city:rojava

  • [O-S] Brigades internationales à Rojava

    L’émission « Offensive Sonore » est diffusée un vendredi sur deux sur Radio Libertaire de 21h à 22h30 (89,4 Mhz) en alternance avec « Les amis d’Orwel ».

    Émission du 9 décembre 2006, nous avons interviewer Sébastien qui est en lien avec les brigades internationales se battant sur le terrain contre trois ennemies le dictateur Bachar El assad, Daech et l’Etat Turc. Ils nous explique ce qu’il ce passe et pourquoi il faut soutenir cette terre.

    #Radio_Libertaire #offensive_sonore #audio #radio #rojava #Kurdistan #pkk #turquie #rojava #Syrie #daech #Abdullah_Öcalan #Öcalan #répression #municipalisme #brigades #internationales #guerre #Bachar_El_assad #YPG #Irak

    https://www.mixcloud.com/offensive_sonore/rojava

  • Journée mondial Kobanê : manifestation place Bellecour le mardi 1er novembre
    https://rebellyon.info/Journee-mondial-Kobane-manifestation-17092

    Il y a tout juste 2 ans, le monde regardait avec admiration et étonnement le combat acharné des hommes et des femmes de Kobanê contre l’organisation de l’Etat islamique (Daesh) qui avait assiégé cette ville du Rojava (Ouest-Kurdistan, Syrie). Leur lutte est devenue le symbole de la résistance populaire contre Daesh. Rendez-vous le mardi 1er Novembre à 20h00 sur la place Bellecour pour soutenir Kobanê, et en solidarité avec la lutte pour la liberté, la démocratie et la paix en Syrie.

    #Infos_locales

    / #Résistances_et_solidarités_internationales, #Manchette

  • Rojava, Turquie, France, Grèce, à Thessalonique-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2016/09/06/rojava-turquie-france-thessalonique

    @Ad Nauseam - La solidarité transnationale existe, nous l’avons rencontrée. Les 7, 8 et 9 septembre à l’Université Aristote de Thessalonique, se déroulera le 7ème “Festival International pour la démocratie directe”, avec entres autres pour thèmes le Rojava, la Turquie, la France et la Grèce. En voici le programme : (...)

    #Kedistan / #Mediarezo

  • [Berne] Communiqué de la manifestation en soutien à la population kurde de Rojava
    https://renverse.ch/Berne-Communique-de-la-manifestation-en-soutien-a-la-population-kurde-de-Ro

    Le 9 janvier 2016, plus de 400 personnes ont mis l’accent sur le carnage en Turquie. Sous le slogan « Arrêtez le massacre de la population - force et courage pour les révolutionnaires à Rojava et en Turquie ! », nous sommes passé*es dans les rues de #Berne. Nous avons montré que nous pouvons manifester de manière déterminée, bruyante et sans autorisation. Des centaines de flyers ont été distribués aux nombreux passant*s intéressés. On a dansé sur de la musique kurde et nous avons laissé plusieurs affiches et slogans dans le centre-ville pour démontrer notre solidarité avec les combattant*es au Rojava.

    #Luttes_indépendantistes #Kurdistan

    • Kurdistan /Rojava, Interview d’un volontaire français dans les YPG
      http://www.oclibertaire.lautre.net/spip.php?article1791

      La situation ne fait qu’empirer dans le Bakur [Kurdistan nord dans l’Etat turc], avec des niveaux de répression qui s’apparentent à une nouvelle guerre civile. Comment les gens et les militants (dans le Rojava, mais aussi ailleurs dans le Kurdistan) voient-ils cette guerre qui s’annonce et s’amplifie au nord ? (Cet interview a été réalisé avant les dernières exécutions de Kurdes en Turquie et l’attentat d’Istambul)

      Il est difficile de vous dire comment les gens voient cette guerre dans le Kurdistan nord, dans la mesure où je me trouve au Rojava. La guerre civile au Bakûr, qui a déjà commencé, est omniprésente ici. Cela est dû, dans une large mesure, à la présence importante de militants du Bakûr au Rojava. S’il est sans doute abusif, comme le font parfois certains médias, de présenter le PYD et les YPG comme la « branche syrienne du PKK », il est clair que les militants du PKK ont joué le rôle principal dans la formation des YPG. Aujourd’hui encore, la grande majorité des cadres des YPG sont issus du PKK, même si le gros de leurs troupes a été recruté localement. Cela ne procède nullement d’une volonté d’hégémonie ou d’un mépris du PKK envers les « locaux », mais plutôt de la longue expérience de combat des premiers. Il est par ailleurs difficile de vous donner des proportions, même approximatives, car de nombreux militants du PKK cachent, à tout le moins aux occidentaux présents sur place, leur appartenance passée ou présente à cette organisation, toujours considérée comme « terroriste » en Europe, pour des raisons diplomatiques.
      On comprend donc aisément que la guerre entre les YPG et l’Etat islamique soit perçue, par les combattants YPG du Bakûr et du Rojava, comme le théâtre local d’un conflit général plus large, en tout cas comme indissociable de la répression de l’Etat turc contre les militants kurdes. L’analyse faite par les chaînes de télévision pro-kurdes prisées des combattants (proches du PKK comme Mednuçe ou du PYD comme Ronahî TV) tranche radicalement, à cet égard, avec le traitement des médias occidentaux qui prennent soin de dissocier ces deux conflits.
      On peut certes questionner, objectivement, l’unité du Kurdistan et des conflits en cours dans les différents tronçons, qui répondent plus à des dynamiques « nationales » différentes qu’à une « question kurde » unique. La carte, la représentation d’un Kurdistan un et indivisible dont le partage ne serait que momentané, un accident de l’histoire sont sans doute une construction identitaire, un élément central du discours national des différentes organisations kurdes ; il n’en demeure pas moins que l’arrivée massive de militants du PKK « turc » en Syrie et l’intervention de l’Etat turc dans ce pays ont objectivement imbriqué les deux conflits dans une même problématique."

      La réaction d’Erdoğan est en partie liée à la situation en Syrie, notamment celle de ses divers protégés et proxies (ISIS, al-Nosra, Ahrar al-Sham…). Or aujourd’hui, ceux-ci perdent du terrain ainsi que ceux de l’Arabie saoudite (situés eux surtout dans le sud du pays). Les prochaines batailles des SDF (Forces démocratiques de Syrie, dont les YPG/J forment la principale force), en direction de Mabij et Jarabulus (ouest de l’Euphrate) et dans la région d’Azaz (nord d’Alep), sont des « lignes rouges » pour le régime turc, qui ne cesse de le réaffirmer, surtout qu’il y a (surtout dans la zone d’Azaz) en face des SDF des unités spécifiquement turkmènes, entièrement armées et financées (et encadrées) par des Turcs liés à l’appareil d’État, aux mouvances AKP et MHP (Loups gris, cercles ottomanistes, etc.) La Turquie prendrait-elle le risque de défendre militairement ses « lignes rouges » et donc de pénétrer sur le sol syrien alors que la Russie veille et qu’en l’état actuel des choses, Poutine n’hésitera pas à frapper ? Mais, vu sa rhétorique actuelle, Erdoğan peut-il renoncer à combattre les ‟terroristes” kurdes au sud de sa frontière qui engrangent les victoires sur le terrain ? Dans quelle mesure, sa guerre contre les Kurdes de Turquie n’est-elle pas le prix qu’il fait payer au mouvement kurde dans son ensemble pour la relative mais réelle réussite de la lutte menée par les Kurdes au Rojava (qu’Erdoğan interprète comme une menace, le début d’une défaire ou une défaite à venir) ?

  • Marche mondiale pour Kobanê
    http://paris-luttes.info/marche-mondiale-pour-kobane-3974

    Marche à Paris le 1 novembre 2015, départ à 14h de Bastille Il y a tout juste un an, le monde regardait avec admiration et étonnement le combat acharné des hommes et des femmes de Kobanê contre l’organisation de l’Etat islamique (Daesh) qui avait assiégé cette ville du Rojava (Ouest-Kurdistan, Syrie). (...) — Résistances et solidarités internationales, Rojava, Bastille

  • Entretien avec Janet Biehl
    Le Rojava : pauvre en moyens mais riche en esprit

    http://lavoiedujaguar.net/Entretien-avec-Janet-Biehl-Le

    Janet Biehl fut une collaboratrice du théoricien libertaire Murray Bookchin et sa compagne de 1987 à sa mort en 2006.

    Après ma visite au Rojava, au début de décembre 2014, le journaliste Cesur Milusoy m’a interviewée le 23 décembre.

    Janet, vous revenez juste d’un voyage au Rojava qui a duré plus d’une semaine. Comment vous et le groupe êtes-vous entrés au Rojava ? La frontière turque est fermée et l’État islamique contrôle beaucoup de territoire en Irak.

    Nous avons démarré d’Erbiln en Irak, et nous avons traversé la frontière à Semalka. Les organisateurs avaient arrangé le passage à l’avance. Une fois que nous étions arrivé•e•s, nous avons dû attendre quelques heures jusqu’à ce que quelqu’un passe un appel téléphonique. Alors nous avons traversé le Tigre et sommes entré•e•s au Djezîrê. (...)

    #Kurdistan #autogouvernement #Rojava #Syrie

  • Solidarity with Rojava. Who else if not us? When if not now?
    http://rojava-solidaritaet.net/aufruf/call

    In the mostly Kurdish area of northern Syria (which is called “Rojava”) a political system of democratic self-government arises since the last three years. The people organise themselves by holding meetings in councils to shape their lives beyond ethnic or religious differences. Women play a key role at this: they organise themselves independently in all domains and are significantly involved in the design of community.

    This democratic self-government is protected by the Self-Defence Forces of Rojava, which consists of the YPG and the female brigade the YPJ. It was these brigades together with the PKK who rescued êzidian Kurds from the Sinjar Mountains in September from the inhuman organisation “Islamic State” (IS).
    The Democratic Autonomy of cities and municipalities in Rojava has become a symbol of hope for many people in the Near and Middle East. It proves that a peaceful coexistence as well as a just and democratic society will be possible. This particular progressive ideas are hated by the IS. The people of Rojava are willing to offer up their lives for a common defence in the face of IS terrorism.

    Turkey tries to eliminate the democratic self-government of Rojava by imposing a blockade against the self-governing territories, bloodily oppressing actions of solidarity in Turkey and tolerating or even supporting the activities of the IS. But also Germany, the EU and the NATO – regardless of their position on IS – are not willing to support the struggle for life in Rojava as the battle for Kobanê shows. Instead the Kurdish organisations are as yet criminalised. The Governments are talking about help but pursuing their own geopolitical self-interests. With that said it’s clear that we must not rely on the states.

    It is high time, for putting solidarity to the people in Rojava into practice and not only talk about it. The municipality of Rojava must be maintained – this can only be achieved by Self-defence.
    With our signature we make donations to the Self-Defence Forces of Rojava – YPG / YPJ – and call on everybody to do the same. Don’t leave the people in Rojava all by themselves but show your solidarity!
    We back the democratic self-government of Rojava by supporting the Self-Defence Force in this current situation.

    The Association of students from Kurdistan – YXK
    Interventionist Left – IL

    Sign the call

  • Résistance kurde et révolution sociale au Rojava
    http://www.sonsenluttes.net/spip.php?article762

    Voici 2 entretiens sur la lutte des peuples du Rojava, kurdistan syrien, en guerre contre Daesh (Etat Islamique) : Un camarade anarchiste kurde nous parle de la révolution à Rojava et du « confédéralisme démocratique », le projet politique porté par les forces kurdes progressistes, PKK et PYD. Durée : 15 min. Entretien téléphonique réalisé le 14 Octobre avec un représentant du CDKF (Conseil Démocratique Kurde de Fance) sur la situation à Kobanè, la résistance des milices d’autodéfense YPG et le double jeu de la Turquie et des occidentaux qui utilisent Daesh pour affaiblir le Rojava et tenter de faire disparaitre la révolution sociale en cours. Durée : 23 min. Source : Fréquence Paris Plurielle via Sons en (...)