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  • Mort d’Angelo Garand : « C’est pas une bavure policière, c’est rien d’autre qu’une exécution »
    https://rebellyon.info/Mort-d-Angelo-Garand-C-est-pas-une-bavure-17681

    Dans une vidéo publiée le 1er avril 2017, la sœur de l’homme tué par les gendarmes dans un petit village du Loir-et-Cher remet en cause la version servie par le procureur de Blois. Angelo Garand était recherché parce qu’il n’avait pas réintégré la prison de Vivonne après avoir bénéficié d’une permission de sortie.

    #A_lire_sur_d'autres_sites

    / #Répression_-_prisons, Une

  • Mort d’Angelo Garand : « C’est pas une bavure policière, c’est rien d’autre qu’une exécution »
    https://larotative.info/mort-d-angelo-garand-c-est-pas-une-2159.html

    https://larotative.info/home/chroot_ml/ml-tours/ml-tours/public_html/local/cache-vignettes/L700xH549/arton2159-0f4b8-9ddf0.jpg?1491255638

    Dans une vidéo publiée le 1er avril 2017, la sœur de l’homme tué par les gendarmes dans un petit village du Loir-et-Cher remet en cause la version servie par le procureur de Blois. Angelo Garand était recherché parce qu’il n’avait pas réintégré la prison de Vivonne après avoir bénéficié d’une permission de sortie.

    « Ce n’est pas un évadé. J’appelle pas ça un évadé, j’appelle ça un déserteur. Un évadé pour moi c’est quelqu’un qui déploie des moyens... On lui a donné la permission [de sortir] ! Vous dites que c’est un individu dangereux... C’est vous qui lui avez donné la permission ! Si il était si dangereux, pourquoi vous l’avez laissé sortir ? Pourquoi tout ça ? »

    « Ils ont interpellé mes parents, mon frère, ma belle-sœur, jetés comme des chiens... Mes parents handicapés, malades, sous-oxygène, ma mère greffée, mon père... Tout. Horrible. »

    Vos hommes, c’est des commandos. Déjà, y a un problème. On envoie pas des commandos chez n’importe qui. Pas pour des individus comme lui, non, je suis désolée. (...) Pour des gens qui tuent, pour des gens qui font du mal à d’autres gens, mais il a jamais fait de mal à personne.

    « Pourquoi vous vous avez eu votre reconstitution et nous on l’a pas eue ? Pourquoi on a pas de nouvelles nous ? On apprend quoi ? Qu’il a été touché de trois balles, apparemment. On apprend ça où ? Par les pompes funèbres. C’est aux pompes funèbres de nous donner... ? »

    #violences_policières #gign cc @rezo

  • Répression du mouvement social et mouvements collectifs dans les prisons | Papillon
    http://lenumerozero.lautre.net/article3201.html

    Répression du mouvement social : interview de manifestants contre la loi travail à Saint-Etienne, arrêtés en mai 2016 et passés en procès le 13 juillet.

    Mutinerie de Poitiers Vivonne : lundi, une partie de cette prison récente est partie en fumée ! On ne le dira jamais assez : c’est beau une prison qui brûle.

    Brèves sur d’autres mouvements collectifs dans les prisons d’Aiton (savoie) et Angers (Maine-et-Loire) ; et à Osny (région parisienne) où 80 prisonniers ont refusé de remonter de promenade en réaction à a mort d’Adama Traore, tué par des policiers… Durée : 1h01. Source : Radio Dio

    https://emissionsradio.rebellyon.info/papillon/Papillon2016-09-15.mp3

  • Un #incendie a été allumé lundi 12 septembre vers 17 heures à la #prison de Vivonne, près de Poitiers (Vienne) par des #détenus. Ces derniers ont réussi à dérober un trousseau de clés à un surveillant pour ouvrir leurs cellules, a fait savoir à l’Agence France-Presse Emmanuel Giraud, délégué régional du syndical FO pénitentiaire pour la Nouvelle-Aquitaine.
    D’après une source pénitentiaire, citée par l’AFP, une soixantaine de détenus sont impliqués dans l’#émeute et ont refusé de regagner leurs cellules. Ils ont alors décidé de mettre « le feu à toutes les coursives d’un étage », a précisé M. Giraud. Toutefois aucun surveillant n’a été blessé et tous ont pu quitter le bâtiment, qui abrite 180 prisonniers.
    Des unités d’intervention spécialisées #ERIS (équipes régionales d’intervention et de sécurité) se sont rendues sur place pour rétablir l’ordre. Des gendarmes sont également arrivés sur les lieux.

    LeMonde.fr

  • Christine Ribailly, loi sur la sécurité dans les transports et Georges Courtois
    http://lenumerozero.lautre.net/article3018.html

    Compte-rendu du procès de Christine Ribailly contre des surveillants de Poitiers-Vivonne. Suite à un mouvement collectif des détenues du centre pénitentiaire de Vivonne en décembre 2014, Christine Ribailly a été l’objet de répression et provocations typiques de la matonnerie, suivies de plaintes de divers membres de l’Administration pénitentiaire pour “violences”, “outrages”, “menaces”. - Adoption le 9 mars 2016 de la loi sur la sécurité dans les transports, ou plus précisément « loi relative à la prévention et à la lutte contre les incivilités, contre les atteintes à la sécurité publique et contre les actes terroristes dans les transports collectifs de voyageurs »... - Présentation du livre de Georges Courtois : "Aux marches du palais. Mémoires d’un preneur d’otages." Durée : 1h01. Source : Radio (...)

    https://emissionsradio.rebellyon.info/papillon/Papillon2016-03-17.mp3

  • Sons en luttes---« Pour certains surveillants, c’est écrit « treizième mois » sur le front de certains prisonniers »
    http://sonsenluttes.net/?Pour-certains-surveillants-c-est-ecrit-treizieme-mois-sur-le-front-de

    Entré en prison pour 22 mois à l’origine, il est incarcéré depuis 9 ans, sa peine a été rallongée suite à des conflits avec des surveillants… De Poitiers-Vivonne à Bordeaux-Gradignan, en passant par Clairvaux ou Bourges, elle nous raconte par quelle mécanique on tente de casser les prisonnier-e-s grandes (...)

  • « Ça va, ils m’ont pas eue ! » : interview de Jessica, prisonnière rebelle
    http://sonsenluttes.net/?Ca-va-ils-m-ont-pas-eue-Interview-de-Jessica-prisonniere-rebelle

    Libérée depuis peu, Jessica a été incarcérée pendant trois ans, entre autres à Poitiers-Vivonne et à Rennes. Dans cette interview, elle raconte les méthodes de l’administration pénitentiaire pour réprimer les prisonnières rebelles. Tout est permis pour tenter de briser celles qui refusent certaines règles en détention. Puis les isoler, les stigmatiser, les faire passer pour folles ou dangereuses. Quand elles prennent la parole, elles démontent les mensonges qu’on entend sur elles dans les médias et les procès. Elles montrent que les conflits en détention ont un contexte, que leurs histoires ne sont pas isolées, et que l’administration pénitentiaire déteste les solidarités, qui existent envers et contre tout. Durée : 30 min. Source : Radio Dio via Sons en (...)

    https://emissionsradio.rebellyon.info/papillon/autres/itwJessica-Papillon2015-12-07.mp3

    • Toutes pour une ! une pour toutes !
      C’est sous ce titre que paraît dans le N°43 du journal l’Envolée des extraits de témoignages de prisonnières et ex-prisonnières de la Maison d’Arrêt des Femmes de Poitiers-Vivonne.
      [...] Christine repassera donc en procès mardi 15 mars à 12 heures, toujours au tribunal de Poitiers. C’est pour apporter leur soutien à Christine lors de ce procès que trois de ses ex-codétenues ont décidé de rédiger des témoignages qui replacent les faits qui lui sont reprochés dans leur contexte. Elles dénoncent toutes le mépris et la surdité de l’AP face aux demandes des prisonnières, rapidement suivies de menaces et de sanctions pour tenter de museler ces paroles dérangeantes, mais surtout pour tenter de briser la solidarité entre elles. Mais la solidarité a la peau dure… Voici les trois témoignages dans leur intégralité. Les prénoms des prisonnières ont été changés. [...]
      http://lenvolee.net/toutes-pour-une-une-pour-toutes

  • L’ENVOLÉE N°42
    3 FÉVRIER 2016 LENVOLEE (journal anti-carcéral)
    Le dernier numéro est paru en octobre 2015… on vous l’annonce un peu en retard !

    JAP A DIT : « PERSONNE NE SORT ! », LES PRISONNIERS RÉPONDENT / À VENDIN-LE-VIEIL, PRISE D’OTAGE = PRISE DE PAROLE / À CHATEAUROUX : CONDAMNÉ POUR UNE PERM’ SANS RETOUR / CHRISTINE RACONTE SES BATAILLES CONTRE L’AP…

    SOMMAIRE :
    - Enfin pisser dans l’herbe
    Christine, un mouton noir de la pénitentiaire
    - Prise de parole à Vendin-le-Vieil
    Fabrice Boromée exige son rapprochement familial
    - JAP a dit : « Aucun retard ne sera toléré »
    Compte-rendu du procès de Nabil
    - Poudre aux yeux
    Lettres de prisonnières de Fleury
    - JAP a dit : « Fais moi de la peine »
    On sait quand on rentre mais on ne sait pas quand on sort
    – JAP a dit : « Personne ne sort »
    Pétitions anti-JAP de partout en France
    – JAP a dit : « Même dehors, c’est pas fini »
    Rassemblements de solidarité à Valence
    - Revoir les barreaux de cette centrale n’est pas une grande joie
    Lettre de Philippe, enfin à Lannemezan
    - Complicités chez les sorcières ?
    Lettres de la maison d’arrêt des femmes de Poitiers-Vivonne
    - Coups de coeur, coups de poing
    Infos et publications à ne pas rater

    Où trouver l’Envolée ? la liste des bonnes crèmeries ici
    Pour vous abonner, écrivez-nous ! Joindre un chèque de 15 euros (ou plus). Gratuit pour les prisonniers et prisonnières.
    L’Envolée, 43 rue de Stalingrad, 93 100 Montreuil
    mail
    http://lenvolee.net/lenvolee-n42

  • POITIERS Prisons : le ras-le-bol des psychiatres – Faits divers, justice – Actualité – Deux-Sèvres – Nouvelle République
    http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2012/08/10/POITIERS-Prisons-le-ras-le-bol-des-psychiatres

    POITIERS Prisons : le ras-le-bol des psychiatres

    En plein mois d’août, ce médecin psychiatre de Charente-Maritime a tenu à faire le déplacement jusqu’au tribunal de Poitiers pour s’y porter partie civile contre un prévenu, désormais détenu à Vivonne, et… ne rien réclamer. Non, s’il est là, explique le praticien, c’est pour « alerter la justice sur la difficulté d’exercer en milieu carcéral. »
    Le 22 juin 2011, le médecin rend visite à Youssef, alors incarcéré à Saintes pour son implication dans une série de vols à main armée.
    Youssef est un malade mental reconnu, qui a besoin de soins. Mais si l’entretien commence bien, le détenu brusquement pète les plombs, injurie le médecin, le menace de mort et finit par lui cracher dessus.
    Le psychiatre explique que ce genre de scène est de plus en plus fréquent dans des prisons surpeuplées où se trouvent des gens qui auraient bien mieux leur place en hôpital psychiatrique. Les injures, les coups parfois sont le lot des médecins et des infirmiers qui interviennent en prison.

    #prison #psychiatrie