city:bourj

  • Craignant pour son monopole sur le trafic de la drogue le Hezbollah se substitue à l’état pour éliminer ses concurrents

    Le défilé militaire de la banlieue sud ou les nouveaux embarras du Hezbollah - Sandra NOUJEIM - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1044440/le-defile-militaire-de-la-banlieue-sud-ou-les-nouveaux-embarras-du-he

    En effet, selon des sources chiites indépendantes, le parti souhaiterait moins combattre la criminalité dans le souci d’assainir le quotidien de sa base populaire que combattre ceux qui « lui font de la concurrence ». Il chercherait ainsi à asseoir « son monopole sur le trafic de drogue, comme il l’avait fait quelques années auparavant pour le Captagon ». Le fait qu’« aucun baron du Captagon n’ait été arrêté lors des poursuites récentes menées conjointement par le Hezbollah et les services de l’État » ne serait donc pas le fruit du hasard. En revanche, auraient été effectivement poursuivis des trafiquants de drogue « autonomes, la plupart issus de tribus, comme les Moqdad ». Cette sélectivité ne sera pas, selon ces sources, sans « créer de nouvelles tensions entre le parti et les tribus », qu’il n’a pu d’ailleurs domestiquer que par la force dans les années 80. Le déploiement d’éléments du Hezbollah à Bourj Brajneh renverrait donc un message d’intimidation à ceux qui, parmi ses propres gens, auraient des raisons d’être mécontents. D’autres « affaires internes » au Hezb en lien avec les résultats des récentes élections au sein du parti sont également évoquées par des milieux informés.

    #hezbollah #trafics #captagon

  • « Plaqué au sol, le kamikaze tentait d’actionner sa ceinture d’explosifs » - Zeina ANTONIOS - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1030771/-plaque-au-sol-le-kamikaze-tentait-dactionner-sa-ceinture-dexplosifs-

    L’auteur de l’attaque déjouée est un jeune Libanais originaire de Saïda, Omar Hassan Assi. Il portait sur lui sa carte d’identité au moment des faits. Un expert de l’armée, qui a examiné sa ceinture d’explosifs, a indiqué que celle-ci comportait une charge de 8 kilos ainsi que des billes de fer, dans le but d’occasionner le maximum de dégâts. Peu après l’arrestation de Assi, l’armée a mené samedi soir une perquisition dans l’immeuble où ce dernier vit avec sa famille dans le quartier de Charhabil, à Saïda, et arrêté ses deux frères, ainsi qu’une personne de la famille Boukhari et une autre de la famille Halabi. La chaîne LBCI rapporte que l’ordinateur et le téléphone portable de Assi ont été saisis.

    Une source bien informée du déroulement de l’enquête a confié que Omar Assi a reçu une balle à l’épaule lors de son arrestation. Il a ensuite été transporté à l’hôpital de l’Université américaine de Beyrouth puis à l’hôpital militaire afin d’y être soigné. La source rapporte que Assi a avoué être membre de Daech, après avoir fait partie des supporteurs du prédicateur radical sunnite Ahmad el-Assir (arrêté en août 2015 pour avoir combattu l’armée à Abra en juin 2013).

    Assi serait venu vendredi à Beyrouth, accompagné de deux personnes, à bord d’une voiture de type Nissan, afin de faire des repérages et avait trouvé que le café Costa était le plus fréquenté. Le jeune homme, qui avait caché la ceinture d’explosifs sous le siège de sa voiture, a passé la nuit du vendredi dans le camp palestinien de Bourj Brajneh. Le samedi soir, il a enfilé sa ceinture piégée et s’est rendu à Hamra, sans savoir qu’il était suivi par trois voitures des renseignements de l’armée et des FSI. Sept membres des services de sécurité attendaient également en civil sur le trottoir, alors que quatre membres des renseignements de l’armée étaient attablés à l’extérieur du café.

    Assi a avoué ne pas penser qu’il pouvait être surveillé à ce point. Il a précisé avoir reçu l’ordre de se faire exploser par Daech, accompagné d’une fatwa émise par un cheikh de Aïn el-Héloué. Il a donné à l’armée les noms de ses amis membres de Daech à Saïda ainsi que les noms des deux personnes qui l’ont accompagné à Beyrouth et qui ont abandonné leur voiture et disparu à Bourj Brajneh.

  • The Peaceful Settlement of Syrian Refugees in the Eastern suburbs of Beirut: Understanding the causes of social stability | Civil Society Knowledge Centre
    http://cskc.daleel-madani.org/paper/peaceful-settlement-syrian-refugees-eastern-suburbs-beirut-under

    Since early 2011, the few episodes of violence involving refugees in Lebanon have been covered extensively. Yet, given the high numbers of displaced people, the proximity of the battles, and the pre-existing pressures in Lebanon, one could have expected many more clashes to take place. This article focuses on the densely populated municipality of Bourj Hammoud, where the proportion of registered Syrian refugees has reached a fifth of the local population without leading to any major violent episodes. Based on extensive ethnographic study, this article explains the social stability that prevailed by highlighting mechanisms of regulation and control, the management of the influx of refugees by local actors, and the agency of the refugees themselves in the settlement process.

  • Liban-déchets : retour en arrière ?
    Déchets : trois dépotoirs... dernière manche pour Salam ? - S. N. - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/974697/dechets-trois-depotoirs-derniere-manche-pour-salam-.html

    Le ministre Nazarian a ainsi révélé que le Tachnag « accepte en principe l’aménagement d’un dépotoir à Bourj Hammoud, mais à condition que les contreparties soient suffisamment bénéfiques ».

    Respirons un bon coup l’air de la côte ! Souvenirs, souvenirs olfactifs des années 1990

  • Un réfugié palestinien s’immole par le feu à Bourj Chémali - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/964579/un-refugie-palestinien-simmole-par-le-feu-a-bourj-chemali.html

    L’immolation de Mohammad Khodeir a suscité un mouvement d’émotion dans les camps de réfugiés palestiniens du Liban. À Saïda, dans le camp de Aïn el-Héloué, une délégation du comité populaire a fermé les portes de l’Unrwa, forçant les employés à sortir de leurs bureaux. Un porte-parole du comité a estimé que « l’Unrwa est en train d’humilier le peuple palestinien en le privant notamment de son droit d’accès à l’hospitalisation ». « Les agissements de l’Unrwa visent à pousser les réfugiés palestiniens à l’émigration, les privant ainsi de leur droit au retour », a-t-il dit.

  • A #Beyrouth : « Pourquoi #Facebook n’a pas créé de bouton “Safety check” pour nous » ?
    http://www.lemonde.fr/attaques-a-paris/article/2015/11/15/pourquoi-facebook-n-a-pas-cree-de-bouton-safety-check-pour-nous_4810469_4809

    « Et nous ? » Ces deux mots tout simples résument la réaction de nombreux habitants du monde arabe, face à l’émotion planétaire suscitée par les tueries de Paris. Passé la stupeur et l’effroi, ressentis de façon quasi unanime, un sentiment d’amertume a très vite percé sur les réseaux sociaux au Proche-Orient. Au #Liban par exemple, des commentaires, relayés sur la Toile des dizaines de milliers de fois, ont déploré le fait que l’#attentat commis à Bourj El-Barajneh, dans la banlieue sud de Beyrouth, qui a fait 43 morts jeudi 12 novembre, n’ait pas déclenché la même réprobation internationale que les attaques commises vingt-quatre heures plus tard à Paris.

    #indifférence

  • Les principaux attentats au Liban depuis le début du conflit en Syrie - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/954467/les-principaux-attentats-au-liban-depuis-le-debut-du-conflit-en-syrie

    Le double attentat qui a fait entre 41 et 43 morts selon les sources jeudi à Bour el-Barajneh, dans la banlieue-sud de Beyrouth, est l’un des plus meurtriers au Liban depuis le début du conflit en Syrie en 2011.
    La banlieue-sud de Beyrouth, où le Hezbollah est très fortement implanté, a été visée à plusieurs reprises par des attentats depuis l’engagement, début 2013, du mouvement chiite aux côtés des forces loyales à Bachar el-Assad en Syrie.

     

    –2012-
    – 19 oct - Un attentat à la voiture piégée contre le chef des renseignements de la police Wissam al-Hassan, bête noire du régime syrien, fait au total huit morts et 86 blessés dans le quartier d’Achrafieh, à Beyrouth.
    L’attentat est attribué au régime de Damas par l’opposition libanaise et des experts.

     

    –2013-
    – 15 août - Un attentat à la voiture piégée à Roueiss, dans la banlieue sud de Beyrouth, fait 27 morts et 336 blessés.
    – 23 août - Un double attentat à la voiture piégée contre des mosquées à Tripoli (nord) fait 45 morts, l’attaque la plus meurtrière depuis la fin de la guerre civile (1975-1990).
    – 19 nov - L’ambassade d’Iran est visée par un double attentat suicide qui fait 25 morts, dont l’attaché culturel iranien et près de 150 blessés. L’attaque, revendiquée par les Brigades Abdallah Azzam, un groupe jihadiste sunnite lié à el-Qaëda, s’est produite à Bir-Hassan, un quartier résidentiel du sud de Beyrouth à majorité chiite.
    – 27 déc - Un attentat à la voiture piégée en plein coeur de Beyrouth coûte la vie à sept personnes dont Mohammad Chatah, un influent membre de la coalition du « 14-Mars » hostile au régime syrien et au Hezbollah.

     

    –2014-
    – 2 janv : Cinq morts et plus de 70 blessés dans un attentat suicide à la voiture piégée qui frappe une rue très fréquentée du quartier de Haret Hreik, dans la banlieue sud de Beyrouth.
    – 21 janv - Quatre personnes sont tuées et 35 blessées par une explosion dans la même rue commerçante du sud de Beyrouth. Le « Front al-Nosra au Liban », considéré comme une branche d’un groupe syrien lié à el-Qaëda, revendique l’attentat.
    – 19 fév - Un double attentat suicide aux voitures piégées contre le centre culturel iranien à Beyrouth, fait 11 morts. L’attentat, revendiqué par les Brigades Abdallah Azzam, est le neuvième dans un fief du Hezbollah depuis l’annonce en juillet par le mouvement chiite qu’il combattait aux côtés des forces gouvernementales contre la rébellion sunnite en Syrie.

     

    – 2015-
    – 12 nov - 41 morts et près de 200 blessés dans un double attentat suicide à Bourj al-Barajneh, dans la banlieue-sud de Beyrouth. L’attentat, revendiqué par le groupe jihadiste sunnite Etat islamique (EI), est l’un des plus meurtriers au Liban depuis la fin de la guerre civile.

  • Site du Costa Brava : un nœud ou une solution - Suzanne BAAKLINI - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/952725/site-du-costa-brava-un-noeud-ou-une-solution.html

    Une nouvelle modification a été apportée hier au plan de sortie de crise, concernant les déchets, préparé par la commission d’experts présidée par le ministre de l’Agriculture Akram Chehayeb : il semble que l’idée d’une décharge au Sud ou dans la Békaa (que devait assurer le Hezbollah et Amal) soit pratiquement abandonnée. Aux dernières nouvelles, selon des sources bien informées, on serait face au schéma suivant : la décharge de Srar au Akkar, une autre sur la côte de Choueifate, connue sous le joli nom de « Costa Brava », l’usine de Saïda (qui traitera 250 tonnes par jours), la décharge de Naamé (qui sera rouverte pour sept jours seulement, le temps d’y placer les déchets empilés depuis le 15 juillet) et, enfin, le dépotoir de Bourj Hammoud (sa réouverture d’ici à six mois devrait se faire dans le cadre de sa réhabilitation, suivant le plan Chehayeb). C’est, selon les informations de L’OLJ, l’acceptation ou le refus du site du Costa Brava qui déterminera l’avenir immédiat du plan. Nœud ou solution ? On devrait le savoir aujourd’hui.

    En effet, l’agence al-Markaziya indique « de sources bien informées » que la séance de dialogue prévue aujourd’hui sera décisive pour le dossier des déchets. Le député Talal Arslan, qui était auparavant opposé à l’établissement d’une décharge sur la côte de Choueifate, devra faire une intervention à ce sujet autour de la table de dialogue. Toujours selon l’agence, les contacts établis avec lui semblent présager d’une issue positive quant à l’adoption finale de ce site. Si tel est le cas, le Premier ministre Tammam Salam pourrait bien fixer une date pour un Conseil des ministres urgent, aujourd’hui ou demain, en vue de l’adoption des modifications du plan Chehayeb.

    Les avis favorables à l’installation d’une décharge sur la côte de Choueifate sont fondés sur le fait que cette portion du littoral a déjà subi d’importants dégâts environnementaux, et ne peut que bénéficier d’une réhabilitation qui la transformerait en décharge sanitaire : en effet, elle tombe en gros entre la décharge improvisée qui a accueilli les déblais suite aux destructions de la guerre de 2006, et la station de traitement des eaux usées (traitement primaire seulement) de Ghadir. Mais tout le monde ne l’entend pas de cette oreille. Hier, en soirée, un communiqué a été publié au nom des « associations de la société civile à Choueifate », qui relaie « un refus total de l’établissement d’une décharge dans la ville ou sur sa côte, et même de négociations à ce propos avec une quelconque partie officielle ». Ce communiqué « met en garde la population contre des dangers sanitaires et sécuritaires » et appelle à l’adoption d’un plan qui privilégie des pratiques telles que le tri à la source par exemple.
    Une « usine » prévue au Metn
    En attendant le feu vert en faveur du plan Chehayeb, le député Michel Murr a tenu hier une conférence de presse pour apporter une proposition de solution au problème des déchets du Metn-Nord. Il s’agit d’une usine de traitement des déchets pouvant être construite à Bourj Hammoud, dans un délai de six mois, selon M. Murr.
    Celui-ci a fait valoir que ce projet bénéficie déjà d’un décret adopté en 1990 et portant le numéro 682, qui n’avait jamais été appliqué jusque-là. Ce décret permet à la Fédération des municipalités du Metn-Nord de construire une usine de traitement sur un terrain de 100 000 mètres carrés sur les biens-fonds maritimes publics à Bourj Hammoud. Le député a précisé que le terrain en question tombe dans les limites de la municipalité de Bourj Hammoud, mais qu’il ne s’agit pas du dépotoir qui se trouve dans cette région. Il a également souligné que le projet devrait être financé grâce au paiement des fonds alloués aux municipalités du Metn et à la Fédération des municipalités, des dus qu’il a estimés à 30 milliards de livres libanaises provenant de la Caisse autonome des municipalités, et à 43 milliards des revenus du secteur du téléphone portable (en tout quelque 50 millions de dollars).

    Pour ceux qui s’intéressent à l’histoire longue des projets de remblai sur le littoral libanais, et leur articulation aux décharges, je me permets de renvoyer au chapitre 11 de ma thèse consultable ici : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00003919
    #littoral #déchets #Liban

  • Nouveau projet de remblaiement du littoral avec des ordures à Beyrouth, cette fois ci dans la zone de Choueifate

    Pas de Conseil des ministres aujourd’hui, les déchets trahissent les réflexes politiques et identitaires - Sandra NOUJEIM - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/952597/pas-de-conseil-des-ministres-aujourdhui-les-dechets-trahissent-les-re

    Un plan s’est d’ailleurs précisé ensuite, en vertu duquel la décharge de Srar devrait accueillir les déchets du Metn, de Aley et du Kesrouan, tandis que Aley, le Chouf et la banlieue sud déchargeraient leurs ordures à Choueifate, et précisément à Costa Brava, une zone du littoral. La Békaa et le Sud géreraient leurs propres déchets.
    Le refus de Choueifate a vite fusé, dès samedi, par la voix du député Talal Arslane. « En toute franchise, je ne parviens pas à me faire une idée, ni de près ni de loin, sur ce projet de décharge », a-t-il déclaré hier à la suite d’une réunion d’urgence avec les responsables municipaux de la localité, annonçant toutefois une réunion mardi des responsables de la région pour décider de la question de la décharge conformément aux intérêts des habitants.Samedi, il avait déjà exprimé son opposition à un remblaiement du littoral à Choueifate pour accueillir une décharge, lors d’une réunion similaire au siège de la municipalité de Choueifate, en présence de dignitaires et d’activistes civils. Dans un communiqué, ils ont exprimé « un refus catégorique d’une solution aux déchets qui se fasse au détriment de Costa Brava, une zone maritime et touristique ». « Nous refusons catégoriquement le remblaiement des plages », avait assuré M. Arslane au cours d’une conférence de presse, se déclarant prêt à descendre dans la rue. Le député avait également souligné que « Walid Joumblatt n’accepterait aucun projet de ce type sans notre accord ». Le président de la municipalité de Choueifate avait également exprimé son opposition à l’installation d’une décharge maritime au large de sa ville.Selon le ministre Nabil de Freige, le projet de décharge à Costa Brava est en réalité un projet de réhabilitation de la façade maritime, semblable à celui qui avait été proposé à Bourj Hammoud. « C’est une offre qu’on ne peut refuser », précise-t-il, s’interrogeant sur les motifs du mécontentement injustifié, aussi bien des notables de Choueifate que des habitants de Bourj Hammoud. Ce réflexe de « refus d’accueillir les déchets des autres » est, pour le moins, paradoxal : la plupart des habitants qui refusent l’aménagement de décharges dans leurs régions, sous prétexte de les préserver, y disposent arbitrairement de leurs propres déchets.

    #décharge #littoral #Beyrouth

  • Les falafel Freiha : toute une histoire
    http://www.lorientlejour.com/article/825367/les-falafel-freiha-toute-une-histoire.html

    Au cœur d’Achrafieh, à Furn el-Hayek, à quelques mètres de la place Sassine, Falafel Freiha fait partie du paysage... depuis 1979.

    Cette échoppe de falafel est connue dans tout Beyrouth pour ses appétissantes petites boulettes de fèves frites et la panoplie de garnitures qui les accompagne. Parfois, surtout les vendredis de carême, il faut attendre une bonne dizaine de minutes pour avoir droit à un sandwich.

    Élie Freiha, derrière la caisse, raconte l’histoire. « L’oncle de mon père, qui s’appelait Élia, a ouvert en 1945 son premier snack de falafel dans le secteur de la place des Martyrs, à Bourj, à côté du cinéma Empire », indique-t-il.

    Ah ah, tu trouves que « attendre une bonne dizaine de minutes » c’est quand même pas bien méchant ? Si tu penses ça, c’est que tu crois qu’un Libanais est capable de faire la queue comme s’il achetait du pain à Paris – en ligne, chacun son tour, sans que ça tourne à l’émeute.

    • Ma source ma dit que non, c’est plus bon depuis la fin des années 90. Il promet de me traîner à Hamra où il a une adresse qui va bien (qui n’est pas Barbar). Si ça se fait, je te raconterai.

      Sinon, je suis en train de penser très fort à un sandwich au soudjouk de Bourj Hammoud. Si j’y penses suffisamment fort, je vais certainement réussir à la faire se matérialiser là maintenant tout de suite. Ôôôômmmmm…