city:rubber

  • Le rêve du Celte, Mario Vargas Llosa (2011)
    http://raphael.afrikblog.com/archives/2012/07/12/24694617.html

    Ce #roman est une magnifique vulgarisation de la fascinante vie de Roger Casement, figure historique de la lutte contre les méfaits du #colonialisme. Cet homme a, dans son combat pour la justice, réuni le destin de trois terres sous domination étrangère au début du XXè siècle : le #Congo (actuelle République Démocratique du Congo), l’#Amazonie péruvienne et l’#Irlande qui constituent les trois chapitres du roman.

    au Congo, c’est l’époque de la mise en coupe réglée par les coupeurs de mains du roi Leopold… en Amazonie, les colons européens ne font pas mieux et déciment les Indiens, là aussi pour le #caoutchouc.

    Les Anglais condamnent leur ancien diplomate à mort, et à l’indignité en publiant ses (supposés) carnets où il évoque ses expériences homosexuelles. D’où son relatif anonymat tout au long du XXe siècle.

    #histoire #livre

    (voir aussi http://seenthis.net/messages/117101 )

    • ça donne envie d’aller lire ça

      La civilisation du caoutchouc, par Julien vincent* | RdL La Revue des Livres
      http://www.revuedeslivres.fr/la-civilisation-du-caoutchouc-par-julien-vincent

      à propos de John Tully, Devil’s Milk. A Social History of Rubber, New York, The Monthly Review Press, 2011, 416 p., 24,95 $.

      L’historien australien John Tully, déjà connu pour ses travaux sur l’Indochine française, propose ici une histoire globale du caoutchouc. Son récit nous fait traverser le Congo belge, les plantations des colonies asiatiques et les centres industriels occidentaux. Il suit pour cela l’évolution des modes de production : le prélèvement direct sur les différents arbres à caoutchouc d’Amazonie ou d’Afrique, qui domine longtemps la production ; les plantations d’espèces acclimatées sous le contrôle de botanistes occidentaux, qui se développent à partir des années 1870 ; enfin la production de caoutchouc synthétique qui prend son essor pendant la Seconde Guerre mondiale.

    • Oui, il y a de grandes chances qu’un petit machin se soit glissé sous ta touche « i ».
      Première tentative : envoyer de l’air comprimé dans le clavier pour tenter de déloger le bidule (il existe de petites bombes dans les rayons informatiques).
      Aspirer
      Retourner, secouer.
      Si c’est un clavier de portable, c’est plus délicat, mais pas insurmontable. Personnellement, j’ai récupéré mon « a » sur mon portable.

      J’ai téléchargé le mode d’emploi de mon ordi. J’ai suivi à la lettre la méthode de démontage du clavier, en faisant gaffe aux connecteurs et mappes et j’ai réussi à virer la merdouille qui avait tout bloqué et à réinsérer correctement la lettre.

      Dans le pire des cas, ce peut être le contact de la lettre qui est mort. Il peut arriver que ce soit réparable avec une soudure (un appareil à souder pour l’électronique coûte moins de 20 € et rend de grands services). Sinon, il faut éventuellement se résigner à joindre le SAV de son ordi pour réclamer un nouveau clavier compatible (si tu es habile, autant l’installer toi-même, c’est moins cher que le SAV).

      Bien sûr, si c’est un clavier de bureau, c’est le moment d’en prendre un chouette qui brille dans la nuit !

      Sinon, pendant que je cherchais une solution, j’avais enregistré la lettre « a » dans l’historique de Parcellite. Donc, je collais mon a là où j’en avais besoin.

      Mais au final, tout marche très bien depuis ma petite réparation.

    • Je viens d’avoir ce probleme avec la touche qui débloque le frein automatique d’une Volkswagen toute neuve, C’est une sorte d’ordinateur sur quatre roues. C’est marrant quand tu ne peux pas démarrer milieu d’un carrefour.
      Tu ne trouves pas dans l’internet le mode d’emploi pour démontrt le clavier de cet engin. Le constructrur ne veut pas.