city:téhéran

  • Je ne suis pas une voyageuse | Ma vie à Téhéran
    https://blog.courrierinternational.com/ma-vie-a-teheran/2019/07/05/je-ne-suis-pas-une-voyageuse

    A l’étranger, cette routine agit comme un repère, une trace de soi, mais aussi comme une sorte de rite d’intégration. Mes premiers horaires de travail en Inde, ma première carte de métro en Iran, mon premier café fétiche pour étudier au Liban, mes virées dans les mythiques supermarchés 7/11 en Asie du Sud, mes plantes à arroser aux Émirats, mes cours de yoga à l’aube en Inde : tous ces petits détails me restent comme des souvenirs émus, comme autant de rites de passage vers un nouveau moi qui vit et s’épanouit à l’étranger.

    #voyages

  • Tensions Iran-Etats-Unis : à quoi sert Macron ?
    https://www.mediapart.fr/journal/international/290619/tension-iran-etats-unis-quoi-sert-macron-0

    Le président de la République voudrait jouer les médiateurs entre Téhéran et Washington dans le conflit, sur le point de devenir militaire, qui les oppose depuis la sortie des États-Unis de l’accord international sur le nucléaire iranien et la reprise des sanctions économiques contre la République islamique. Mais il a déjà fait tant de concessions à Trump que sa crédibilité paraît douteuse.

    #Analyse #Iran,_trump,_nucléaire,_Macron

  • L’OTAN contre l’Iran ? La France dit “non”
    https://www.dedefensa.org/article/lotan-contre-liran-la-france-dit-non

    L’OTAN contre l’Iran ? La France dit “non”

    Le nouveau secrétaire à la défense US désigné (“faisant fonction” pour l’instant) a rencontré ses homologues de l’OTAN pour les exhorter à se regrouper autour des USA en cas de conflit avec l’Iran. L’accueil a été plutôt réservé, sinon glacial.

    « Mark Esper rencontrait ses homologues de l’OTAN à Bruxelles cette semaine pour tenter d’amener les membres de l’OTAN du côté de Washington alors que la confrontation avec Téhéran s’intensifie. » S’adressant aux journalistes du siège de l’OTAN jeudi après une session à huis clos, M. Esper a déclaré que les autres alliés doivent condamner publiquement le “mauvais comportement” de l’Iran, affirmant que cela contribuerait à éloigner les événements de “la voie militaire”. » Mais il semble y avoir du (...)

  • Donald Trump envisage publiquement une guerre courte contre l’Iran (Ouest-France)
    https://www.crashdebug.fr/international/16189-donald-trump-envisage-publiquement-une-guerre-courte-contre-l-iran-

    Donald Trump accuse Téhéran de chercher à obtenir l’arme atomique et d’être responsable de tous les maux du

    Moyen-Orient. | SAUL LOEB / AFP

    Le président américain, engagé dans une campagne de pression maximale sur l’Iran, a donné un nouvel avertissement à Téhéran, mercredi, en évoquant l’idée d’une guerre « qui ne durerait pas longtemps ».

    Donald Trump a évoqué la possibilité d’une guerre contre l’Iran « qui ne durerait pas très longtemps », prenant le contre-pied de son homologue iranien, qui semblait jouer l’apaisement.

    Le président américain a assuré mercredi ne pas espérer un tel conflit, mais ces déclarations sonnent comme un nouvel avertissement à l’Iran.

    « Nous sommes dans une position très forte, et ça ne durerait pas très longtemps, je peux vous le dire. […] Et je ne parle pas de troupes au sol », a (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • John Bolton, l’homme qui pousse Trump à faire la guerre
    https://www.mediapart.fr/journal/international/250619/john-bolton-l-homme-qui-pousse-trump-faire-la-guerre

    Le conseiller à la sécurité nationale John Bolton fut un partisan enthousiaste de la guerre en Irak. Le voilà qui cherche désormais à convaincre Trump de l’opportunité d’une guerre avec le régime de Téhéran.

    #Analyse #Iran,_John_Bolton,_Etats-Unis,_Donald_Trump,_A_la_Une

  • Les sanctions US contre le guide suprême iranien « ferment la voie de la diplomatie » (Sputnik)
    https://www.crashdebug.fr/international/16179-les-sanctions-us-contre-le-guide-supreme-iranien-ferment-la-voie-de

    En imposant de nouvelles sanctions « stériles », visant cette fois-ci le chef de l’État iranien, les États-Unis ont décidé de fermer de manière « permanente » la voie de la diplomatie entre Washington et Téhéran, a déclaré ce mardi 25 juin la diplomatie iranienne.

    Après que Washington a annoncé de sévères sanctions contre l’ayatollah Ali Khamenei, et plusieurs hauts gradés des Gardiens de la révolution, la pression sur Téhéran augmente encore. Pour le porte-parole des Affaires étrangères, Abbas Moussavi, les sanctions américaines « ferment la voie de la diplomatie ».

    « Imposer des sanctions stériles contre le guide suprême de l’Iran [l’ayatollah Ali Khamenei, ndlr] et le chef de la diplomatie iranienne [Mohammad Javad Zarif], c’est fermer de façon permanente la voie de la diplomatie avec le gouvernement (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Pourquoi Trump veut maintenant des pourparlers avec l’Iran
    Par Pepe Escobar − Le 5 juin 2019 − Source Asia Times – Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone
    https://lesakerfrancophone.fr/pourquoi-trump-veut-maintenant-des-pourparlers-avec-liran

    (...) Depuis 2012, le comité de pilotage de Bilderberg est présidé par Henri de Castries, ancien PDG d’AXA et directeur de l’Institut Montaigne, un groupe de réflexion français de premier plan.

    L’un des invités clés de cette année était Clément Beaune, conseiller du Président Emmanuel Macron pour l’Europe et le G20.
    (...)
    L’axe Castries/Beaune constitue le premier secret de 2019. C’est Castries de l’Institut Montaigne qui a inventé Macron – la parfaite expérience de laboratoire d’un banquier de fusions et acquisitions au service de l’establishment se faisant passer pour un progressiste.

    Une source du Bilderberg a discrètement fait savoir que le résultat des récentes élections législatives européennes avait été interprété comme une victoire. Après tout, le choix final était entre une alliance néolibérale/verte et le populisme de droite ; rien à voir avec les valeurs progressistes.

    Les Verts qui ont gagné en Europe – contrairement aux Verts américains – sont tous des « impérialistes humanitaires », pour citer le magnifique néologisme inventé par le physicien belge Jean Bricmont. Et ils prient tous sur l’autel du politiquement correct. Pour le Bilderberg, ce qui compte, c’est que le Parlement européen continue à être dirigé par une pseudo-gauche qui continue de défendre la destruction de l’État-nation.

    Tout comme Castries et son élève Macron.

    (...) Une source américaine a déclaré qu’une série d’études avait atteint le bureau du président Trump et provoqué la panique à Washington. Celles-ci ont montré que dans le cas de la fermeture du détroit d’Ormuz, quelle qu’en soit la raison, l’Iran avait le pouvoir de saccager le système financier mondial en faisant exploser le commerce mondial des produits dérivés.

    La Banque des règlements internationaux a déclaré l’an dernier que « l’encours notionnel pour les contrats sur dérivés » s’élevait à 542 000 milliards de dollars, bien que la valeur marchande brute des sous-jacents ait été estimée à 12 700 milliards de dollars. D’autres suggèrent qu’il est de 1,2 millions de milliards de dollars, ou plus.
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    Un navire de guerre de la marine iranienne est aperçu dans le détroit d’Ormuz le 30 avril, alors que Téhéran pourrait bloquer le détroit si les relations avec les États-Unis se détérioraient davantage. Photo : AFP / Atta Kenare

    Téhéran n’a pas exprimé ouvertement cette option nucléaire. Et pourtant, le général Qasem Soleimani, chef de la Force Qods du Corps des gardiens de la révolution iraniens et bête noire du Pentagone, l’évoque lors de discussions internes à l’Iran. Les informations ont été dûment transmises à la France, à la Grande-Bretagne et à l’Allemagne, membres de l’UE-3 de l’accord nucléaire iranien – ou Plan d’action global commun – provoquant également la panique.

    Les spécialistes des dérivés du pétrole savent bien que si le flux d’énergie dans le golfe était bloqué, le prix du pétrole pourrait atteindre 200 dollars le baril, voire beaucoup plus sur une longue période. L’effondrement du marché des dérivés créerait une dépression mondiale sans précédent. L’ancien secrétaire au Trésor de Trump, venant de la banque Goldmann Sachs, Steve Mnuchin, devrait le savoir.

    Et Trump lui-même semble avoir abandonné le jeu. Il a maintenant déclaré que l’Iran n’avait aucune valeur stratégique pour les États-Unis. Selon la source américaine : « Il veut vraiment un moyen de sortir du problème dans lequel ses conseillers Bolton et Pompeo l’ont embarqué. Washington a maintenant besoin d’une issue qui sauve la face. L’Iran ne demande pas de pourparlers, les États-Unis si ».

    C’est ce qui nous amène à la longue escale non prévue du Secrétaire d’État, Mike Pompeo, en Suisse, aux confins du Bilderberg, simplement parce qu’il est un « grand amateur de fromage et de chocolat », selon ses propres mots. (...)

  • En quatre articles, comment simplifier ta compréhension du monde (tldr : à la fin ça s’explique « en un tweet »).

    18 juin : les prix du baril de pétrole s’envolent, et c’est à cause de la BCE :
    Pétrole : la BCE fait décoller les prix du baril !
    https://www.capital.fr/entreprises-marches/le-petrole-beneficie-du-retour-de-lappetit-pour-le-risque-1342303

    Le pétrole relève la tête. Les cours du baril rebondissent nettement ce mardi, le prix du baril de WTI progressant de 4,28% à 54,10 dollars tandis que son homologue européen, le Brent de la mer du Nord, s’adjuge 2,77% à 62,62 dollars. L’or noir, comme la plupart des actifs jugés à risque (tels les actions), bénéficie de la perspective d’une possible baisse des taux de la BCE. Ce matin, le président de la banque centrale, Mario Draghi, a indiqué qu’il n’excluait aucune option pour soutenir une économie européenne vacillante. Cette annonce fait d’autant plus d’effet qu’elle intervient à la veille des conclusions de la réunion de la Fed.

    20 juin : ah non, en fait c’est à cause de l’accord de l’OPEP, de la baisse de stocks américains et de la détente commerciale entre la Chine et les États-Unis :
    Pétrole brent : L’Opep et ses partenaires ont fixé leur prochaine réunion, le prix du pétrole décolle
    https://www.tradingsat.com/petrole-brent-MP0000000BRN/actualites/petrole-brent-l-opep-et-ses-partenaires-ont-fixe-leur-prochaine-reunion-

    Le net rebond du jour est porté par plusieurs actualités concomitantes. Premièrement, les investisseurs ont appris mercredi après-midi que les pays membres de l’Opep et leurs partenaires parmi lesquels la Russie se sont accordés sur la date de leur prochaine réunion. Initialement prévue les 25 et 26 juin à Vienne, celle-ci a été décalée aux 1er et 2 juillet après plusieurs semaines de tractations, notamment entre la Russie, l’Arabie saoudite et l’Iran.

    L’indécision de Téhéran avait auparavant provoqué quelques remous sur les marchés pétroliers, les opérateurs craignant que l’Opep+ ne parvienne à se mettre d’accord sur une prolongation de leur accord de limitation de la production. Depuis fin 2016, en effet, l’Opep+ s’accorde tous les six mois pour renouveler cet accord afin de compenser la hausse continue de la production américaine et de peser à la hausse sur les cours. De nombreux observateurs considèrent cet accord comme le principal facteur de stabilisation du marché de l’or noir.

    Autre facteur haussier, la publication hebdomadaire des stocks US a de nouveau réservé une surprise, mercredi, avec une baisse plus forte que prévu des réserves commerciales de brut. Au cours de la semaine achevée vendredi 14 juin, celle-ci ont en effet diminué de 3,1 millions de barils pour s’établir à 482,4 millions, là où les analystes interrogés par Bloomberg tablaient sur une baisse plus modeste, de l’ordre de 1,2 million de barils.

    Dernier élément mais pas des moindres, les cours de l’or noir profitent également des derniers propos du président américain, qui a annoncé mardi avoir eu « une très bonne conversation téléphonique » avec son homologue chinois Xi Jinping. Donald Trump a par ailleurs confirmé qu’il s’entretiendrait longuement avec le dirigeant chinois, en marge du G20 qui se tiendra à Osaka les 28 et 29 juin prochain. De fait, la guerre commerciale fait peser des craintes sur l’économie mondiale et conduit les économistes à réviser à la baisse leurs perspectives de croissance mondiale, donc de demande de pétrole. Une détente commerciale et des espoirs de règlement du différend commercial est donc porteur d’espoirs, à la fois sur la bonne tenue de l’économie mondiale, et sur la demande en hydrocarbures, ce qui pèse à la hausse sur les prix.

    Le 20 juin toujours : en fait c’est à cause de la possible baisse des taux d’intérêt par la FED :
    L’or au plus haut depuis 2014, le pétrole s’envole !
    https://www.capital.fr/entreprises-marches/le-petrole-en-forte-hausse-1342480

    Or, pétrole... Ces deux matières premières phares sont à la fête. Les cours du baril ont bondi ce matin, soutenus par l’appétit pour le risque. Hier soir, la Fed (Réserve fédérale, banque centrale des Etats-Unis) a laissé grande ouverte la porte à une baisse des taux dès le mois prochain, ce qui est positif pour la croissance économique et les actifs risqués. L’or noir est également soutenu par le regain de tensions au Moyen-Orient et l’évolution des stocks. […]

    Par ailleurs, le prix de l’or flambe de près de 3%, à 1.380 dollars, soit un plus haut de 5 ans. Une dynamique attribuable, ici aussi, aux espoirs d’une baisse des taux de la Fed. En effet, l’or est un placement qui ne génère pas de revenu et bénéficie ainsi d’arbitrages favorables quand les taux d’intérêt réels - c’est-à-dire nets d’inflation - chutent...

    Le 20 au soir, c’est plus simple : c’est « en un tweet » :
    Iran : en un tweet, Donald Trump fait bondir le cours du pétrole
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/iran-en-un-tweet-donald-trump-fait-bondir-le-cours-du-petrole-20190620

    Alors que les tensions entre Washington et Téhéran ne cessent de s’accroître et inquiètent les marchés, un message menaçant du président américain a suffi pour que le cours du baril prenne plus de 6%.

  • Donald Trump annule au dernier moment des frappes militaires sur l’Iran
    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/06/21/trump-annule-au-dernier-moment-des-frappes-sur-l-iran_5479488_3210.html

    Au lendemain de l’attaque d’un drone américain, le président américain a approuvé une opération militaire avant de se raviser, selon le « New York Times ».

    Le président américain Donald Trump qui poursuit sa politique de « pression maximum » sur l’Iran. Il a approuvé une opération militaire devant cibler des installations iraniennes, vendredi, avant de se raviser et d’annuler les frappes au dernier moment, écrit le New York Times, vendredi 21 juin. Le quotidien cite des représentants de l’administration américaine ayant pris part ou étant informés des discussions.

    D’après le journal, le président américain a validé une offensive contre un éventail de cibles iraniennes, telles que des radars ou des batteries de missiles, puis s’est ravisé alors que les avions de chasse avaient décollé et les navires de guerre s’étaient mis en position.

    Aucun missile n’a été tiré, avant que l’opération ne soit annulée, à 19 h 30, heure de Washington (1 h 30 du matin, à Paris), a déclaré un membre de l’administration, cité par le journal. La Maison Blanche et le Pentagone ont refusé de commenter l’information.
    Le New York Times ajoute ne pas savoir à l’heure actuelle si une offensive américaine contre l’Iran est toujours programmée, indiquant ne pas avoir établi si Donald Trump avait changé d’avis ou si le revirement était dû à des interrogations stratégiques ou logistiques.

    Les craintes de confrontation directe entre Washington et Téhéran ont été ravivées jeudi après que l’Iran a abattu un drone RQ-4 Global Hawk américain se trouvant selon lui dans son espace aérien, près du détroit d’Ormuz, ce que contestent les Etats-Unis.
    L’Iran affirme disposer de preuves « irréfutables » montrant que le drone américain a abattu jeudi était entré dans son espace aérien. « Des débris du drone ont même été retrouvés dans les eaux territoriales de l’Iran », a maintenu le ministre des affaires étrangères adjoint Abbas Araghchi lors d’une discussion avec l’ambassadeur de Suisse à Téhéran, qui représente les intérêts américains.

  • Voici les nouvelles images publiées par le Pentagone devant accuser l’Iran de l’attaque en mer d’Oman (Sputnik)
    https://www.crashdebug.fr/international/16149-voici-les-nouvelles-images-publiees-par-le-pentagone-devant-accuser

    Les États-Unis ont publié ce lundi 17 juin de nouvelles photos présentées comme incriminant l’Iran dans les attaques contre deux pétroliers en mer d’Oman. Suite à la publication de ce nouveau lot de documents, le Pentagone a annoncé le déploiement de 1.000 militaires supplémentaires au Moyen-Orient.

    La tension continue de monter entre Washington et Téhéran après l’incident en mer d’Oman. Le Pentagone a dévoilé de nouvelles images qui montrent, selon l’armée américaine, les conséquences des explosions sur le pétrolier Kokuka Courageous.

    Les 11 nouvelles photos rendues publiques par le Pentagone montreraient notamment un objet métallique circulaire de près de huit centimètres de diamètre attaché à la coque du pétrolier japonais. Cet objet est présenté comme l’un des aimants ayant permis de poser la (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • « Le compte à rebours a commencé. » L’Iran prévient qu’il dépassera les limites de ses stocks d’uranium dans 10 jours (Zerohedge)
    https://www.crashdebug.fr/international/16145-le-compte-a-rebours-a-commence-l-iran-previent-qu-il-depassera-les-

    L’Iran n’a certainement pas l’intention de reculer face aux accusations de Washington concernant le rôle du pays dans les attentats à la bombe de la semaine dernière, et par conséquent, la possibilité d’un conflit militaire sur le terrain en République islamique ne peut pas encore être écartée. Rendant une situation déjà tendue infiniment plus précaire, l’Iran a rappelé lundi au monde qu’il se prépare à violer les termes de l’accord avec l’Iran pendant les dix prochains jours.

    Téhéran a toujours soutenu que son programme nucléaire est à des fins pacifiques, mais des néoconservateurs américains comme John Bolton ont averti qu’il ne s’agissait que d’une ruse et que l’Iran pouvait viser ses alliés américains comme Israël avec un missile.

    Le gouvernement iranien (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Attaques de pétroliers en mer d’Oman : une dangereuse escalade
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/06/15/attaques-de-petroliers-en-mer-d-oman-une-dangereuse-escalade_5476709_3232.ht

    Editorial. Le sabotage de tankers, jeudi 13 juin, accroît la tension autour du golfe Persique. La diplomatie doit continuer à œuvrer pour que les Etats-Unis et l’Iran évitent une rupture définitive et dramatique.

    Editorial du « Monde ». L’attaque de deux pétroliers en mer d’Oman, jeudi 13 juin, un mois après le sabotage de quatre navires dans les mêmes eaux, représente une escalade dangereuse. Elle accroît la tension autour du golfe Persique, par où transite un cinquième de la production mondiale de pétrole. Elle annonce un déploiement militaire accru des Etats-Unis dans la région, sur fond de bras de fer entre l’Iran d’un côté et Washington et ses alliés régionaux, l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et Israël, de l’autre.

    Ces attaques n’ont pas fait de victimes et n’ont pas bouleversé le marché pétrolier, mais elles rappellent les prémices de la guerre des tankers, qui a fait rage durant le conflit entre l’Iran et l’Irak (1980-1988). Washington s’est empressé d’attribuer l’opération de jeudi à Téhéran, en publiant une vidéo censée montrer l’équipage d’une vedette iranienne en train de retirer une mine ventouse non explosée du flanc de l’un des pétroliers attaqués. L’ONU a prudemment réclamé une enquête indépendante.

    Si la nature et l’origine de ces nouvelles attaques demeurent sujettes à caution, la logique d’escalade à l’œuvre est claire. L’Iran fait face, de fait, à une guerre économique de la part des Etats-Unis, qui soumettent le pays à des sanctions d’une violence inédite, depuis leur retrait de l’accord international sur le nucléaire iranien, en mai 2018. Cette stratégie de « pression maximale » est censée forcer Téhéran à réduire drastiquement ses ambitions nucléaires, son programme balistique et son jeu d’influence régional. En réalité, elle vise à provoquer l’écroulement du régime, qui lutte pour sa survie.

    Pour les dirigeants iraniens, l’urgence consiste à montrer à Washington que cette pression, ainsi qu’une éventuelle intervention militaire, a un coût. C’est pourquoi les points de friction se multiplient dans la région. C’est aussi pour cela que l’Iran a annoncé qu’il commencerait à rompre ses engagements nucléaires le 7 juillet, si les autres signataires de l’accord (Chine, Russie, France, Royaume-Uni et Allemagne) ne trouvaient pas le moyen d’atténuer le poids des sanctions américaines.

    Téhéran sera alors assuré de subir de nouveau des sanctions des Nations unies et de ses partenaires économiques européens. Mais il estime n’avoir pas d’autre choix. En retour, les Etats-Unis paraissent aussi se contraindre à l’escalade. Le Pentagone envisage un déploiement accru de ses forces dans la région. A la suite des précédentes attaques en mer d’Oman, à la mi-mai, Washington avait déjà étudié un tel envoi, selon la presse américaine. Une décision restée en débat, puisqu’elle contredit la volonté exprimée par Donald Trump de se retirer autant que possible du Proche-Orient.

    L’ironie est que cet épisode intervient alors que des efforts diplomatiques multiples sont menés pour prévenir de telles dérives. L’attaque de jeudi a eu lieu durant une visite à Téhéran du premier ministre japonais, Shinzo Abe, intermédiaire désigné par M. Trump. Quelques jours plus tôt, le ministre des affaires étrangères allemand, Heiko Maas, était venu encourager Téhéran à la patience. L’Europe et la France n’ont cessé de porter ce message à l’Iran depuis deux ans. Si un dialogue entre Téhéran et Washington n’est pas à l’ordre du jour, il faut poursuivre ces contacts. C’est la seule voie possible pour préserver ce qui peut l’être de l’accord nucléaire de juillet 2015, gage d’un désarmement durable de la région.

  • Le propriétaire d’un pétrolier japonais nie que son navire ait été touché par une mine, car les membres d’équipage ont vu des « objets volants » avant l’attaque (Zerohedge)
    https://www.crashdebug.fr/international/16134-le-proprietaire-d-un-petrolier-japonais-nie-que-son-navire-ait-ete-

    Pendant un moment jeudi, il est apparu que la marine américaine avait produit le "pistolet fumant" auquel le secrétaire d’État Mike Pompeo avait fait allusion dans sa déclaration du début de la journée : Des images du CENTCOM qui, selon la marine, montrent l’IRGC iranien "pris sur le fait" en train d’essayer de retirer une mine non explosée du Kokuka Courageous, l’un des deux pétroliers endommagés lors des attaques de jeudi, d’après la marine.

    Le CENTCOM a déclaré que la vidéo qu’il a diffusée montrait l’IRGC en train d’enlever une mine marine limpet non explosée du côté d’un des pétroliers, suggérant que Téhéran avait cherché à enlever des preuves de la scène.

    Just in : Pentagon video of what it says is an Iranian boat removing an unexploded mine from (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Deux pétroliers attaqués dans le Golfe, Washington accuse Téhéran
    https://www.mediapart.fr/journal/international/140619/deux-petroliers-attaques-dans-le-golfe-washington-accuse-teheran

    Un tanker norvégien est en feu et l’autre, japonais, a été visé au moment même où le premier ministre nippon était en #Iran pour essayer de désamorcer la tension entre Washington et Téhéran. Le secrétaire d’État Mike Pompeo accuse l’Iran. Le marché pétrolier a aussitôt réagi.

    #PROCHE-ORIENT

  • Les États-Unis accusent l’Iran d’attaques de pétroliers, disant que Téhéran « essaye d’interrompre le flux de pétrole » (Zerohedge)
    https://www.crashdebug.fr/international/16127-les-etats-unis-accusent-l-iran-d-attaques-de-petroliers-disant-que-

    Mise à jour 6 : Et le voilà....

    L’administration Trump a officiellement conclu que l’Iran est responsable des attaques de jeudi, a déclaré jeudi le secrétaire d’État Mike Pompeo lors d’une conférence de presse.

    Le secrétaire d’État et faucon iranien de longue date a déclaré que les attaques "non provoquées" de l’Iran s’inscrivent dans le cadre d’une campagne visant à exacerber les tensions dans la région et à perturber le flux du commerce international du pétrole (si nous ne pouvons vendre notre pétrole, personne ne peut, semble-t-il, en être la logique). Il a également déclaré que Téhéran avait rejeté l’action diplomatique du Premier ministre Shinzo Abe.

    Voici une version abrégée de la déclaration de Pompeo, gracieuseté de CNN :

    "Le gouvernement des (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • UK maritime group warns of incident in the Gulf of Oman | News | Al Jazeera
    https://www.aljazeera.com/news/2019/06/uk-maritime-group-warns-incident-gulf-oman-190613054602630.html

    A United Kingdom maritime safety group is warning that an unspecified incident has taken place in the Gulf of Oman and is urging “extreme caution” amid heightened United States-Iran tensions.

    The UK’s Maritime Trade Operations, which is run by the British navy, put out the alert early on Thursday. It did not elaborate further, but said it was investigating the incident.

    Joshua Frey, a spokesman for the US Navy’s Bahrain-based 5th Fleet, said his command was “aware” of a reported incident in the area.

    “We are working on getting details,” Frey told The Associated Press.

    Iranian media reported, without offering any evidence, that there had been an explosion in the area targeting oil tankers.

  • #Iran : le meurtre de sa femme par l’ancien maire réformateur de Téhéran secoue tout le pays
    https://www.mediapart.fr/journal/international/070619/iran-le-meurtre-de-sa-femme-par-l-ancien-maire-reformateur-de-teheran-seco

    Mohammad-Ali Najafi, l’ancien maire de Téhéran et figure de proue des réformateurs, a tué de cinq balles de revolver Mitra, sa jeune femme. Certains estiment qu’il a été victime d’un coup monté. Les ultras se saisissent de ce drame pour porter un coup fatal à leurs adversaires.

    #International

  • Le meurtre d’une « alouette » par l’ancien maire de Téhéran secoue tout l’Iran
    https://www.mediapart.fr/journal/international/070619/le-meurtre-d-une-alouette-par-l-ancien-maire-de-teheran-secoue-tout-l-iran

    Mohammad-Ali Najafi, l’ancien maire de Téhéran et figure de proue des réformateurs, a tué de cinq balles de revolver Mitra, sa jeune femme. Certains estiment qu’il a été victime d’un coup monté. Les ultras se saisissent de ce drame pour porter un coup fatal à leurs adversaires.

    #International #Iran

  • Guerre à l’Iran : la solitude de Trump
    https://www.mediapart.fr/journal/international/290519/guerre-l-iran-la-solitude-de-trump

    Pour briser le régime iranien dont les ambitions régionales sont jugées dangereuses par ses voisins, alliés des États-Unis, le président américain menace Téhéran de sanctions renforcées et d’une intervention militaire. Mais nombre de pays, estimant cette attitude irresponsable, ou redoutant comme Israël un embrasement du Proche-Orient, l’appellent à la retenue.

    #Etats-Unis #Iran,_Netanyahou,_guerre,_Rohani,_trump

  • Après le pétrole, Trump place sous embargo les mines et métaux de l’Iran - Mines - métaux
    https://www.usinenouvelle.com/editorial/apres-le-petrole-trump-place-sous-embargo-les-mines-et-metaux-de-l-ir

    Le président américain Donald Trump a décidé, le 8 mai, d’imposer des sanctions sur le secteur mines et métaux en Iran, pays dont il tente déjà de réduire les exportations pétrolières à zéro.

    Les secteurs du fer, de l’acier, de l’aluminium et du cuivre représentent 10% de la valeur des exportations du pays, et sa principale source de revenus hors pétrole. Dans un ultime effort pour faire plier Téhéran, Washington étend les sanctions à tout partenaire commercial qui établirait une transaction en dollars pour des métaux iraniens après le 8 mai.

  • Trump ne veut pas d’une guerre avec l’#Iran
    https://www.courrierinternational.com/article/etats-unis-trump-ne-veut-pas-dune-guerre-avec-liran

    Le secrétaire d’État Mike Pompeo – l’un des partisans de la fermeté face à Téhéran – aurait pris contact avec le sultanat d’Oman, qui “a joué longtemps un rôle d’intermédiaire entre l’Occident et l’Iran”, et demandé l’aide de responsables européens pour faire baisser la température.

  • Deux autres navires de guerre américains se rendent dans le golfe Persique alors que les tensions avec l’Iran s’exacerbent (Zerohedge)
    https://www.crashdebug.fr/international/16035-deux-autres-navires-de-guerre-americains-se-rendent-dans-le-golfe-p

    Lors de la dernière provocation contre Téhéran par les États-Unis, deux destroyers de la Marine sont entrés dans le Golfe Persique alors que l’armée américaine continue d’accroître ses moyens dans la région pour empêcher toute "agression" prévue, rapporte l’USNI.

    L’USS McFaul et l’USS Gonzalez ont traversé le détroit d’Ormuz jeudi après-midi sans être défiés par les forces des IRGC dans la région. Ils rejoignent l’USS Abraham Lincoln, stationné dans le golfe d’Oman, ainsi qu’une force de frappe comprenant plusieurs bombardiers B-52, alors que les États-Unis continuent à renforcer leur présence militaire dans la région. Un autre porte-avions, l’USS Kearsarge, est ancré au large des côtes des EAU.

    Selon l’USNI, si les États-Unis voulaient attaquer (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • MEE : le vrai message de Pompeo à Téhéran envoyé via Bagdad : Trump veut un accord de son nom – Site de la chaîne AlManar-Liban
    http://french.almanar.com.lb/1365905

    Selon le site d’informations américain Middle East Eye, le secrétaire d’état américain Mike Pompeo a envoyé un message de Donald Trump à Téhéran, via le médiateur irakien, qui n’a rien à voir avec le climat médiatique qui fait état de menaces de guerre américaine contre l’Iran.

    Ceci a eu lieu lors de sa dernière visite à Bagdad, le 8 mai dernier, lorsqu’il a rencontré le Premier ministre Adel Abdel Mahdi.

    Selon MEE, citant des sources irakiennes informées, ce dernier a été surpris par la proposition de Pompeo. Alors qu’il s’attendait à ce qu’il se lance dans une diatribe contre l’Iran, d’autant que les informations rendaient compte de l’envoi d’un porte-avion et des bombardiers américains dans la région, il a écouté de sa part un discours diamétralement différent.

    Ainsi, Pompeo a demandé à Abdel Mahdi de transmettre un message à Téhéran lui faisant part que les USA ne sont pas enthousiasmes pour faire la guerre et que tout ce que Donald Trump voudrait faire est de conclure un nouvel accord nucléaire qui serait baptisé de son nom.

    La réponse d’Abdel Mahdi a été de lui dire que les Iraniens sont très fiers d’eux-mêmes pour qu’ils puissent admettre une nouvelle discussion sur l’accord nucléaire, mais qu’ils pourraient peut-être accepter de lui rajouter un protocole.
    Selon les sources du MEE, la proposition semble avoir plu à Pompeo qui l’a qualifiée de « bonne idée ».

    Le ton de Pompeo a été positif et il n’a pas menacé l’Iran. Le lendemain, Abdel Mahdi a envoyé un émissaire à Téhéran pour informer les responsables iraniens de la proposition », ont conclu ces sources.

    Pas si improbable que cela en a l’air à mon avis... #iran

  • John Bolton, l’homme qui pousse Trump à faire la guerre à l’Iran
    https://www.mediapart.fr/journal/international/150519/john-bolton-l-homme-qui-pousse-trump-faire-la-guerre-l-iran

    Le conseiller à la sécurité nationale fut un partisan enthousiaste de la guerre en Irak. Il réclame depuis longtemps des frappes contre l’arsenal nucléaire iranien. Le voilà qui cherche désormais à convaincre Trump de l’opportunité d’une guerre avec Téhéran.

    #Analyse #Etats-Unis,_Donald_Trump,_John_Bolton,_Iran