city:anonymous

  • Anonymous revendique une attaque du site du Parti socialiste
    http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/01/26/anonymous-revendique-une-attaque-du-site-du-parti-socialiste_4853882_4408996

    https://www.youtube.com/watch?v=ml1A51TwMn0

    Le site du Parti #socialiste subissait d’importantes perturbations mardi 26 janvier dans la matinée. L’affichage du site était très ralenti, voire impossible pour certains internautes. En cause, une attaque par déni de service (#DDOS), qui consiste à saturer un site de requêtes, revendiquée par le groupe informel de pirates Anonymous.

    Dans une vidéo de deux minutes publiée dans la matinée sur YouTube, Anonymous France fustige l’état d’urgence :

    « L’état d’urgence dans lequel le pays a été mis par le gouvernement de François Hollande commet des abus, nous entendons par là des assignations à résidence, perquisitions et arrestations non fondées, et cela même quand ce sont des opposants écologistes au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, eux qui n’ont rien à voir avec les terroristes pour lesquels cet état d’urgence a été créé. »
    Le terrorisme, « une excuse »

    Le groupe proteste aussi « contre l’atteinte à la vie privée que pratique l’Etat français à l’égard de ses citoyens » et considère que le terrorisme est utilisé comme une « excuse pour nous tromper, pour mieux nous surveiller, nous endormir et nous contrôler ». Anonymous précise ne vouloir « aucunement faire de la politique » [sic] : « Nous visons uniquement le site du Parti socialiste car il est le parti du dictateur [sic] Hollande. »

    Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, a de son côté dénoncé cette attaque, écrivant sur Twitter que « les dictateurs sont ceux qui portent atteinte au droit d’expression des partis ».

    • Les sites de l’Assemblée nationale, du Sénat et de Pôle emploi victime d’une attaque informatique
      http://www.lemonde.fr/pixels/article/2016/01/27/le-site-de-l-assemblee-nationale-victime-d-une-attaque-informatique_4854548_

      Le site Internet de l’Assemblée nationale a été temporairement inaccessible, mercredi 27 janvier en fin de matinée, à la suite d’une attaque informatique par déni de service – une forme d’attaque consistant à saturer un site de connexions pour en bloquer l’accès, relativement simple à mettre en place. Le site du Sénat connaissait également des perturbations, ainsi que le site de Pôle Emploi, de façon plus limitée. Cette attaque est intervenue au moment où la commission des lois commençait ses auditions sur le projet de réforme constitutionnelle. (...)

      Dans un message publié sur YouTube, [Anonymous] affirmait vouloir protester contre l’#état_d’urgence et le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes :
      « L’état d’urgence dans lequel le pays a été mis par le gouvernement de François Hollande commet des abus [ahahah, ndc] , nous entendons par là des assignations à résidence, perquisitions et arrestations non fondées, et cela même quand ce sont des opposants écologistes au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, eux qui n’ont rien à voir avec les terroristes pour lesquels cet état d’urgence a été créé. »

      https://twitter.com/AnonymousArmyFr

  • #J_HACK : le kit de survie en milieu numérique hostile | kitetoa
    http://reflets.info/j_hack-le-kit-de-survie-en-milieu-numerique-hostile

    Formidable outil d’échanges et de communication, Internet est également une redoutable machine à surveiller. Comment journalistes et activistes doivent-ils appréhender les nouveaux outils de communication ? De Wikileaks à Anonymous, en passant par le mouvement Occupy, les modalités de l’investigation journalistique et de l’engagement citoyen ont été profondément bouleversées au cours des derniers mois. Le site de Julien Assange a bousculé les habitudes des journalistes en diffusant librement l’information à sa disposition. De son côté, Occupy Wall Street doit son succès à la manière dont il a su occuper l’espace médiatique, mais communiquer ouvertement sur ses opérations a rendu le mouvement plus vulnérable. Quelle stratégie adopter face au dispositif de surveillance des régimes autoritaires ou aux « indiscrétions » des autorités ? Comment mettre en place les moyens légitimes de confidentialité nécessaires aux journalistes ou aux citoyens ? Dans un monde dans lequel nous laissons toujours plus de traces, où placer le curseur entre transparence et confidentialité ? Reporters sans frontières, Silicon Maniacs, La Cantine, Reflets.info et TELECOMIX s’associent pour inviter journalistes et hackers à débattre de ces questions autour d’une table ronde, le 25 février 2012, à 18h à La Cantine. Inscription obligatoire pour la table ronde sur le site de la Cantine Au programme : (...)

  • Stratégie cryptique de la DCRI et désinformation de Numerama | KheOps
    http://reflets.info/strategie-cryptique-de-la-dcri-et-desinformation-de-numerama

    Deux perles toutes fraîches viennent d’arriver. Ou plutôt, une information, mais par deux voies différentes. Il s’agit de l’arrestation de plusieurs personnes par la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) suite à une attaque DDoS du site Web d’EDF en juin dernier. J’ai eu vent de l’information en tout premier par un article sur Numerama, écrit par un certain Julien L. Il titre « Des Anonymous présumés en garde à vue pour une attaque DDOS ». Essayons d’expliciter le titre. Il y aurait donc, mis en garde à vue, des Anonymous présumés. Nous sommes bien d’accord : tout comme on parle parfois de « meurtrier présumé », ici nous sommes faces à des « Anonymous présumés » ayant réalisé un DDoS. Ce deuxième point n’est d’ailleurs même pas présumé, il est apparemment déjà sûr et certain. Pour être sûr que ce soit bien l’appartenance à Anonymous qui est problématique, l’auteur en remet une couche en guise d’introduction : Trois internautes suspectés d’appartenir au collectif

  • La presse et les hackers : un amour non assumé | bluetouff
    http://reflets.info/la-presse-et-les-hackers-un-amour-non-assume

    NDLR : Cet article initialement publié sur le blog Crise-de-foi.com récemment disparu a été récupéré dans le cache de Google. Nous avons pris cette initiative pour illustrer notre réponse à venir aux lecteurs du Figaro, suite à une grossière manipulation par l’image qui assimile les Hackers de Telecomix à Anonymous. *Le texte que vous allez lire est le fruit d’un travail commun de Tris Acatrinei et Bluetouff* Personne ne s’accorde à dire ce que sont vraiment les hackers, y compris ces derniers, qui peuvent passer des heures à disserter dessus. Pourtant une chose est certaine : la France n’aime pas les hackers. Historiquement, les hackers ont toujours été considérés comme des cyber-criminels. Tout d’abord par les autorités, qui les ont surveillé, infiltré , pour finir par réduire à néant toute possibilité de rassemblement et de travail collaboratif. Les autorités ne comprenaient pas les travaux des hackers. Détourner un objet de son utilisation première pour pouvoir