city:idlib

  • Des nouvelles de #Syrie... de la part d’un ami, réfugié syrien en Suisse (reçu aujourd’hui, 05.05.2019) :

    #Idlib est complètement oubliée, La région où on a rassemblé des million des syriens déplacés par la force du régime d’Assad et russes, est en train de se massacrée par des #bombardements_aériens syriens et russes, des milliers des camions qui transportent des des familles avec ce qu’ils leur restent de leur déplacement, plusieurs fois, d’une région à l’autre.
    Pas un seul mot sur le média, la cause Syrienne est complètement oubliée, ...
    Ce qu’il se passe à Idlib, pour la première fois, notre village entier cherche un abri pour se protéger du bombardement aérien syro-russe, la stratégie de la terre brûlée. Un offensif Inédit, sur Idlib , sous silence absolu de la communauté internationale, tous les habitants des villages de #Jabal_Alzawi, sont tous vidés, ils sont maintenant à 11 km de mon village #Orim_AlJoz, donc mon projet du stage pour la zone de désescalade n’a plus de sens, le dernier #espoir est tombé à l’eau. Je ne sais qu’il faut que je cherche un autre stage, ... c’est vraiment triste ☹

    #déplacés_internes #IDPs #réfugiés #guerre #conflit #migrerrance #géographie_du_vide
    ping @reka

  • Défense russe : Paris et Bruxelles préparent une provocation à l’arme chimique en Syrie - Sputnik France
    https://fr.sputniknews.com/international/201903291040547317-france-belgique-preparent-provocation-syrie

    « Les services secrets de France et de Belgique préparent une provocation à l’arme chimique en Syrie afin d’accuser les forces aérospatiales russes d’avoir porté des frappes contre les civils », a déclaré vendredi aux journalistes le chef du Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie, le général de brigade Victor Kouptchichine.

    « Les représentants des services secrets occidentaux ont déjà tenu une réunion appropriée avec les chefs de file des terroristes à Idlib », a-t-il indiqué.

    Selon des informations détenues par le Centre, les formations armées illégales qui déploient leurs activités sur le territoire de la zone de désescalade d’Idlib préparent des provocations en vue d’accuser les militaires russes et les troupes gouvernementales syriennes d’avoir employé des substances toxiques contre les civils, a noté le ministère russe de la Défense sur son site.

    « Pour organiser ces provocations, des représentants des services secrets français et belges sont arrivés à Idlib. Une rencontre s’est tenue sous leur direction avec des chefs de file des groupes terroristes Hayat Tahrir al-Cham* (anciennement Front al-Nosra*) et Tanzim Hurras ad-Din (ayant prêté allégeance à Al-Qaïda*), ainsi qu’avec des représentants de l’organisation soi-disant humanitaire des Casques blancs », a poursuivi Victor Kouptchichine.

    Il a ajouté que la réunion avait été consacrée à la mise en scène d’images appropriées « censées prouver que la Russie et la Syrie ont employé des substances toxiques contre les civils ».

    Toujours selon Victor Kouptchichine, chaque participant à la mise en scène de l’attaque chimique sera payé 100 dollars US (presque 90 euros).

    Il a fait remarquer également que les organisateurs de la provocation pourraient avoir recours à des gaz toxiques réels afin de garantir « l’authenticité » des photos et des vidéos.

    Dans ce contexte, le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie a appelé les chefs des formations armées illégales à refuser toute provocation armée et à s’engager dans la voie d’un règlement pacifique dans les régions qu’ils contrôlent.

    #syrie #false_flag #faux-drapeau

  • هل تَغيّبَت أم غُيِّبت إيران وسورية مِن قمّة إسطنبول الرُّباعيّة القادِمَة؟ ولماذا جَرى ضَم زعيميّ ألمانيا وفرنسا إليها واستبعاد التَّمثيل العربيّ كُلِّيًّا؟ وهَل هِي مُقَدِّمة لحَلٍّ عَسكريٍّ روسيٍّ تركيٍّ في إدلب؟ | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d9%87%d9%84-%d8%aa%d8%ba%d9%8a%d8%a8%d8%aa-%d8%a7%d9%85-%d8%ba%d9%8f%d9%

    Rai al-youm revient sur le sommet quadripartite qui va se tenir le 27 octobre à Istanbul à propos d’Idlib entre, d’une part, la Turquie et la Russie, qui ont passé un accord, manifestement vain, sur la démilitarisation de certaines zones, et d’autre part, assez curieusement, la France et l’Allemagne... Le quotidien s’étonne de l’absence de la Syrie, mais aussi de celle de l’Iran, des USA et d’autres puissances arabes (quoique l’Arabie saoudite, en ce moment, en Turquie...) et lance deux hypothèses : une couverture européenne à la liquidation militaire des jihadistes retranchés à Idlib, ou bien une simple manoeuvre de diversion pour faire passer la pilule auprès de « l’opposition modérée »...

    #syrie

  • Cultiver des impuretés à l’école, cela s’apprend.
    Le goût d’apprendre à l’école, à l’origine des problèmes du nouveau Levothyrox

    Culture du viol chez les chiens, un canular trompe un fonctionnaire européen antisémite.
    Peinte inédite contre des revues scientifiques américaines.

    Gérard Collomb reviendra à l’Assemblée « début janvier », assure Macron
    La réforme constitutionnelle ne portera pas l’étiquette LRM aux municipales à Lyon.

    la Turquie tente de neutraliser l’homme qui avait giflé une femme à Paris
    Six mois de prison pour les djihadistes à Idlib

    Gaz, électricité : le vide président américain s’attaque à la Chine
    Pratiques prédatrices, modèle orwellien : est-ce vraiment le moment de changer de fournisseur ?

    L’Homme qui a giflé une femme à Paris ne portera pas l’étiquette LRM aux municipales à Lyon
    Six mois de prison pour Gérard Collomb

    #de_la_dyslexie_creative

  • Gérard Collomb prévoit de quitter le sommet intercoréen de Pyongyang
    Coopération et dénucléarisation au gouvernement dès juin 2019

    En amphi, l’ordinateur au risque de l’EPR
    Nucléaire : EDF face à une arme de distraction massive

    Classe prépas : « je traverse la rue, je vous en trouve »
    "Il faut fluidifier Parcoursup", quand Macron expose sa vision du travail

    Mairie de Paris : comment le milliardaire Yusaku Maezawa a vu la machine s’enrayer
    Anne Hidalgo sera la première touriste autour de la Lune

    Terrains de foot synthétiques, sous l’égide de la Russie et de la Turquie
    Vers une zone démilitarisée à Idlib : risque peu préoccupant pour la santé.

    Etats-Unis : un policier a fait trente et un morts en Caroline du Nord et du Sud
    A Chicago, procès de l’ouragan Florence qui a tiré seize fois sur un jeune noir.

    Emmy Awards 2017 : le triomphe des femmes ... et des champignons
    Les dragons, menace sur la santé et l’alimentation

    Coquilles Saint-Jacques : « quand la crise sera dans les livres d’histoire on en aura honte »
    A Bord de l’Aquarius, accord entre les pêcheurs français et britanniques.

    Jean-Claude Romand annonce de nouvelles taxes douanières sur 200 milliards de biens chinois
    Trump, faux docteur et vrai meurtrier, demande à sortir de prison

    #de_la_dyslexie_creative

  • السعوديّة “تُعيد” رَحَلاتِها البريّة مع سورية.. “علم المُعارضة” بات جُرماً يُهدِّد صاحبه بالترحيل والمُؤيّدون للأسد “أكثر راحة” لكن دون إيران وحزب الله.. الأُمنيات في الإعلام السُّعوديّ لنَصر الجيش السوري في إدلب على العَدوين اللَّدودين قطر وتركيا | رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d8%a7%d9%84%d8%b3%d8%b9%d9%88%d8%af%d9%8a%d9%91%d8%a9-%d8%aa%d9%8f%d8%b9

    L’Arabie saoudite reprend ses liaisons terrestres avec la Syrie. [En l’occurrence quelques bus de pèlerins passant par la Jordanie.] Le drapeau des rebelles [syriens] est devenu un délit qui vaut le bannissement [du Royaume] tandis que les fidèles à Assad se sentent "plus tranquilles" (sauf les pro-irianiens et Hezbollah). Les médias saoudiens souhaitent la victoire de l’armée syrienne à Idlib contre les meilleurs ennemis [du Royaume], le Qatar et la Turquie.

    #syrie que ça en serait presque bouffon

  • Comment Ankara veut empêcher la libération de la province d’Idleb par Damas ? – Site de la chaîne AlManar-Liban
    http://french.almanar.com.lb/971412

    L’armée turque a mis en place 12 centres de supervision à Idlib et à Hama dans le cadre d’un accord signé au mois de septembre avec la Russie et l’Iran. Via ces centres de supervision, la Turquie est censée garder un œil sur les zones de désescalade où l’armée syrienne et les rebelles doivent respecter la cessation des hostilités.

    Le centre de supervision le plus proche de la Turquie se trouve à 500 mètres des frontières turques et le plus loin est à Tall Sawwanah, au nord de Hama, à 88 kilomètres de la Turquie.

    Par ailleurs, la Turquie a fait une nouvelle proposition à la Russie sur la mise en place d’une quatrième zone de désescalade qui couvre des parties des provinces de Lattaquié, de Hama, d’Alep et d’Idlib, cette dernière étant la région la plus importante que contrôlent les groupes armés en Syrie.

    Cette initiative turque intervient au moment où les habitants des deux localités loyalistes de Fouaa et de Kefraya ont été tous évacués.

    L’initiative turque prévoit le rétablissement de l’électricité et de l’eau, la réouverture de centres qui offrent des services vitaux, le déblocage de la route reliant Alep à Damas et la destruction de postes de contrôle et des remblais qui se trouvent sur une route reliant Dar Ta’izzah à Alep.

    Dans ce droit fil, la Turquie a demandé à tous les groupes armés opérant surtout dans le nord de la Syrie et dans d’autres régions de prendre part à une conférence générale avec pour thème l’avenir d’Idlib, étant donné les récentes évolutions dans le sud de la Syrie. Hayat Tahrir al-Cham, le Gouvernement de salut et la Coalition nationale syrienne comptent parmi les groupes armés qui prendront part à cette conférence de deux semaines.

    Selon les sources proches de cet événement, « Ankara va demander à tous ces groupes de déposer leurs armes lourdes et semi-lourdes en échange de la formation d’un nouveau groupe baptisé “Armée nationale” qui sera composé de tous les groupes armés ».

    Les mêmes sources réaffirment que la Turquie entend mettre sur pied une association homogène de groupes civils avec pour mission de s’occuper des activités sociales et de fournir les services nécessaires, sous la supervision d’Ankara.

    La réalisation de ce plan B turc nécessite des mois et beaucoup d’efforts et tout cela pour que le gouvernement d’Ankara puisse faire face à une opération militaire russo-syrienne à Idlib.

    D’autre part, le chef d’état-major de l’armée turque a annoncé que les militaires turcs et américains avaient déployé 17 patrouilles dans les localités entre la zone d’opération du Bouclier de l’Euphrate et la ville de Manbij, dans le nord de la Syrie, afin d’empêcher tout affrontement entre les Kurdes et les forces soutenues par la Turquie.

    farce de la #révolution_syrienne

    • http://spanish.almanar.com.lb/223819
      “Las fuerzas del gobierno sirio están obligadas a dar los pasos necesarios para responder a las acciones de los extremistas y restaurar la estabilidad”, ha anunciado el Ministerio de Defensa ruso. Para los analistas, esta declaración rusa constituye un respaldo abierto e incluso una invitación a Damasco de que inicie una operación militar en la provincia de Idleb para liberarla del yugo de los terroristas del Frente al Nusra y otros grupos, que en los últimos días han lanzado ataques, a través de drones, contra la base rusa de Hamaimim.

      El comunicado del Ministerio de Defensa ruso fue emitido el viernes (20 de julio) y en él se defiende una batalla futura para la liberación de Idleb y el desmantelamiento de los terroristas que están activos allí.

    • Au moment où l’idée d’une solution politique s’est imposée, celle d’une victoire militaire des rebelles s’est éloignée.

      Les rebelles n’ont pas assez fait la guerre. Tout s’explique.

      Prises à la gorge par l’absence de soutien matériel et financier, elles n’ont pas pu maîtriser les négociations avec leurs mécènes étrangers. Les acteurs extérieurs ont donc cultivé vis à vis de ces brigades un régime de dépendance sur le terreau de leurs vulnérabilités. Progressivement, les sponsors étrangers ont pu mettre la main sur un certain nombre de brigades ASL, jusqu’à les détourner de leurs objectifs originels fondamentaux.

      En fait, les mécènes, ils ont détourné la guerre, et c’est à cause d’eux que la guerre civile a été gagnée par Assad et l’armée régulière (armée qui je le rappelle est composée uniquement de zombies redoutables contrôlés par le démon du deuxième cercle Assad, ce dernier lui même contrôlé par le démon du premier cercle Poutine).

    • A propos de Jabhat al Nusra, qu’on nous expliquait ci-dessous n’existait plus. Ben en fait si, il existe encore. J’vais aller le dire à Lundi Matin que Lundi Matin a dit que Jabhat al Nusra existait encore, mais avec un autre nom, et que Jabhat al Nusra était bien des terroristes, et que d’ailleurs, ils commettent des attentats (pardon, ils résistent contre les oppresseurs).

      Y paraît que les américains veulent éradiquer certains rebelles. J’imagine que ces derniers ont des armes russes ?

      Les Américains, qui dans ce conflit ont pour obsession l’éradication d’al-Qaida en Syrie, c’est-à-dire du Jabbhat al-Nusra, ont voulu utiliser ces trêves afin que les rebelles se retournent contre eux. Ils ont en tête ce qu’il s’est passé en janvier 2014, quand les rebelles se sont coordonnés et ont écrasé en deux semaines l’État Islamique à Idlib et à Alep. La différence c’est qu’à cette époque, l’État Islamique ne se battait jamais contre le régime. Leur faire la guerre n’impliquait pas pour la rébellion la rupture d’une alliance. En revanche, s’attaquer au Jabbhat al-Nusra pour l’ASL, c’est perdre les meilleurs combattants et se créer un ennemi localement. Sur le front Jabbhat al-Nusra est un allié militaire de taille pour quiconque souhaite la chute du régime. Même s’il peut ne s’agir que d’une alliance de circonstance des brigades ASL avec Jabbhat al-Nusra, on ne peut pas la briser aussi simplement.

      puis

      Les islamistes, quant à eux, préparent déjà la suite. L’attentat récent perpétré à Homs le 25 février 2017 par Hayat Tahrir al-Sham (anciennnement Jabbhat al-Nusra), a tué une cinquantaine de membres importants des services secrets de la sécurité militaire de la ville. Parmi eux se trouvait le général Hassan Daaboul, chef de la sécurité militaire de Homs.

      Et enfin, donc, ci-dessous, en guise d’argument contre Le Média, ce qu’on trouvait dans cet autre article de Lundi Matin, qui décidément se jette à fond dans la bataille des idées (J’ai tapé Yémen dans le moteur de recherche de la publication, et j’ai fait chou blanc. C’est sans doute absurde comme façon de juger...)

      https://seenthis.net/messages/672813

      Si le groupe salafiste Jaysh al Islam et bel et bien présent et représente environ 60% des forces sur place, 30% sont constitués par le groupe Faylaq al Rahman — affilié à l’armée syrienne libre — et non par le Jabhat al Nusra [17] [18] [19]. Celui-ci qui d’ailleurs - nous l’annonçons à M. el Khal — n’existe plus depuis juillet 2016, depuis qu’il a rompu avec al Qaida [20], contrairement ce que le chroniqueur avance, probablement dans le but de fourrer tous les combattants de la Ghouta dans le même infâme panier.

  • Une solution similaire à Alep-Est pour la Ghouta orientale ?
    http://actuarabe.com/solution-similaire-a-alep-ghouta-orientale
    Il est temps pour le régime de Damas et l’opposition de se remettre autour de la table afin d’éviter de nouveaux bains de sang
    Ray Al Yaoum – Jeudi 22 février - Par Abdel Bari Atwan

    Quand de Mistura décrit la Ghouta orientale comme une deuxième Alep, nous devons nous attendre à une évacuation des combattants vers Idlib dans les bus verts…

    L’envoyé des Nations Unies, Staffan de Mistura, n’exagère pas quand il compare la situation dans la Ghouta orientale assiégée avec celle d’Alep, où l’armée syrienne a pénétré dans la partie Est avec le soutien de l’aviation russe en 2016 pour mettre fin au conflit qui a déplacé des centaines de milliers de civils, détruit des quartiers entiers et fait des milliers de morts.

    La Ghouta orientale devait faire partie des quatre zones d’apaisement des tensions, mais la trêve a été violée de manière flagrante par les deux parties. L’armée syrienne, soutenue par l’aviation russe, a décidé de la bombarder de manière intense pendant ces derniers jours après la chute de missiles sur la capitale Damas, qui ont secoué la ville et tué de nombreux civils d’après les observateurs.
    Pourquoi l’armée syrienne a tout à coup adopté, soutenue par les Russes, la solution militaire ?

    Le bombardement de la capitale est une ligne rouge pour les autorités syriennes car il ébranle leur autorité, rapproche le conflit du cœur des institutions et de leur plus forte base populaire. C’est pourquoi la réplique a été forte, avec la décision d’en finir une fois pour toute avec l’hémorragie, comme disent les médias officiels syriens.

    https://www.raialyoum.com/index.php/the-second-aleppo

  • Syria Does Not Fear War With Israel: The Rules Of Engagement Have Changed – Elijah J. Magnier | ايليا ج مغناير
    https://elijahjm.wordpress.com/2018/02/11/syria-does-not-fear-war-with-israel-the-rules-of-engagement-have

    It is not in the interests of Russia to see war break out in Syria where its forces are present on the ground and in the Mediterranean. Russia considers it has the right to intervene because its official presence on Syrian territory is at the request of and in agreement with the Damascus government. In its role as a superpower, it is in its interest to stop the tension on the Syrian border and show it has the power to impose peace on would-be belligerents.

    It is also in Moscow’s interests to push Syria to react to Israel’s violations, even at the cost of downing an Israeli jet- especially when Russia accuses Washington of supplying the Faylaq al-Sham militants (al-Qaeda’s allies in northern Syria city of Idlib and its surroundings) with the anti-aircraft missiles which downed the Russian jet over Idlib and to the murder of its pilot who refused to surrender to the militants and jihadists.

    All of this took place one day after the liberation of the entire area from the “Islamic State” (ISIS) group in rural Aleppo, Homs and Idlib, with over 1200 square kilometres returned to government control. This freed over fifteen thousand officers and soldiers from the Syrian army and special units which were engaged there to move to another front, the one against Israel if necessary, with al-Qaeda as the only remaining threat to the Syrian state.

    This shows that the government of Damascus – which lived in a state of war for more than six years – is ready to fight its battle with Israel and begin now. The Lebanese Second War in 2006 proved that air force power does not give superiority and does not finish off the opponent, Hezbollah, whose militants continued firing missiles and rockets consistently throughout the 33 days of war. The thousands of missiles delivered to Syria from Russia and Iran in the last years represent a major threat to Israel in the event of war, invalidating its air superiority.

  • La grosse question que pose la séquence de ce matin (un F-16 israélien descendu par la Syrie), c’est : alors quoi, le régime syrien se mettrait à confronter militairement Israël ? C’est déjà arrivé ? Il me semblait tout de même que, à chaque fois qu’Israël bombardait en Syrie, le régime émettait des menaces de représailles, représailles qui ne venaient jamais (ou alors, suppose-t-on, de manière très indirecte).

    Du coup, les rodomontades, sur le thème « nouvelles lignes rouges », « les règles d’engagement ont changé »…, je suis très dubitatif.

    – Possibilité d’un accident : les missiles anti-aériens partent, et oups, touchent leur cible (ce qui n’était jamais arrivé) ; possibilité la plus amusante : le pilote israélien perd son sang-froid et s’éjecte prématurément (est-ce crédible ? j’aimerais le croire…).

    – Les Russes ont besoin de « faire passer un message » après qu’Al Qaeda a descendu leur propre avion à Idlib la semaine dernière. Après tout, ça fait deux fois que la Russie se fait descendre un avions (épisode de novembre 2015), et qu’ils dénoncent les Occidentaux et leurs alliés comme directement responsables. Et peut-être, plus généralement, les opérations turque et occidentale en Syrie, que les Russes jugent comme une façon pour les Américains de provoquer l’enlisement dans le conflit syrien (voir Joshua Landis sur France 24).

    – L’idée que le régime syrien serait réellement en position de faire monter la tension, histoire de montrer sa « légitimité » à, soudainement, confronter Israël, ou à montrer que son armée est désormais suffisamment « forte » sur le terrain pour affronter encore un ennemi de plus, je n’y crois pas. Prendre un tel risque, de la part d’un régime qui n’a pas confronté Israël directement depuis… (pfiou… quarante ans ?), ça ne me semble possible qu’avec l’assurance d’un soutien russe. (Et l’idée que le régime syrien pourrait tenter une telle opération pour « forcer à la main » à la Russie, ça ne me semble pas plus crédible non plus. Ce régime est violent et criminel, mais extrêmement pragmatique.)

  • Britain stopped its « secret program » in Syria. - The peace news
    http://thepeacenews.com/britain-stopped-secret-program-syria

    La guerre (en #Syrie) : une bonne affaire. (Heureusement, c’est pas en France qu’on verrait des horreurs pareilles !)

    British newspaper The Times reported a report by Billy Kanber highlighting “Britain’s suspension of a secret aid program in Syria” after allegations that “the money that was paid to the contractor was very high and it was up to the so-called Mujahideen.”

    “The British Foreign Office suspended financial support for the £ 1 million project funded by the Adam Smith International Foundation,” the report said, adding that the project was intended to fund civilian police in Syria in areas controlled by moderate dissidents.

    “The funds that were supposed to fund the AJAX project were in the hands of the hardliners,” a BBC documentary said on Sunday.

    The Times separately saw leaked documents confirming that the British taxpayer was paying £ 850 a day to foreign workers working for the project, although none of them could ever go to Syria for security reasons.

    “Syrian citizens who worked in Syria for the project received only £ 68.50 per day,” the paper said.

    “The Ajax project, which began at the end of 2014 with funding from Britain and many other countries, aims to train and fund the Free Syrian Army police in Idlib and Aleppo,” the report writer said.

    “Britain contributed an estimated £ 13 billion,” he said.

    “The documents I have seen revealed that a Turkish employee stole from Ajax about US $ 45,000 in February, and the matter was pursued and only US $ 1400 was recovered.”

  • Syrie : les djihadistes de Hetech peuvent-ils succéder à Daech ? - L’Obs
    http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/guerre-en-syrie/20170830.OBS4002/syrie-les-djihadistes-de-hetech-peuvent-ils-succeder-a-daech.ht

    « Abu Muhammad al-Joulani comprend bien qu’une fois le groupe Etat islamique défait, la coalition menée par les Etats-Unis, mais aussi la Russie, la Turquie, l’Iran, retourneront les armes vers son groupe », écrit-il. « Il n’a peut-être qu’une année ou deux devant lui. »

    « Son objectif n’est donc pas de créer un émirat islamique permanent dans la région d’Idlib, mais plutôt d’y établir une base de recrutement pour son armée djihadiste, en accord avec les principes d’Al-Zawahiri : ’La stratégie du djihad pour le Cham [#Syrie et #Irak, NDLR] doit se concentrer sur la guérilla ; ne cherchez pas à tenir des territoires’. »

    Après des années de prudence et de double jeu avec la communauté internationale, la franchise d’#Al-Qaida pourrait-elle de nouveau menacer l’Occident par des attentats à l’étranger ? « On ne peut pas écarter l’hypothèse », glisse Frédéric Pichon. Pour Fabrice Balanche, la coalition doit même réagir au plus vite, sans attendre la destruction complète de l’Etat islamique : « HTS se renforce chaque jour, et se reposer sur leurs rivaux ne suffira pas à les contrer », conclut-il. « La communauté internationale doit poursuivre la même approche contre HTS à Idlib que contre l’Etat islamique à Raqqa et ailleurs. Échouer à le faire aujourd’hui, c’est s’exposer à un coût bien plus élevé plus tard. »

  • La difficile définition des « zones de désescalade » en Syrie
    https://www.mediapart.fr/journal/international/120717/la-difficile-definition-des-zones-de-desescalade-en-syrie

    © La ville d’Idlib touchée par un bombardement aérien attribué à des avions russes le 7 février 2017. L’attaque avait fait au moins trente morts parmi les civils. Un septième round de négociations intersyriennes s’est ouvert, lundi 10 juillet, à Genève sous l’égide de l’ONU. Mais c’est à Astana que les choses concrètes se discutent sous le parrainage de la #Russie, de l’Iran et de la Turquie, comme les « zones de désescalade », des territoires en Syrie où une trêve durable pourrait être instaurée.

    #International #CICR #guerre_en_Syrie #HCR #ONU

  • After US Bombs Syrian Government for Third Time in 8 Months, Media Ask Few Questions | FAIR
    http://fair.org/home/after-us-bombs-syrian-government-for-third-time-in-8-months-media-ask-few-ques

    On May 18, the US military launched an air raid against forces allied with the Syrian government, killing several soldiers. The Trump administration claimed Syrian- and Iranian-backed militias had entered a 55-kilometer (34-mile) “deconfliction zone” around a base in southern Syria, near the borders of Iraq and Jordan, where the US trains opposition fighters.

    Yet US officials also later admitted that they do not themselves recognize the legitimacy of these de-escalation zones—even while using them to justify carrying out such attacks.

    No major media outlets questioned the government narrative, or the notion that the Syrian-allied forces were a “threat.” (For context, 34 miles is the distance between Aleppo and Idlib, considered two separate theaters in the Syrian civil war. It is also roughly the distance between Baghdad and Fallujah, or between Washington, DC, and Baltimore.)

  • La Turquie entraîne une armée de Syriens pour combattre les forces kurdes et prendre possession de la zone allant de Jarablus à Idlib.

    تركيا تجهز جيشا من السوريين مهمته محاربة القوات الكردية والسيطرة على المنطقة من جرابلس إلى ادلب.. التدريب يجري على الحدود السورية التركية على يد ضباط أتراك | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=680279

    Info reprise d’agnces de persse turques. Pas mal de détail. Début des festivités à la fin du prochain ramadan en principe. La « révolution syrienne » a bien de la chance d’avoir autant de sponsors à son chevet !

    #syrie

  • Idlib gazée : la main d’Erdogan ? – Site de la chaîne AlManar-Liban
    http://french.almanar.com.lb/342208

    Un autre récit, pas tellement commenté c’est pour cela que je le signale.

    Ces révélations se trouvent paradoxalement confirmées par des milieux fiables en Turquie. Outre certains milieux politiques opposés au gouvernement d’Erdogan, des universitaires mettent en garde contre un énième « complot » qu’Erdogan et son équipe semblent avoir fomenté pour « faire échec aux pourparlers syro-syriens de Genève » tout en « échappant à leurs engagements pris envers la Russie »

    « Chaque fois que les terroristes se sentent au bout du rouleau, ils ont recours aux armes chimiques », a estimé Emre Kongar, sociologue turc. « Les pays impérialistes et leurs alliés régionaux n’ont aucun mal à fournir des armes aux terroristes. Selon des informations avérées, c’est la Turquie qui aurait fourni le gaz sarin aux terroristes d’al-Nosra basés à Idlib et le convoi a quitté la Turquie en direction de la Syrie. Cela fait six ans que la Turquie s’est transformée en une base pour Daech et al-Nosra, six ans que le gouvernement d’Erdogan vend le pétrole de contrebande syrien et prétend dans le même temps combattre le terrorisme », a dit le sociologue.

    #syrie #Khan_Cheikhoun

  • La Russie unit Assad et les Kurdes pour pousser la Turquie hors de la #SYRIE du Nord
    http://vilistia.org/archives/13819

    dimanche 5 mars 2017 Les Kurdes se rendent compte que la préservation d’une Syrie séculière est tout ce qui compte maintenant. Ankara essaie de déchiqueter le territoire syrien à Idlib, et ils pensent qu’ils pourraient s’en tirer. Mais Moscou a … Lire la suite →

    #KURDISTAN

  • En silence, les rebelles quittent Alep entre des soldats russes
    Par Georges Malbrunot Mis à jour le 22/12/2016 à 21:58
    http://www.lefigaro.fr/international/2016/12/22/01003-20161222ARTFIG00229-en-silence-les-rebelles-quittent-alep-entre-des-s

    Ce jeudi, les observateurs de l’ONU n’ont pas surveillé le départ des combattants anti-Assad vers Idlib, dans l’ouest de la Syrie.

    Notre envoyé spécial à Alep

    La scène est surréaliste. Un soldat russe en uniforme, kalachnikov en bandoulière, grimpe pour inspecter le toit d’un camion de rebelles syriens qui sont évacués d’Alep-Est. Hissé au sommet du véhicule, un insurgé, armé lui aussi, tend la main au Russe pour qu’il soulève la bâche et vérifie que ses ennemis ne cachent pas des explosifs dans leurs bagages. C’était jeudi, peu après 13 heures, sur une route à l’entrée du quartier de Ramoussa à Alep.

    En quarante minutes environ, une quinzaine de bus de combattants ont franchi un dernier barrage, avant de gagner des secteurs de la province à l’ouest d’Alep, toujours tenus par les opposants à Bachar el-Assad. ...

    https://twitter.com/Malbrunot/status/812037407621181440

    II- Ils ont réussi à emporter des armes lourdes dissimulées dans des camions qu’ils conduisaient eux-mêmes. Accord russe. Damas pas content.

    III- Quelques heures après, dans la soirée, des scènes de liesse dans Alep, déclarée ville reprise par l’armée.

    https://twitter.com/Malbrunot/status/812057433824706560

    Alep : le CICR et le Croissant rouge syrien, présents tt au long des évacuations, ont été les vrais observateurs, faute d’ONU, marginalisée

  • La Russie dément toute implication dans l’attaque d’une école à Idlib
    https://www.crashdebug.fr/international/12564-la-russie-dement-toute-implication-dans-l-attaque-d-une-ecole-a-idl

    Sur toutes les chaînes de télévisions, regardez les nouveaux chiens de garde en action... Rien qu’une telle unanimité pour accuser la Russie, devrait (quand même) vous mettre la puce à l’oreille... ; )))

    (c) Sputnik. Alexei Kudenko

    La diplomatie russe affirme que Moscou n’a « rien à voir » avec les frappes contre une école à Idlib, qui ont causé la mort des vingt-deux enfants et six enseignants.

    « C’est un mensonge. La Russie n’a rien à voir avec cette terrible tragédie », a affirmé la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova, alors que certains médias arabes et occidentaux ont attribué la responsabilité de cette attaque à l’aviation russe.

    Maria Zakharova a appelé toutes les institutions internationales à s’impliquer d’urgence dans l’enquête sur cette (...)

    #En_vedette #Ça_s'est_dit_par_là... #International

  • Les violences s’intensifient en #Syrie au lendemain de l’accord #Russie-Etats-Unis
    https://www.mediapart.fr/journal/international/100916/les-violences-sintensifient-en-syrie-au-lendemain-de-laccord-russie-etats-

    L’accord signé à Genève vise à établir une trêve et à remettre en marche le processus de paix. Pour le secrétaire d’État américain John Kerry, « cela peut changer la nature du conflit ». Damas a dit approuver l’accord. Une frappe sur un marché à Idlib aurait fait 60 morts.

    #International #Fil_d'actualités #conflit_syrien #Etats-Unis #Proche-Orient

  • La #Syrie ouverte à tous les vents

    Il fut un temps où la Syrie jouait un rôle régional important. Elle était un partenaire politique avec lequel il fallait compter dans le triangle saoudien-égyptien-syrien, voire même, dans certains cas, un décideur. Il est était impensable de faire quoi que ce soit au Moyen-Orient sans solliciter la Syrie. Même au moment de l’intervention américaine en Irak à laquelle elle s’était opposée, les canaux de dialogue n’ont jamais été rompus entre Washington et Damas.

    Aujourd’hui, une toute autre équation s’est mise en place. Tout se passe comme si n’importe qui pouvait venir en Syrie et s’y installer. Ouverte à tous les vents, elle est plongée dans une situation qu’il devient de plus en plus difficile à réparer et qui l’oriente vers des divisions irréversibles. Une situation, à dire vrai, que personne ne peut prétendre contrôler, et Bachar al-Assad moins qu’aucun autre : cela fait longtemps que les troupes terrestres de l’armée loyale sont sous la supervision des Iraniens et que l’armée de l’air est sous le contrôle des Russes.

    Il suffit de dresser la liste des intérêts qui s’entremêlent dorénavant sur le terrain pour comprendre qu’il est devenu presque impossible d’envisager une solution.

    – On dit que les Britanniques sont prêt de Al-Tanef, un point de frontière avec l’Irak, pour y entraîner des hommes de l’armée libre

    – Au nord-est de la Syrie, dans les zones sous contrôle kurde, les Américains comptent trois bases.

    – Les Français sont présents à Kobané.

    – La présence militaire iranienne est officielle en Syrie. En plus les millitants du Hezbollah, on sait que des Pakistanais, des Afghans et des Irakiens chiites se battent au côté du régime.

    – Les Russes comptent quatre bases en Syrie : Tartous, Lattaquié, Hmemeim et Palmyre. Et ils n’interviennent plus seulement depuis les airs. A Alep, ils ont désormais des hommes sur le terrain, d’ailleurs tous les arrangements, qui se font en Syrie, sont menés par des généraux russes, c’est un champ d’expérimentation.

    – On parle maintenant, que même les Chinois ont envoyé des soldats en Syrie, qui aident les russes dans leur tâche, bien entendu pour avoir leur place au tour de la table de négociation.

    – Et évidemment, il y a toute la partie qui reste sous le contrôle de Deich.

    – Il ne manquait plus que les Turcs, qui ont à leur tour fait leur entrée en Syrie, à Jarablus, à même pas 50 km de Kobané. Ce qui est sûr, c’est qu’ils ne sont pas entrés sans l’accord des Russes – et donc sans que le régime soit au courant. Cette entente est une nouveauté. Depuis le début du conflit, Turcs et Russes s’étaient farouchement opposés sur la question syrienne. L’objectif des Turcs est très clair : il s’agit d’empêcher les kurdes d’installer un Kurdistan qui s’étendrait sans discontinuer de l’est à l’ouest de la Syrie. Nous parlons des mêmes Kurdes que ceux sur lesquels la coalition occidentale s’est appuyée pour chasser Deich. C’est révoltant de les avoir laissé croire à la possibilité de grand territoire kurde sur tout le nord de la Syrie et à l’west de l’Euphrate.

    – Même la coalition nationale syrienne, l’opposition au régime basée en Turquie, parle ces jours d’installer un gouvernement de transition dans les zones libérées, dans la province d’Idlib. Elle doit se dire que si elle n’entre pas maintenant, elle n’aura pas sa place à la table des discussions, alors que tous le monde y a mis les pieds pour être sûr de pouvoir s’y assoir.

    Pendant ce temps, le nettoyage ethnique continue de progresser. La semaine dernière, un accord a été conclu entre l’armée loyale et les rebelles de #Daraya. La ville est rendue à l’armée sous condition de faire sortir les rebelles et leur famille. Quand on sait que Daraya a été la première ville à se soulever en 2011… On voit bien comment s’opère le changement démographique qui dessine peu à peu une Syrie « utile » (pour le régime), une partie de la Syrie (# 30%) qui engloberait Damas, Homs, Hama, Tartous et Lattaquié.

    Le premier accord de ce type concernait Homs en 2014. Les rebelles ont quitté la ville pour se réfugier dans la province d’Idlib. Il y a eu des accords similaires à Madaya, Zabadani, et on est En train de préparer celui de Mouadamya, autant de villes, toutes sunnites et opposées au régime, qui ont été assiégées par l’armée mettre la habitants sous pression et les forcer en fin à fuir. Ce n’est pas tout : le régime et les Russes s’acharnent à bombarder la région d’Idlib pour que tous ces malheureux évacués ne finissent par y trouver que des ruines à l’arrivée. (ci-dessous, la photo d’une nuit rouge il y a deux jours à Idlib, proie des bombes du régime et de l’aviation russe).


    http://lerefugiesyrien.blogactiv.eu/2016/08/31/la-syrie-ouverte-a-tous-les-vents
    #guerre #conflit #internationalisation #ingérence_étrangère