city:parisot

  • Dans l’entreprise, est-ce vraiment mieux ?
    https://www.mediapart.fr/journal/france/130516/dans-l-entreprise-est-ce-vraiment-mieux

    Vidéo accessible dans l’article. Sophie Binet, chargée de l’égalité femmes/hommes à la CGTLaurence Parisot, ancienne présidente du Medef, présidente de l’IfopLisa Pleintel, groupe EgalisMarie-Laure Geoffray, Clashes, Collectif de lutte anti-sexiste contre le #harcèlement_sexuel dans l’enseignement supérieur

    #France #entreprise #Laurence_Parisot

  • Strauss-Kahn, le retour.
    http://zec.hautetfort.com/archive/2016/04/06/strauss-kahn-le-retour.html

    D’ Aubry à Parisot, de la droite à la gauche, on ne tarissait pas d’éloge sur Strauss-Kahn, ce "grand patron" du FMI, qui faisait preuve d’un "leadership exceptionnel ". Celui qui, habillé chaudement de l’étoffe d’un président, incarnait la social-démocratie mondialisée, triomphante et pleine de morgue.

    Une fois les sanglots ravalés et les mouchoirs remisés, n’oublions pas quel fut le parcours de cette merveille dont nous fûmes accablés par la presse et menacés par les sondages avant d’en être débarrassés par le scandale.

    Les grands médias, la social-démocratie et le patronat perdirent leur candidat de "gauche" à la présidentielle, celui qui avait la faveur des sondages à répétition commandés par les mêmes médias ... La " chance historique pour les socialistes, parce que son profil correspondait exceptionnellement aux circonstances ", selon le mot d’Alain Duhamel, n’était plus dans la course. Panique dans les hautes sphères

    2002, l’IPSOS dressait un portrait flatteur du "néo-libéral socialiste" qui " fait plus homme de droite que de gauche."

    "Technicien sans être technocrate, politique sans être (trop) « langue de bois ». Séducteur sans être démagogue, stratège sans être un simple tacticien. On lui reconnaît une capacité d’adaptation sans superficialité, une ambition réelle mais pas de visée carriériste. Sa récente implication dans ce qu’il est convenu d’appeler l’affaire de la MNEF ne bouleverse guère la donne. Il paraît donc cumuler un nombre d’atouts non négligeables au premier rang desquels se trouve une aptitude à pouvoir faire autre chose que de la politique. DSK n’est pas nécessairement perçu comme un professionnel de la politique au sens étroit du terme."

    Aujourd’hui Strauss-Kahn nous revient, via LSK, son ancienne société d’investissement luxembourgeoise, en faillite depuis novembre 2014, qui aurait aidé des clients à ouvrir des sociétés offshore dans des paradis fiscaux.

    > L’express : La nouvelle affaire qui vise DSK
    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/lsk-la-nouvelle-affaire-qui-vise-dsk_1726404.html

    > Le Monde « Panama papers » : le business offshore de LSK, l’ex-fonds d’investissement de Strauss-Kahn dominique+strauss+kahn+4.JPG
    http://www.lemonde.fr/evasion-fiscale/article/2016/04/06/le-business-offshore-de-lsk-l-ex-fonds-d-investissement-de-strauss-kahn_4896

    > Sa vie, ses œuvres : http://zec.hautetfort.com/archive/2016/04/06/strauss-kahn-le-retour.html

    #Strauss-Kahn, #LSK, #Panama_papers #Paradis_fiscaux #social-démocratie

  • Pierrot Gourmand Gattaz traité d’ esclavagiste par Parisot, l’ ex tronnepa du Merdef /par Sam Telaam
    http://lesazas.org/2014/04/17/pierrot-gourmand-gattaz-traite-d-esclavagiste-par-parisot-l-ex-tronnepa-du-
    On hallucine !!! quand les libéraux sont à la manoeuvre, c ‘est du relou, du rude et du tatoué….
    Ca commence avec Pascal Lamy des bourges qui se voudrait le Dr Hartz sansfrais avec des petits boulots payés à l’ allemande et surtout à la demande, genre 1€ de l’ heure !!!.....

  • CIP-IDF > L’interluttants n° 32, mars 2014 est de sortie
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=6880

    C’est un 8 pages au format A3 et à prix libre (0 et +).
    • Nous ne voulons pas être sauvés / Nous sommes tous des « #intermittents »
    • Royal / Parisot, avant, après / Unédic 2014-2017 : ni régression, ni statu quo, des #droits nouveaux !
    • Quelques arguments pour se défendre / Exemple de réponse au courrier des lecteurs
    • Des #indus à la pelle, Recours #radiations / Alerte intermittents ! APS et AFD : le piège se referme déjà ! CAP
    • Matermittentes vs CPAM, extraits d’audience
    • Le régime des intermittents du spectacle : ni déficit, ni surcoût, Mathieu Grégoire / Nous ne crachons pas dans la soupe, nous voulons juste la partager équitablement
    • Annexe à la plateforme de propositions / Pour une réforme juste et équitable / A l’Assemblée le 25 février 2004 / Comité de suivi de la réforme du régime d’assurance-chômage des intermittents
    • Déshabiller Paul pour déshabiller Jacques ? Mon poing dans tes chiffres / Pendant ce temps se discute le « pacte de responsabilité »

    Prélèvements et reproduction encouragés, avec l’indication : http://www.cip-idf.org svp.

    Usines à gaz partout, respiration nulle part ?

    Alors que contre les provocations patronales et la non indemnisation, la mobilisation en cours exige une refonte de l’Unedic, une « réforme » du #RSA se prépare… C’est pour notre bien ! que la réforme remédiera à l’ampleur #non-recours parmi les salariés pauvres. Nous aurons à y revenir, D’ici là, voici quelques éléments. Peu après l’instauration du RSA, voilà ce que nous écrivions à propos de ce dispositif : "Il faudrait donc accepter n’importe quelle offre « raisonnable » d’emploi sous peine de radiation et suppression de revenu, subir la suspicion des départements et les intrusions de la CAF en dépendant du RSA, avoir capitalisé des droits et être un artiste de l’entreprenariat de soi pour ouvrir droit au chômage, souscrire à l’obligation de s’activer que la fusion de l’ANPE et de l’ASSEDIC en un Pôle emploi doit conforter, bref, vouloir « gagner plus » et se soumettre pour un minimum. »
    Voir : Nous sommes tous des irréguliers de ce système absurde et mortifère - #L’Interluttants
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=4124

    #journal #chômeurs

  • Medef : rejet de la réforme des statuts, Parisot exit
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130328trib000756528/medef-rejet-de-la-reforme-des-statuts-parisot-exit-mais-se-pose-en-garante

    Le résultat est de 22 voix pour, 22 contre et un bulletin blanc. Faute de majorité, l’assemblée générale du Medef ne peut être convoquée pour valider cette réforme des statuts et la présidente sortante quittera donc la tête de l’organisation au début de l’été.

    (…)

    « Cette réforme aurait marqué un progrès de démocratie interne, cette réforme aurait permis de mettre un terme définitif à des logiques de cooptation ou de renouvellement empêchés, négociés dans le secret ou sous les pressions », a-t-elle déclaré.

    Bref, c’est une défaite de la transparence et le triomphe de la magouille…

  • Ah ça ira ? Par Mathieu Léonard
    http://cqfd-journal.org/Ah-ca-ira

    Assiste-t-on au retour des vieilles peurs aristocratiques ? « On est en train de faire une guerre de tranchées, de revenir en 1789 : il faut arrêter de dire que les chefs d’entreprises sont des voleurs, des voyous, des gens malhonnêtes », estimait le marchand de lunettes made in China, Alain Afflelou, interrogé le 22 décembre. Un propos à peine tempéré par l’épicier Michel-Édouard Leclerc, le 26 décembre : « On a une fiscalité qui est revancharde […], on tient un discours à l’égard des gens qui ont de l’argent qui fait que, même si ce n’est pas 1789, il y en a plein qui vont se barrer. » Le 21 décembre, la reine Deneuve, très théâtrale, avait utilisé la première cette référence dans sa défense du gros Gégé contre le félon Torreton : « Qu’auriez-vous fait en 1789, s’indignait-elle, mon corps en tremble encore ! » Illico, Parisot, la taulière des patrons, avait trouvé l’analogie parlante et l’avait relayée : « Nous avons le sentiment aujourd’hui qu’on cherche à recréer quelque chose qui s’apparente à 1789, il faut bien mesurer à quel point c’est insupportable pour beaucoup de gens talentueux et c’est pour ça qu’ils sont amenés à partir. » La référence à 1789 est en passe de remplacer le spectre du goulag ou de la terreur pour dénoncer toute velléité de politique jugée confiscatoire envers ces malheureux nantis. Mais au fait, que s’est-il donc passé de si effroyable en 1789 ? Ah oui ! Un État en faillite, la prise de la Bastille, les châteaux qui brûlent, la fin des privilèges, les émigrés qui se barrent avec l’argenterie à Coblence et le peuple qui réclame du pain et la souveraineté. Allo, la section des piques ? Les affaires reprennent !

    • Effectivement, il y a bien une attitude aristocratique là dedans, une posture victimaire grotesque... Bref des gens qui n’assument pas la situation dont ils profitent.
      Je suis assez régulièrement les médias, mais je n’ai jamais entendu que « que les chefs d’entreprises sont des voleurs, des voyous, des gens malhonnêtes », ni que les impôts étaient une sanction contre les riches. Ce sentiment de persécution est risible...

      A la limite seul le gadget retoqué des 75% de Hollande ressemblait à une petite sanction, puisque décrite après coup comme « une amende » pour dissuader les revenus indécents qui auraient pu déclencher des émeutes de sans-culottes... Une sorte de garde-fous préventif pour sauvegarder le système en quelque sorte..

      Dites, amis riches, êtes vous au courant que la France est en crise au point d’être considérée au bord de la faillite par vos copains capitalistes à qui on doit 1600 milliards ? Arrêtez de pleurnicher sur votre sort et si la révolution ne vous intéresse pas, alors faites comme tout le monde : remboursez...

    • d’un autre côté c’est un aveu assez risible. On se reconnaît dans une classe supérieure d’un autre temps s’accrochant à ses privilèges, laquelle exprimait son plus profond mépris pour le peuple. Est-ce une invitation à renverser le système ?

  • Un accord historique ou un sale coup ? » Fédération pour une Alternative Sociale et Écologique
    http://www.fase-bn.org/?p=1403

    Il faudrait revenir sur les définitions particulièrement floues des motifs de recours : par exemple le contrat d’usage est devenu une notion tellement extensive qu’elle permet aux entreprises comme celle de Mme Parisot d’employer les 2/3 de son effectif en emploi précaire. Mme Parisot est elle à ce point incapable d’organiser son activité qu’elle soit obligée d’agir au coup par coup embauchant enquête par enquête ? La présidente du MEDEF montre ainsi qu’elle a bien peu de leçons à donner en matière de gestion d’entreprise …à moins que l’usage des précaires ne soit qu’un moyen sauvage (800 euros/mois pour le meilleur contrat précaire de l’IFOP, un contrat par intermittence !) de faire baisser les salaires.

  • Le Figaro - Emploi : Emploi : Parisot dénonce « l’ingérence » de l’Etat
    http://www.lefigaro.fr/emploi/2013/01/07/09005-20130107ARTFIG00339-emploi-parisot-denonce-l-ingerence-de-l-etat.php

    Jusqu’ici « optimiste » sur l’issue de la négociation avec les syndicats, la présidente du Medef se dit désormais « très pessimiste », stigmatisant l’« ingérence » du gouvernement.

    La "Parisot" devrait se poser cette question : puisque nous sommes dans une démocratie participative, combien d’électeurs représentent le MEDEF ? Combien d’électeurs sont représentés par les syndicats de salariés ? L’État (en l’occurence le gouvernement et son exécutif) n’est-il pas le meilleur porte-parole de la "vox populi" ? Va-t-elle continuer à professer le credo qu’il faut tout sacrifier à quelques happy few qui seraient à la meilleure place pour décider du sort de millions d’autres ? Ces soit-disant entrepreneurs qui seraient le Sel de la Terre, les capital risqueurs, devrons-nous toujours plus ployer le genou devant eux ?
    #sans_culottes

  • Et ma main dans la gueule ? : Détabouïsons et licencions tranquille
    http://etmamain.blogspot.fr/2012/12/detabouisons-et-licencions-tranquille.html

    Madame Parisot milite, beaucoup, elle donnerait soif pour un peu surtout quand on l’entend dire que « la flexibilité du marché du travail est devenue indispensable pour arrêter les destructions d’emplois et favoriser les projets d’embauches ». J’avoue que je reste dubitatif et assis sur mes sphincters bien serrés quand j’entends le terme flexibilité qui est surtout synonyme pour le patron d’autorisation de délocaliser l’employé sur le champs et où il veut.

  • Parisot veut un 2° plan de 20 milliards d’assistanat pour le patronat et refuse toute contrepartie – Le blog de Gérard Filoche
    http://www.filoche.net/2012/12/02/parisot-reclame-plus-et-refuse-toute-contrepartie

    Ainsi affirme t elle avoir l’appui du Premier ministre Jean-Marc Ayrault pour « relancer la compétitivité en France » (sic) et elle réclame déjà d’aller encore plus loin que les 20 milliards d’euros d’assistanat pour les entreprises étalés sur 3 ans, financés par des hausses de TVA, une « fiscalité écologique » et des économies sur les dépenses publiques. « Ce n’est pas un choc » (…) « Ce n’est peut être pas assez fort en terme de puissance, en terme d’intensité », (…) « Pourquoi ne pas envisager un bilan dans un an et si les effets positifs attendus se révèlent exacts, penser à un deuxième élan (…) »
    Interrogée sur ce que les entreprises seront prêtes à faire en retour, sur BFM-TV, Parisot répète que le Medef refuse » toute conditionnalité » : » C’est quelque chose de naturel, on n’a pas besoin de s’engager ». Elle argue qu’il y a 1,2 million d’entreprises en France : « Ca veut dire 1,2 million de décisions différentes possibles ». Autrement dit, passez votre chemin, rien à voir, les patrons feront chacun ce qu’ils veulent de l’argent donné par l’état avec les impôts et la TVA versés par les salariés…

  • Retraites : « Ce sera entre Parisot et Mailly, mais il n’y aura pas d’approche globale », selon Bruno Palier | Public Sénat
    http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/retraites-sera-entre-parisot-mailly-il-n-y-aura-pas-d-approche-globale-s

    On observe que les Français ne veulent pas travailler plus longtemps. Pourquoi ? Car leur travail est devenu de plus en plus dur. Derrière tout ça, c’est la stratégie économique de la France et des entreprises qu’il faut interroger. C’est une stratégie de compétitivité par les prix. On fait des compressions de personnels, on réduit la taille de la main d’œuvre, on garde les plus productifs et on vire les autres. Et ceux qu’on garde, on les fait bosser comme des dingues. Evidement ils sont usés et ne veulent pas travailler plus longtemps. Donc quand François Fillon dit qu’il faudra travailler jusqu’à 61 ans, ce discours ne peut pas être entendu par les Français. Il le restera tant qu’on ne questionnera pas la stratégie économique des entreprises françaises.

    #entreprise #retraite #spoliation #inégalités #profitation #privatisation #débat #for:twitter

  • Y’a pas de charges sociales… Gérard Filoche
    http://www.democratie-socialisme.org/spip.php?article1871

    Ca commence à bien faire, cette sempiternelle litanie contre « les charges » qui pèseraient sur les entreprises… En fait, elle reçoivent 60 milliards d’euros par an « d’aides » à l’emploi et la Cour des comptes affirme qu’il n’a jamais été prouvé que cela avait crée un seul emploi. Les « entrepreneurs » si chers à Madame Parisot sont bel et bien des « assistés » : 6,5 milliards par-ci pour l’automobile, 40 milliards par-là pour les banques, 2,5 milliards pour les restaurateurs, Continental, Heuliez, ou les békés. Des milliards qui partent en stock-options pour des patrons qui se sont offert 58 % d’augmentation l’an passé. S’il y a des « charges », ce n’est pas pour les entreprises, mais pour nous : les « exonérations de charges sociales », c’est nous les salariés en tant que citoyens qui les payons à la place des chefs d’entreprise, par l’impôt !

    #entreprise #argent #libéralisme #solidarité