho potuto capire io, questi ragazzi sanno dove vogliono arrivare, il problema è che spesso usciti dai boschi non sanno dove si trovano e tanto meno come proseguire. La prima sfida è spiegare come prendere un mezzo pubblico, cos’è una obliteratrice (!), e che il biglietto a bordo non si può fare. Ecco, si inizia da qui.
    Da molti non sono ben visti, quando transitano per le stradine dei paesi, quando camminano semplicemente lungo la strada provinciale. Difficile che qualcuno gli rivolga la parola. La sensazione è che ci sia una sorta di paura non qualificabile che pervade gli abitanti del posto, anche coloro che molti anni fa erano trattati da chi risiedeva in città come un popolo da civilizzare, un popolo da educare alle buone maniere, da far mangiare con le posate…

    Ho assistito di persona a comportamenti schizofrenici da parte dei locali, a invocazioni di giustizia sommaria e di interventi immediati e risolutivi da parte dell’autorità. Stavano osservando solo persone che camminavano, che stavano seduti a terra. La gratitudine nei loro occhi invece io non la scordo e non la scorderò facilmente osservandoli nel momento in cui associano nei miei confronti e nei confronti della mia compagna un senso di fratellanza e solidarietà, espresso e condiviso senza dover dare niente in cambio.
    Un aiuto sostanziale, importante quanto una parola e un sorriso, un consiglio circa la strada da percorrere e la distanza dal primo treno a disposizione, un biglietto dell’autobus visto come un miraggio e l’imitazione del rumore dell’obliteratrice per azzerare i sospetti del guidatore e farlo star tranquillo.

    *

    Mentre continuiamo a camminare, riflettiamo sulla tratta migratoria balcanica, e su come, a differenza del tratto di mare tra nord Africa e Lampedusa su cui sono stati scritti libri e fatti film anche di successo, si faccia fatica a produrre una narrazione – e quindi un immaginario – diverso da quello prodotto dalla stampa, che vada oltre la cronaca dei giornali.

    Sono ancora troppo pochi i documenti video che raccontino le difficoltà, la violenza, l’abuso di potere sofferti da migliaia di persone ogni anno lungo la via balcanica. Almeno 50 mila nel 2019, secondo l’UNHCR. Tra i documenti più completi e recenti c’è quello offerto da Hassan Fazili e Fatima Hussaini, marito e moglie, afgani, registi, che con le loro due figlie Nargis e Zahra sono partiti per il viaggio per fuggire dalla pena di morte decisa dai talebani, che dal 2015 pendeva sulla testa di Hassan. Dopo una prima fuga in Tagikistan, e svariate richieste di asilo, la coppia decide di giocarsi l’ultima e la più pericolosa delle carte nelle loro mani: mettersi nelle mani dei trafficanti per arrivare in Germania, attraverso la Balkan Route. Raccontando la loro storia con i tre cellulari che avevano con loro. Dopo tre anni di viaggio “in cui a ogni passo avanti ci sembrava di cadere sempre più in basso”, la famiglia ce l’ha fatta. Il racconto e la denuncia di questo viaggio sono diventati Midnight Traveler, un documentario presentato al Festival di Berlino nel 2019.

    *

    Non è facile trovare e seguire le tracce. Cosa da animali da fiuto – come Lars, il compagno a quattro zampe che ci accompagna – o da nativi, anche se qui non è la pelle ad essere rossa ma il cuore.
    L’estrema difficoltà del controllo di questo territorio poroso e selvatico è ben chiaro a chi vuole imporre la rigida sorveglianza su tutto ciò che si muove.

    La Croazia ha fatto scuola. Oltre alla violenza, gli strumenti di repressione e controllo, là fanno ampio uso della tecnologia che ora si vorrebbe importare sul Carso. L’idea di controllare questo altipiano e coloro che ci vivevano e lo attraversavano ha iniziato ad essere una specie di ossessione dagli anni Venti del secolo scorso del resto, durante il fascismo, anche se molti qui ora si sono dimenticati della discriminazione subita dai propri nonni.
    In Croazia, oltre a filo spinato e agenti robocop, vengono impiegati anche un piccolo aeroplano, droni e fototrappole.

    La proposta di un muro con cui chiudere l’altipiano carsico, non molto originale, lanciata dal governatore della Regione Friuli Venezia giulia Fedriga ha fatto molto parlare, ma vista l’impossibilità della sua realizzazione è caduta nel vuoto.
    «Un muro sul Carso è come frustare il mare» ha scritto Adriano Sofri parafrasando Erodoto (Il martire fascista, Sellerio editore, p. 27).
    L’idea di usare dei droni a scopo di controllo anti migranti invece nasce dall’Agenzia di Confine e Guardia Costiera Europea, Frontex, ed è stato usato nel tratto di mare a sud di Lampedusa.
    Da noi, dopo essere stato proposto insieme al dispiegamento dell’esercito da parte del post fascista Scoccimarro, a breve diventerà realtà grazie alla iniziativa della sindaca sceriffa di Monfalcone Anna Maria Cisint (che del resto lo vuole usare a 360° per preservare – e lo ripete come un mantra – “decoro e sicurezza”, ma si dovrebbe ormai essere capito che i dispositivi messi in atto contro i migranti presto o tardi si ritorcono contro tuttx). Bisogna fare notare come il comune di Monfalcone, il cui limite nord orientale è sì segnato dalle prime propaggini del Carso ma, per quanto vicino al confine, non è interessato da transiti di migranti né da sconfinamenti. In ogni caso ai cittadini di Monfalcone (o sudditi visto come vengono trattati?) toccherà pagare 10.000 € per un drone di ultima generazione con faretto con cui illuminare dall’alto una parte del territorio, visore notturno e telecamera termica utilissima anche per controllare le pisciate fatte per strada (uno dei problemi che affligge la cittadina a quanto pare).

    La proposta sempre da parte del governatore Fedriga di utilizzare delle fototrappole invece è piuttosto recente, arrivata neanche due settimane dopo la morte del giovane algerino in Val Rosandra.
    Non è chiaro se questa proposta, come per il muro, resterà lettera morta o se, come il drone di Cisint, possa effettivamente venire messo in pratica magari tramite i medesimi fondi elargiti sotto forma di contributi per la sicurezza.
    Di certo sul Carso le fototrappole già ci sono. Sono quelle usate a fini naturalistici o venatori. Questi apparecchi diffusi lungo tutto l’altopiano ci risulta abbiano già intercettato e fotografato persone di passaggio… Ma pensare di usare le foto trappole per il controllo dei migranti ci sembra sia una trovata assurda, oltre che irrealizzabile dal punto di vista legale. Ci sembra di capire che l’uso di fototrappole sia regolato dal punto di vista giuridico, dalla legge sulle intercettazioni telefoniche. Ovvero le forze dell’ordine possono utilizzarle a fronte di un mandato verso una persona specifica [non sembra sia consentito dalla legge un uso, diciamo così, generalizzato]. Ad esempio la guardia forestale, quando trova uno scarico abusivo di rifiuti, può attivare solo una denuncia contro ignoti, non può usare le fototrappole per monitorare l’area perché si tratta di un reato non imputabile a un responsabile specifico. Idem per le azioni contro il bracconaggio. E per tracciare il passaggio dei migranti quindi?

    *

    Ma quando e dove passano i migranti che attraversano a piedi il confine per arrivare a Trieste, si chiedono Luca ed Elena mentre procede la nostra escursione. Le tratte sono molte, i boschi sono un reticolo di sentieri e di passaggi, avventurarsi da soli sarebbe troppo rischioso. Ma non sono sempre così rischiosi i percorsi se ci si affida a chi li conosce. Difficile credere nello spirito umanitario di chi si presta, e chi lo facesse riceverebbe minacce di delazione ed insulti.

    I passaggi avvengono spesso al primo mattino, spesso di domenica nella illusione che ci siano minori controlli. A quanto abbiamo potuto vedere invece si direbbe che nelle prime ore del mattino dei giorni festivi ci sia nei pressi del confine una maggiore concentrazione di militari e forze dell’ordine che non sono spiegabili altrimenti che in un impiego che funzioni da controllo e da filtro.
    Parlando tra noi, l’ipotesi che le uscite insensate dei fascio-leghisti locali sulle fototrappole voglia essere una risposta alle pance del loro elettorato, per dire che anche in regione ci stiamo attrezzando per creare “dei disincentivi al passaggio”, è quella che si fa più strada. D’altronde alcuni dei passaggi attraverso i nostri boschi sono assolutamente sconosciuti alla massa degli escursionisti della domenica, lasciando libertà di azione ai militari che si posizionassero qui, e che volessero seguire i loro colleghi oltreconfine nella pratica illegale dei pushback. Una pratica già denunciata in passato su questo confine, come raccontato da Avvenire, con il presunto coinvolgimento della polizia italiana. Non c’è stato modo di capire se il governo abbia deciso di aprire o meno un’indagine sulla scorta della denuncia delle persone respinte.

    I pushback e le annesse violenze sono purtroppo all’ordine del giorno sul confine tra Bosnia e Croazia, anche se alcune delle denunce raccolte dagli attivisti di No Names Kitchen ci dicono che si contano dei casi anche nei pressi del confine italiano. L’ultima denuncia è di un anno fa, il respingimento sarebbe avvenuto a danno di cinque persone provenienti dalla Tunisia, appena a qualche chilometro da dove siamo noi oggi.

    Nella nostra passeggiata passiamo sotto l’autostrada e sbuchiamo nei pressi di uno dei valichi confinari più trafficati. Nel sottopasso tracce del transito di migranti: cumuli di vestiti, un sacco a pelo lacero, scarpe rotte. Molte le scritte sui muri in caratteri arabi o urdu: sono nomi di persone. Ahmed un nome tra i tanti, di “uno dei tanti figli di figli” che ritorna in questa storia.
    Qui vicino, ce ne accorgiamo dal passaggio di un paio di ragazzi punjabi di ritorno dal supermercato del paese, c’è Casa Malala, un centro di accoglienza collettivo di recente passato di gestione al gruppo Ors, costola dell’agenzia interinale Adecco e con casa madre a Zurigo in Svizzera.
    Questa è una delle conseguenze dei “decreti sicurezza” sui bandi per la gestione di centri di accoglienza: lo smantellamento dell’accoglienza diffusa e il conferimento della conduzione a organizzazioni distanti dai territori e dai bisogni di tuttx, da un lato e dall’altro delle porte dei centri di accoglienza. E anche di cattiva accoglienza si muore.

    Ai piedi dell’altra estremità del Carso, oltre il fiume Isonzo – che in quel tratto divide Friuli e Bisiacaria – c’è il CARA, Centro di Accoglienza per Richiedenti Asilo, un grande campo per persone in attesa di definizione della propria domanda di richiesta di protezione internazionale. Le persone che lì vengono fatte vivere possono uscire e lo fanno per sfuggire ai ritmi istituzionali, ma anche ai gusti e alle mura che sono condivise in parte con quelle del Centro Per il Rimpatrio (CPR). Il primo richiedente asilo ad annegare nelle limpide acque turchesi della Soča, come suona al femminile in sloveno, è stato Taimur Shinwari che il 7 agosto 2015 è morto di mancata accoglienza dopo solo quattro giorni dal sua arrivo in Italia. A luglio 2016 è stata la volta di Zarzai Mirwais, afghano. Negli ultimi mesi altri sono scomparsi in quelle acque: il 14 giugno scorso ha deciso di troncare la sua esistenza Sajid Hussain che con lo smantellamento dell’accoglienza diffusa – piccoli appartamenti indipendenti con ampi spazi di autonomia per chi ci vive – è stato condotto al CARA. Qui viveva nella speranza di ottenere un rientro in Pakistan da moglie e figlio in tempi brevi, dal momento che aveva richiesto di essere inserito nei programmi di rimpatrio volontario. Rimpatrio che poi per lui è arrivato solo dentro a una bara. Pochi giorni dopo la morte di Sajid un altro suo connazionale ha tentato il suicidio gettandosi in quel fiume. Atif invece nel fiume ci è scivolato per sbaglio e nessuno lo ha più ritrovato: era il 18 dicembre. Esattamente un mese dopo, il 18 gennaio, a Gradisca d’Isonzo è morto, a quanto riferito dopo un pestaggio da parte delle forze dell’ordine, Vakhtang Enukidze, georgiano di 38 anni. Era rinchiuso tra le mura del CPR come un carcerato in base al malsano concetto di “detenzione amministrativa”. Lui l’Isonzo probabilmente non lo ha mai neppure visto.

    Fiumi, confini e migrazioni hanno un profondo legame. Spesso i confini vengono tracciati in corrispondenza di barriere naturali: monti, deserti e, appunto, fiumi. La rotta balcanica ce lo dimostra: dall’Evros che segna il confine tra Grecia e Turchia dove in questi giorni si spara contro i migranti, al Suva Reka tra Grecia e Macedonia, il fiume Kolpa in Slovenia che si dice Kupa sul versante croato, fino al Mura tra Slovenia, Austria e Ungheria. Questo naturalizza il regime delle frontiere conducendo ad una visione del migrante come figura deviante. Un agente patologico o virale che infrange quanto si vuole come naturale. Nei tempi del Corona virus la cosa raggiunge il parossismo (si veda il box a lato).
    Ma il cammino della rotta balcanica è tagliato dai molti torrenti e piccoli corsi d’acqua di Bosnia e Croazia fino a quelli pieni di storia come il Danubio, la Drava o l’Isonzo. Ci vorrebbe un Ungaretti a ricantare questi fiumi colmi di sangue e il loro legame con guerra, morte e migrazioni.

    http://www.alpinismomolotov.org/wordpress/2020/03/09/mi-smo-tu-noi-siamo-qui-sul-confine-tra-lisonzo-e-la-balkan-route
    #frontières #asile #migrations #réfugiés #Alpes #montagne #frontière_sud-alpine #Italie #Slovénie #histoire

    –---

    Dans cet article une partie est dédiée à 4 personnes migrantes mortes dans ces montagnes carstiques dans les années 1970...

    Molti anni fa, 47 per la precisione. Sera del 12 novembre, anno 1973. Bora forte e novembre freddo – una volta era così! – in località #Boršt / #Sant’Antonio_in_Bosco, pochi chilometri da Trieste e altrettanti dal ciglione carsico con relativo confine. Cinque persone provenienti dal Mali bussano alla porta di una casa ai margini del paese. Erano arrivati in aereo a Spalato, poi in bus sino a Fiume. Volevano raggiungere Venezia, per poi recarsi in Francia, con la promessa di un lavoro, in nero si scoprirà in seguito.
    Qualcuno disse che dietro a tutto questo poteva esserci un’organizzazione che gestiva un traffico illegale di potenziali lavoratori da sistemare in Europa, le indagini successive non hanno portato a niente di rilevante. In ogni caso, qualcosa deve essere andato storto ai cinque ragazzi, forse non erano riusciti ad avere un visto, non lo sappiamo. Di certo erano in Jugoslavia, e per muoversi da li rimaneva come unica soluzione quella di andare a piedi a correggere la fortuna, verso un sogno occidentale. Erano a piedi quando arrivarono a Boršt, bussarono a una porta, avevano fame e freddo, molto freddo. Ma nessuno gli aprì.
    I cinque trascorsero la notte nei paraggi del casello ferroviario in disuso. Tre persone su cinque morirono assiderate, una persona seppur in gravi condizioni riuscì a salvarsi, mentre un’altra riuscì a richiamare l’attenzione di un abitante del luogo.
    Arrivarono i soccorsi, troppo tardi purtroppo. Persero la vita #Seydou_Dembele, anni 22, #Mamdor_Niakhate, anni 19, e #Diambou_Lassana, anni 27. Dopo quasi un mese venne ritrovato un altro corpo, quello di #Djibi_Somaili, anni 25; lui veniva dalla Mauritania.


    Si fanno molte supposizioni circa la loro presenza e la loro morte, alla fine la realtà emerge nuda e cruda, sono morti per assideramento. E per fame.
    Si decide allora di procedere ad una sepoltura delle quattro persone nel piccolo cimitero del paese, in un luogo dello stesso cimitero esposto al sole, dove ogni anno vengono ricordati e commemorati.
    Partecipano in tanti al funerale, in pratica l’intera comunità e le tombe sono sempre curate e ricoperte di fiori freschi, su una lapide un braccialetto africano messo di recente. Oltre il muro di quel cimitero si vedono il monte Carso e, dall’altro lato, il mare.

    #cimetière #morts #décès #mourir_aux_frontières #fototrappola #piège_photographique

    Sur les #pièges_photographiques, voir aussi :
    Il #Friuli_Venezia_Giulia vuole usare le “fototrappole” per i migranti al confine
    https://seenthis.net/messages/995446

  • Precipita da 20 metri e muore nel Carso : tentava di attraversare il confine sloveno

    Un uomo con cittadinanza marocchina è morto dopo essere precipitato in un burrone di oltre una ventina di metri sul Carso, in #Val_Rosandra (#Trieste), mentre tentava di attraversare il confine con l’Italia assieme alla moglie e ad alcuni compagni.

    L’uomo è finito nel dirupo sotto le pareti rocciose nei pressi del castello di #San_Servolo, in Slovenia, ma quando è stato soccorso le sue condizioni erano già gravi. Sul posto sono intervenuti i tecnici del Soccorso Alpino della stazione di Trieste, la Polizia di Stato, l’ambulanza e l’elisoccorso del Fvg che è stato autorizzato a procedere al recupero in territorio sloveno. L’operazione con il verricello non è semplice nella zona ricca di crepacci e fitta vegetazione.

    Il 18 dicembre un migrante pakistano di 32 anni è stato inghiottito dalle acque dell’Isonzo, nel tratto tra #Gradisca e #Sagrado. L’amico, anche lui richiedente asilo, aveva tentato inutilmente di salvarlo gettandosi nel fiume.

    Secondo la Questura, i rintracci di migranti a Trieste sono aumentati di «almeno il 50%» nel 2019 rispetto al 2018: negli ultimi 12 mesi la Polizia di Frontiera ha rintracciato circa 4 mila persone, a cui se ne aggiungono altre 1.300 che si sono presentate spontaneamente negli uffici della Questura per le pratiche amministrative e la richiesta di protezione". A Trieste sono giunti per lo più cittadini pachistani ("circa il 60% del totale") afghani, iracheni, siriani e bengalesi. Per quanto riguarda le espulsioni, ha precisato Petronzi, sono stati 210 gli stranieri irregolari espulsi dal territorio nazionale, «una decina in più rispetto al 2018».

    https://www.repubblica.it/cronaca/2020/01/01/news/tenta_di_attraversare_confine_sloveno_precipita_per_20_metri-244767445

    #frontière_sud-alpine #décès #morts #asile #migrations #réfugiés #Slovénie #Italie #Carso #mourir_aux_frontières #Alpes #violent_borders

    Ajouté à cette métaliste des migrants morts dans les Alpes :
    https://seenthis.net/messages/758646

    • Un algerino è morto cadendo in un burrone lungo il confine sul monte Carso

      La vittima è un immigrato caduto in un precipizio vicino al castello di San Servolo, in territorio sloveno. Nelle operazioni impegnato il Soccorso alpino di Trieste. Per il recupero impegnato l’elisoccorso del FVG.

      Un uomo, un algerino è precipitato ed è morto in un burrone di una ventina di metri mentre tentava di attraversare con alcuni compagni il confine tra Slovenia e Italia. L’uomo è caduto poco dopo le 8 di stamattina in un burrone sotto le pareti rocciose del Monte Carso vicino al castello di San Servolo. la vittima insieme alla moglie algerina e a due immigrati marocchini voleva entrare in Italia. Sul posto i tecnici del Soccorso Alpino della stazione di Trieste, la polizia, l’ambulanza e l’elisoccorso regionale che é stato autorizzato a procedere al recupero in territorio sloveno. Il recupero con il verricello non sarà semplice data la presenza di vegetazione.

      https://www.rainews.it/tgr/fvg/articoli/2020/01/fvg-Monte-Carso-infortunio-166e0a56-dc7d-4b03-a030-acd4f544a5d9.html?wt_mc=2

    • La seconda ricostruzione ci porta indietro solo di qualche settimana da oggi, al primo gennaio, anno bisesto 2020. È sempre Alessandro a parlare. Un uomo percorre a piedi, da solo, ci dice, la strada che dai pressi del Castello di San Servolo, sul confine tra Slovenia e Italia, porta alla stazione centrale ferroviaria di Trieste. Non so quanto sia la distanza in chilometri, so che è lunga, in particolar modo per chi viene da lontano e di questi luoghi non conosce niente. Non so se sia arrivato di corsa, quante strade abbia sbagliato, quante voci lo abbiano ignorato. Quanta forza e rabbia abbia avuto dentro sé.
      Entra in un bar, uno all’interno conosce il suo dialetto e capisce. Chiede aiuto, dice che un uomo, un suo amico, è precipitato nel vuoto “in montagna”. Per fortuna gli credono, lo caricano in macchina e lui li porta nel posto dove tutto questo si è verificato, su uno dei ciglioni della Val Rosandra.
      Poche ore prima, sul far del mattino, mentre tanti ancora dormivano per i fasti della nottata di Capodanno, un uomo di 29 anni, stava attraversando il confine assieme alla moglie di 27 anni e un amico, non conoscendo affatto la conformità del terreno carsico e il territorio circostante. Vengono dall’Algeria, sono arrivati qui attraverso la rotta balcanica e non passando per Gibilterra, più vicina al suo paese ma presidiata oltremodo per impedire il passaggio dei migranti.
      Hanno un figlio di 6 mesi, rimasto con i nonni in Algeria. La maggior parte dei migranti arriva attraverso la rotta balcanica partendo dal Pakistan, dall’Afghanistan e dall’Algeria.
      A pochi metri dalla moglie, all’improvviso, l’uomo scivola in un dirupo, venti metri più in basso. Impossibile raggiungerlo e cercare di dargli aiuto. L’amico poco distante dal luogo della tragedia non esita e si lancia in discesa senza sapere dove andare, verso un paese, in cerca di aiuto.
      Quando arrivano i soccorsi, il Soccorso Alpino di Trieste e i Vigili del Fuoco, per il giovane migrante non c’è più niente da fare. La moglie, in evidente e comprensibile stato di choc, sarà assistita dalla Caritas Diocesana di Trieste e richiederà asilo politico in Italia.
      Quanta strada hanno percorso viaggiando a piedi tra deserti, attraversando mari, rischiando in ogni giorno la vita nell’attraversare frontiere spesso invisibili senza capire dove realmente sarebbero arrivati. Quanti di noi sarebbero disposti a fare qualcosa del genere in cerca di un posto dove poter vivere liberi. Loro lo hanno fatto. Erano vicini alla meta, una meta alta venti ripidi metri di roccia calcarea. Nessuna targa, nessun ricordo per loro.

      http://www.alpinismomolotov.org/wordpress/2020/03/09/mi-smo-tu-noi-siamo-qui-sul-confine-tra-lisonzo-e-la-balkan-route

  • Les cars Macron sont finalement comme Macron : nuls et pervers.

    Partir pour le week-end du 15 août en car ? On a tenté, et puis non...
    https://www.franceinter.fr/partir-pour-le-week-end-du-15-aout-en-car-on-a-tente-et-puis-non

    Et si les cars Macron déviaient de leur ambition initiale : permettre à ceux qui ont du temps et peu d’argent de voyager ? On a voulu tenter le départ en dernière minute pour ce week-end du 15 août. Les trains étant pleins, les avions aussi, on a testé l’option car. Essai raté...

    • Euh, sans dec, ils essaient une fois de prendre le bus, « au dernier moment », le 15 août, sur des « grosses » destinations, et ils s’étonnent que c’est cher et qu’ils ne trouvent pas de place ?

      Je ne suis jamais fana de la dérégulation, notamment si elle déstabilise un marché de lignes ferroviaires locales. Mais je vois plein de jeunes qui voyagent en bus, et non, c’est vraiment pas les tarifs du train (et généralement, sur le confort, elles considèrent que c’est pas mal du tout).

      Je prends au hasard : un aller Montpellier-Barcelone, le 14 septembre prochain
      – en train, c’est minimum 52 euros ;
      – en bus, 9 euros (et départs environ toutes les 2 heures).

    • J’ai peut-être mal compris mais c’est ce qu’elles et ils dé,noncent non ? comme pour les trains et les avions, les prix exhorbitants pendant les périodes chargées (et je ne crois pas que ce soit une question de réservation au derniers moment, les compagnies anticipent très bien : un vol AR norvège france mi octobre 2019 à 170 eur, un AR norvège france le 18 décembre 2019 déjà 400 euros ... et c’est pourtant après

      Ce qui est révoltant c’est ça justement, que le prix ne correspondent plus à un investissement concret en amont, mai à une logique de capitalisme de marché ultra sauvage.

      Après les bus sont bons marchés, mais quid des conditions de travail ds employés... Je dis ça, mais je prends bien des Uber de temps en temps et je me blâme donc.

  • #apple and #uber lagging in self-driving car league table
    https://hackernoon.com/apple-and-uber-lagging-in-self-driving-car-league-table-ac5162e8f43c?sou

    Self-driving cars are frequently in the news. The technology has progressed strongly, but we’re nowhere near ‘perfect’ yet. There are a significant number of companies working on test vehicles, especially in California, with the focus on improving safety and the cars’ software capabilities. As Niall McCarthy, a data analyst at Statista writes in Forbes, “Disengagements, and the reasons they occur, are a key part of that test process.” What are ‘disengagements’? A disengagement is what happens when the car’s software detects a problem, or the driver sees some danger coming, and is then able to take control of the car, so it is no longer self-driving.According to data from the California DMV published by website The Last License Holder, test models experience different levels of disengagement. (...)

    #cars-market-share #self-driving-cars #automotive-market-share

  • Smart Contracts For Connected Vehicles
    https://hackernoon.com/smart-contracts-for-connected-vehicles-3f69c13e70db?source=rss----3a8144

    “Blockchain and related trust enhancing technologies are poised to redefine the automotive industry and how consumers purchase, insure and use vehicles.” — Chris Ballinger, former CFO and Director of Mobility Services at Toyota Research Institute and current CEO and Chairman of Mobility Open #blockchain Initiative (MOBI).When it comes to vehicles, one of the most common consumer complaints is the lack of transparency. From uncertainties about whether a dealer is offering a fair purchase price to mistrust about rising insurance costs and questions about recalls and service requirements, car owners are largely kept out of the loop when it comes to the details about their vehicle.One of the many benefits derived from adopting blockchain in the auto industry is the potential to make everything (...)

    #internet-of-things #iot #cars #smart-contracts

  • Overcoming a Major Obstacle in the Electric Vehicle Boom
    https://hackernoon.com/overcoming-obstacle-electric-vehicle-d13dd22ddb07?source=rss----3a8144ea

    Self-driving smart #cars might be stealing the limelight but industry experts think their impact will be insignificant compared to electric vehicles (EVs). Revolutionary advances in battery technology will allow vehicles of all shapes and sizes to travel long distances powered not by polluting fossil fuels but electricity; reducing both the threat to mankind’s health and the impact on the environment.The concept of the electric car has been around for decades but early examples were cumbersome, inefficient and expensive. Recent advances have facilitated the creation of attractive models, such as the #tesla, and have sparked hopes of an industrial renaissance. Investors, financiers, producers and the general public alike are all watching the EV industry with cautious optimism.The numbers (...)

    #electric-car #graphene #autonomous-cars

  • Who will own the data from your autonomous car?

    https://nakedsecurity.sophos.com/2017/08/16/who-will-own-the-data-from-your-autonomous-car

    [...]

    The bill does have an entire section on privacy, even though that didn’t make it into the title. But, as privacy advocates note, while it requires manufacturers to develop a privacy plan that spells out to consumers what is collected, used, shared and stored, and also tells them what choices they have regarding those practices, there is nothing in the bill that says who owns the data, and how owners can access or delete it.

    In response, the Electronic Privacy Information Center (EPIC) issued a statement arguing that, as they had recommended in testimony while the bill was being drafted, “consumers (should) control the personal information that is created and stored by the vehicles they operate, rent, and own”.

    Based on support for the bill, EPIC and other advocates have an uphill climb. It was reported out of committee on a unanimous (54-0) vote.

    The major focus of the bill is to create “a regulatory structure that allows for industry to safely innovate with significant government oversight,” according to committee chairman Greg Walden (R-Ore.).

    It also includes a section on cybersecurity, but the language is not terribly reassuring there either, when it comes to vehicles moving at 65mph (105kph) miles per hour or more. It requires only that manufacturers have cybersecurity practices that will guard against “reasonably foreseeable” risks. Try getting agreement on that in a courtroom.

    Besides the lack of anything explicit about who owns the data generated by the vehicle, EPIC also objected, in a letter to the committee in June, to a provision that forbids states, “from issuing any rule, regulation, or law that is not identical to a previously issued Federal Motor Vehicle Safety Standard (FMVSS) issued by NHTSA (National Highway Transportation Safety Administration), including in the areas of software and communications systems”.

    [...]

    #autonomous #autonomousvehicles #car #carsecurity #data #privacy #selfdriveact

    via https://diasp.eu/posts/5916897

  • Stadt statt Autos | DIGITAL PRESENT
    http://digitalpresent.tagesspiegel.de/stadt-statt-autos

    Gabriele Wendorf von der TU Berlin hat deshalb gemeinsam mit Drive Now und dem Bezirk Charlottenburg-Wilmersdorf ein Pilotprojekt durchgeführt. Zuerst wurde in einer Umfrage erhoben, wie viele Leute ihr Auto eigentlich wirklich brauchen. Dabei kam heraus, dass 32 Prozent der Autobesitzer weder gerne Auto fahren, noch regelmäßig auf ihr Auto angewiesen sind. Carsharing könnte für diese Gruppe das eigene Auto leicht ersetzen. Doch es gibt politisch und gesellschaftlich wenig Akzeptanz für den Vorschlag, Parkplätze zu streichen.

    Bänke statt Parkplätze in Charlottenburg

    Wendorf und ihre Kollegen haben es deshalb anders versucht: Auf der Mierendorff-Insel in Charlottenburg wurden 2016 testweise einige Parkplätze für Carsharing-Autos reserviert und zudem zwei Parkplätze durch eine schöne Sitzecke ersetzt. Am Ende der Testzeit stellten Anlieger einen Antrag bei der Bezirksversammlung: Die Sitzgelegenheit solle bleiben.

    Florian Lennert, Mitarbeiter am Berliner Innovationszentrum für Mobilität und gesellschaftlichen Wandel (InnoZ) meint, die Bereitschaft von Städtern, auf nachhaltigeren Verkehr umzusteigen, werde sich erst ändern, wenn den Menschen bewusster wird, dass Abgase mehr Menschen töten als Unfälle: „Wenn man Aufkleber auf Zigarettenschachteln kleben kann, dass Rauchen tödlich ist, warum nicht auch auf abgasintensive Autos?“

    Was wollen wir eigentlich?

    Autonome Autos und intelligente Navigationssysteme, die beiden Lieblingsthemen in den Diskussionen auf der Veranstaltung, werden die Nutzung der Straßen effizienter machen können – unsere Verkehrsprobleme lösen werden sie nicht. „Wir müssen uns dringend als Gesellschaft überlegen, was wir mit diesen neuen Technologien erreichen wollen“, mahnte deshalb Wolfgang Gruel. Er ist Professor an der Media Universität Stuttgart und gleichzeitig Berater bei car2go.

    #Verkehr #carsharing

  • Les ratés au démarrage des « cars Macron »
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/090217/les-rates-au-demarrage-des-cars-macron

    Dix-huit mois après leur lancement, les cars longue distance créés par la loi Macron ont trouvé leur public, ayant déjà transporté plus de 5 millions de passagers. Mais ce chiffre cache mal la réalité d’un secteur peu créateur d’emplois, ultra-concurrentiel et non rentable. Et financé en bonne partie par de l’argent public. © #Flixbus

    #Economie #autocars #cars_Macron #Emmanuel_Macron #entreprises #Isilines #Megabus #Ouibus #SNCF #Transdev #transports

  • Une compagnie des « #cars_Macron » met la clé sous la porte
    http://www.lemonde.fr/emploi/article/2016/11/18/des-chauffeurs-de-megabus-manifestent-pour-un-meilleur-plan-social_5033781_1

    Des chauffeurs de Megabus en grève ont manifesté devant le ministère de l’économie, vendredi 18 novembre, pour réclamer un plan social à la hauteur du « préjudice subi ».

    Lancée dans le sillage de la libéralisation du marché créée par la loi Macron, la compagnie Megabus, qui emploie 175 salariés, cessera prochainement ses activités, privée de son unique contrat de prestation avec l’allemand Flixbus.

    Après l’échec, à l’aube, d’une opération escargot sur le périphérique parisien, une quarantaine de grévistes se sont rassemblés à la mi-journée devant Bercy, où une délégation était reçue, pour demander « un appui » de l’Etat dans le cadre des négociations, dont la prochaine réunion aura lieu mercredi 23 novembre. Benoît Hamon et Gérard Filoche, candidats à la primaire de la gauche, étaient présents pour les soutenir.

    « C’est une banqueroute organisée », dénonce Mohammed Ouhnache, élu UNSA.
    […]
    Réputée pour ses billets à 1 euro, la compagnie a changé de mains à la fin de juin, quand le groupe de transports britannique Stagecoach a cédé toutes ses activités en Europe continentale à l’allemand Flixbus. Mais sitôt finie la saison estivale, Flixbus a décidé de résilier son contrat en France avec son ancien concurrent.
    […]
    Pour Emmanuel Macron, la faute revient avant tout à l’entreprise, « qui a voulu se développer en cassant les prix [et] se retrouve en situation difficile ». « Son activité sera reprise par d’autres. C’est immanquable quand un marché se développe », a déclaré l’ex-ministre de l’économie, visiblement optimiste.

    Développemement attendu (en espagnol, on dirait même "espéré"…) de https://seenthis.net/messages/524639

  • Les #cars_Macron concurrencent surtout les #TGV et les #Intercités, selon l’#Arafer - Localtis.info
    http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250271767698&cid=1250271759161&nl=1

    L’Arafer a publié le 7 novembre son premier rapport annuel sur le transport par autocar. Très attendu, ce document fait le bilan de l’arrivée sur le marché des cars Macron. Si ces nouveaux services libéralisés ont connu une croissance soutenue depuis un peu plus d’un an, ils représentent une offre marginale par rapport aux transports routiers interurbains conventionnés. Ils concurrencent surtout les trains sur longue distance - TGV et Intercités - et très peu les #TER.

    Le rapport de l’Arafer : http://www.arafer.fr/wp-content/uploads/2016/11/Rapport-annuel-Autocars-gares-routieres-7novembre2016.pdf

    #mobilité #transport_en_commun

  • #Guéret et #Monluçon privées de #cars_Macron cet hiver !
    http://www.lagazettedescommunes.com/459668/gueret-et-monlucon-privees-de-cars-macron-cet-hiver

    C’est avec un brin d’ironie – « Les ‘Bus Macron’ en Creuse, c’est déjà fini ! » – que France Bleu Creuse a annoncé à ses auditeurs, lundi 5 septembre, que les arrêts de Guéret et de Montluçon ne seraient plus desservis cet hiver par la société de transport Flixbus… faute de voyageurs en nombre suffisant !

    [...] « Parfois présentés comme une alternative aux ligne de train #Intercités, les « bus Macron » démontrent avec cet exemple qu’ils répondent à des impératifs bien différents du service public… » peut-on ainsi lire sur le site Web.

    [...] Pour le patron de #Flixbus, le problème est que ces deux villes sont « trop petites » et « trop en dehors des axes routiers principaux » pour assurer un nombre suffisant de voyageurs pendant la saison basse

    « Je m’engage au nom de Flixbus à rouvrir la ligne au printemps prochain. On recule pour mieux sauter mais on a quand même un impératif de rentabilité, on n’est pas subventionné. Cette suspension, c’est une conséquence de notre modèle économique. » (Pierre Gourdin, directeur de Flixbus sur France Bleu Creuse)

    [...] Cette fermeture saisonnière des arrêts creusois permet par ailleurs de s’interroger sur le nombre d’emplois directs créés par ces « cars Macron » [...] les chiffres connus aujourd’hui tournent plutôt autour du millier d’emplois créés, selon les estimations de l’#Arafer !

  • Guéret et Monluçon privées de Cars Macron cet hiver !
    http://www.lagazettedescommunes.com/459668/gueret-et-monlucon-privees-de-cars-macron-cet-hiver

    « Parfois présentés comme une alternative aux ligne de train Intercités, les « bus Macron » démontrent avec cet exemple qu’ils répondent à des impératifs bien différents du service public… » peut-on ainsi lire sur le site Web.

    Pour le patron de Flixbus, le problème est que ces deux villes sont « trop petites » et « trop en dehors des axes routiers principaux » pour assurer un nombre suffisant de voyageurs pendant la saison basse.

    #cars_macron

  • Les usagers des « #cars_Macron » ne sont pas tous à même enseigne
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/08/18/les-usagers-des-cars-macron-ne-sont-pas-tous-a-meme-enseigne_4984230_3234.ht

    Les malheurs de #Flixbus ne font pas pleurer tout le monde.

    « L’opérateur allemand veut refaire le coup de Ryanair, en faisant payer par les collectivités locales son modèle low cost, décrypte un spécialiste des infrastructures routières et ferroviaires. Pourquoi la Mairie de Paris le financerait-elle ? Flixbus a le droit d’utiliser les gares routières existantes, mais pour ça, il doit payer. »

    La loi a en effet confié à l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières [#arefer] la mission de garantir à tous les transporteurs un accès équitable aux gares routières. Flixbus pourrait donc emprunter la gare des Ouibus ou la vaste et confortable gare routière située à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), d’où partent les autocars d’Isilines, filiale de Transdev, le troisième opérateur des « cars Macron ».

    A la mairie de Paris, l’activisme de Flixbus agace. « Les municipalités ne peuvent pas courir après ces compagnies qui lancent des centaines de lignes ultradéficitaires pour occuper le terrain, explique une porte-parole de la municipalité. Nous n’allons pas engager de travaux porte Maillot, pour la bonne raison que le parking va fermer dans les prochains mois. » Une vaste opération architecturale doit y être menée dans le cadre du programme « Réinventer Paris », avec, à la clé, un vaste bâtiment bâti au-dessus du périphérique… et une gare routière digne de ce nom.

  • Patrice Claude s’est immolé pour sa retraite
    https://www.mediapart.fr/journal/france/250716/patrice-claude-s-est-immole-pour-sa-retraite

    Patrice Claude avec sa fille Chaque mois ou presque, des hommes et des femmes s’immolent par le feu dans un espace public, souvent devant une administration. Patrice Claude est passé à l’acte fin avril, sur le trottoir de la #caisse_de_retraite du Sud-Est, à Marseille. Il a survécu. Sa fille Coraline se bat depuis pour faire sortir son histoire « du fait-divers ».

    #France #CAF #carsat #immolation #social

  • Patrice Claude s’est immolé pour sa retraite
    https://www.mediapart.fr/journal/france/250716/patrice-claude-sest-immole-pour-sa-retraite

    Patrice Claude avec sa fille Chaque mois ou presque, des hommes et des femmes s’immolent par le feu dans un espace public, souvent devant une administration. Patrice Claude est passé à l’acte fin avril, sur le trottoir de la #caisse_de_retraite du Sud-Est, à Marseille. Sa fille Coraline se bat depuis pour faire sortir son histoire « du fait-divers ».

    #France #CAF #carsat #immolation #social

  • Sharing Economy Is No Threat to Cars, Einhorn Proclaims - Bloomberg
    http://www.bloomberg.com/news/articles/2016-05-05/sharing-economy-no-threat-to-cars-einhorn-proclaims
    Das war’s dann mit dem Argument, #Carsharing würde die Anzahl der AUtos reduzieren helfen.

    With #Uber Technologies Inc. attracting valuations $10 billion higher than General Motors Co., you may be forgiven for heeding whispers that the sharing economy will one day kill off legacy rivals in Detroit.

    Greenlight Capital Inc. President David Einhorn, however, isn’t in a forgiving mood. He said the death of the car industry has been greatly exaggerated by the kind of people who don’t need a parking space.

    “People who predict this tend to work in tall buildings,” he told a crowd of more than 3,000 at the Sohn Investment Conference in New York Wednesday, referring to urbanites who powered Uber’s ascension. Einhorn made his proclamation as he pitched Greenlight’s bullish position in GM. “We don’t think ride-sharing will have a material impact on auto sales for many years, if ever.”

    His skepticism runs counter to surveys suggesting that one-fifth of Uber users are delaying buying a car because of the availability of the service. Yet at Sohn, fellow hedge fund manager John Khoury echoed Einhorn’s notion that the death of 20th-century industry players is far from certain.

  • I finally took the time to read “The Cook and the Chef: Musk’s Secret Sauce” http://waitbutwhy.com/2015/11/the-cook-and-the-chef-musks-secret-sauce.html yesterday, I highly recommend it as well as the two previous posts in the series: “How Tesla Will Change The World” http://waitbutwhy.com/2015/06/how-tesla-will-change-your-life.html and “How (and Why) SpaceX Will Colonize Mars” http://waitbutwhy.com/2015/08/how-and-why-spacex-will-colonize-mars.html

    Yes I know, that’s a lot of reading, and you’re busy. So am I, but I found the time to read them, and I think it was time well spent.

    #Irrationality and #Tribalism versus #Logic and #Independence
    #Future #Technology #PeakOil #ClimateChange #Cars #Space #Mars