city:jerusalem

  • L’entreprise française Alstom abandonne le tramway colonial, selon ses partenaires israéliens | Agence Media Palestine
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/05/14/lentreprise-francaise-alstom-abandonne-le-tramway-colonial-selo

    Deux compagnies israéliennes ont envoyé une lettre dimanche au Premier Ministre Benjamin Netanyahu lui demandant en urgence d’étendre la date limite de l’appel d’offres concernant la construction de la prochaine phase du tramway de Jérusalem.

    Les compagnies israéliennes, Dan et Electra, ont demandé un délai lorsqu’il est apparu que le fabricant français de trains Alstom avait l’intention de se retirer de leur consortium et de son offre pour l’extension du tramway des colonies – mentionnant des inquiétudes sur les droits humains.(...)

    #BDS

  • Trump, les Rabbins, et le plan top secret pour construire le troisième temple (partie 2) Le jeu, c’est le pied !
    https://www.crashdebug.fr/loisirss/73-livres/16022-trump-les-rabbins-et-le-plan-top-secret-pour-construire-le-troisiem

    Une nouvelle série proposé par notre cher Contributeur anonyme du même auteur qu’Exo vaticana,

    PARTIE 2 : Le jeu, c’est le pied !

    Par Thomas Horn

    Depuis les années 1980, le Mouvement des temples s’est efforcé de rassembler et de préparer les éléments critiques et même de former le sacerdoce qui servira dans le nouveau complexe religieux installé à Jérusalem. L’importance de ces efforts au sein de la communauté juive orthodoxe et des machinations d’intérêts politiques mondiaux deviendra plus claire lorsque nous révélerons le rôle du Temple dans ce que les rabbins croient avoir déjà commencé - la première étape du processus messianique (Moshiach Ben Yosef, ou "Messie de la maison de Joseph"), qui est décrit comme le précurseur pratique et social de la deuxième étape de (...)

    #En_vedette #Livres #Loisirs

  • L’ambassadeur des États-Unis en Israël explique : « Israël a une arme secrète dont ne dispose aucun autre pays : Israël est du côté de Dieu, et nous ne devons pas sous-estimer cela »
    https://twitter.com/i24news_en/status/1128332416307859456

    https://video.twimg.com/amplify_video/1128332340952993792/vid/1280x720/a13iYpAgpF9wNR1w.mp4

    #Israel has one secret weapon that no other country has. Israel is on the side of God and we don’t want to underestimate that,’ @USAmbIsrael tells a crowd at the #Jerusalem embassy move anniversary

  • صحيفة "يسرائيل هايوم" الإسرائيلية تكشف التفاصيل الكاملة لـ"صفقة القرن" بوثيقة مسربة داخل وزارة الخارجية الإسرائيلية - رأي اليوم
    https://www.raialyoum.com/index.php/%d8%b5%d8%ad%d9%8a%d9%81%d8%a9-%d9%8a%d8%b3%d8%b1%d8%a7%d8%a6%d9%8a%d9%84

    Des fuites israéliennes assez détaillées sur le contenu du "deal du beau-fils" plus connu sous le nom de "deal du siècle"... Ci-dessous, c’est plus commode en français, la version qu’en donne Al-Manar (http://french.almanar.com.lb/1355312)

    Selon Israel Yahom, un quotidien qui prône une ligne éditoriale en faveur du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, cette transaction élaborée par le gendre du président américain Jared Kushner, comprend un accord tripartite entre l’entité sioniste, l’Organisation de libération de la Palestine et le Hamas en vue de fonder un Etat palestinien.

    Comme prévu, ce dernier n’a rien à voir avec la Palestine préconisée par le Droit international, sans compter la Palestine historique. Baptisé Nouvelle Palestine (New Palestine), il s’étendra sur des parties de la Cisjordanie occupée, sans les colonies, ainsi que sur la bande de Gaza.
    L’accord accorde à « Israël » les colonies isolées, au même titre que les blocs de colonies.

    Toujours selon ce journal dont les révélations devraient être lues avec précaution, la ville sainte d’al-Quds Jérusalem serait partagée entre l’entité sioniste et la Nouvelle Palestine, où les habitants arabes devraient être transférés.
    La responsabilité de la ville sainte en incombera à la municipalité israélienne à laquelle la Nouvelle Palestine devra payer les impôts. Il ne serait plus permis aux Juifs de s’acheter des maisons arabes et vice versa.
    Les lieux saints resteraient tels quels.

    S’agissant de la bande de Gaza, l’Egypte devrait accorder de nouvelles terres à la Palestine afin d’y édifier un aéroport, des usines, une zone de transit commercial et agricole. Les Palestiniens ne seraient pas autorisés à y résider.
    La superficie des territoires et leur cout devraient faire l’objet d’une entente entre les différents protagonistes, par l’intermédiaire des Etats favorables. C’est-à-dire les Etats-Unis, l’Union européenne et les pays pétroliers du Golfe.
    La définition de l’Etat palestinien viendra ultérieurement.

    Une autoroute devrait relier la bande de Gaza à la Cisjordanie, tout en permettant l’installation de canaux hydroliques souterrains entre les deux. 30 milliards de dollars seraient alloués à la Nouvelle Palestine, sur une durée de 5 années, dont 20% seraient procurés par les Etats-Unis, 10% par l’UE et 70% par les pays pétroliers du Golfe. Les plus riches parmi ces derniers devraient payer le plus car selon l’accord, ils profitent le plus de l’accord.

    Le prix des colonies annexées par Israël dont celles isolées devraient être fournies par Israël.

    Il est interdit à la Nouvelle Palestine d’avoir une armée. Le seul arsenal dont elle peut disposer est celui de la police. Et c’est à Israël que revient de la défendre contre toute offensive étrangère. A condition qu’elle lui paie le prix de cette défense. Des négociations auront lieu entre l’entité sioniste et les pays arabes sur la valeur qu’ils auront à payer à l’armée israélienne en échange de cette défense.

    Lors de la conclusion de l’accord, le Hamas devra démanteler son arsenal et le livrer aux Egyptiens. Il n’aura droit qu’à des armes individuelles et personnelles pour ses dirigeants. En échange, ces derniers vont percevoir des salaires mensuels que les Etats arabes auront à leur payer.

    Les frontières de la bande de Gaza seront ouvertes au commerce international via les passages israéliens et égyptiens. Le marché de Gaza sera ouvert à la Cisjordanie et à la mer aussi.

    Un an après l’accord, seront organisées en Nouvelle Palestine des élections démocratiques auxquelles tous les Palestiniens peuvent se porter candidat. Un an plus tard, les détenus seront libérés progressivement, sur une durée de trois ans.

    En cinq années, un port maritime et un aéroport vont être érigés en Nouvelle Palestine. Entretemps, les Palestiniens utiliseront les aéroports et ports israéliens.

    Les frontières entre la Nouvelle Palestine et « Israël » seront ouvertes devant les citoyens et les marchandises comme c’est le cas entre les pays amis.
    Un pont suspendu sur une hauteur de 30 mètres au-dessus du sol sera construit entre Gaza et la Cisjordanie. Sa construction sera confiée à une société chinoise. La Chine aura à participer à son coût à hauteur de 50%, alors que le Japon, la Corée du sud, l’Australie, et le Canada, devront chacun déverser 10% de son prix. Les Etats-Unis et l’union européenne rembourseront quant à eux deux 10% de son prix.

    Concernant la vallée du Jourdain, elle restera entre les mains des Israéliens. Sa route 90 sera divisée en quatre parcours, tous sous la supervision israélienne, dont les deux qui relieront la nouvelle Palestine à la Jordanie.

    Au cas où le Hamas et l’OLP refusent l’accord, les Etats-Unis enrayeront toute l’aide financière qu’ils fournissent aux Palestiniens et s’attelleront pour empêcher toute aide de parties tierces.

    Au cas où l’OLP accepte les conditions de l’accord, mais le Hamas et le Jihad islamique les rejettent, la responsabilité de l’échec leur incombera. Si un affrontement éclate entre Israël et le Hamas, les Etats-Unis soutiendront Israël pour nuire à leurs dirigeants.

    #palestine #deal_du_siècle #kushner

    Et si Israël refuse l’accord, le soutien économique que les USA lui procurent sera suspendu.

  • A Jérusalem, un livre d’or révèle la visite en 1933 d’un dignitaire nazi
    02 mai 2019 - AFP
    https://information.tv5monde.com/culture/jerusalem-un-livre-d-or-revele-la-visite-en-1933-d-un-dignitai

    Israël a retrouvé la trace de la visite en 1933 à Jérusalem du dignitaire nazi Léopold Von Mildenstein, avec la découverte de sa signature dans le livre d’or d’une famille juive dans les archives de la Bibliothèque nationale.

    « C’était incroyable », s’est remémoré mercredi auprès de l’AFP Stefan Litt, archiviste en charge des collections allemandes à la Bibliothèque nationale.

    Cette découverte a eu lieu il y a quelques mois, et mise en avant par l’archiviste à la veille de la journée de commémoration de la Shoah en mémoire des six millions de victimes juives du nazisme durant la Seconde Guerre mondiale.

    Jeudi, la vie s’est figée dans le pays pendant deux minutes à 10H00 (07H00 GMT) au son des sirènes, pour marquer cette journée de commémoration. A l’extérieur des commerces et des bureaux, les Israéliens se sont recueillis, baissant souvent la tête.

    Venu en 1933 avec son ami juif allemand Kurt Tuchler, le nazi Von Mildenstein visite la Palestine mandataire pour résoudre ce qu’il considère comme le « problème juif » en Allemagne : il envisage alors d’envoyer les Juifs allemands en Terre sainte.

    Il partage ainsi, pour des intérêts radicalement différents, les thèses du sionisme, mouvement né au XIXe siècle, qui vise au rassemblement des Juifs en Palestine et aboutira à la création de l’Etat d’Israël en 1948.

    La visite de ce dignitaire nazi était déjà bien documentée, notamment dans le documentaire « The Flat » sorti en 2011, mais sa signature dans un livre d’or, attestant de sa participation à un salon privé sur la culture juive, n’avait pas encore été découverte.

    L’hôte, Moshe Yaakov Ben-Gavriel, écrivain et fervent sioniste, tenait régulièrement des salons à Jérusalem.

    Dans son journal intime, il écrivit n’être « pas sûr de ce qu’il fallait penser » de la présence d’un dignitaire du parti nazi qui, dès son accession au pouvoir en 1933, a commencé à exclure les Juifs de la vie publique, raconte M. Litt. (...)

  • Les soldats doivent tirer sur les Palestiniens : C’est la façon pour Israël de les maintenir sous contrôle
    Amira Hass | Publié le 28/4/2019 sur Haaretz | Traduction : Jean-Marie Flémal
    http://www.pourlapalestine.be/les-soldats-doivent-tirer-sur-les-palestiniens-cest-la-facon-pour-is

    Les soldats n’ont d’autre choix que de tirer. Ils n’ont d’autre choix que de frapper les manifestants, les lanceurs de pierres et les paramédicaux qui se portent volontaires lors des confrontations, que de tuer ceux qui brandissent des couteaux. La surprise de voir des soldats qui tirent même sur des jeunes menottés et aveuglés par un sac ou un bandeau fait partie d’un temps révolu.

    Elle appartient aux années 1970 ou 1980, quand nous pensions encore que la domination militaire sur une population de non-citoyens était un accident, une déviation temporaire qui n’allait pas tarder à être rectifiée. Quand nous n’avions pas encore reconnu que le rôle des militaires était de protéger le butin de guerre plutôt que notre existence. Quand il n’y avait pas encore de caméras partout pour faire voler en éclats notre naïveté.

    Si les Palestiniens ne reçoivent pas un message clair chaque jour où ils risquent leur propre vie en résistant à notre domination, demain ils marcheront par milliers et dizaines de milliers, les mains vides ou armés de pelles et de pierres, vers les colonies, avant-postes, check-points et bases militaires d’Israël implantés au cœur même d’une population civile.

    Ils marcheront et diront : Nous voulons récupérer notre terre. Nous voulons de l’eau. Nous voulons être en mesure de nous déplacer. Nous voulons une industrie. Nous voulons aussi planifier, construire et nous construire. Imaginez des dizaines de milliers de personnes marchant vers les colonies à Jérusalem, imaginez les manifestations d’octobre 2000 multipliées par 100, imaginez des centaines de flottilles et marches du retour. Et alors nos soldats et policiers devront tirer pour tuer et blesser des douzaines, des centaines, des milliers de gens en une seule journée.

    Cette tuerie mesurée mais résolue maintient tout cela sous contrôle. Elle est destinée à enseigner à la majorité de se ternir tranquille, d’être effrayée, de se terrer dans ses enclaves de crainte que l’armée ne s’engage demain dans des tueries massives. Non seulement à Gaza mais en Cisjordanie. Et, en Israël, à Sakhnin et, sur la côte, à Acra aussi. (...)

  • Lettre de l’AURDIP à l’IRT Antoine de Saint- Exupéry concernant sa collaboration avec l’Université d’Ariel située dans les territoires palestiniens occupés
    AURDIP, le 27 avril 2019
    https://www.aurdip.org/lettre-de-l-aurdip-a-l-irt-antoine.html

    Pour Mme Geneviève Fioraso
    Présidente de l’Institut de Recherche Technologique Antoine de Saint- Exupéry

    Paris, le 12 avril 2019,

    Madame la Présidente,

    L’Association des Universitaires pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP) a été informée que l’Institut de Recherche Technologique (IRT) Antoine de Saint-Exupéry entretient des activités avec l’Université d’Ariel, une université située dans une colonie israélienne au sein des territoires palestiniens occupés.

    Des documents disponibles sur les sites internet de l’IRT Antoine de Saint- Exupéry et de l’Université d’Ariel (présentée comme située en Israël) attestent d’une collaboration institutionnelle entre ces deux établissements.

    Une plaquette de l’IRT Antoine de Saint-Exupéry, qui recense les différentes universités étrangères collaborant avec lui, mentionne d’ailleurs l’Université d’Ariel comme partenaire et indique que celle-ci se trouve en Israël.

    La collaboration entre les deux établissements a donné lieu à des conférences , école d’été , travaux et publications , notamment avec le professeur Joseph Bernstein du département d’ingénierie électrique et électronique de l’Université d’Ariel.

    L’AURDIP se permet de vous signaler que l’Université d’Ariel ne se trouve pas en Israël ou sur le territoire israélien, mais bien dans les territoires palestiniens occupés. L’Université d’Ariel est d’ailleurs érigée dans une colonie israélienne au sein de ces territoires.

    Nous vous rappelons à cette occasion que la colonisation israélienne constitue une violation du droit international (et un crime de guerre) et que toutes les colonies israéliennes situées au sein des territoires palestiniens occupés sont illégales.

    Dans son avis du 9 juillet 2004, la Cour internationale de Justice a dit que, du fait de cette illégalité en droit international, il est de la responsabilité de chaque Etat membre de la communauté internationale de ne pas reconnaître les colonies israéliennes, de n’apporter aucune aide et assistance aux colonies et de faire pression sur l’Etat d’Israël pour qu’il cesse la colonisation.

    C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’Union européenne s’est dotée le 19 juillet 2013 des « lignes directrices relatives à l’éligibilité des entités israéliennes établies dans les territoires occupés par Israël depuis juin 1967 et des activités qu’elles y déploient aux subventions, prix et instruments financiers financés par l’UE à partir de 2014 » ( 2013/C 205/05 ; JOUE du 19.7.2013 C 205/9 à C 205/11), qui interdisent les subventions, bourses et instruments financés par l’UE à toute entité israélienne établie dans les territoires palestiniens occupés par Israël depuis juin 1967, y compris Jérusalem-Est, mais également à toute activité israélienne qui y a lieu.

    Le soutien, direct ou indirect, par un établissement public français comme l’IRT Antoine de Saint-Exupéry, à des activités de recherche ou d’enseignement dans la colonie israélienne d’Ariel, constitue un encouragement à la politique israélienne de colonisation et est donc contraire au droit international.

    Nous souhaitons que vous puissiez nous assurer que cette question de la collaboration avec l’Université d’Ariel, qui fait courir un risque juridique et réputationnel tant à l’IRT Antoine de Saint-Exupéry qu’à son personnel, a été abordée avec votre équipe et traitée, afin d’y mettre un terme définitif.

    Nous attirons votre attention sur le fait que la situation actuelle contredit la position du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche, qui dans un précédent courrier nous a assuré qu’il est opposé à toute collaboration avec une entité de recherche ou d’enseignement située dans une colonie israélienne. Elle contrevient aussi au respect des lignes directrices de la Commission européenne qui ne saurait financer, même indirectement, ce type de collaboration.

    Nous comptons sur votre diligence pour nous rassurer quant à cette mise en conformité avec les législations française, européenne et internationale, et vous prions d’agréer l’expression de nos sentiments les meilleurs.

    Joseph Oesterlé
    Président de l’AURDIP

    #Palestine #BDS #Boycott_universitaire #AURDIP #Colonisation #Territoires_Occupés #Ariel

  • Un tribunal israélien confirme l’expulsion d’un défenseur des droits de l’Homme
    Ali Abunimah, Electronic Intifada, le 18 avril 2019
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/04/24/un-tribunal-israelien-confirme-lexpulsion-dun-defenseur-des-dro

    Mardi, un tribunal israélien a confirmé une décision du gouvernement d’expulser Omar Shakir, directeur du bureau de Jérusalem de Human Rights Watch. Le tribunal a fondé sa décision sur une loi de 2017 qui interdit l’entrée aux gens qui plaident pour un boycott d’Israël ou de ses colonies en territoire occupé.

    #Omar_Shakir #HRW #BDS #Boycott

    Suite de :
    https://seenthis.net/messages/573760
    https://seenthis.net/messages/692740
    https://seenthis.net/messages/775165

    Sur un sujet proche, une liste d’expulsions aux frontières israéliennes ici :
    https://seenthis.net/messages/364741

    #Palestine #Expulsion #Frontière

  • Une nouvelle localité sur le Golan portera le nom de Trump
    23 avril 2019 Par Agence Reuters
    https://www.ouest-france.fr/monde/israel/en-israel-une-localite-sur-le-plateau-du-golan-portera-le-nom-de-donald

    Israël va donner le nom de Donald Trump à une nouvelle localité sur le Golan pour remercier le président américain d’avoir reconnu le mois dernier la souveraineté d’Israël sur ce plateau stratégique, a annoncé mardi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
    (...)
    Les autorités israéliennes ont par ailleurs décidé de baptiser « Donald J. Trump » la future gare qui desservira à Jérusalem le Mur des Lamentations, en contrebas de l’Esplanade des Mosquées.

  • Palestinian killed while being chased by Israeli police
    April 23, 2019 11:31 A.M. (Updated: April 23, 2019 1:52 P.M.)
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=783296

    BETHLEHEM (Ma’an) — A Palestinian worker was killed, on Tuesday, after falling from a height as he was being chased by the Israeli police in the Galilee town of Arraba, occupied by Israel in 1948.

    Palestinian sources identified the worker as Muhammad Majd Kamil from the northern occupied West Bank town of Qabatiya in the Jenin district.

    Kamil fell from a height as he attempted to run from the Israeli police.

    Under Israel’s permit regime, Palestinian residents of the West Bank are not allowed to access occupied East Jerusalem or Israel without an Israeli-issued permit, and many risk being shot and injured while trying to cross into Israel to work.

    Tens of thousands of Palestinian workers are forced to seek a living by working in Israel due to crippling unemployment in the West Bank, as the growth of an independent Palestinian economy has been stifled under the ongoing Israeli military occupation, according to rights groups.

    #Palestine_assassinée

  • Greece bids for role in Israeli settler railway
    Adri Nieuwhof | 18 April 2019 | The Electronic Intifada
    https://electronicintifada.net/blogs/adri-nieuwhof/greece-bids-role-israeli-settler-railway

    The government of Prime Minister Alexis Tsipras is attempting to solve Greece’s chronic economic and debt problems at the expense of Palestinian rights. Yonatan Sindel Xinhua

    Encouraged by the Greek government, state-owned public transport firm STASY is bidding for a role in the Jerusalem light rail, which links Israeli settlements in the occupied West Bank.

    This would make the firms – and the Greek state – complicit in Israel’s illegal colonization.

    Greek and Israeli transport ministers signed an agreement to cooperate in transport sectors in 2017.

    This came after a summit between the leaders of Israel, Greece and Cyprus aimed at drawing the countries closer together.

    Lawmakers in Greece’s nominally left-wing ruling party Syriza are demanding to know why the government is supporting a Greek role in Israel’s colonial expansion.

    Metro workers union SELMA has also denounced STASY for its plan to bid for a role in the construction, operation and maintenance of the Israeli project.

    The light rail’s Green Line, which the Greek firm wants to be involved in, begins and ends in the occupied West Bank, SELMA stated last month. “This means that the Greek companies are directly engaged in supporting illegal Israeli settlements.”

    The union added that it is “completely against the participation in any illegal business activity of STASY, especially when it is about the violation of human rights and the just struggle of a people about its national existence and independence.”

    The union noted that the companies participating in the project face being included in the database mandated by the UN Human Rights Council of firms doing business in or with Israeli settlements in occupied territory.

    This could have “legal and judicial consequences,” the union warned. (...)

  • ’Entrance not permitted to minorities’: Jerusalem City Hall’s discriminatory regulations to kindergartens
    The Reform movement in Israel’s advocacy arm is demanding that the city change the instructions it distributed, which violate the law
    Nir Hasson | Apr 20, 2019 9:22 PM | Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-jerusalem-municipality-orders-minorities-be-denied-entry-to-city-s

    The Israel Reform movement’s anti-racism organization is demanding the Jerusalem Municipality immediately cancel instructions ordering kindergarten teachers and support staff deny entry to people belonging to minority groups.

    The instructions, published by the emergency and security department of the Jerusalem municipality and distributed to the city’s kindergartens and pre-schools, order that “outsiders many not enter kindergarten premises,” adding that “as a rule, entrance is not permitted to minority groups.”

    According to the instructions, if minority groups want to enter the school, “the local security officer must be notified.” In Israel, the Hebrew term “minority groups” usually refers to Arabs and other non-Jews.

    In its appeal, the Racism Crisis Center, operated by the Israel Religious Action Center - the advocacy arm of the Reform movement in Israel - said that the municipality instructions to comprehensively prohibit outsiders and non-Jewish minorities from entering kindergartens harm their right to human dignity and equality, and therefore is wrong, illegal and forbidden.

    “Arabs in Israel are viewed as dangerous as it is, even in the absence of any real and specific indication that they pose a potential threat. As a result, they become immediate suspects, and are targeted, more than any other sector, due to alleged security reasons which are based on religious and ethnic stereotypes,” the letter states.

    “אין לאפשר כניסת זרים לגן. ככל, אין אישור לכניסת מיעוטים”
    זו ההוראה של עיירית ירושליםם לגנים. בני מיעוטים, גם אם הינם אזרחי ותושבי המדינה, הם בגדר זרים, ומסוכנים בברירת המחדל!.
    בעירייה אמרו שיתקנו את ההוראה - אבל מה עוד צפוי לנו אם הגזען סמוטריץ’ יעמוד בראש משרד החינוך? pic.twitter.com/zOXzCFqpo0
    — MK Aida Touma-Sliman (@AidaTuma) April 18, 2019

    Tweet by Touma-Sliman with a photo of the Jerusalem Municipality instructions.

    The appeal adds that “protecting the security of kindergarten children and personnel is of the utmost importance. However, the security considerations, as important and worthy as they may be, don’t justify the gross discrimination against non-Jews. We request that the municipality reexamine the matter and retract any instruction that discriminates against minorities.”

    The Jerusalem municipality said in response that “security procedures for educational facilities are set by the Israel Police and the Education Ministry. The Jerusalem municipality operates in accordance with those procedures. The instructions you are referring to were distributed a year and a half ago. We are grateful for the attention paid to the manner the instruction was written and we will act to fix it soon.”

    Arab Member of Knesset Aida Touma-Sliman tweeted in response, “Minority groups, even if they are citizens and residents of the country, are seen as foreigners and dangerous by default … What else awaits us if that racist [MK Bezalel] Smotrich is appointed as head of the education ministry?” - referring to far-right, newly reelected Knesset member, who is said to likely be the next education minister

    #apartheid

    • « Entrée interdite aux minorités » : les règlements discriminatoires imposés aux jardins d’enfants par l’Hôtel de Ville de Jérusalem
      22 avril | Nir Hasson pour Haaretz |Traduction SM pour l’AURDIP
      https://www.aurdip.org/entree-interdite-aux-minorites-les.html

      La branche du mouvement réformiste israélien chargée du plaidoyer demande à la Ville de modifier des directives qui violent la loi

      L’organisme antiraciste du mouvement réformiste israélien demande à la municipalité de Jérusalem d’annuler immédiatement des directives enjoignant au personnel enseignant et de service des jardins d’enfants de refuser l’accès aux personnes qui appartiennent à des groupes minoritaires.
      Ces directives, publiées par le département Urgence et sécurité de la municipalité de Jérusalem et distribuées aux jardins d’enfants et écoles maternelles de la ville, indiquent que « les personnes extérieures à l’établissement ne doivent pas pénétrer dans ses locaux », précisant qu’« en règle générale, l’entrée n’est pas autorisée aux membres de groupes minoritaires ».

      Selon les directives, si des membres de groupes minoritaires souhaitent pénétrer dans l’école, « l’agent de sécurité local doit être prévenu ». En Israël, le terme hébreu « groupes minoritaires » désigne habituellement les Arabes et autres non-Juifs.

      Dans sa demande, le Centre de lutte contre le racisme (IRAC), qui dépend du Centre israélien d’action religieuse - branche du mouvement réformiste israélien chargée du plaidoyer – souligne que les directives de la municipalité interdisant globalement aux personnes extérieures à l’établissement et aux minorités non juives de pénétrer dans les jardins d’enfants bafouent leur droit à la dignité humaine et à l’égalité, et qu’elles sont donc condamnables, illégales et inadmissibles.

  • Démolition du logement d’un Palestinien accusé de meurtre d’une Israélienne
    AFP - 19 avril 2019
    https://fr.news.yahoo.com/d%C3%A9molition-logement-dun-palestinien-accus%C3%A9-meurtre-dune-isr

    Hébron (Territoires palestiniens) (AFP) - Les forces israéliennes ont détruit dans la nuit de jeudi à vendredi deux appartements appartenant à la famille d’un Palestinien accusé d’avoir tué une Israélienne en février, a indiqué l’armée dans un communiqué.

    Des soldats israéliens ont entouré dans la nuit l’immeuble dans lequel se trouvent les appartements de la famille d’Arafat Irfaiya, situé à Hébron, en Cisjordanie occupée, selon un correspondant de l’AFP.

    A l’aide d’engins de chantier, ils ont détruit les deux appartements. Des heurts ont alors éclaté entre forces israéliennes et Palestiniens présents sur place.

    Le corps d’Ori Ansbacher, qui était âgée de 19 ans, avait été retrouvé le 7 février dans le sud de Jérusalem, dans un secteur à la limite de la Cisjordanie. (...)

    #Punition_collective

    • Israel demolishes home of Palestinian suspected of killing Israeli settler
      April 19, 2019 12:12 P.M. (Updated: April 19, 2019 12:14 P.M.)
      http://www.maannews.com/Content.aspx?id=783265

      HEBRON (Ma’an) — Israeli forces demolished the house of Palestinian prisoner Arafat Irfaiya, 19, in the Wadi al-Harya in southern Hebron of the southern occupied West Bank, on predawn Friday.

      Spokesperson of the Israeli army said that its forces demolished two apartments in Hebron, belonging to Irfaiya’s family, who is accused of killing an Israeli settler in Jerusalem two months ago.

      Israeli forces had escorted bulldozers and military vehicles surrounding Irfaiya’s house since late Thursday night.

      A Ma’an reporter said that clashes erupted between local youths and Israeli forces afterwards, during which Israeli soldiers fired tear-gas bombs and stun grenades.

      No injuries were reported.

  • Settlers ’executed’ a Palestinian, and the Israeli army covered it up, rights group reports - Israel News - Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-settlers-executed-a-palestinian-and-idf-covered-it-up-human-rights

    Abed al-Muneim Abdel Fattah. Explained repeatedly to investigators that his son had no family or other problems and was never active in any group. Credit : Alex Levac

    It’s a very busy traffic circle on Highway 60, the major route in the West Bank, between the Hawara checkpoint and the Tapuah settlement intersection, not far from Nablus. As you drive toward the spot, which the Palestinians call Beita Circle and the settlers call Beitot Circle, garbage is piled up along the roadside. This is the industrial zone of the town of Hawara, where there is no industry other than garages and workers’ restaurants that look out onto the highway.

    On April 3, three men, all of them on the way to work, arrived at the traffic circle separately. Only two of them left the site alive. The third was shot to death. The B’Tselem Israeli human rights organization asserted this week that the shooting was an execution and that the Israel Defense Forces destroyed evidence and whitewashed the findings.

    It all happened in a flash. A little before 8:30 A.M., Mohammed Abdel Fattah arrived at the circle. He was 23 years old, married and the father of 7-month-old daughter, on the way from his apartment in his uncle’s house in the village of Beita to his job at the uncle’s brick factory in the village of Jama’in. He had apparently been traveling in a shared taxi. Eyewitnesses saw him standing by the side of the road and smoking two cigarettes, one after the other. What was going on in his mind? What was he planning? What made him act? We are unlikely to know.

    He then crossed the road, to the west. He stood on the shoulder, within touching distance of the vehicles proceeding from north to south, a few meters from the circle, where traffic has to slow down. The road was very busy at that time of the morning. He threw two or three stones, not very big ones, at passing cars, hitting no one.

    Even a visit to the home of Mohammed’s family did not provide an explanation for why he threw the stones. He was not a teenager and had never been arrested. He was married with a child, had a steady job and was on the way to work. A few days earlier he’d been to Israel for the first time in his life; together with his wife he visited Jerusalem and they later ate fish at a restaurant in Jaffa. Perhaps that trip holds the key to what drove the young married father to throw stones or try to stab a settler that morning.

    One of the cars he’d thrown a stone at stopped. It was a white Renault with a blue poster of the Union of Right-Wing Parties displayed in the rear window. The driver was Yehoshua Sherman, from the settlement of Elon Moreh, who was working as a field director for the Union of Right-Wing Parties during the election campaign, which had then entered its final week. A blurry video clip from a security camera shows Sherman’s car, which had been traveling from north to south, stopping. Fifteen seconds later, Sherman gets out of the car and apparently shoots Mohammed Abdel Fattah, who’s seen kneeling behind the vehicle. We don’t know what happened in those 15 seconds – the car blocks the view.

    In the meantime a truck with Israeli plates also stops and the driver gets out. B’Tselem field researchers Salma a-Deb’i and Abdulkarim Sadi cite witnesses as saying that they heard two shots. They think Sherman fired them before leaving his car. Abdel Fattah apparently tried to seek refuge behind a dumpster, which this week was still there, overflowing with refuse, at the edge of the road. A second video clip shows him lying on the road on his stomach, and being turned over onto his back by soldiers trying to ascertain if he was carrying explosives.

    According to the testimonies B’Tselem took from four people, who all saw similar things, the two drivers fired a number of shots from close range even after Abdel Fattah lay wounded on the ground. B’Tselem also claims the Israel Defense Forces deleted footage from security cameras in the area of the shooting of the wounded man. Israeli media reported that “a Palestinian terrorist was shot and subdued by two drivers after trying to stab a father and his daughter near Hawara, south of Nablus.”

    From the B’Tselem report, on its website: “At that point, Abdel Fattah was crouching among the dumpsters. Sherman approached him and fired several more shots at him. A truck driving along the road also stopped, and the driver got out. He came over to stand next to Sherman, and the two men fired several more shots at Abdel Fattah, who was lying wounded on the ground… Abdel Fattah succumbed to his wounds a short while later, at Beilinson Hospital in Israel.”

    One of the shots hit Khaled Hawajba, a young man who works in a nearby store, in the abdomen. He was treated in Rafidiya Hospital in Nablus and discharged a few days later.

    Minutes after the shooting by the two settlers, military jeeps arrived at the scene. The soldiers used stun grenades to disperse the crowd that had begun to gather at the site. According to B’Tselem, immediately afterward a group of about eight soldiers entered two of the nearby businesses to check their security cameras. They dismantled a digital video recorder in one of the stores and left. About 20 minutes later, the soldiers returned to the store, reinstalled the DVR and watched the footage.

    “Two soldiers filmed the screen with their mobile phones. They then erased the footage from the DVR and left,” the B’Tselem report states.

    In one of the clips that was uploaded to social networks in Israel, the photographer can be heard saying in Hebrew: “The terrorist tried to jump onto the Jew’s car and stab him. Our heroic soldiers eliminated him, may his name be blotted out. There are no casualties.”

    After the incident, Sherman told Srugim, a website that calls itself “the home site of the religious sector”: “At Beitot junction a terrorist with a knife jumped on the car and tried to open the door. I got out and as the terrorist tried to go around the car in my direction I subdued him with gunfire with the aid of another resident of a nearby settlement who was driving behind me.”

    The media reported that Sherman’s daughter was in the back seat; the allegation was that Abdel Fattah tried to open the car door and stab her. In the clip B’Tselem attached to its report, her father is seen moving relatively coolly toward the young man who is hiding behind the car. What happened there?

    The human rights group is convinced, on the basis of the accounts it collected, that the shooting continued from close range as the wounded man lay on the ground. Moreover, B’Tselem believes that the two drivers shot Abdel Fattah with no justification, after he had moved away from the car and was kneeling behind the dumpster. According to the organization, the security forces who arrived at the scene made no attempt to arrest the two settlers, quickly dispersed the Palestinians and then proceeded to go to the stores and delete the documentation of the event “to ensure that the truth never comes to light and the shooters would not face any charges or be held accountable in any way.”

    It was reported this week that the Samaria Regional Council has decided to award citations to the two settler-shooters.

    The IDF Spokesperson’s Unit this week sent Haaretz this response: “On April 3, 2019 there was an attempted stabbing attack at the Beitot junction, which is [within the purview of] the Samaria Division of the IDF Central Command. The terrorist was shot by citizens and subdued after he threw stones at Israeli cars and then approached one of the cars in order to perpetrate a stabbing attack in the area. At the site of the incident a knife used by the terrorist was found. We would like to point out that the cameras that were dismantled by the security forces as part of their investigation of the incident were returned to their owners. The incident is under investigation.”

    Khirbet Qeis. A small village below the town of Salfit, in the central West Bank, where Abdel Fattah’s parents live. His father, Abed al-Muneim Abdel Fattah, 50, is a night watchman in Ramallah, who has five other children in addition to Mohammed. The house is well kept. Mohammed, the eldest, completed high school, but “regrettably,” his father says, he did not pursue his studies and went to work. In October 2017, he married his cousin, Rada Awadala, from the village of Ein Ariq, near Ramallah, and their daughter Jawan was born last fall. They visited every second Friday, rotating weekends between Rada’s parents in Ein Ariq and Mohammed’s in Khirbet Qeis.

    On the last Friday of Mohammed’s life they were at the home of his in-laws. The next day, when he and Rada went on an organized tour to Jerusalem and Jaffa, they left Jawan with her maternal grandparents. When they got back, Rada went to her parents’ home to collect the baby and stayed there for a few days. Mohammed remained alone in their apartment in Beita, close to his place of work.

    Mohammed’s father was on the job in Ramallah the day his son died. A relative called to inform him that Mohammed had been wounded. Shortly afterward, a Shin Bet security service agent called and ordered him to come to the IDF base at Hawara, Abed tells us now. The agent informed him that his son had tried to stab a soldier and afterward corrected himself to say that his son had thrown stones. The father replied that it was unimaginable for his son to have done that.

    Abed was asked in his interrogation whether Mohammed had been active in any sort of movement, whether anyone had tried to persuade him to throw stones or carry out a stabbing attack, whether he suffered from mental problems or problems at home or at work, or whether perhaps he’d quarreled with his wife. The father replied that his son had no family or other problems and was never active in any group. The interrogator repeated the questions twice, then a third time.

    At this point Abed still didn’t yet know that his son was dead. The Shin Bet agent said he’d been wounded and taken to Beilinson Hospital in Petah Tikva. He recommended that Abed get in touch with the Palestinian District Coordination and Liaison Office to arrange an entry permit to visit his son in Israel. Finally the agent said to the father, “From now on, you and your children are under surveillance. Dir balak [Watch your step]. Take this as a warning, as a red light. Anyone who lifts his head – we’ll cut it off.”

    Abed was at the base in Hawara for nearly three hours. By the time he got home, almost the whole village had gathered next to his house, and he understood that his son was dead. The social networks said he had been killed by settlers.

    Why was he throwing stones, we asked. Abed: “I don’t believe he did anything like that. He was on the way to work. But even if he did, sometimes the settlers provoke people who are standing on the road, spit at them or curse them or try to run them over. Even if he threw stones, by then he wasn’t endangering anyone. After all, the law says that it’s forbidden to shoot someone who is lying on the ground. Arrest him. But why did you kill him?”

    Israel has not yet returned Mohammed Abdel Fattah’s body; all the family’s efforts to claim it have been rebuffed. His grave has already been dug in the village’s small cemetery. There’s a mound of earth there now, but the grave is empty.

    https://seenthis.net/messages/771991

  • Un tribunal israélien approuve l’#expulsion du directeur de #HRW

    Un tribunal israélien a approuvé mardi une décision du ministère de l’Intérieur d’expulser le directeur local de Human Rights Watch (HRW), accusé de « soutenir le boycott d’Israël ».

    Le tribunal de Jérusalem a accordé à #Omar_Shakir, un citoyen américain, jusqu’au 1er mai prochain pour quitter le territoire, après avoir rejeté son appel contre un ordre d’expulsion. Il peut toutefois faire appel devant la cour suprême.

    le tribunal avait reporté son expulsion en mai 2018 après un recours de l’organisation de défense des droits humains contre une décision du ministère de l’Intérieur.

    Dans sa déclaration mardi, le tribunal de Jérusalem a affirmé qu’il « a été prouvé » que M. Shakir « continue à appeler publiquement au boycottage d’Israël et en même temps demander qu’il (l’Etat hébreu) lui ouvre ses portes ».

    Le ministre des Affaires stratégiques Gilad Erdan a salué la décision de la justice israélienne, précisant que c’est son ministère qui avait fourni les éléments à charge pour incriminer le directeur du HRW et recommander son expulsion.

    « Les activistes du BDS doivent réaliser qu’il y a un prix à payer pour leur activité contre Israël et ses citoyens », a ajouté le ministre.

    Les autorités israéliennes avaient indiqué en 2018 que M. Shakir était depuis des années un militant du BDS soutenant le boycott d’Israël de manière active.

    Le BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions), l’une des bêtes noires des autorités israéliennes, est une campagne mondiale de boycott économique, culturel ou scientifique d’Israël destinée à obtenir la fin de l’occupation et de la colonisation des Territoires palestiniens.

    Le gouvernement israélien combat farouchement tout ce qui ressemble à une entreprise de boycott et en 2017, il a adopté une loi interdisant à tout militant BDS d’entrer en Israël.

    HRW a démenti que son directeur ait soutenu le BDS, et affirmé mardi vouloir saisir la cour suprême israélienne.

    Tom Porteous, adjoint au directeur des programmes de HRW, a affirmé dans un communiqué que la décision de justice constituait une « nouvelle et dangereuse interprétation de la loi » car elle assimilait la critique des entreprises opérant en Cisjordanie à un boycott d’Israël.

    https://www.lorientlejour.com/article/1166762/un-tribunal-israelien-approuve-lexpulsion-du-directeur-de-hrw.html
    #Israël
    ping @nepthys @reka

  • Il n’y aura pas d’ambassadeur sud-africain en Israël jusqu’à nouvel ordre
    Par RFI Publié le 09-04-2019
    http://www.rfi.fr/afrique/20190409-pas-ambassadeur-sud-africain-israel-jusqu-nouvel-ordre

    L’Afrique du Sud ne remplacera pas son ambassadeur en Israël. La ministre des Affaires étrangères sud-africaine, Lindiwe Sisulu, a annoncé dimanche 7 avril que le pays allait abaisser son niveau de représentation diplomatique à Tel-Aviv jusqu’à nouvel ordre. L’ambassadeur sud-africain avait été rappelé à Pretoria en mai 2018 après la mort de 52 Palestiniens lors de manifestations contre le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem. Cette décision envoie un signal fort de la part de l’Afrique du Sud. C’était un projet de longue date du Congrès National Africain (ANC), qui a toujours manifesté son soutien à la cause palestinienne. (...)

  • #Palestine : l’#arnaque historique du #plan_de_paix américain

    « L’accord du siècle » annoncé par Donald Trump devait rompre avec le consensus diplomatique. Il va bien au-delà en niant la plupart des droits nationaux reconnus aux Palestiniens par la légalité internationale, et en mettant un terme au projet d’État palestinien avec Jérusalem comme capitale.

    https://www.mediapart.fr/journal/international/090419/palestine-l-arnaque-historique-du-plan-de-paix-americain?onglet=full
    #Israël #paix
    ping @nepthys @reka

  • Israël vote pour l’apartheid (Gidéon Levy)
    Gideon Levy 7 avril 2019 | Haaretz | Traduction SM pour l’Agence Média Palestine
    http://www.agencemediapalestine.fr/blog/2019/04/09/gideon-levy-israel-vote-pour-lapartheid

    L’élection de mardi entraînera à coup sûr un résultat : une centaine de membres de la prochaine Knesset seront des partisans de l’apartheid. Ce fait est sans précédent dans les États démocratiques. Cent législateurs sur 120, une majorité archi-absolue qui soutient la continuation de la situation actuelle, à savoir l’apartheid.

    Avec une majorité pareille, il sera possible pour la prochaine Knesset de déclarer officiellement Israël comme État d’apartheid. Face à un tel soutien à l’apartheid et compte tenu du caractère durable de l’occupation, aucune propagande ne pourra réfuter cette vérité toute simple : presque tous les Israéliens souhaitent que l’apartheid continue. Leur culot – ce qu’on appelle chutzpahen yiddish – atteignant des sommets, ils qualifient cela de démocratie, alors même que plus de 4 millions de personnes qui vivent près d’eux et sous leur domination n’ont pas le droit de voter pour cette élection. (...)

  • Les Palestiniens, grands absents de l’élection israélienne
    7 avril 2019 Par Thomas Cantaloube
    https://www.mediapart.fr/journal/international/070419/les-palestiniens-grands-absents-de-lelection-israelienne

    Le placard d’une agence immobilière : « Bientôt Jérusalem accueillera 200 ambassades, une par pays. Nations, du monde, n’attendez pas pour louer votre ambassade. » © Thomas Cantaloube

    Pour la première fois, le conflit israélo-palestinien n’a quasiment pas été débattu lors de la campagne pour le scrutin du 9 avril. Comme si le statu quo était la seule politique possible et la voix des arabes-israéliens ne comptait pas. (...)

  • Cent des cent vingt députés élus mardi en Israël seront les partisans de l’apartheid. Une tribune de Gideon Levy

    Israel is voting apartheid - Opinion - Israel News | Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/opinion/.premium-israel-is-voting-apartheid-1.7089338

    There will be one certain result from Tuesday’s election: Around 100 members of the next Knesset will be supporters of apartheid. This has no precedent in any democracy. A hundred out of 120 legislators, an absolute of absolute majorities, one that supports maintaining the current situation, which is apartheid.

    With such a majority, it will be possible in the next Knesset to officially declare Israel an apartheid state. With such support for apartheid and considering the durability of the occupation, no propaganda will be able to refute the simple truth: Nearly all Israelis want the apartheid to continue. In the height of chutzpah, they call this democracy, even though more than 4 million people who live alongside them and under their control have no right to vote in the election.

    Of course, no one is talking about this, but in no other regime around the world is there one community next to another where the residents of one, referred to as a West Bank settlement, have the right to vote, while the residents of the other, a Palestinian village, don’t. This is apartheid in all its splendor, whose existence nearly all the country’s Jewish citizens want to continue.

    >> Even for the wild West Bank, this is a shocking story

    A hundred Knesset members will be elected from slates referred to as either right-wing, left-wing or centrist, but what they have in common surpasses any difference: None intend to end the occupation. The right wing proudly says so, while the center-left resorts to futile illusions to obscure the picture, listing proposals for a “regional conference” or “secure separation.” The difference between the two groupings is negligible. In unison, the right and left are singing “say yes to apartheid.”

    As a result, this election is so unimportant, so far from crucial. So let’s cut the hysteria and the pathos over the outcome. Neither civil war nor even a rift is in the offing. The people are more united than ever, casting their vote for apartheid. Whatever Tuesday’s results may be, the country of the occupier will remain the country of the occupier. Nothing defines it better than all the other marginal issues, including the Zehut party’s campaign to legalize marijuana.

    So there’s no reason to hold our breath over Tuesday’s results. The election is lost in advance. For the country’s Jews, it will shape the tone, the level of democracy, the rule of law, the corruption in which they live, but it won’t do a thing to change Israel’s basic essence as a colonialist country.
    Stay up to date: Sign up to our newsletter
    Email*

    The far right wants the annexation of the West Bank, a step that would make permanent in law a situation that has long been permanent in practice. Such a step would present a tempting advantage. It would finally rip off Israel’s mask of democracy and might finally generate opposition both in the country and abroad.

    But no person of conscience can vote for the fascist right wing, which includes people who advocate the expulsion of the Palestinians or the construction of a Third Temple on the Temple Mount, the destruction of the mosques there, or who even dream about extermination. Prime Minister Benjamin Netanyahu’s allegedly more moderate Likud party wishes only to maintain the current situation, meaning undeclared apartheid.

    The center-left seeks to engage in deception, with not a word about an end to the occupation from either Kahol Lavan or Labor, or even about lifting the blockade on the Gaza Strip. Benny Gantz’s party has ambitious plans for a regional conference, making history, and “deepening the process of separation from the Palestinians along with uncompromisingly maintaining … the Israeli army’s freedom of action everywhere.”

    It has been a long time since such a document whitewashing the occupation has been written in all its disgrace. And the Labor Party isn’t lagging behind. The most daring step it’s proposing is a referendum on the refugee camps around Jerusalem in which only Israel’s would vote, of course.

    And that comes on top of well-worn declarations about settlement blocs, Jerusalem, the Jordan Valley and a halt to settlement construction outside the blocs, meaning continuing settlement construction with full force. “Paths toward separation,” this party, the self-righteous founder of the settlement enterprise, calls it. Paths toward deception.

    Peace? Withdrawal? Dismantling settlements? Don’t make the Zionist left laugh. Not much is left, two and a half tickets, the fringe: Meretz and Hadash-Ta’al, which support a two-state solution — that faltering train that has already left the station — and Balad-United Arab List, which is closest to advocating a one-state solution, the only solution left.

    Vote apartheid.

  • Neymar s’affiche avec Bolsonaro et Netanyahou
    Le Parisien - S.N. (avec R.F.)| 03 avril 2019
    http://www.leparisien.fr/sports/football/psg/neymar-s-affiche-avec-bolsonaro-et-netanyahou-03-04-2019-8045526.php

    Neymar accepte l’invitation de Netanyahou

    (...) Mais ce mardi 2 avril, Neymar a fait son apparition dans une vidéo publiée par Jair Bolsonaro et ses équipes sur les réseaux sociaux. Le président brésilien se trouve à Jérusalem (Israël) en compagnie du Premier ministre de l’État hébreu Benjamin Netanyahou. Ce dernier invite alors Neymar et Gabriel Medina, champion de surf et ami du footballeur, à se rendre en Israël. Une invitation acceptée de la part des deux sportifs, comme on peut le voir dans la même vidéo.

    - Netanyahu, Bolsonaro, Neymar e Medina pelo Sucesso de Brasil e Israel. https://twitter.com/jairbolsonaro/status/1113158371761422337/video/1
    — Jair M. Bolsonaro (@jairbolsonaro) 2 avril 2019

    C’est la première fois que Neymar s’affiche aussi clairement aux côtés du président brésilien, même s’il ne dévoile aucune idée ou opinion politique dans cette vidéo.

    • Netanyahu polishes security image in Moscow as vote approaches
      Ben Caspit April 3, 2019
      https://www.al-monitor.com/pulse/originals/2019/04/israel-russia-syria-benjamin-netanyahu-vladimir-putin.html#ixzz5kCuSazCq

      Prime Minister Benjamin Netanyahu will pass up no opportunity for political points as the April 9 elections approach. Today, April 4, he will meet with Russian President Vladimir Putin in Moscow, their second meeting in about six weeks. The last one took place on Feb. 27, after a long disconnect between the two leaders. This one comes only a few days before the political electoral verdict that will also decide Netanyahu’s personal fate. During this meeting, Netanyahu will also thank Putin. The Arab media reported that Russia was a third country that helped Israel to return the body of soldier Zacharia Baumel, who had been missing for 37 years. After he milked the March 25 celebration with President Donald Trump in the White House, Netanyahu is looking toward Putin, who is still venerated by many former Soviet Union citizens who moved to Israel. In this last-minute trip, Netanyahu is again trying to convey that no one can replace him in terms of international status.

      “““““““““““““““““““““““““““““““““““
      Russia helps find remains of Israeli soldier missing since 1982
      April 4, 2019 4:56 P.M. (Updated : April 5, 2019 1:03 P.M.)
      http://www.maannews.com/Content.aspx?id=783107
      ““““““““““““““““““““““““““““““““““
      https://seenthis.net/messages/772531

    • Le Hezbollah se mure dans son silence après le « cadeau » russe fait à Netanyahu
      Jeanine JALKH | OLJ | 05/04/2019
      https://www.lorientlejour.com/article/1164974/le-hezbollah-se-mure-dans-son-silence-apres-le-cadeau-russe-fait-a-ne

      La remise par Moscou des restes du soldat porté disparu en 1982 n’affectera toutefois pas les relations entre le parti chiite et la Russie, estime un analyste proche du Hezb.

      Par-delà sa signification et ses effets escomptés sur les relations russo-israéliennes, la remise des restes de Zachary Baumel, commandant de char du 362e bataillon blindé porté disparu en 1982 au Liban, par la Russie à Israël, n’a suscité aucune réaction de la part du Hezbollah qui se refuse catégoriquement à commenter cette affaire. Le parti a probablement du mal à comprendre pourquoi Moscou, voire même le régime syrien, partenaire présumé de la Russie dans cette opération, aurait consenti à cet échange, sachant qu’il a de tout temps adopté la politique du donnant donnant, notamment dans le cadre d’échanges de prisonniers de guerre ou des dépouilles de combattants ou de soldats.

      Hier, la Russie a annoncé officiellement son parrainage de l’opération de recherche qui a abouti à localiser le corps du soldat, un commandant de char qui avait disparu entre le 10 et le 11 juin 1982 lors d’une bataille qui s’était déroulée à la Békaa, dans la localité de Sultan Yacoub, non loin de la frontière libano-syrienne. (...)

    • Poutine : la Syrie a aidé la Russie à récupérer la dépouille de Zachary Baumel
      Par Judah Ari Gross, Times of Israel Staff et AFP 4 avril 2019
      https://fr.timesofisrael.com/poutine-la-syrie-a-aide-la-russie-a-recuperer-la-depouille-de-zach

      Le président russe Vladimir Poutine a déclaré jeudi que l’armée russe, avec l’aide de la Syrie, avait participé aux efforts visant à récupérer la dépouille du sergent Zachary Baumel, qui avait été tué en 1982 lors de la Première guerre du Liban lors de la bataille de Sultan Yacoub contre l’armée syrienne.

      « Les soldats de l’armée russe ont trouvé le corps en coordination avec l’armée syrienne », a déclaré Poutine durant une conférence de presse avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu.

      “““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““““
      La Syrie contredit Poutine, nie avoir aidé au rapatriement de Zachary Baumel
      Par Judah Ari Gross, Adam Rasgon et Times of Israel
      https://fr.timesofisrael.com/la-syrie-contredit-poutine-nie-avoir-aide-au-rapatriement-dun-sold

      Damas soutient que "toute l’opération était l’œuvre d’Israël et de groupes terroristes," après que le Kremlin a indiqué que les troupes russes l’avaient menée avec l’armée syrienne
      (...)
      « Nous n’avons pas la moindre information sur le sujet et ignorons s’il y a des restes ou pas, » ajoute le communiqué.
      Un responsable de l’organisation terroriste palestinienne du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) basé en Syrie a fait savoir mercredi que des insurgés ayant pris le contrôle du camp de réfugiés palestiniens de Yarmouk à Damas jusqu’à l’année dernière avaient excavé des tombes à la recherche des dépouilles de trois soldats disparus. Le FPLP l’avait déjà affirmé par le passé.

      Le ministre de l’Information syrien Imad Sara a assuré à la télévision officielle que la Russie n’était pas non plus impliquée. « Ce que nous croyons, c’est que toute l’opération a été menée par Israël et des groupes terroristes armés en Syrie. »(...)

  • À Jérusalem, un projet de téléphérique pour servir la colonisation israélienne
    Par Marie Niggli à JÉRUSALEM | Date de publication : Mardi 2 avril 2019Middle East Eye édition française
    https://www.middleeasteye.net/fr/news/jerusalem-un-projet-de-telepherique-pour-servir-la-colonisation-israe

    Afin de désengorger la vieille ville de Jérusalem où se pressent chaque jour des flots de touristes, la mairie projette de construire un téléphérique. Mais les Palestiniens ainsi que certains architectes et archéologues israéliens dénoncent une manœuvre politique qui sert les intérêts des colons

  • Une affaire allemande, pas seulement une histoire d’amour en Palestine
    2 avril | Amira Hass pour Haaretz |Traduction CG pour l’AURDIP
    https://www.aurdip.org/une-affaire-allemande-pas.html

    Pourquoi Israël discrimine-t-il les citoyens étrangers qui épousent des résidents palestiniens de Cisjordanie ?

    Des représentants de la diplomatie allemande, française, espagnole et américaine assistaient jeudi dernier à une audition à la Cour suprême israélienne, même si la requête débattue concernait une citoyenne allemande et son droit à vivre avec son époux palestinien dans leur propre maison à Hébron. Le couple, dont la requête pour rapprochement familial a été rejetée par Israël, est celui de Josefin Herbach et Abdelrahman Salaymeh. « J’étais très tendu pendant l’audition », a déclaré Salaymeh. « Pour les juges, c’était juste un autre dossier, pour nous c’est toute notre vie ».

    Les diplomates faisaient bien d’assister à l’audition puisque ce cas individuel est lié à une question générale de principe : pourquoi donc Israël interdit-il aux citoyens et citoyennes de ces pays de vivre en paix et en sécurité avec leurs conjoints palestiniens à Bethléem, Ramallah ou Jenine ? Pourquoi Israël discrimine-t-il certains citoyens nord- ou sud-américains et européens, par rapport à d’autres citoyens de ces mêmes pays, seulement parce qu’ils ou elles épousent des Palestiniens qui sont résidents de Cisjordanie (et de Jérusalem) et non juifs ?