city:montpellier

  • Montpellier : des hôteliers demandent aux touristes de boycotter Booking
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/montpellier-hoteliers-demandent-aux-touristes-boycotter

    Malgré la conjoncture, la société Booking continue d’appliquer les mêmes tarifs. Pour protester contre ces commissions qu’ils jugent excessives, 65 hôteliers de Montpellier appellent au boycott de la plateforme pour la saison estivale : « Nous demandons que booking.com fasse un effort sur le taux de commission, on veut qu’ils passent à 10% » explique Camille Galtier qui préside le club hôtelier du Grand Montpellier. 

    Après un mois de juin catastrophique (seulement 30% des chambres réservées) les hôteliers appellent donc au soutien des clients. Plus que jamais, cet été le bon réflexe c’est de passer directement un coup de téléphone plutôt que de réserver sur internet.

  • Prison avec sursis pour des étudiants qui avaient chanté « un flic suicidé à moitié pardonné »
    Le Progrès, le 4 juillet 2019
    https://www.leprogres.fr/faits-divers-justice/2019/07/04/prison-avec-sursis-pour-des-etudiants-qui-avaient-chante-un-flic-suicide-a

    Ils étaient prévenus d’avoir, le 29 avril dernier, alors qu’ils étaient venus soutenir un gilet jaune devant le tribunal de grande instance de Montpellier, chanté devant les policiers déployés sur le parvis : « Elle est où la capitaine, pan, pan, pan ! » et « Un flic suicidé à moitié pardonné ».

    On n’a pas le droit de le dire, mais on peut citer cet article :
    « Elle est où la capitaine, pan, pan, pan ! »
    « Un flic suicidé à moitié pardonné ! »

    #police #justice #injustice " #outrage " #liberté_d'expression et aussi #Montpellier

    • Sursis aussi pour Brassens ?

      Or, sous tous les cieux sans vergogne,
      C’est un usag’ bien établi,
      Dès qu’il s’agit d’rosser les cognes
      Tout le monde se réconcilie.
      Ces furies perdant toute mesure
      Se ruèrent sur les guignols,
      Et donnèrent je vous l’assure
      Un spectacle assez croquignol.

      En voyant ces braves pandores
      Être à deux doigts de succomber,
      Moi, j’bichais car je les adore
      Sous la forme de macchabées.
      De la mansarde où je réside
      J’excitais les farouches bras
      Des mégères gendarmicides
      En criant :"Hip, hip, hip, hourra !"

  • Autour de #Montpellier, il est assez largement possible de se déplacer pour pas cher avec les bus de « Hérault Transport ». C’est un bon plan à connaître pour visiter les environs. Le ticket à l’unité est à 1€60, ou 10 euros les 10 voyages, et réductions familles nombreuses (donc en gros c’est le même tarif que les transports en commun à l’intérieur même de Montpellier, mais sur des distances autrement plus importantes).

    Par exemple, la ligne 668 (remplace la 308 l’été) va jusqu’à Saint-Guilhem-le-Désert et le Pont du diable, la ligne 606 (remplace l’été la ligne 106) va jusqu’à Aigues Mortes, Palavas-les-Flots avec la ligne 131, il y a aussi deux lignes qui vont jusqu’à Sommières…

    • Bon plan en effet. Petite précision, en fait les lignes en 6XX correspondent à la nouvelle numérotation des lignes d’Herault Transport à partir du 1er Juillet, été comme hiver. C’est vrai que c’est pas très clair sur le site Herault Transport.

  • Hé ben, ils deviennent vachement engagés à l’INA:
    https://twitter.com/inafr_officiel/status/1145759473333485568

    L’aspersion de gaz lacrymogène directement sur le visage de manifestants assis sur la voie publique ? Bien avant l’épisode du Pont de Sully : du déjà-vu en 2010, lors de cette manifestation d’infirmières à Montpellier. #PontDeSully #Sully

    https://video.twimg.com/amplify_video/1145725439048060928/vid/720x404/VsB2_O1sbfayPqhm.mp4?tag=13


  • A la fin de l’article sur le nouveau musée de Montpellier, cette petite précision...

    Au Mo.Co de Montpellier, des trésors de l’art conceptuel issus d’une collection privée
    https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/06/29/au-mo-co-de-montpellier-des-tresors-de-l-art-conceptuel-issus-d-une-collecti

    Cet article a été réalisé dans le cadre d’un partenariat avec le Mo.Co.

    Je ne comprends pas du tout ce que ça veut dire en pratique. C’est quoi, « dans le cadre d’un partenariat » ? C’est sponsorisé ?

  • Cet après-midi, j’accompagne ma bande au tout nouveau tout beau musée d’art contemporain de Montpellier. Comme je suis un papa pédagogue, j’explique « Ça s’appelle “Mo.Co”, pour “Montpellier Contemporain”. » Ma grande, illico, suggère : « Ah ben il aurait plutôt fallu l’appeler “Mon.Con”, alors. » Après trois secondes de réflexion : « Ah zut, non. »

  • Vaujours : un policier plante des ciseaux dans la gorge d’un ado ... qui termine en garde à vue, puis son père, puis sa soeur !

    A l’absurdité révoltante de la situation se greffe une étrangeté du récit. Le journaliste qui relate les faits, Aziz Zemouri, est réputé pour être une sorte de porte-parole des versions policières. Pour UNE fois la victime des violences policières, qui plus est issue d’un quartier, est présentée comme une victime. Mieux, et encore plus exceptionnel, on a le nom et la particularité du policier : il est « délégué du syndicat Unité-SGP (classé à gauche). » ... Ce même syndicat qui vient de dénoncer un donneur d’ordre dans l’affaire des violences policières lors de la fête de la musique à Nantes ayant entraîné la disparition de Steve...

    « Aucun des policiers ne m’est venu en aide. »...
    Je doute que cette fuite en soit vraiment une.

    | Le Point - https://www.lepoint.fr/justice/vaujours-un-policier-plante-des-ciseaux-dans-la-gorge-d-un-ado-25-06-2019-23
    #police #controle #maintien_de_l'ordre

  • Gilets jaunes : la Ligue des droits de l’Homme de Montpellier dénonce la répression judiciaire
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/gilets-jaunes-ligue-droits-homme-montpellier-denonce-re

    Dans un rapport dévoilé jeudi 20 juin, la Ligue des droits de l’Homme de Montpellier examine les réponses judiciaires apportées au mouvement des Gilets jaunes, à travers 46 cas traités par le tribunal correctionnel de Montpellier de fin décembre à mi-mars. Les prévenus étaient entre autres poursuivis pour dégradation de biens (20% des cas), violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique (28% des cas), ou encore participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences (63% des cas)*.

    La LDH s’interroge sur ce dernier point : elle s’étonne en effet que cette infraction soit quasi-systématiquement envisagée par le Parquet alors que par essence, la preuve de cette infraction est très difficile à rapporter. Par exemple, il faut pouvoir prouver que le prévenu savait que ledit groupement était constitué en vue de la préparation de violences. Or, dans les cas jugés à Montpellier, « l’infraction semble se présumer par la seule présence du prévenu dans ou à proximité de la manifestation après 17h », note l’association, qui dénonce une « justice prédictive ».
     

    La Ligue des droits de l’Homme pointe aussi du doigt la pratique quasi-systématique de la comparution immédiate, « quelle que soit la gravité des faits, dès lors qu’il s’agissait d’une infraction commise ’en marge du mouvement de contestation des gilets jaunes’ ». Pour l’association, ce choix aboutit à une réponse pénale plus sévère en comparaison avec les audiences classiques, et constitue de fait une « véritable violence institutionnelle ». Avec la comparution immédiate, les Gilets jaunes, qui pour la plupart n’avaient jamais eu affaire à la justice et qui découvrent donc ce monde, arrivent « sonnés souvent par les 24 à 48 heures de garde à vue », sans avoir eu le temps de préparer leur défense.
     
    […]

    Tout cela témoigne de la volonté du pouvoir en place de restreindre la liberté de manifester et d’aller et venir, juge la LDH. « Il faut faire peur », « juger vite et frapper fort » constate-t-elle, s’interrogeant en conclusion de son rapport sur le « deux poids deux mesures » qu’elle constate : les victimes de violences policières attendent elles toujours que l’on donne suite à leurs plaintes.

    Le rapport est diffusé ici :
    https://www.dropbox.com/s/lsqwluhdnh43hsr/Legal%20Team%20répression%20judiciaire%20juin%202019.pdf

    • Dans le rapport de la LDH Montpellier :

      D’autant que les Gilets Jaunes n’ont dans leur grande majorité jamais eu affaire à la justice. C’est un monde qu’ils découvrent et pensent qu’il est préférable d’être jugé immédiatement afin d’en fini au plus vite, « sonnés » souvent par les 24 à 48 heures de garde à vue, mesure pendant laquelle les policiers, pour leur faire croire qu’ils en sortiraient plus vite, les ont incités à ne pas avoir recours à un avocat et à ne pas respecter leur droit au silence.

      Or, si l’on conteste l’infraction, il convient nécessairement de demander un délai pour préparer utilement sa défense, afin de disposer du temps matériel nécessaire pour produire témoignages et vidéos justifiant de sa mise hors de cause, alors qu’en comparution immédiate le tribunal ne dispose que des seuls éléments à charge fournis unilatéralement par les services de police.

      Et même quand les faits sont avérés, seul le délai permettra là aussi de produire témoignages et vidéos permettant de resituer dans son contexte l’infraction reprochée – laquelle n’est bien souvent qu’une réplique à un usage disproportionné de leurs moyens de coercition par les forces de l’ordre –, avec pour résultat une diminution de la peine par rapport à celle qui aurait été appliquée en comparution immédiate.

      Mais il y a tout de même un risque dans ce cas d’être maintenu en détention, ce qui pousse certains à accepter d’être jugés « en l’état »… et de se voir condamnés à une peine de prison au moins en partie ferme.

    • Sur les poursuites sur le chef de participation à un groupement violent :

      Il convient de s’interroger sur les preuves de la culpabilité des prévenus poursuivis du chef de participation à un groupement violent : article 222-14-2 du Code pénal.

      […]

      En réalité, cette infraction doit être envisagée comme permettant de sanctionner des faits commis par le prévenu et constitutifs d’une infraction pénale dont la peine encourue est plus forte que celle visée par l’article 222-14-2 du Code pénal, mais sans incidence réelle pris isolément.

      Exemples :
      • jet d’une bouteille plastique aux 3/4 vide sur les forces de l’ordre sans les toucher
      • jet de 4 pommes de terre sur les forces de l’ordre sans les toucher
      • prévenu qui ramasse un fumigène au sol, ou un caillou
      • prévenu qui transporte dans son sac des cailloux
      • prévenu qui ramasse des pierres avant de les déposer plus loin
      • jet de mottes de terre sur un policier
      • renvoi d’une grenade de gaz lacrymogène sur les forces de l’ordre
      • port d’un T-shirt « Force et Honneur » et prise en main d’une bouteille de bière vide

      Cette infraction semble également servir d’infraction « filet de sécurité », c’est-à-dire une infraction permettant au Parquet de pallier à l’éventualité d’une relaxe sur d’autres chefs d’inculpation lorsque les éléments de preuve ne sont pas suffisants :
      • prévenu contestant avoir délibérément frappé un policier : en l’espèce, il indiquait qu’il était aspergé de gaz lacrymogène et qu’il a agité son drapeau pour essayer de faire circuler l’air mais qu’il a ainsi porté involontairement un coup au policier ; il indiquait également avoir été auparavant victime de violences policières
      • prévenu qui enclenche à deux reprises la flamme de son briquet pendant quelques secondes sur une poubelle
      • violences sur personne dépositaire de l’autorité publique, poursuivies sur les seules déclarations du policier victime

    • Et les victimes de violences policières ?

      Par comparaison à cette procédure « juger vite et frapper fort », les nombreuses victimes répertoriées de violences policières sont toujours dans l’expectative, alors que notamment 4 pendant cette période ont été atteintes d’un tir de LBD 40 dans la tête, ce qui est rigoureusement illégal !

      Des plaintes circonstanciées, recoupées par des témoignages et des vidéos ont été adressées à l’IGPN, la police des polices, et doublées auprès du Parquet, maître des poursuites, l’IGPN n’intervenant que sur le plan déontologique. Mais si à ce jour certaines victimes ont bien été entendues par l’IGPN, aucune suite n’est connue, et a fortiori aucune poursuite engagée devant le tribunal.

    • CONCLUSION

      Le Parquet de Montpellier a eu recours quasi-systématiquement à la procédure de comparution immédiate dans le cadre des poursuites visant les Gilets Jaunes, sans procéder à une appréciation au cas par cas en fonction de la gravité des faits reprochés et la suffisance ou non des charges retenues.
      • Ce mode de comparution entraîne inévitablement en pratique une réponse plus rapide et plus sévère
      • Le choix du Parquet porte également sur l’infraction visée, c’est à dire quasi-systématiquement le délit de participation à un groupement qualifié de violent. Ce délit, créé par le législateur et largement critiqué et critiquable, permet d’aboutir à une répression de tous les faits matériels qui n’auraient en l’absence de cette infraction pas fait l’objet d’une répression pénale.

      Il s’agit de faire peur, et d’interdire la rue comme moyen d’expression : à travers les Gilets Jaunes, c’est le mouvement social en tant que tel qui est visé par cette volonté de stigmatisation et qui doit donc préparer les moyens de sa riposte et s’affirmer.

      N.B. La Legal Team de Montpellier n’est pas isolée. Elle est en lien avec d’autres structures participant de la même philosophie, notamment à Toulouse, Bordeaux et Nantes.

      Pour l’Observatoire Nantais des Libertés dans son rapport « Exercice du maintien de l’ordre à Nantes et respect des droits - mai 2017 / mai 2019 » : « Le terrorisme a justifié la banalisation de mesures considérées antérieurement comme d’exception ».

      De son côté, l’Observatoire Girondin des Libertés Publiques, dans son rapport « Maintien de l’ordre à Bordeaux » - 17 novembre 2018 / 16 février 2019 - », soupçonne « l’existence d’un fichier des manifestants constitué illégalement par les services d’enquête ».

      Enfin, l’Observatoire des Pratiques Policières de Toulouse, dans son rapport « Un dispositif de maintien de l’ordre disproportionné et dangereux pour les libertés publiques - mai 2017 / mars 2019 - » enfonce le clou : « À laisser la police s’autonomiser et exercer sa violence sans retenue et sans déontologie, on court le risque de changer de régime et de glisser vers des formes totalitaires de maintien de l’ordre. »

      Vous avez dit « démocratie » ?...

  • A #Montpellier, Romy, véritable star des réseaux sociaux témoigne : “être youtubeur est un vrai métier !”
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/montpellier-romy-veritable-star-reseaux-sociaux-temoign

    (Bientôt deux ans que je suis installé à Montpellier, et je ne connaissais pas la méga-star locale ? Un miyon d’abonnés sur Insta, kif-kif sur Youtube…)

    #y’a_d’la_vedette

  • Miraculé de la machine à broyer des #violencesjudiciaires, Brice, journaliste, témoigne des 83h délirantes qu’il a subi en couvrant une manif #GiletsJaunes
    Soulagé de s’en sortir mais traumatisé, il minore logiquement les #violencespolicieres (une lésion du tendon dont la calcification ultérieure est fréquente) mais a évité les risques que représente une comparution immédiate (le témoignage des flics, fréquemment faux, prime dans 99% des cas)

    À lire : https://blogs.mediapart.fr/brice-i/blog/270519/comment-intimider-un-journaliste-recit-de-83-heures-de-procedure

    Samedi 20 avril, Paris. Comme j’en ai pris l’habitude depuis désormais presque 6 mois à Paris et Montpellier, je rejoins la manifestation des Gilets Jaunes pour un vingt-troisième acte qui s’annonçait particulièrement tumultueux. Journaliste depuis désormais 6 ans, de mes débuts en PQR à la télévision, ces manifestations représentent un moyen de formation et de compréhension des mouvements sociaux. Une occasion de pouvoir produire du reportage en live mais aussi de rédiger ces reportages en qualité d’observateur personnel. Je suis « engagé », certes, mais ma présence dans ces manifestations s’inscrit dans une finalité professionnelle. Malheureusement, les choses ne se passeront pas comme prévues. Une journée qui se conclura par une interpellation, 48h de garde à vue et plus de 30h de dépôt au TGI de Paris. Je n’en ressortirai que le mercredi à 5h du matin après avoir refusé la comparution immédiate, malgré un dossier vide de preuve et totalement incohérent.

    #maintien_de_l'ordre

    • Après un mois de préparation aux côtés de Maître Becker, de stress mais également de peur sur les répercussions professionnelles au sein de mon entreprise et la suite de ma carrière, je comparais donc devant le tribunal correctionnel. L’attente est interminable. Le climat particulièrement délétère. On ressent une volonté délibérée du Procureur de la République de nuire au bon déroulement des débats. La salle est même évacuée suite à une énième provocation du Ministère Public envers les avocats des prévenus, qui seront eux-mêmes exclus en pleine audience. Bref, mon heure est alors venue : il est près de 20h. Dans une ambiance particulièrement hostile, la question d’un renvoi se pose alors. Je décide d’aller jusqu’au bout et d’en finir une bonne fois pour toutes.

      C’est permis d’exclure les avocat·es des prévenus ?!?
      #injustice

  • Municipales. Sophie Errante annonce sa candidature à Nantes avec une photo de Montpellier
    https://www.presseocean.fr/actualite/municipales-sophie-errante-annonce-sa-candidature-a-nantes-avec-une-phot

    Sophie Errante, députée de la 10e circonscription de Loire-Atlantique, a annoncé ce mercredi matin sa candidature à l’investiture LREM pour les élections municipales 2020 à Nantes.

    La députée du vignoble et présidente de la Commission de surveillance de la Caisse des dépôts et des consignations a mis en ligne cette annonce sur son site internet illustrée par la photo d’une fontaine, qui n’est pas celle de la place Royale à Nantes, mais celle des Trois Grâces sur La Comédie, célèbre place de… Montpellier.

  • Les résultats à #Montpellier pour les Européennes 2019) :

    – Abstention 53,70%
    – Exprimés 45,21%

    En pourcentage des votes exprimés (avec entre parenthèse le score national en 2019 et, quand ça me semble correspondre, le résultat sur Montpellier en 2014) :
    – La République en marche / MoDem 22,77% (22,4% national)
    – Europe Écologie Les Verts 19,37% (13,5% national - LVEC 17,67% en 2014))
    – Rassemblement national 15,33% (23,3% national - 18,00% en 2014)
    – France insoumise 9,88% (6,3% national - FdG 9,25% en 2014))
    – Parti socialiste 8,31% (6,3% national - 17,38% en 2014)
    – Union de la droite et du centre 6,34% (8,48% national - LUMP 15,79% en 2014)
    – Génération.s 4,36% (3,3% national)
    – Parti communiste 2,55% (2,5% national)
    – Urgence écologie 2,51% (1,8% national)
    – Parti animaliste 1,64% (2,2% national)
    – Debout la France 1,56% (3,5% national)
    – Union populaire Républicaine 1,45% (1,2% national)
    – Union des démocrates et indépendants 1,37% (2,5% national)
    – Lutte ouvrière 0,52% (0,8% national)
    – Alliance jaune 0,51% (0,5% national)
    – Pari pirate 0,45% (0,1% national)
    – Les patriotes 0,40% (0,25% national)

    À nouveau : les résultats de la ville de Montpellier sont très différents de ceux du département de l’Hérault (où le RN fait 28,58% en 2019, après les 29,92% de 2014).

  • La CAF s’immisce dans la chambre à coucher, elle est déboutée
    https://www.estrepublicain.fr/actualite/2019/05/23/la-caf-s-immisce-dans-la-chambre-a-coucher-elle-est-deboutee

    C’est avec surprise qu’Elodie, en avril 2016, a pris connaissance du courrier de la CAF 54 qui lui réclame 7.355 €. Cette somme correspond au remboursement d’un trop perçu de prestations sociales. En clair, à des sommes qu’elle aurait touchées indûment. La quinquagénaire, qui vit en colocation dans le Saintois touche l’allocation adulte handicapé et l’allocation logement. Le montant de ces aides varie en fonction des ressources du bénéficiaire mais aussi de celles de son éventuel conjoint ou concubin.

    La CAF, dans son courrier, assure qu’au terme de l’enquête qu’elle a menée, Elodie ne vit pas en colocation avec Antoine mais « maritalement », qu’il y a « une communauté d’adresse » et surtout une « communauté d’intérêts » : Elodie règle seule le loyer et Antoine les charges courantes. Elodie a beau assurer à la CAF qu’elle vit en colocation, présenter le bail de son appartement sur lequel figure cette mention, rien n’y fait. Et sa requête amiable est rejetée. « Ma cliente n’a pas eu d’autre solution que de saisir le tribunal des affaires sanitaires et sociales (TASS) », explique Me Fabrice Gossin qui relève, avec malice, qu’« une communauté d’adresse, pour des colocataires, cela semble normal, non… ? Par ailleurs, ils n’ont pas de compte bancaire commun ».

    Deux chambres séparées
    Le TASS a donc débouté la CAF de sa demande de trop-perçu. Pour les magistrats, « deux colocataires peuvent librement décider de partager leurs charges non par moitié mais selon une autre proportion ou décider qu’un paiera un certain type de charges et l’autre d’autres ». Par ailleurs, « une situation de concubinage nécessite une communauté matérielle de vie mais également une intention, un souhait d’entretenir des relations amoureuses et/ou intimes ». Or, lors de sa visite, relève Me Gossin, « l’agent de la CAF n’a pas noté de chambre commune mais bien deux chambres séparées ». En outre, Antoine, dans une attestation, a déclaré que son orientation sexuelle ne lui permettait pas d’avoir une relation sentimentale avec Elodie.

    #CAF #TASS #vie_maritale

  • Ah, en marge des Gilets jaunes à #Montpellier, la nouvelle péripétie locale : Pourquoi Montpellier n’a pas profité de l’aide de l’Etat pour les commerçants du centre-ville ?
    https://www.20minutes.fr/montpellier/2520251-20190517-gilets-jaunes-pourquoi-montpellier-profite-aide-etat-comm

    Dans le centre de Montpellier,​ les commerçants grondent. Alors que d’autres villes en ont profité, la capitale héraultaise n’a pas candidaté à l’opération « Revitalisation et animation des commerces », proposée par le ministère de l’Economie et des Finances.

    Ce dispositif, doté d’une enveloppe initiale de 3 millions d’euros, visait à accompagner la mise en place d’actions de nouvelles animations, pour redonner envie aux clients d’aller faire du shopping dans les centres-villes, touchés de plein fouet par les manifestations de « gilets jaunes », chaque samedi. Marseille ou encore Toulouse ont monté un dossier. Pas Montpellier. André Deljarry, le président de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI), et Philippe Saurel (divers gauche), le maire, se renvoient la faute.

  • Et hop, personne ne s’étonnera que l’« outrage » et le mauvais goût sont plus rapidement punis que l’énucléation et le démembrement : Montpellier. "Elle est où la capitaine de police, pan, pan, pan ?" : quatre Gilets Jaunes arrêtés
    https://actu.fr/occitanie/montpellier_34172/montpellier-est-capitaine-police-pan-pan-pan-quatre-arrestations_23810398.html

    « Elle est où la capitaine ? Pan, pan, pan, un flic suicidé est un flic à moitié pardonné ». Le 29 avril 2019 sur le parvis du palais de justice Pierre-Flotte, le tribunal de grande instance -TGI- de Montpellier, des « Gilets Jaunes » venus soutenir un casseur à son procès, avaient entonné ce chant.

    Il faisait référence au suicide d’Élisabeth G., 49 ans, capitaine à la sûreté département de l’Hérault, avec son arme de service, le 18 avril dans son bureau de l’hôtel de police.

    Vers 14h, des employés du TGI qui étaient en pause près de l’accès, choqués et indignés par ces chants outrageants avaient aussitôt prévenus des policiers de la Sécurité publique présents au filtrage des visiteurs, qui avaient alerté Antoine Wolff, un magistrat de permanence au parquet.

    Ce dernier avaient fait constater les faits présumés et saisi les policiers de la sûreté départementale de l’Hérault.

  • Hérault : 44 pisseurs volontaires déposent leur plainte devant le TGI de #Montpellier
    https://www.midilibre.fr/2019/05/17/herault-44-pisseurs-volontaires-deposent-leur-plainte-devant-le-tgi-de-mon

    Mi-mars, à Murviel-lès-Montpellier, 64 Héraultais avaient fait tester leur urine pour y rechercher des traces de glyphosate. Les résultats avaient été dévoilés le 11 avril. Sur la soixantaine d’inscrits, un seul participant affichait un taux inférieur au seuil autorisé de 0,1 nanogramme par millilitre dans l’eau potable. Le taux le plus élevé des inscrits avait été relevé à 3,29 nanogrammes.

    Murviel, c’est juste à l’ouest tout près de Montpellier. (Je ne comprends pas cette histoire de nanogramme par millilitre dans l’eau potable alors qu’on parle de pisse, mais bon.)

  • Ce samedi de 14h à 22h, je pense emmener ma grande à la Fabrique de Fanzines à En traits libres (#montpellier) :
    https://www.facebook.com/events/2315877432067136

    Venez participer à un atelier extraordinaire ! Sans inscription et en continu, de 14h à 22h le samedi 18 mai, venez fanziner avec l’équipe de la Fabrique de Fanzines.

    La Fabrique de Fanzines fabrique des fanzines de A à Z. Alex Baladi, Ibn Al Rabin, Yves Levasseur, Benjamin Novello, Andreas Kündig, Pierre Schilling et tous ceux qui veulent bien participer, dessinent, écrivent, photocopient, plient, agrafent, coupent et lisent des fanzines. Il y a une photocopieuse, un massicot, une agrafeuse, des stylos, du papier, des tables, des chaises, un coin pour lire avec un tapis, des coussins, de la musique. Les originaux sont scotchés au mur, un exemplaire de chaque pend à la corde à linge, des exemplaires gratuits sont offerts dans un boîte.

    • Tiens, je tombe sur la même bande réunie ici : La Fabrique de Fanzines, de Baladi, Ibn Al Rabin, Andréas Künlig, Yves Levasseur, & Benjamin Novello
      http://www.anglesdevue.com/rubriqueabrac/2011/10/la-fabrique-de-fanzines-baladi-ibn-al-rabin-kundling-levasseur-novello

      Qui s’intéresse un minimum au monde de la bédé à forcément déjà entendu parler de près ou de loin du fanzinat… mais concrètement, un fanzine, qu’est-ce que c’est ?

      Version neuvième art du Do It Yourself, le fanzine – contraction des mots « fan » et « magazine » – est un journal fait par des « fans », pour des « fans ».

      Sans but lucratif, le fanzine se vend souvent à petit prix (voire à prix libre), s’échange parfois contre d’autres fanzines, ou encore se distribue gracieusement lors d’évènements comme concerts, salons, festivals…

      Et si la plupart du temps le fanzine n’est que peu considéré, perçu uniquement comme un tremplin vers une carrière professionnelle, nombreux sont ceux qui savent voir au-delà de cette définition restrictive et affectionnent tout particulièrement ces petits bouquins autoproduits.

      C’est le cas de Baladi, Ibn Al Rabin, Andréas Kündig, Yves Levasseur, et Benjamin Novello ; cinq amoureux de cet exercice qui l’abordent plutôt comme une récréation entre deux albums destinés à un éditeur – trouvant ici une liberté de ton et un terrain d’expérience sans égal -, et même comme un acte militant, un refus de se plier au système actuel peu attentif aux souhaits, à la condition, et au sort des auteurs.

    • Ayé, on a passé notre après-midi à la Fabrique de Fanzines ce samedi. Je crois vraiment que c’est une des meilleures choses qu’on ait faites depuis qu’on est à Montpellier (où, pourtant, on en fait des choses chouettes).

      On est arrivés avec ma grande (10 ans) vers 15 heures, on est repartis vers 21h30 après une courte pause pour dîner au fish and chips à côté.

      Sur place, accueillis par les organisateurs : Baladi, Yves Levasseur et Andréas Kündig. @l_l_de_mars on leur a transmis tes salutations, ça leur a fait très plaisir. Une sacrée bande de chaleureux, ces gens.

      Ma grande s’est installée à côté de Baladi (qui l’a initiée au numérotage assez sophistiqué de l’in-quarto) et, après quelques carrés d’authentique chocolat suisse, elle s’est carrément lâchée. Sur la photo officielle du compte Bookbook d’En traits libre, c’est elle qu’on voit super-concentrée :

      Une fois le premier feuillet terminé, Yves Levasseur lui a appris le maniement de la photocopieuse recto-verso, l’art du pliage et, attention les doigts, du massicotage final.

      En début d’après-midi, c’était assez tranquille, surtout qu’il y a la Comédie du Livre avec ses grosses signatures de BD à 500 mètres.

      Comme ma puce était à l’aise toute seule comme une grande parmi les adultes, je me suis installé un peu plus loin, et tu me reconnaîtras en tenue de camouflage marron idéale pour le rayon chocolat-au-lait de chez Migros :

      Évidemment il y avait Mattt Konture entouré de ses amis de l’atelier (Gustav Janko à sa droite) :

      Un tourne-disque jouant des trucs assez improbables mais fort agréables, une photocopieuse couleur-dis-donc, un massicot et une grosse agrafeuse, et roule-ma-poule, c’est parti pour une après-midi et une soirée de dessin à peupler les cordes à linge tendues au travers de la ruelle.

      Ici avec le fond rose en couverture, la première œuvre de ma grande :

      Layal a fait six fanzines, moi j’en ai pondu deux.

      Dans l’après-midi, de plus en plus de monde, et vers 19 heures, l’endroit était bourré de dessinateurs, de retour de la Comédie du livre. Parmi les vedettes il y avait Fabcaro et Hubert Chevillard, mais aussi d’autres que je n’ai pas reconnus.

      Pas mal de participantes aussi, même si sur les photos ça se voit pas trop (surtout le soir, quasiment la moitié des gens étaient des filles), ambiance vraiment décontractée, bon esprit. Quand on est partis, les gens se retrouvaient à dessiner debout sur un coin de table, tellement l’endroit était squatté par une foule dense et rigolarde.

      Au passage, Layal a appris que Baladi a un papa libanais, c’est pour ça qu’il a un nom qui veut dire « mon pays » en arabe. Elle est allée discuter avec Fabcaro qui a bien rigolé en regardant ses fanzines (je te dis pas comment on est trop fiers). Elle a reçu les encouragements chaleureux d’Yves Levasseur, qui lui a dit que c’était pas commun les enfants qui continuent à faire d’autres fanzines après avoir passé autant de temps sur leur premier.

      Bref, un grand moment hier après-midi… Et du coup ce matin le reste de ma bande est jalouse, et j’ai maintenant toute la famille sur la table de cuisine, en pyjama, personne n’a encore ni mangé ni bu, en train de faire des fanzines à la maison…

      (Sinon, j’ai compris que la bande de Suisses en salopettes rouges tourne avec cette Fabrique de fanzines, ils seront dimanche à Nîmes par exemple, à l’Archipel de 12h à 17h. Malheureusement, les événements ne sont pas annoncés à l’avance sur leur Facebook, du coup c’est pas évident de savoir où ils vont passer.)

    • @arno je vais passer ta relation aux copains de la Fabrique, ils seront enchantés par votre enthousiasme, je pense. La rencontre avec eux à Arc et Senans dont je causais dans un lien, a été une des très belles choses (parmi tant d’autres) que je dois à ces résidences. La disparité de leurs œuvres, de leurs approches de la bande dessinée, de leurs personnalités, produit un truc assez fou, stimulant, contagieux. J’étais heureux de rencontrer d’autres adultes qui prenaient à ce point au sérieux la question du fanzine, comme une pratique politique et créatrice fondatrice et continue à la fois, comme le terrain d’expérimentation social et artistique par excellence. Les voir est toujours une source de joie.
      Oui, Alex travaille souvent sur sont socle historique personnel, soit en intriquant ses récits de questions proprement liées au monde arabe, soit en bossant avec des groupes de travail, des éditions, libanaises.
      Si Montpellier était pas si loin de chez nous, je proposerais à ta fille de compléter sa formation ici par la découverte de la sérigraphie et d’autres moyens d’impression moins courants (y’a régulièrement des gens qui viennent ici pour fabriquer des trucs, souvent pour la première fois. Des adultes jusqu’ici, mais j’ai filé des cours de fanzinat aux gosses de mon village et du village voisin, de la maternelle au CM2, je saurais me dépatouiller avec une fillette qui a l’air aussi mordue par le truc). Bref, si vous venez parfois vous perdre en Broutagne, fais un crochet.

  • #Montpellier : l’Arena, un équipement démesuré selon la chambre régionale des comptes
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/montpellier-arena-equipement-demesure-chambre-regionale

    Cette salle, forte de plus de 14.000 places, a été réalisée en 2009 pour 74,2 M€.

    Cet équipement a été conçu selon des projections en terme d’activité et de recettes surévaluées par rapport à la réalité,
    souligne le rapport. Une situation qui, de ce fait, dégrade la situation financière de Montpellier Events.

    Le résultat d’exploitation de la société a été systématiquement négatif (-4,8 M€ cumulés), conduisant à un déficit cumulé de 22,3 M€ en 2017.

    Avec l’Arena, les élus locaux de l’époque ont-ils vu trop grand ? C’est ce que semble indiquer la synthèse de la chambre régionale des comptes qui compare la capacité en nombre de places (salles de spectacle de très grande jauge) dans l’agglomération de Montpellier à celles de Toulouse et d’Aix-Marseille entrre autre.
    – Dans l’agglomération de Montpellier, on compte 450 051 habitants et 20 000 places avec l’Arena et le Zénith
    – Dans l’agglomération de Toulouse, on compte 755 882 habitants et seulement 11 000 places avec le Zénith
    – Dans celle d’Aix-Marseille Provence, qui approche des 1 million 900 000 habitants , 17 000 places sont disponibles dans le Dôme de Marseille et l’Arena d’Aix-en-Provence.

    • Sur la capacités des salles de concert à Montpellier, j’ai trouvé :
      – Arena, 14000 places
      – Zénith, 6000 places
      – le Rockstore, 1000 places
      – Victoire 2, 660 places
      – L’Antirouille, 150 places

      Pour les autres salles (Secret Place, La Pleine Lune, le Blacksheep…) je ne trouve pas le nombre de places.

    • Il faudrait aussi considérer qu’il se prévoit un nouveau stade de football à Montpellier, dimensionné pour 30.000 places. Et un Palais des Sports de 5.000 places à côté pour le handball.

      Alors qu’évidemment, la ville a déjà un stade de foot (à la Paillade, 33.000 places) et un stade de rugby (16.000 places).

  • Au procès Balkany, l’audience plongée dans un océan d’argent liquide
    https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/15/au-proces-balkany-l-audience-plongee-dans-un-ocean-d-argent-liquide_5462220_

    « Quand il avait besoin d’argent, [Patrick Balkany] descendait dans la salle de bains de sa femme, raconte une employée. Il y avait deux cendriers en verre, avec des liasses de billets. Dans la coiffeuse de madame, il y avait des billets. J’ai pu voir l’intérieur du coffre-fort un jour où il avait oublié de le fermer, c’était plein de billets. Une fois, j’ai fait tomber une pochette en papier, il y avait plein de billets par terre. » « Il avait même régulièrement des espèces dans les poches de son peignoir », décrit une autre. Résumé : « Je n’ai jamais vu autant de billets de ma vie. »

    Ah mais c’est marrant ça : c’est exactement comme chez moi ! Ça doit être une habitude typiquement levalloisienne…

    Du coup je suis très étonné : ça se passe comment chez les gens qui n’habitent pas Levallois ? Vous ne mettez pas vos liasses de billet de 500 dans vos peignoirs ? Comment vous faites vos courses au supermarché ? Depuis que j’habite Montpellier, j’ai bien remarqué que les gens me regardent bizarrement quand je sors mes billets de 500 alors que je fais mes courses en peignoir au Carrefour du coin, mais je croyais que c’était parce c’est un peignoir qui n’est pas adapté au climat local.

    C’est vrai que le satin, c’est un peu chaud pour la région…

  • À #Montpellier, le vélo revendique sa place
    https://reporterre.net/A-Montpellier-le-velo-revendique-sa-place

    En 2017, la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB) a noté les agglomérations françaises. Élève médiocre, Montpellier a décroché une mention « plutôt défavorable » aux cyclistes, loin derrière les championnes strasbourgeoise ou nantaise. « On devrait faire aussi bien que ces villes, observe François, usager quotidien des routes montpelliéraines. Il n’y a pas de relief, l’agglo n’est pas si dense, et il fait beau une très grande partie de l’année ! » Un « potentiel énorme » confirmé par Olivier Schneider, président de la FUB, mais gâché par des années de « tout automobile ». « La priorité a été donnée à la voiture, en toutes circonstances, approuve Frédéric Héran, économiste spécialiste des transports. Montpellier était, et elle est toujours, en pleine croissance, avec de nombreuses congestions du trafic, et les autorités ont paré au plus pressé. Il y a eu quelques pistes ou bandes cyclables, mais rien de cohérent. » Ainsi, pour ne pas « gêner » plus les automobilistes, aucune politique globale d’aménagement n’a été pensée pour les vélos.