city:la chambre

  • Russiagate attend son heure de gloire…
    http://www.dedefensa.org/article/russiagateattend-son-heure-de-gloire

    Russiagate attend son heure de gloire…

    Il se dit beaucoup, ici et là, que nous sommes au bout de notre calvaire de l’attente du rapport Mueller, lancé il y a deux ans pour mettre à jour ce qui ne peut être que les vilenies des Russes, dans ce qui ne peut être que leurs interférences frauduleuses jusqu’à fausser le résultat, lors de la campagne des élections présidentielles de 2016 aux USA. Il semble donc que le rapport devrait être bouclé, imprimé et relié dans fort peu de temps, dans quelques jours, dit-on même, – et déjà les uns et les autres préparent leurs munitions…

    La Chambre des Représentants du Congrès des États-Unis a voté hierquasiment à l’unanimité (420-0) la publicité de ce rapport lorsqu’il sera dans les mains des parlementaires, – c’est-à-dire, pour qu’il soit également mis dans les mains du (...)

  • « Les gaz lacrymogènes, outils de répression des insectes et des émeutiers », Jean-Baptiste Fressoz
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/02/27/les-gaz-lacrymogenes-outils-de-repression-des-insectes-et-des-emeutiers_5428

    Dans sa chronique, le chercheur Jean-Baptiste Fressoz retrace l’histoire des gaz utilisés par les forces de l’ordre contre les manifestants, et récemment les « gilets jaunes ».

    Chronique. La répression policière des « gilets jaunes » et la disparition des insectes − annoncée par des scientifiques pour le début du XXIIe siècle — partagent une origine commune qui remonte à la fin de la première guerre mondiale, au moment où les gaz de combat sont reconvertis à un usage civil, à la fois comme phytosanitaires pour nettoyer les champs et comme gaz lacrymogènes pour réprimer grévistes et émeutiers.

    En 1918, Amos Fries (1873-1963), l’énergique chef du service de la guerre chimique (CWS) de l’armée américaine, est désemparé : il est à la tête de 44 000 hommes, et surtout il a organisé un immense programme de recherche auquel collaborent 1 700 scientifiques. Il est en train d’inventer la guerre du futur et, soudainement, avec l’armistice, le CWS est en passe d’être démantelé.

    L’opinion publique est révulsée par les gaz de combat. La Chambre des représentants ratifie la convention de Washington puis celle de Genève, qui interdisent la guerre chimique. Pour Fries, c’est tout simplement incompréhensible : les gaz sont un moyen plus moderne, moins meurtrier, moins sanglant, plus propre en somme, de faire la guerre.
    Pour justifier son existence et son financement, le CWS doit convaincre l’état-major américain et l’opinion publique que les gaz peuvent trouver des usages en temps de paix. Amos Fries lance alors deux projets parallèles, l’un sur les pesticides, l’autre sur les grenades lacrymogènes.

    Le rêve d’une nature libre d’insectes

    Comme l’a bien montré l’historien Edmund Russell dans War and Nature (Cambridge University Press, 2001, non traduit), la première guerre mondiale a ouvert la voie aux #pesticides modernes : nouvelles molécules, nouveaux moyens d’épandage, et surtout nouvelle culture de l’éradication. Dans la propagande américaine, les Allemands étaient souvent comparés à des insectes qu’il fallait écraser et, réciproquement, les insectes étaient dépeints comme les ennemis de l’humanité, et cela d’autant plus facilement que le typhus (transmis par les puces) faisait des ravages dans les tranchées.

    En plein conflit, Stephen Allen Forbes (1844-1930), l’un des plus grands écologues américains déclarait : « La lutte entre l’homme et les insectes a commencé bien avant la civilisation, elle a continué sans armistice jusqu’à maintenant et continuera jusqu’à ce que l’espèce humaine prévale. » C’est durant la première guerre mondiale que naît le rêve d’une nature purgée des insectes et que commencent les grandes campagnes d’éradication, qui perdureront jusque dans les années 1970.

    La première guerre mondiale met aussi en évidence l’intérêt de la chloropicrine, une molécule jusqu’alors obscure, qui est un fongicide, mais qui possède aussi la particularité de provoquer des pleurs et des vomissements. Elle est moins connue que le gaz moutarde, mais il s’agit pourtant de l’arme chimique la plus utilisée pendant le conflit. Active à faible dose et pénétrant plus facilement dans les masques à gaz, elle était utilisée en guise de préliminaire : pris de pleurs et de suffocations, le soldat arrachait son masque, s’exposant ainsi à d’autres gaz plus dangereux. La chloropicrine est l’ancêtre des gaz lacrymogènes.

    Les Etats-Unis d’après-guerre offrent un terrain propice aux expérimentations policières : alors que de grandes grèves éclatent et qu’on agite le spectre d’une révolution bolchevique, les gaz lacrymogènes sont vantés par Amos Fries comme un outil de maintien de l’ordre à la fois plus efficace et plus humain que la matraque. Contrairement à cette dernière, ils laissent peu de traces et surtout ils individualisent l’émeutier pris dans une douleur atroce alors que les batailles rangées avec la police renforçaient la cohésion des foules. A partir de 1921, des petites entreprises montées par d’anciens du CWS fournissent les forces de police américaines en grenades lacrymogènes.
    Cent ans plus tard, on peut dire qu’Amos Fries et ses collègues ont triomphé : la guerre millénaire de l’humanité contre les insectes est en passe d’être gagnée, et les gaz lacrymogènes sont abondamment utilisés partout où la révolte gronde. L’ordre règne dans les champs et dans les rues.

    #gaz_lacrymogène #maintien_de_l'ordre #armes_chimiques #police

  • Jürgen Nefzger à La Chambre : « avec le nucléaire, les paysages se chargent de symboles »
    https://www.rue89strasbourg.com/jurgen-nefzger-a-la-chambre-avec-le-nucleaire-les-paysages-se-charg

    Jusqu’au 24 février, la galerie La Chambre expose les photographies de Jürgen Nefzger, photographe d’origine allemande installé en France. À l’occasion de sa première exposition monographique à Strasbourg, rencontre avec cet artiste, dont les œuvres traitent de problématiques écologiques, territoriales et politiques actuelles. (lire l’article complet : Jürgen Nefzger à La Chambre : « avec le nucléaire, les paysages se chargent de symboles »)

  • Jürgen Nefzger à La Chambre : poétique et politique du nucléaire
    https://www.rue89strasbourg.com/jurgen-nefzger-a-la-chambre-poetique-et-politique-du-nucleaire-1479

    Pour sa première exposition à Strasbourg, le photographe franco-allemand Jürgen Nefzger investit la galerie La Chambre, du 12 janvier au 24 février. À travers deux séries de photographies, l’artiste interroge visuellement l’emprise du nucléaire sur l’environnement et développe un propos à la fois engagé, poétique et porteur de multiples réflexions. (lire l’article complet : Jürgen Nefzger à La Chambre : poétique et politique du nucléaire)

  • Shutdown : La Chambre vote la reprise des activités dans deux ministères
    https://www.latribune.fr/depeches/reuters/KCN1P42SD/shutdown-la-chambre-vote-la-reprise-des-activites-dans-deux-ministeres.htm

    Deux projets de loi censés permettre la reprise des activités du ministère américain de l’Agriculture, de celui des Transports et de plusieurs instances paralysées par le bras de fer budgétaire entre Donald Trump et le Parti démocrate ont été adoptés jeudi à la Chambre des représentants.

    Un texte semblable concernant la réouverture du département du Trésor et de l’Internal Revenue Service avait déjà été voté la veille à la Chambre, ou les démocrates sont désormais majoritaires.

    La crise budgétaire concernant le mur dont Donald Trump exige la construction à la frontière mexicaine a entraîné la mise en disponibilité ou l’arrêt du versement des salaires de 800.000 fonctionnaires. Elle dure depuis le 22 décembre.

  • « Gilets jaunes » : des conséquences économiques déjà lourdes en région Wladimir Garcin-Berson - 26 Novembre 2018 - Le Figaro Economie
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/11/26/20002-20181126ARTFIG00167-gilets-jaunes-des-consequences-economiques-deja-l

    FOCUS - Alors qu’une réunion se tient ce lundi à Bercy pour dresser un état des lieux des conséquences du mouvement sur l’activité des entreprises, les territoires tirent la sonnette d’alarme.

    Réunion au sommet : ce lundi, une quinzaine de fédérations professionnelles sont réunies à Bercy pour une « première évaluation des conséquences économiques du mouvement des gilets jaunes sur l’ensemble des territoires », ainsi que pour « convenir de mesures d’accompagnement pour les professionnels ». Car les effets sont d’ores et déjà remarquables : à l’échelle nationale, l’institut Nielsen a par exemple estimé que la grande distribution avait vu ses pertes se creuser tout au long de la semaine dernière, de -35% samedi à -32% lundi, -13% mardi et -5% mercredi.

    À l’échelle locale, un grand nombre d’institutions ont fait remonter les inquiétudes des entreprises et des professionnels qui souffrent des blocages et autres barrages filtrants. Ce sont ces échelons, aux préoccupations de plus en plus marquées, que le gouvernement devra rassurer.

    Dans l’Hérault
    La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de l’Hérault a mené une étude entre le 19 et le 21 novembre auprès des commerçants. Publiée jeudi, elle note un effet massif de la mobilisation : en comparaison avec une période « normale », les 300 commerçants ont pointé une « baisse moyenne de fréquentation de 60% » ainsi que de chiffre d’affaires « de 55% ». Près des trois quarts des personnes interrogées ont constaté un ralentissement de leur activité, et celui-ci s’étend sur l’ensemble du territoire, touchant les centres-villes comme les zones rurales, les centres commerciaux ou les commerces de proximité des petits villages.

    Et la Chambre de citer l’exemple de six magasins Intersport du département : leur dirigeant, Patrick Hanot, déplore une « perte de 40% de chiffre d’affaires » depuis le samedi 17. « L’impact économique négatif est hélas bien réel et important », souligne le communiqué. Le même jour, le président de la Chambre, André Deljarry, a dénoncé le blocage d’une plateforme logistique alimentaire du groupe Intermarché, à Villeneuve-les-Béziers et a mis en garde contre les « conséquences » des actions « à l’opposé des fondements initiaux du mouvement ». Le dirigeant a exprimé son souhait de voir « la population et l’économie locale » retrouver de la « sérénité ».

    Dans le Bordelais
    La CCI Bordeaux Gironde a aussi appelé à une « sortie rapide du conflit » : pour son président, Patrick Seguin, les blocages pénalisent « fortement » les entreprises, en particulier à la veille des fêtes. Tout en disant comprendre « cette colère », il explique rester soucieux « de ne pas amplifier le conflit » et compte sur sa résolution le plus rapidement possible. Contactée par nos soins, la Chambre ne dispose pas encore d’éléments chiffrés permettant d’estimer l’impact de la mobilisation. Pour autant, les remontées dont elle dispose font état d’une perte de chiffre d’affaires de « 20 à 30% ». Elle cite également l’exemple du festival Bordeaux S.O Good, organisé le week-end du 17, et qui a vu sa fréquentation baisser de plus de 20%, une évolution que la Chambre impute en partie aux mobilisations organisées au même moment.
    La situation dans cette zone est d’autant plus préoccupante que l’économie locale souffrait déjà d’une perte de vitesse marquée : l’activité girondine a enregistré, au troisième trimestre, un « ralentissement » de son chiffre d’affaires, son carnet de commandes, ses marges commerciales ainsi que de ses investissements. Les professionnels locaux comptent donc d’autant plus sur cette période de fin d’année.

    À la Réunion
    Exemple le plus emblématique, l’économie de la Réunion a été mise à l’arrêt par les mobilisations qui continuent aujourd’hui encore. Cité par nos confrères du Monde, le président de la Chambre de commerce locale, Ibrahim Patel, déplore une perte de chiffre d’affaires de « 500 millions d’euros » dans le commerce depuis le 17. Il souligne également les difficultés rencontrées par les salariés pour se rendre à leur lieu de travail et estime que les exportations ont perdu « 10 millions d’euros » depuis une semaine.

    Devant les mobilisations, la ministre des Outre-mer, Annick Girardin, a annoncé qu’elle se rendrait sur l’île ce mercredi pour annoncer des mesures visant à calmer la colère populaire. De nouvelles annonces sur l’emploi et le coût de la vie sont attendues, au lendemain du gel de la hausse des taxes sur les carburants. Dès le début du mouvement des « gilets jaunes », le 19, la CCI demandait à l’État de « déclarer l’île en zone de catastrophe économique », expliquant qu’elle était « paralysée économiquement ».

    Dans le Gard
    Dans le Gard, la Chambre de commerce s’est dite « fortement sollicitée » par les professionnels inquiets devant l’ampleur des blocages. Une adresse mail spécifique blocages@gard.cci.fr a été créée pour les « aider à traverser au mieux cette crise ». La CCI a également adressé un communiqué estimant que la démarche des gilets jaunes est « contre-productive » : « ce qui se produit depuis samedi n’est pas tolérable », développe-t-elle, en regrettant notamment les « dégradations commises à l’encontre de certaines entreprises ».

    Dans les zones rurales
    Plusieurs départements ont souligné l’impact important des mouvements sur leur économie. Dès le 9 novembre, l’Allier s’inquiétait par exemple de « l’impact de la hausse du prix des carburants » sur les entreprises de la zone, et estimait qu’il fallait éviter de « pénaliser plus l’économie de proximité et des territoires déjà frappés par un vieillissement de la population, la désertification et un fort taux de chômage ».

    Dans le Tarn, le préfet, Jean-Michel Mougard, a appelé la semaine dernière au « rétablissement de la libre circulation », plaidant pour un arrêt des rassemblements qui « perturbent le bon fonctionnement » des entreprises : les manifestants, ajoute-t-il, doivent garder en tête les « conséquences » de leurs actions « sur l’activité économique, le cas échéant sur l’emploi des Tarnais ».

    En Ardèche, la CCI a également transmis la « très grande préoccupation des chefs d’entreprise » : « les ventes en ligne explosent et les commerces du territoire souffrent. Évitons d’affaiblir un peu plus le commerce de proximité, en centre-ville ou en périphérie », implore son président, Jean-Paul Poulet, qui conseille aux « gilets jaunes » de se concentrer sur des actions évitant de « se mettre à dos les personnes qui souhaitent circuler et travailler ».

    #France #Giletsjaunes #Bercy économie #inquiétude #CCI

  • i24NEWS - Mavi Marmara : la #CPI va à nouveau examiner la décision de ne pas poursuivre #Israël
    https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/diplomatie-defense/188861-181117-mavi-marmara-la-cpi-va-a-nouveau-examiner-la-decision-de-ne-pa

    En 2014, le procureur de la Cour Fatou Bensouda avait décidé de ne pas poursuivre Israël pour le raid tout en estimant « raisonnable de penser » que des #crimes de guerre avaient été commis.

    Suite à l’appel des avocats des Comores, la CPI avait ordonné une première fois en 2015 à Mme Bensouda de revoir sa décision, qu’elle a confirmée il y a un an « au terme d’un examen approfondi ».

    La Chambre préliminaire de la Cour a cependant ordonné une seconde fois au procureur de reconsidérer son choix, après un nouvel appel du gouvernement des Comores.

  • Zhu Xianmin, l’oeil de la Révolution Culturelle, à La Chambre jusqu’à Noël
    https://www.rue89strasbourg.com/zhu-xianmin-loeil-de-la-revolution-culturelle-a-la-chambre-jusqua-n

    Du 10 octobre au 23 décembre 2018, La Chambre consacre une exposition monographique au photographe chinois Zhu Xianmin. Pendant la Révolution culturelle, l’artiste produit des images qui témoignent des mutations sociales et politiques de l’époque. Ses photographies sont dévoilées au grand public pour la première fois en Europe. (lire l’article complet : Zhu Xianmin, l’oeil de la Révolution Culturelle, à La Chambre jusqu’à Noël)

  • La Chambre approuve l’intégration des empreintes digitales sur la carte d’identité
    http://www.lalibre.be/actu/belgique/la-chambre-approuve-l-integration-des-empreintes-digitales-sur-la-carte-d-id

    La Chambre a adopté mercredi, majorité contre opposition, sauf le cdH qui s’est abstenu, un projet de loi qui adapte la réglementation relative au Registre national, autorisant notamment l’intégration d’une représentation des empreintes digitales dans la puce des cartes d’identité. Cette intégration se fait afin de mieux lutter contre la fraude à l’identité, suivant les obligations déjà prévues pour le passeport. Il sera ainsi possible de contrôler les cartes d’identité, comme les passeports, lors du (...)

    #Identité #biométrie #empreintes

    ##Identité

    • En France, loi du 17 mars 2012

      LOI n° 2012-410 du 27 mars 2012 relative à la protection de l’identité | Legifrance
      https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025582411&categorieLien=id

      Article 2
      La carte nationale d’identité et le passeport comportent un composant électronique sécurisé contenant les données suivantes :
      1° Le nom de famille, le ou les prénoms, le sexe, la date et le lieu de naissance du demandeur ;
      2° Le nom dont l’usage est autorisé par la loi, si l’intéressé en a fait la demande ;
      3° Son domicile ;
      4° Sa taille et la couleur de ses yeux ;
      5° Ses empreintes digitales ;
      6° Sa photographie.
      Le présent article ne s’applique pas au passeport délivré selon une procédure d’urgence.

  • Liberties | Fermeture “temporaire” du hotspot de Lampedusa suite à l’intervention d’ONG
    https://asile.ch/2018/03/16/liberties-fermeture-temporaire-hotspot-de-lampedusa-suite-a-lintervention-dong

    A la suite de mouvements de protestation au sein du centre d’accueil de Lampedusa, une délégation de trois organisations de droits humains a dénoncé des violations systématiques des droits de l’homme au sein du hotspot. Mardi 13 mars 2018, le ministère de l’Intérieur italien a annoncé la fermeture temporaire du hotspot de Lampedusa pour rénovations. […]

    • In un dossier la vita impossibile nell’hotspot di Lampedusa

      Ai primi di aprile, dopo il salvataggio di quasi 300 persone in mare, 72 tunisini hanno dovuto trascorrere la notte in quello che fino a poco tempo fa era l’hotspot di Lampedusa. Eppure, dell’hospot era stata annunciata da poco la chiusura temporanea - per una “ristrutturazione” con cui il Ministero dell’Interno aveva dovuto rispondere a pesanti denunce. Ora, con testimonianze, interviste e fotografie raccolte durante alcuni sopralluoghi, il dossier presentato a Roma il 10 aprile da Asgi, Cild e Indie Watch dimostra le innumerevoli ragioni di preoccupazione sul trattamento disumano riservato a chi arriva nella struttura di Lampedusa.

      http://openmigration.org/analisi/in-un-dossier-la-vita-impossibile-nellhotspot-di-lampedusa

    • Rapporto: «Scenari di frontiera: il caso Lampedusa. L’approccio hotspot e le sue possibili evoluzioni alla luce del Decreto legge n. 113/2018»

      Trattenimenti informali e limitazione della libertà personale, condizioni materiali problematiche, scarsa informazione su status legale e accesso alla procedura di protezione internazionale, differenziazione arbitraria tra richiedenti asilo e cosiddetti migranti economici, applicazione parziale delle garanzie a tutela dei minori.

      È quanto emerge dal monitoraggio dell’hotspot di Lampedusa realizzato nell’ambito del progetto pilota In Limine, nato nel marzo 2018 da una collaborazione che portiamo avanti con Asgi, Cild e Indiewatch, presentato nel report “Scenari di frontiera: l’approccio hotspot e le sue possibili evoluzioni alla luce del caso Lampedusa”.

      Un quadro che desta ancora più preoccupazione dopo l’approvazione del Decreto 113/2018 cosiddetto “Sicurezza e immigrazione”, che disciplina per legge alcune delle prassi illegittime riscontrate, con il rischio di compromettere, in modo ancor più generalizzato, l’esercizio del diritto di asilo.

      Nel corso del progetto sono state registrate - attraverso circa 60 interviste con i migranti, colloqui con associazioni, organizzazioni internazionali e istituzioni attive sull’isola e attraverso l’osservazione diretta - significative violazioni della normativa vigente.

      Dal rapporto emergono poi violazioni molto rilevanti in tema di limitazione delle libertà personali e risulta che i cittadini stranieri non vengono correttamente informati sulla propria posizione, sul proprio status legale e sulla possibilità di richiedere protezione, diversamente da quanto previsto dalla legge.

      Per quanto riguarda la classificazione dei migranti, il rapporto evidenzia che in molti casi lo status giuridico di richiedente asilo o di persona destinataria di provvedimento di respingimento sembra essere definito, contrariamente a quanto previsto nella normativa italiana e comunitaria, unicamente in ragione del paese di origine.

      Infine, il monitoraggio ha messo in luce come all’interno degli hotspot non verrebbero applicate o verrebbero applicate solo parzialmente le garanzie previste dalla normativa per la tutela dei minori anche per ciò che riguarda, ad esempio, il diritto all’unità familiare e al ricongiungimento, la nomina di un tutore che svolga un ruolo effettivo, il diritto ad essere collocati in una struttura idonea ad accogliere e tutelare i minori.

      In Limine ha messo a punto e utilizzato diversi strumenti per raggiungere obiettivi differenti: contrastare le prassi illegittime e produrre un cambiamento strutturale nell’accesso dei migranti ai diritti in frontiera. Con questo obiettivo sono stati presentati ricorsi, esposti, segnalazioni e si è data diffusione immediata alle informazioni raccolte sulle gravi violazioni rilevate. Inoltre, il progetto ha voluto esercitare una pressione costante sulle autorità attraverso il monitoraggio e la presa in carico dei migranti al fine di vigilare sull’attuazione di prassi corrette e per garantire un intervento immediato ove si fossero rilevate violazioni.

      Tutto questo appare più preoccupante dopo l’approvazione del Decreto Sicurezza (Dl 113/2018), che in sostanza disciplina diverse prassi illegittime osservate a Lampedusa e negli altri hotspot.

      Alcune norme sembrano infatti destinate a ridefinire il funzionamento degli hotspot e tre profili in particolare – trattenimento fino a 30 giorni per la determinazione e verifica dell’identità e della cittadinanza per i richiedenti asilo (a cui si sommano altri 180 giorni in un CPR in caso di mancata identificazione), applicazione accelerata e in frontiera delle procedure di valutazione della domanda di asilo, trattenimento in luoghi cosiddetti impropri dei cittadini stranieri destinatari dei provvedimenti di espulsione – suggeriscono un possibile sviluppo su larga scala della limitazione all’esercizio del diritto di asilo.

      Il recente Decreto dunque, se non sarà oggetto di modifica parlamentare, rende ancora più urgente la necessità che le procedure che si svolgono all’interno degli hotspot siano rese visibili e trasparenti, con l’obiettivo di ridurre abusi e violazioni dei diritti delle persone.

      Per questo, insieme alle altre organizzazioni che insieme a noi hanno dato vita al progetto In Limine, intensificheremo il nostro impegno, aumentando anche il raggio di azione per monitorare gli effetti delle nuove norme.

      https://www.actionaid.it/informati/notizie/decreto-sicurezza-effetti-su-hotspot
      #decreto_salvini

  • Environnement : comment Trump tente de museler les scientifiques américains

    http://www.lemonde.fr/international/article/2017/12/23/les-scientifiques-americains-cible-d-une-chasse-aux-sorcieres_5233983_3210.h

    L’Agence de protection de l’environnement (EPA) subit de plein fouet l’offensive de la Maison Blanche pour saper la préservation de la nature et du climat au profit de l’industrie.

    Le candidat Donald Trump s’y était engagé dès février 2016 : « Le département de la protection environnementale : nous allons nous en débarrasser dans presque toutes ses formes », même si on conservera « quelques friandises ». Promesse tenue : sous la houlette de Scott Pruitt, climatosceptique notoire de l’Oklahoma, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) se saborde consciencieusement et démantèle les régulations environnementales adoptées sous Barack Obama.

    Pour cela, il faut agir sur les hommes. Scott Pruitt mène donc une véritable guérilla contre des fonctionnaires et des scientifiques qui lui sont hostiles. Dans une atmosphère paranoïaque, il a fait déminer pour 3 000 dollars (2 500 euros) son bureau pour vérifier qu’il n’y avait pas de micro caché et s’est fait financer pour 25 000 dollars une cabine de télécommunications sécurisée pour pouvoir s’entretenir confidentiellement avec la Maison Blanche. Victime de menaces et sous protection policière rapprochée, Scott Pruitt agit sur quatre axes : découragement des salariés, voire intimidation, même s’il n’y est officiellement pour rien ; recomposition des comités scientifiques en y nommant des défenseurs des industries polluantes ; réduction au silence des scientifiques ; sabrage du budget et des effectifs.

    Les salariés intimidés par une officine ultraconservatrice

    La syndicaliste Nicole Cantello, par exemple, raconte sa mésaventure. Ce 15 février, cette avocate salariée de l’EPA depuis vingt-six ans est devant son ordinateur. Soudain, elle voit apparaître une demande de recherche de ses courriels : tous ceux qui mentionnent le nom de Pruitt. Cette requête ne tombe pas par hasard. Dix jours plus tôt, le 6 février, elle a organisé une manifestation à Chicago contre la nomination par Donald Trump de M. Pruitt. Bien sûr, rien n’émane de l’EPA ou de M. Pruitt. La demande d’information a été formulée par le juriste Allan Blutstein, qui dirige America Rising, une officine ultraconservatrice qui aide les républicains à constituer des dossiers. « J’étais stressée. J’ai pensé qu’ils voulaient me discréditer », s’est alors inquiétée Mme Cantello.

    Tous ceux qui se sont opposés publiquement à M. Pruitt sont dans le collimateur d’America Rising. Michael Cox (Etat de Washington) figurait sur la liste noire pour avoir envoyé lors de son départ à la retraite une lettre ouverte cinglante à M. Pruitt, tout comme Gary Morton, qui avait manifesté contre les coupes budgétaires à Philadelphie. « C’est une chasse aux sorcières contre les employés de l’EPA qui ne font que tenter de protéger la santé humaine et l’environnement. Ils essaient de nous intimider et de nous réduire au silence », a accusé Gary Morton dans le New York Times.

    Dans sa vingtaine de requêtes, Allan Blutstein revendique avoir « été à la pêche » en visant ceux qui disaient du mal de M. Pruitt, des syndicalistes mais pas toujours, pour vérifier s’ils violaient les règles de l’EPA. Le problème, c’est qu’il a le droit en sa faveur, comme l’explique Nicole Cantello. « Nous avons la loi sur la liberté d’information, et chacun peut demander mes mails. C’est légitime si c’est pour savoir si je fais bien mon travail », nous confie-t-elle, en sa qualité de syndicaliste, en communiquant par adresse mail et téléphone privés.

    C’est ce même droit qu’utilisent les médias pour avoir accès à l’agenda détaillé de M. Pruitt. L’affaire a cependant tourné au scandale quand on a découvert que l’EPA avait signé un contrat – depuis annulé — de « surveillance médiatique » de 120 000 dollars avec une société associée à America Rising.

    Des comités scientifiques probusiness

    Scott Pruitt excelle dans l’art d’utiliser les armes de ses adversaires. On accuse les entreprises dont il écoute les avis d’être en conflit d’intérêts. Il use de ce même argument pour chasser des comités scientifiques chargés de conseiller l’EPA, ceux qui bénéficiaient de subventions de la part de cette dernière. « Nous devons nous concentrer sur la science, pas sur la science politique », a déclaré M. Pruitt en octobre. La manœuvre permet d’exclure les scientifiques financés sur fonds publics. Donna Kenski en a été la victime. Cette démocrate travaille pour une agence de Chicago qui analyse la qualité de l’air des grands lacs et reçoit indirectement de l’EPA, par l’intermédiaire de l’Etat de l’Illinois, 900 000 dollars. Son mandat de trois ans au sein de cet organisme a été révoqué prématurément. Elle avait été nommée à l’époque contre l’avis du sénateur de l’Oklahoma, le climatosceptique James Inhofe.

    Ces départs permettent de faire de la place aux défenseurs des entreprises. Ainsi, Michael Honeycutt a été nommé président du bureau de conseil scientifique de l’EPA. Ce toxicologue texan est connu pour avoir jugé excessives les normes sur l’ozone fixées par l’agence environnementale et a cosigné une étude accusant celle-ci d’avoir exagéré les bénéfices sur la santé d’un air plus pur. Il retrouvera dans ce comité le Californien Robert Phalen, célèbre pour avoir estimé que « l’air moderne est un peu trop pur pour une santé optimale », mais aussi l’ancien directeur de recherche de l’entreprise pétrolière de l’Oklahoma Phillips 66, ou encore l’ancien responsable environnement de la compagnie d’électricité d’Atlanta Southern Co, l’un des plus gros émetteurs de CO2 des Etats-Unis.

    Les comités scientifiques s’ouvrent à des gens « qui croient que le travail de l’EPA est de stimuler l’économie américaine, car elle est plus importante que la santé de gens et l’environnement », déplore un scientifique réduit au silence.

    Pour nommer les cadres dirigeants de l’EPA, une confirmation du Sénat est souvent nécessaire : William Wehrum a ainsi été investi de justesse pour (dé)réguler la protection de l’air, alors qu’il a longtemps défendu les entreprises pétrolières. Mais Michael Dourson, qui a par le passé été payé pour critiquer des études scientifiques défavorables à ses clients de la chimie et du pétrole, a dû renoncer à prendre en charge la direction des risques chimiques et de pollution.

    Les scientifiques réduits au silence

    C’était en septembre. Un colloque devait se tenir à Rhode Island sur les conséquences du réchauffement climatique qui affecte la baie de Narragansett, le plus grand estuaire de la Nouvelle-Angleterre, situé entre Boston et New York. Trois scientifiques de l’EPA devaient y prendre la parole mais, à la dernière minute, la direction le leur a interdit, au prétexte qu’il ne s’agissait pas d’un événement EPA. Une trentaine de manifestants ont protesté, avec des pancartes : « La science, pas le silence ».

    Les consultations de l’agence perdent désormais en crédibilité et servent de plate-forme politique. Pour annuler la loi sur l’air de Barack Obama, qui aurait pu servir de feuille de route pour respecter l’accord de Paris, l’EPA a tenu une séance publique en Virginie-Occidentale, dans un bassin minier. M. Pruitt vient de rajouter trois réunions, dont une à Gillette, capitale charbonnière du Wyoming.

    Le budget sabré, les salariés désertent

    Au printemps, M. Trump a indiqué qu’il voulait diminuer de 30 % le budget de l’EPA, qui atteignait 8 milliards de dollars en 2017, et réduire ses effectifs de 3 200 personnes sur un total de 15 000. La Chambre a proposé une réduction de 8 % et le Sénat de 2 %, soit environ 150 millions de dollars. Mais les budgets consacrés à l’eau, à l’environnement, au climat sont ciblés et baissent de 10 % environ. Faute d’accord, le budget 2017 est provisoirement reconduit à un niveau ayant baissé de plus de 20 % depuis le début de la décennie.

    La voie budgétaire ne sera peut-être même pas nécessaire, car le travail de sape de Scott Pruitt porte ses fruits, comme l’a révélé, le 22 décembre, le New York Times. Depuis que Donald Trump est au pouvoir, 700 personnes ont quitté l’agence – retraite, démission, transaction –, dont plus de 200 scientifiques : une centaine de spécialistes de la protection de l’environnement et 9 directeurs de départements. Sur les 129 embauches de l’année, seules 22 sont des scientifiques ou des étudiants scientifiques.

    De surcroît, M. Pruitt n’a que 150 inspecteurs chargés de faire respecter la réglementation, alors que la loi exige un minimum de 200. Et l’EPA ne veut plus prendre en charge les frais du ministère de la justice, qui est son bras armé pour attaquer les contrevenants. L’atmosphère est crépusculaire. Comme 20 personnes non remplacées de son bureau de San Francisco, Lynda Deschambault est partie de l’agence au bout de vingt-six années. Elle a confié son désarroi au New York Times : « Le bureau était une morgue. »

  • #Balancetonpauvre Le Courrier - Vendredi 15 décembre 2017
    Philippe Bach

    https://www.lecourrier.ch/155122/balancetonpauvre

    Mieux vaut être terroriste que pauvre en #Suisse. Vos droits seront mieux défendus. Le Conseil des Etats a voté jeudi un durcissement du droit fédéral qui permet d’espionner les personnes qui seraient au bénéfice des prestations d’une assurance sociale. Le dossier va maintenant être étudié au niveau du Conseil national.

    Le but est de permettre un #flicage-généralisé de ces assurés qui seront traités comme des criminels. La Chambre haute a ouvert la porte jeudi à des pratiques permettant aux assurances d’engager des détectives privés. Ces derniers auraient le droit d’utiliser des traceurs GPS ou des micros directionnels. Gare à qui se montrerait trop bavard sur son balcon. Et si l’on habite au rez-de-chaussée, il ne sera pas à l’abri d’une camera HD. Big Brother is watching you !

    Cette modification législative a été lancée précisément parce que la Cour européenne des droits de l’homme avait mis le holà à ces pratiques de fouines. Ceci en raison d’un manque de bases légales. Qu’à cela ne tienne, les sénateurs sont en train de combler le vide juridique plutôt que de s’interroger sur la pertinence de ces mesures.

    La gauche a bien tenté de mettre un semblant d’ordre juridique dans cet #arsenal-liberticide. Par exemple en prévoyant qu’elles soient conditionnées au feu vert d’un juge. En vain. Seul a été accepté un regard du pouvoir judiciaire lors de la pose d’un #mouchard-électronique sur le véhicule

    Ce sont des centaines de milliers de personnes qui sont concernées. Tous les bénéficiaires de l’AI, de l’ #assurance-chômage ou des prestations complémentaires. Et leurs proches. Une incroyable intrusion dans la #sphère-privée de ces personnes qui ne semble pas gêner grand monde sur les bancs bourgeois. Si cette loi passe, une personne soupçonnée de terrorisme ou un criminel auraient droit à davantage de garanties qu’un pauvre, relève le Parti socialiste...

    On a connu meilleure application du principe de proportionnalité. Et on relèvera que la #criminalisation-de-la-pauvreté induite par ce type de soupçon généralisé a un pendant : l’impunité accordée à la #fraude-fiscale. Mais cette dernière est jugée vertueuse par les mêmes qui veulent débusquer les pauvres jusqu’au fond des chiottes, pour paraphraser le président russe Vladimir Poutine. Les #Paradise-papers ? Des pratiques dignes de #Vichy, ont tonné ces vaillants défenseurs des droits fondamentaux. Pourtant, en France, des études ont montré que la #fraude-sociale représente quelque 300 millions d’euros de pertes par année, alors que les montants de la #fraude-fiscale avoisinent les 50 milliards. On a les priorités qu’on mérite.

  • Oho... je me rends compte que je n’ai rien mis sur seenthis concernant l’#opération_papyrus qui a cours à #Genève...
    Voici un article récent sur cette opération de #régularisation des #sans-papiers. Je mettrai en commentaire les photos de Alberto Campi, qui a couvert l’événement pour La Cité...

    A Genève, les effets inattendus de l’opération Papyrus

    Une ressortissante brésilienne invoquait les critères du projet de régularisation des clandestins pour obtenir la prolongation de son séjour légal en Suisse. La Chambre administrative de la Cour de justice lui donne raison

    https://www.letemps.ch/suisse/2017/09/11/geneve-effets-inattendus-loperation-papyrus
    #suisse

  • Le tonneau des Danaïdes du technologisme
    http://www.dedefensa.org/article/le-tonneau-des-danaides-du-technologisme

    Le tonneau des Danaïdes du technologisme

    La Chambre des Représentants du Congrès US a voté un budget record pour le Pentagone, premier budget-Trump : $697 milliards. Selon nos calculs affectueux et attentifs, en prenant en compte les postes “extérieurs” (énergie, renseignement, forces supplétives, forces privées, groupes privés d’influence, Information War [IW]), en y joutant les gaspillages, les aberrations comptables qui font le bonheur des contractants civils, l’enchevêtrement kafkaïen de la bureaucratie, on peut ajouter entre 60 et 90% à la somme officielle pour avoir le budget réel du Pentagone. Faites le calcul...

    Les augmentations que Trump a introduites dans le pipe-line du Pentagone sont pompeusement baptisées par des gens manquant d’humour : réarmement. C’est simplement une appréciation (...)

    • Le nouveau porte avion est comme le nouvel avion : un gouffre sans fin...

      Cet énorme budget n’est pas le signe de la puissance ou d’une puissance renaissante, mais exactement le contraire : le signe d’un déclin qui a de plus en plus les allures d’un effondrement. Le Pentagone n’est pas loin aujourd’hui d’être incapable de fabriquer ce dont la Navy était la plus fière et qui représenta le pinacle de la puissance conventionnelle des USA : Le USS Gerald R. Ford (CVN-78), le plus récent porte-avions en production qui atteint les 100.000 tonnes, commença à être construit en 2008 pour un contrat de $5,1 milliards et une mise en service opérationnelle en 2016. Son coût est officiellement passé à $16,6 milliards et sa mise en service opérationnelle retardé pour 2021, et chaque essai en mer découvre de nouvelles déficiences (du jamais vu pour un porte-avions US : 1.967 catapultages d’essai effectués avec le nouveau système électromagnétique, avec 201 échecs). La probabilité officieuse aujourd’hui est un coût de $20 milliards et une mise en service en 2023, toujours avec la perspective de nouveaux problèmes, de nouveaux coûts, de nouveaux retards.

  • QUE PENSER DU BLACK BLOC ? De Gênes à Hambourg, une tradition méconnue. - SERPENT - LIBERTAIRE
    http://serpent-libertaire.over-blog.com/2017/07/que-penser-du-black-bloc-de-genes-a-hambourg-une-tradi

    <b>Ma noi ci saremo</b><p>La Chambre Internationale de Commerce reconnaît à quel point la société a changé, les citoyens exprimant leurs profondes …

  • La Chambre adopte la fameuse loi obligeant les assistants sociaux à dénoncer des « indices sérieux »
    http://www.lalibre.be/actu/politique-belge/la-chambre-adopte-la-fameuse-loi-obligeant-les-assistants-sociaux-a-denoncer

    La Chambre a adopté jeudi majorité (et PP) contre opposition (sauf le cdH qui a voté pour) la proposition de loi contraignant désormais les travailleurs sociaux à dénoncer au Parquet, outrepassant leur secret professionnel, ce qu’ils croient être des « indices sérieux » de l’existence d’une infraction terroriste. Le texte oblige également les travailleurs à communiquer à sa demande des « informations administratives » au Parquet, un volet moins controversé de la proposition. Portée par la députée Valérie Van (...)

    #délation #pauvreté #surveillance #anti-terrorisme

    ##pauvreté

    • En ce moment, j’ai une pensée pour celles et ceux qui peut-être, probablement, ont tenté d’accompagner des personnes en difficulté dans leur parcours. D’avoir découvert que leur travail n’avait pas pu empêcher certains de s’impliquer dans des attentats a dû être dur à vivre, à avaler, à comprendre. Quelle claque pour un.e travailleu-se/r social.e.

      Aujourd’hui, on leur propose aussi un peu de prison s’ils ou elles ont manqué de flair de détection d’indices de terrorisme. Je suis en colère.

      #travail_social #délation

  • La Chambre adopte le projet de loi pour implanter des micro-puces aux citoyens ayant un « handicap mental » - Qui sera le suivant ?
    https://www.crashdebug.fr/international/12848-la-chambre-adopte-le-projet-de-loi-pour-implanter-des-micro-puces-a

    https://www.crashdebug.fr/images/stories/addons/images/Images+globales/2016/Decembre/HR_4919_Microchip.png

    On en a souvent parlé, cela à même fait l’objet de sarcasmes, gage que nos détracteurs rigoleront beaucoup moins après avoir lu cet article, les choses se passent exactement comme on vous l’avait relaté (vidéo ci-dessous et informations complémentaires).

    Il ne manque plus qu’un bon gros crash financier pour passer en mode full virtual… Rappelez-vous :

    « Nous avons besoin d’une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. »

    David Rockefeller

    Nous avons tous été prévenus de ce qui arrive, mais comme le note Mac Slavo de SHTFPlan.com, ce qui est inquiétant, c’est que, tandis que la technologie nous entoure et que « certains » ont des préoccupations au sujet de la vie privée, la plupart haussent les épaules quand on leur parle des quantités massives de données (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #International

  • Barack à frites dans le sable
    http://vilistia.org/archives/11995

    9 Septembre 2016 , Rédigé par Observatus geopoliticus Publié dans #Etats-Unis, #Economie, #Pétrole, #Moyen-Orient Fin de mandat bien sombre pour l’occupant de la Maison Blanche… La Chambre des représentants vient de voter, dans un tonnerre d’applaudissements, une loi autorisant les citoyens … Lire la suite →

    #Arabie-Politique #USA

  • Les députés brésiliens ouvrent la voie à la destitution de #Dilma_Rousseff
    https://www.mediapart.fr/journal/international/180416/les-deputes-bresiliens-ouvrent-la-voie-la-destitution-de-dilma-rousseff

    Le président de l’Assemblée brésilienne pendant le vote © Nilson Bastion/ câmarados des Deputados 367 des députés, soit plus de la majorité qualifiée des deux tiers, ont voté ce dimanche en faveur de la destitution de la chef d’État. Formellement, Dilma Rousseff n’est pas encore destituée puisque le dernier mot revient au Sénat. « Mais ce vote favorise une dynamique difficile à renverser », estime le politologue Paulo Peres, de l’université du Rio Grande do Sul. La Chambre haute doit en effet voter une première fois à majorité simple, d’ici le 10 mai, en faveur ou non de sa mise en accusation formelle. Rio de Janeiro, de notre (...)

    #International #Amérique_latine #Brésil #Lula

  • Tourcoing : Sage et tout son contraire, jeudi au Grand Mix - Tourcoing et autour de Tourcoing - Nord Eclair
    http://www.nordeclair.fr/info-locale/tourcoing-sage-et-tout-son-contraire-jeudi-au-grand-mix-ia51b0n1081190

    Que fait un guitariste quand on lui vole ses guitares ? Il se met au piano ! C’est ainsi qu’est né Sage, projet solo d’Ambroise Willaume, ex-leader du groupe Revolver. Les ballades acoustiques et la pop teintée d’electro de son premier album éponyme sont à découvrir ce jeudi soir au Grand Mix.

    Le groupe des débuts est en pause depuis fin 2012. Revolver, c’est vraiment fini ?

    C’est une pause à durée indéterminée mais pas une fin. On n’est pas fâchés, on est restés très proches et bons amis. Mais ce que je fais aujourd’hui n’est pas une pause entre deux albums de Revolver, c’est un vrai projet à part entière.

    Pourquoi un second projet solo, après La Chambre ?

    La Chambre, c’était ultraconfidentiel. C’était plutôt un nom d’emprunt pour pouvoir faire des concerts incognito. Sage, c’est moi tout simplement. Ça fait deux ans que je travaille mes chansons. Je joue la musique que j’ai envie de faire, de manière très sincère. J’y vois une vraie évolution par rapport à Revolver.

    Vous avez visiblement un faible pour les pseudonymes énigmatiques. Celui-ci mérite éclaircissement…

    Sage vient de Sagittaire, mon signe astrologique. J’aime assez l’ambiguïté derrière ce mot, qui peut être à la fois un compliment et un défaut. J’aime créer un questionnement autour du pseudo.

    L’aventure Sage a débuté par un cambriolage…

    Je me suis fait voler toutes mes guitares le dernier jour de notre tournée avec Revolver. On était en Australie et mon studio à Paris a été cambriolé. Je me suis retrouvé sans groupe et sans guitare alors je me suis mis au piano, même si c’est un instrument que je maîtrise moins bien. Finalement, cette histoire m’a permis de tourner la page plus facilement.
    Il s’est passé plus de 18 mois entre l’EP In Between et la sortie de l’album.

    Pourquoi tant de temps ?

    Je suis rentré au studio il y a un an et avec Benjamin Lebeau de The Shoes, qui a coproduit l’album, on a créé une énorme expérimentation. On est resté plusieurs mois à la quête d’un nouveau son. On a voulu donner un cadre futuriste aux chansons pourtant sur une base acoustique. On est tous les deux très perfectionnistes alors ça a pris du temps.

    Benjamin Lebeau de The Shoes à la production, des premières parties de Christine and the Queens et The Dø, des arrangements pour Woodkid ou Gaëtan Roussel. Vous savez vous entourer…

    C’est vrai que j’ai eu beaucoup de chance de rencontrer tous ces gens-là au fil de mon parcours. C’est une petite famille. Woodkid a sans doute été le déclencheur.

    Vous acceptez justement la comparaison avec Woodkid ?

    C’est un très beau compliment ! C’est quelqu’un de très doué, qui a inventé un nouveau style. Il est plus visuel que musical : on n’a pas du tout la même démarche mais c’est vrai, on a des influences communes.

    Comme pour Revolver, vous revendiquez le mélange entre musiques pop et classique.

    Je ne cherche pas à les mixer mais je trouve des parallèles entre ces deux genres. Je ne veux pas me fixer de limites, ce sont les harmonies, les accords qui m’intéressent. Dans les compositions, il y a des choses aussi modernes chez Debussy ou Ravel que chez Bowie ou Neil Young.

    Votre tournée vient d’être lancée. Quel est l’accueil du public ?

    Excellent ! La tournée, c’est la finalité de ce qu’on fait. Les disques, les concerts : l’un justifie l’autre. C’est assez dur de remonter seul sur scène après 300 concerts avec un groupe mais j’essaie de faire quelque chose de très différent. Je suis au piano et aux claviers en compagnie de deux batteurs (un acoustique et un électronique). C’est une bonne manière de rendre les couleurs de cet album, entre les morceaux intimistes et plus rythmés. Dans cette configuration, on peut jouer sur les contrastes.

    Vous dites préférer les concerts épurés, sans ordinateurs.

    Je déteste ça ! Pour moi par définition, le live doit être vivant. Je trouve ça horrible de ne pas pouvoir rater un concert. Monter sur scène, c’est se mettre en danger, pas appuyer sur un bouton et attendre que tout se passe comme prévu.

    Un mot sur Dralms avec qui vous partagerez la scène au Grand Mix ?

    J’ai joué avec eux lundi à Amiens. C’est un vrai bon groupe, avec un son épuré. On va les retrouver avec plaisir dans cette salle, le Grand Mix, que j’aime beaucoup. On était venu 2-3 fois avec Revolver. Je suis ravi de revenir.

    Sage + Dralms + Farao : jeudi 31 mars à 20 h au grand Mix, 5 place Notre-Dame à Tourcoing. 16 / 13 €. www.legrandmix.com

  • Les conservateurs réussissent à diviser les libéraux sur la campagne BDS | Le Devoir |
    23 février 2016 |La Presse canadienne | Canada
    http://www.ledevoir.com/politique/canada/463673/les-conservateurs-reussissent-a-diviser-les-liberaux-sur-la-campagne-bds

    Les conservateurs ont réussi à diviser les libéraux sur la question d’Israël, une quinzaine d’élus libéraux ayant refusé, lundi, d’appuyer une motion qui condamne la campagne BDS — boycottage, désinvestissement et sanctions contre Israël.

    Plus d’une douzaine de députés libéraux ont préféré rester assis au moment du vote à la Chambre des communes, lundi après-midi. Quelques-uns ont brillé par leur absence. Mais seulement trois d’entre eux se sont levés pour voter contre la motion : René Arseneault, du Nouveau-Brunswick, Larry Bagnell, du Yukon, et Nick Whalen, de Terre-Neuve.

    Cette motion, présentée par les conservateurs jeudi dernier, se lisait ainsi : « La Chambre rejette la campagne du mouvement Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS), qui encourage la diabolisation et la délégitimation de l’État d’Israël, et prie le gouvernement de condamner toute tentative de la part d’organismes, de groupes ou de particuliers du Canada de promouvoir le mouvement BDS, ici et à l’étranger. »

    Durant le débat de jeudi, le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Dion, avait annoncé que le gouvernement appuierait la motion parce qu’il est d’accord « sur le fond » même s’il a « des réserves quant à la forme ».

    « [Les conservateurs] ont fait de l’appui à Israël et à la communauté juive canadienne un enjeu partisan. Cela n’a pas fonctionné pour eux, mais ils semblent n’en avoir tiré aucune leçon. Ils nous reviennent aujourd’hui avec cette motion et nous savons très bien que son but est de créer la division. Personne ne sort gagnant de ce genre d’exercice », prévenait le ministre Dion.(...)

    #BDS

  • Nestlé : Une ex-cadre attaque la multinationale

    _ Plusieurs dirigeants de Nestlé, dont le patron Paul Bulcke, sont appelés mercredi à défiler devant un tribunal lausannois. -

    Une ex-responsable de la sécurité alimentaire de la #multinationale a porté plainte contre son ancien employeur pour harcèlement moral. #Yasmine_Motarjemi a longuement témoigné le 1er décembre devant la Chambre patrimoniale cantonale. « J’ai pu dire une grande partie de ce que j’avais sur le cœur concernant le #harcèlement mais aussi sur la #sécurité_alimentaire. C’était une délivrance », a déclaré à l’ats l’ex-cadre, qui a perdu son travail et sa santé dans ce conflit.

    #Nestlé avait engagé en juillet 2000 cette spécialiste de la sécurité alimentaire que le groupe #veveysan est allé débaucher à l’#OMS. Tout se passe plutôt bien jusqu’en 2006, et l’arrivée de son nouveau supérieur hiérarchique qui n’a de cesse, dit-elle, de la discréditer.

    Mise à l’écart

    Elle se fait peu à peu marginaliser sur son lieu de travail. Nestlé lui retire des membres de son équipe et lui donne de moins en moins de responsabilités. Plus grave, ses #alertes_sanitaires restent lettre morte, accuse-t-elle.

    Licenciée en 2010, « détruite mentalement et moralement », elle n’a pas retrouvé d’emploi. Elle réclame un franc symbolique, plus le paiement de 2,1 millions de francs pour ses frais et perte de gain.

    Sécurité alimentaire

    Au-delà du harcèlement, Yasmine Motarjemi, 60 ans, reproche à Nestlé son « laxisme » et son « double langage » en matière de sécurité alimentaire. Elle pointe du doigt un cas de biscuits avec lesquels de jeunes enfants risquaient de s’étouffer. « Il ne fallait pas attendre qu’un bébé meure pour réagir », estime-t-elle.

    Le procès porte sur le harcèlement, pas sur la sécurité alimentaire : « il s’agit d’un procès d’un employé contre son ancien employeur relevant du droit du travail », a recadré le service de presse de la multinationale.

    Nestlé rejette les accusations

    Sur le fond, Nestlé rejette fermement les accusations de #harcèlement_moral et psychologique formulées par la plaignante. Le groupe veveysan n’est « pas en mesure de faire des commentaires sur les détails de l’affaire », car la procédure judiciaire est en cours et l’entreprise entend faire valoir ses arguments devant le tribunal.

    « Les accusations concernant la qualité de nos produits sont totalement infondées », avertit la multinationale. « La sécurité et la qualité sont nos priorités absolues » ajoute l’entreprise qui précise que plus de 5000 professionnels y veillent dans le monde entier.

    Audience de mercredi

    L’audience de mercredi devrait voir défiler plusieurs dirigeants ou ex-dirigeants de Nestlé devant le #Tribunal d’arrondissement : #Paul_Bulcke, le patron, #José_Lopez, ancien directeur opérationnel, #Jean_Marc_Duvoisin, l’ex-chef du personnel et actuel patron de #Nespresso, et #Francisco_Castañer, qui occupait jusqu’en 2010 des responsabilités administratives au sein de la multinationale, selon une information confirmée en juillet par l’entreprise.

    Yasmine Motarjemi s’attend à une audience rude : « ils vont venir me critiquer », dit-elle. Le tribunal ne donne pas d’information sur le contenu du dossier, mais précise qu’il s’agit d’une séance en « administration de preuves, qui vise à recueillir les déclarations de parties ou de témoins. Comme telle, ce n’est pas un débat ».

    Autres audiences prévues

    La Chambre patrimoniale cantonale, autorité de première instance, traite des affaires dans lesquelles l’intérêt en jeu est supérieur à 100’000 francs. Plusieurs autres audiences en administration de preuves sont prévues, la prochaine en principe le 2 février. Puis se tiendront les plaidoiries finales, en audience ou par écrit, à moins que les parties n’aient transigé dans l’intervalle.

    L’article : http://www.tdg.ch/economie/excadre-attaque-multinationale/story/11402167

    #Justice #Suisse #La_tribune_de_Genéve

  • Justice : La CPI retire les charges à l’encontre du président kenyan Uhuru Kenyatta
    http://grigrinews.com/justice-la-cpi-retire-les-charges-a-lencontre-du-president-kenyan-uhuru-kenyatta/2977

    Actualités Afrique « 13/03/2015, #Kenya : La Chambre de première instance de la Cour pénale internationale (CPI) a annoncé vendredi le retrait des charges dans l’affaire concernant le président kenyan Uhuru Kenyatta. »(c) 2015 - Grigrinews.com