city:annemasse

  • La justice française estime avoir déjoué une tentative d’assassinat d’un opposant congolais
    https://www.lemonde.fr/international/article/2018/09/15/la-justice-francaise-estime-avoir-dejoue-une-tentative-d-assassinat-d-un-opp

    Les deux anciens agents de la DGSE mis en examen mercredi auraient projeté d’éliminer Ferdinand Mbaou, un ancien militaire prêt à en découdre avec le régime de Denis Sassou-Nguesso.

    La justice estime avoir déjoué une opération visant à assassiner, sur le sol français, l’opposant congolais Ferdinand Mbaou. Deux anciens agents de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), Daniel Forestier et Bruno Susini, ont été mis en examen, mercredi 12 septembre, au tribunal de grande instance de Lyon, pour « participation à une association de malfaiteurs » et « détention d’explosif ». Ils ont été placés sous contrôle judiciaire contre l’avis du parquet, qui avait requis un mandat de dépôt. Le ministère public a fait appel de cette décision. Un troisième homme, Alain Brunet, a été entendu sous le statut de témoin assisté. Une information judiciaire a été ouverte le même jour et confiée à la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS).

    Tout s’est passé très vite. Le vendredi 7 septembre, la Direction générale du renseignement intérieur (DGSI) transmet au parquet de Lyon le fruit de ce qu’elle décrit comme un « entretien » avec Daniel Forestier mettant en évidence le projet d’élimination de Ferdinand Mbaou. La rencontre aurait eu lieu au commissariat d’Annemasse (Haute-Savoie), les 31 août et 1er septembre.

    L’ex-agent de la DGSE, qui affirme être un ancien militaire de carrière ayant servi quatorze ans au sein du service action, aurait, selon les dires de la DGSI, revendiqué être à la tête d’un groupe constitué pour tuer l’opposant congolais qui réside à Bessancourt, dans le Val-d’Oise. La motivation avancée porterait sur le fait que celui-ci « cherchait à renverser le président actuel » de la République du Congo, Denis Sassou-Nguesso. D’après les propos de M. Forestier, toujours rapportés par les agents de la DGSI, des repérages auraient été réalisés en mai et en juin de cette année en région parisienne. Il aurait néanmoins ajouté qu’il considérait que « le projet n’était pas réalisable ».

    Aucune protection

    Une enquête préliminaire est ouverte le jour même de la transmission des renseignements de la DGSI. Les 8 et 9 septembre, les policiers procèdent aux interpellations en Corse, en Haute-Savoie et à Orléans. Lors des gardes à vue, les trois personnes entendues, dont Daniel Forestier, démentent, néanmoins, l’existence de ce complot criminel.

    Pour étayer l’accusation, le parquet fait alors auditionner, le 11 septembre, les deux agents de la DGSI qui avaient recueilli les propos de l’ex-agent de la DGSE au commissariat d’Annemasse. Ils ont repris, dans le détail, les éléments déjà fournis sous forme de note de renseignement le 7 septembre et ont ajouté que l’élimination devait intervenir avant la fin de l’année. Au terme de leur « entretien », en dépit du risque encouru par la cible, ils disent avoir reçu « ordre de laisser [M. Forestier] repartir librement ».

    L’ancien général congolais devenu opposant en exil, M. Mbaou, aujourd’hui âgé de 62 ans, a déjà fait l’objet d’une tentative d’assassinat, le 10 novembre 2015, dont la justice est toujours saisie. L’attaque avait été perpétrée derrière son domicile. Il vit, depuis, avec une balle logée dans le bas du dos. « Je sais que le régime de Denis Sassou-Nguesso cherche à nous assassiner et est prêt à envoyer des agents du Congo ou à recruter des tueurs en France qu’ils paient des millions de dollars détournés des caisses de l’Etat », a-t-il affirmé au Monde, au téléphone.

    Depuis cette première tentative, M. Mbaou dit avoir reçu d’autres menaces. « Il y a environ un mois, j’ai alerté les services français après avoir reçu des SMS et des appels de menaces de mort », nous a-t-il confié. Interrogé, par Le Monde, sur le projet d’assassinat qui a été dénoncé par la DGSI à la justice, il assure ne pas en avoir été informé. De même, il ne bénéficierait, aujourd’hui, d’aucune protection.

    Un opposant radical à Denis Sassou-Nguesso

    Nommé général une semaine avant la chute du président Pascal Lissouba en octobre 1997, renversé par les miliciens de Denis Sassou-Nguesso, M. Mbaou a effectué une partie de sa formation militaire au centre national d’entraînement commando (CNEC) de Mont-Louis, dans les Pyrénées-Orientales.

    Il se décrit comme un opposant radical, perçu, par certains de ses compatriotes, comme « un matamore » aux discours belliqueux. « On ne peut pas désarmer ce régime sans des armes, et je suis prêt à prendre les armes », insiste-t-il. Ces propos vindicatifs et ces intentions putschistes lui ont valu le gel de ses avoirs par les autorités françaises, « à quatre reprises depuis 2015 », note-t-il.

    Néanmoins, selon des spécialistes de cette région d’Afrique, Ferdinand Mbaou ne constituerait pas une réelle menace pour le régime actuellement à la tête du Congo. En revanche, son discours politique offensif serait habilement utilisé par des sociétés de sécurité privées pour nourrir la peur de certains chefs d’Etats africains sur l’existence d’une menace sécuritaire. De quoi, ensuite, ouvrir la voie à la signature de juteux contrats de protection.

    Enfin, une autre inquiétude pourrait justifier une éventuelle opération du régime de Brazzaville contre M. Mbaou. Il existerait, en effet, des liens entre ce dernier et le réputé brutal général Nianga Mbouala, qui a été écarté de la tête de la garde présidentielle après avoir été soupçonné de fomenter un coup d’Etat.

    « Qui cherche-t-on à déstabiliser et pourquoi ? »

    Dans ce contexte, Denis Sassou-Nguesso, réputé pour ses méthodes musclées, et son neveu, le puissant patron des services de sécurité, Jean-Dominique Okemba, pourraient ne pas avoir lésiné sur le recours aux services de sociétés de sécurité ou d’intelligence économique française pour faire surveiller les opposants.

    Jointe par Le Monde, l’avocate de Bruno Susini, Me Marie-Alix Canu-Bernard, a estimé qu’il s’agissait « d’une procédure ahurissante construite sur une simple déclaration anonyme et sans qu’aucune enquête judiciaire, ni même aucune vérification des propos tenus ne soient réalisées. On peut légitimement s’interroger sur les réelles motivations de cette affaire et de sa médiatisation. Qui cherche-t-on à déstabiliser et pourquoi ? »

    L’avocat d’Alain Brunet, Me Benjamin Audouard, s’est borné à souligner que son client n’était « qu’un acteur secondaire de l’affaire » et que le parquet de Lyon lui-même indiquait qu’il s’agissait « d’une procédure particulière ».

    Le conseil de Daniel Forestier, Me Cédric Huissoud, n’a pas souhaité répondre à nos questions. Son client, par ailleurs auteur de livres d’espionnage, a publié plusieurs ouvrages dans lesquels il relate ses missions en France et à l’étranger. Dans l’un d’eux, il mentionne, en exergue, cette phrase de Jean Cocteau, « Pour bien tuer l’ours, vendez d’abord sa peau. »

  • Contre les saigneurs du G8, le VAAAG ouvrait ses portes le 28 mai 2003 à Annemasse
    https://rebellyon.info/28-mai-2003-debut-du-VAAAG-contre-les-19189

    Un autre contre-sommet est il possible ? En 2003, à l’occasion du G8 d’Évian, et après les contre-sommets de Gênes en 2001 ou le No-Border Camp de Strasbourg en 2002, les militant.e.s anti-autoritaires et libertaires tenteront de répondre par la positive. Le résultat sera le VAAAG, pour Village Alternatif, Anti-Capitaliste et Anti-Guerre, qui se tiendra à Annemasse du 28 mai au 3 juin 2003. Une tentative d’autogestion et de lutte collective.

    #Mémoire

    / #Globalisation_-_capitalisme, #Fêtes_-_Festivals_-_Vie_du_mouvement, Une

  • Militants promigrants : « Notre réaction, c’est la solidarité et on nous réprime pour nos idéaux »
    François Carrel, Libération, le 24 mai 2018
    http://www.liberation.fr/france/2018/05/24/militants-promigrants-notre-reaction-c-est-la-solidarite-et-on-nous-repri

    « Nous sommes en colère. Nous ne baisserons pas la tête, malgré la répression. On cherche à faire peur aux personnes solidaires des migrants, mais nous n’avons pas peur. » Une semaine avant leur procès qui se tiendra le 31 mai à Gap (Hautes-Alpes), Bastien, 26 ans, et Théo, 24 ans, deux Suisses de la région de Genève, ont décidé de s’exprimer devant la presse, jeudi à Annemasse, petite ville haut-savoyarde proche de Genève. Ils sont poursuivis pour avoir « facilité ou tenté de faciliter l’entrée irrégulière en France » de migrants, des « faits commis en bande organisée » selon le parquet de Gap et passibles d’une peine de dix ans de prison, de 750 000 euros d’amende et d’interdiction du territoire français.

    Le 22 avril, ils avaient participé à une marche de militants engagés promigrants, au col de Montgenèvre, sur la frontière franco-italienne, en réaction au happening de militants d’extrême droite de Génération identitaire organisé au même moment sur le col voisin de l’Echelle. En se mêlant à cette manifestation improvisée, une vingtaine de migrants avaient pu passer la frontière. Bastien et Théo, ainsi qu’une Italienne de 24 ans, Eleonora, avaient été interpellés à l’issue de la marche. Présentés devant les juges en comparution immédiate, ils avaient obtenu le report de leur procès mais avaient été placés en détention provisoire, aux Baumettes à Marseille. Leurs avocats avaient obtenu leur libération onze jours plus tard, sous strict contrôle judiciaire, avec obligation de résider en France et l’interdiction de s’exprimer sur les réseaux sociaux. Ils avaient reçu le soutien d’un millier de personnalités françaises, suisses et italiennes, toutes signataires d’un texte de l’écrivain italien Erri de Lucas.

    « Nous sortons du silence, pour alerter sur ce que nous avons vu. La situation aux frontières est désastreuse », précisent Théo et Bastien, expliquant que si « la répression est dure à vivre pour nous, elle l’est encore plus pour les migrants ». « Notre séjour en prison a amplifié notre détermination », précise Bastien, mais c’est surtout la situation à la frontière qui révolte les deux jeunes au discours anticapitaliste assumé : « La répression de la solidarité avec les migrants est une honte, alors que des vies sont en jeu. Nous, Européens, passons cette frontière sans la voir, mais les migrants, eux, y meurent. Génération identitaire et la police ont une responsabilité. Dernièrement, deux personnes sont mortes, dont une qui se serait noyée en voulant échapper à la police. Il ne nous est pas possible de rester impassibles face à ça », insiste Théo.

    Deux corps de migrants ont effectivement été découverts près de Briançon ces dernières semaines. Le 9 mai, une jeune Nigériane de 20 ans, Blessing Matthew, a été retrouvée noyée dans la Durance. Le réseau d’aide aux migrants de Briançon est affirmatif : la jeune femme, après avoir passé la frontière et peu avant sa disparition, avait été poursuivie en pleine nuit et sans succès par la police. Une enquête pour « recherche des causes de la mort » est en cours sous la direction du parquet de Gap. Le 18 mai, le corps d’un homme noir a été découvert dans un bois sous le col de Montgenèvre, « mort d’épuisement » selon le collectif local Tous migrants qui s’appuie là encore sur le témoignage d’un de ses compagnons d’infortune. Une autre enquête a été ouverte par le parquet. « Notre réaction, c’est la solidarité, et on nous réprime pour nos idéaux, ajoute Théo. Le fait de fermer les yeux sur les délits de Génération Identitaire et de nous mettre aux Baumettes parce qu’on a fait une marche solidaire montre la partialité du parquet de Gap ! C’est deux poids deux mesures, il y a un réel acharnement contre nous. Nous avons été pris comme boucs émissaires, de façon arbitraire. »

    A l’issue de la conférence de presse, Bastien avoue : « Nous ne sommes pas très à l’aise avec le fait de nous mettre en avant quand d’autres sont directement concernés… Mais cela nous est tombé dessus ! » Sa mère, Laurence Stauffer-Cart, dit, sereine : « Bastien est cohérent, authentique, il ne triche pas. Théo et lui ont à mes yeux beaucoup de mérite de ne pas s’arrêter à leur petite cause et de prendre le risque de dire ce qu’ils doivent dire. Ils ne peuvent faire autrement que de s’offusquer et de crier leur souhait de plus de justice, d’un monde qui soit bon. Ils ont tout mon soutien ». Le 31 mai devant le tribunal de Gap, leurs avocats seront accompagnés pour plaider leur cause du pénaliste Henri Leclerc, avocat entre autres de la Ligue des droits de l’homme.

    #France #Italie #migrants #Frontière_sud-alpine #frontières #Briançon #fascistes #police #violence_policière #antifas #résistance #Hautes-Alpes #asile #migrations #réfugiés #parcours_migratoires #montagne #aintnomountainhighenough

    Voir la compilation ici :
    https://seenthis.net/messages/688734

  • Deux pilotes français achètent un avion pour sauver des migrants en Méditerranée

    http://www.lemonde.fr/societe/article/2018/05/01/deux-pilotes-francais-achetent-un-avion-pour-sauver-des-migrants-en-mediterr

    Les jumelles sont prêtes, les provisions aussi. Tout sera bientôt à bord du MCR-4S, le petit avion de Benoît Micolon et José Benavente. Acheminé le 30 avril depuis Annemasse (Haute-Savoie), le Colibri n’a pas grand-chose à voir avec les autres coucous de la base maltaise, garés là avant une petite balade touristique pour se défroisser les ailes.

    Lui doit décoller le 2 mai, « pour quadriller le rectangle de 150 kilomètres de l’est à l’ouest, sur 50 kilomètres au nord de Tripoli ; la zone dans laquelle se concentrent le maximum de sauvetages et les naufrages », observe José Benavente, 49 ans, le père de ce projet original d’appui aux bateaux ONG qui portent secours aux migrants en Méditerranée.

    Avec Benoît Micolon, 35 ans, ils veulent devenir les yeux de la mer. Les deux Français, qui se sont connus sur les bancs de l’école de pilotage en 2006, viennent d’investir la totalité de leurs économies – soit 130 000 euros – pour s’offrir le Colibri, l’avion qui sauvera des vies. « Il y a urgence à assister les navires ONG en repérant les canots et en les leur signalant en même temps qu’au MRCC, l’organisme officiel italien qui gère les sauvetages », rappelle José Benavente.

    « Au départ, on avait pensé monter une opération de crowdfunding pour trouver de l’argent, mais ça aurait pris trop longtemps. Le printemps est là, les départs de Tripoli reprennent », observe José Benavente, qui remonterait bien le temps s’il le pouvait… « Quand les humanitaires de SOS Méditerranée [une des ONG présente au large de Tripoli, avec l’Aquarius, son bateau] nous ont expliqué le mal qu’ils avaient à repérer les canots dans les vagues, on a compris qu’on pouvait vraiment être utile, tout de suite », ajoute-t-il. L’idée des vies en jeu chaque jour les pousse à brûler les étapes, prenant juste le temps de déposer les statuts de leur association le 28 janvier, de trouver l’avion, l’acheter, lui faire installer un pilote automatique pour pouvoir se concentrer sur la mer, un système satellite pour communiquer avec les ONG et un réservoir suffisamment grand pour voler dix heures d’affilée.

  • texte intéressant qui inscrit les zad dans une histoire politique, loin des clichés véhiculés par les médias, sans parler des délires de certains tentant de faire passer la zad de nddl pour un « vietnam des pauvres » (lire l’hilarant et intelligent article de Télérama : http://www.telerama.fr…/a-notre-dame-des-landes,-le-vietna… )
    par contre il me semble que l’auteur - Guillaume Origoni - ne fait que caresser un aspect politique sans jamais le nommer : l’écologie. il me semble que c’est pourtant un aspect essentiel des zones à défendre... car ce qu’elles défendent c’est aussi un rapport à notre environnement, en questionnant la société productiviste et marchande dans laquelle nous vivons, ainsi que les politiques d’aménagement du territoire. c’est un point de rencontre entre la tradition urbaine de la mouvance libertaire et celle de l’écologie radicale (qui peut parfois être éloignée dans sa vision du monde de celle des libertaires). l’auteur le décrit sans l’écrire quand il parle des zad comme des usines pour « la légitimité et l’identité de l’ultra-gauche actuelle ». car cette identité a du intégrer - ou développer - l’écologie dans son corpus idéologique. on pourrait alors ouvrir les références vers Murray Bookchin (qui irrigue également peut-être moins pour l’écologie que pour le le communalisme libertaire, le combat des Kurdes), vers d’autres expériences de vie collectives comme Tarnac, Longomaï ou la Vieille Valette. il faudrait aussi parler de l’influence qu’ont pu avoir les expériences de campements provisoires contre les frontières (comme le camp no border à Strasbourg en 2002), qui eux-même influencèrent la forme des mobilisations contre les sommets internationaux avec par exemple en 2003 le Village alternatif anticapitaliste anti-guerres (vaaag) à Annemasse, en plein mouvement altermondialiste. ces expériences portaient en elles les germes des zad. les questions écologiques étaient déjà fortement inscrites dans les fondations de ces expériences. il y eut d’ailleurs un camp action climat en 2009 à nddl à la suite duquel les premiers zadistes s’installèrent.

    sinon, deux remarques. il me semble qu’il y a une erreur dans ce passage de l’article : « Le gouvernement d’Édouard Philippe semble à son tour inquiet de la charge qui lui incombe quant à la prochaine évacuation des militants restés présents à Notre-Dame-des-Landes, malgré le résultat de la consultation locale qui a dégagé une majorité favorable à l’extension de l’aéroport de Nantes. »
    Quand il parle de la consultation locale, l’auteur parle bien du referendum, on est d’accord ? mais il me semble pourtant que le referendum a donné une majorité à la construction du nouvel aéroport justement, et non l’extension de l’aéroport actuel. à moins que j’ai mal compris ce passage ?

    et plus trivialement (quoi que ?) pourquoi une affiche zapatiste pour illustrer l’article (dans la version publiée sur tempsprésents.com) ? il y aurait certainement bien des choses à dire sur l’influence que le mouvement indigène du sud-est mexicain peut avoir, aussi bien sur les aspects organisationnels, que dans le rapport à l’environnement sur une partie de la mouvance libertaire présente sur les zad. les zapatistes ne sont-ils pas d’une certaine manière à l’origine de la vague altermondialiste quand ils organisaient leurs rencontres intergalactiques, abandonnant la voie historique de la guérilla au sud des usa pour se muer en un mouvement mêlant mouvement armé et mouvement de la « société civile ». en cela la transition du pouvoir militaire de l’ezln vers un pouvoir civil dans les zones zapatistes, symbolisée par la transformation des « aguascalientes » en « caracoles », est révélatrice d’un changement d’époque.

    #zad #nddl

    https://jean-jaures.org/nos-productions/zad-zones-a-defendre-se-defendre-de-qui-pour-defendre-quoi

  • Bienvenue à l’action antifasciste d’Annecy
    http://lahorde.samizdat.net/2016/12/21/bienvenue-a-laction-antifasciste-dannecy

    Une Action antifasciste vient de se monter sur Annecy : collages d’affiches et de stickers, et peut-être bientôt des concerts, des manifestations… Pour les rejoindre et renforcer la présence antifasciste sur la ville, vous pouvez les contacter sur Facebook. Il y a quelques mois, c’était l’Action Antifasciste 74 qui voyait le jour, plutôt présente sur Annemasse [&hellip

    #Initiatives_antifas #Non_classé

  • Annecy (74) : face à Gabriac et au FN, mobilisation antifasciste réussie
    http://lahorde.samizdat.net/2016/10/31/annecy-74-face-a-gabriac-et-au-fn-mobilisation-antifasciste-reussi

    Compte rendu de la mobilisation anti-FN à Annecy par l’Action antifasciste 74 (en complément, une vidéo de LIbreinfo74 est visible ici) : En vue des élections présidentielles de 2017, la stratégie du FN est claire : tester sa capacité de mobilisation et de communication. Le rassemblement anti-migrantEs de ce samedi 29 octobre à Annecy fait [&hellip

    #Initiatives_antifas #Alexandre_Gabriac #Autour_du_Lac #Front_National

  • http://emmabuntus.sourceforge.net/blog/le-22-juin-2014-emmabuntus-2-fete-le-salon-emmaus

    Cette mise à jour est livrée pour améliorer le travail de reconditionnement des communautés Emmaüs qui utilisent Emmabuntüs, et nous soutiennent comme Emmaüs : Paris, Montpellier et Annemasse.

    Pour la première fois le travail de reconditionnement sous Emmabuntüs sera présenté sur l’ allée des métiers du Salon Emmaüs de Paris par Vasile de la communauté d’Emmaüs Paris.

    #emmaüs
    #emmabuntüs
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    #salon Emmaüs Paris