• « Plutôt Hitler que le Front Populaire, illustration :
    Ce que prouve l’invasion du Capitole, c’est qu’on a détourné l’attention des vrais problèmes en occultant le danger de l’extrême droite en accusant « l’ultra gauche » de tous les maux. »
    Devinez ce que fait #LREM ?

    Au lieu de dénoncer l’extrême droite, LREM attaque Mélenchon qui la dénonce.
    Voilà où on en est...
    #Capitol #Melenchon #complaisance #extrême-droite
    https://linsoumission.fr/2021/01/07/attaque-du-capitole-comment-les-macronistes-protegent-lextreme-droite

    • Sinon faudrait faire le tour des trous de balle français qui importent le trumpisme et soutiennent les néo-nazis qui entrent dans le Capitole parce que le résultat des élections ne leur plaît pas.

      André Bercoff :
      https://twitter.com/andrebercoff/status/1346908997270573063

      Ce qui se passe aujourd’hui à #WashingtonDC , qu’on s’en réjouisse ou qu’on le déplore, c’est le début d’un printemps américain. Il y eut une fraude massive, il y a un peuple qui ne l’accepte pas. La lobotomie n’a pas complètement réussie. Amen.

      Thierry Mariani ne veut pas qu’on caricature les gentils américains QAnon, avec un t-shirt Auschwitz et le drapeau confédéré :
      https://twitter.com/ThierryMARIANI/status/1347065874361053185

      Ce matin nos médias,nous répètent que des miliciens d’extrême droite suréquipés ont pris d’assaut le #Capitole
      TOUT EN DÉSAVOUANT CELA,ai-je le droit de dire qu’ils ressemblent plus à des américains désespérés et perdus qu’à de dangereux miliciens ?
      Stop à la caricature !

      (Ce matin il a un autre angle à la con, mais c’est même pas la peine.)

    • Il y a aussi E.Z le clône batracien de Trump

      « ceux qui ont déconstruit, et finalement désagrégé l’Amérique, ce n’est pas Trump, ce sont les mouvements des années 60 d’extrême-gauche, qui naissent dans les campus américains contre la guerre du Vietnam ». « En vérité, cette classe populaire américaine [celle qui a voté Trump, NDLR] attendait son champion, aucun n’osait lever l’étendard et affronter ces mouvements de gauche qui tenaient les médias, la finance, les GAFA après. Et Trump s’est levé, et il s’est battu »

    • Gilets jaunes et Capitole : une déraisonnable exploitation politique
      https://www.mediapart.fr/journal/france/070121/gilets-jaunes-et-capitole-une-deraisonnable-exploitation-politique

      Emmanuel Macron a surgi sur les réseaux sociaux en plein milieu de la nuit. Dans une courte vidéo solennellement enregistrée derrière un pupitre de l’Élysée, le président de la République a condamné l’intrusion violente des manifestants pro-Donald Trump dans l’enceinte du Congrès américain, mercredi 6 janvier à Washington (États-Unis). « Nous ne céderons rien à la violence de quelques-uns qui veulent remettre en cause » la démocratie, a-t-il déclaré, ajoutant : « C’est notre choix, depuis plusieurs siècles, de mettre la dignité humaine, la paix, le respect de l’autre, la reconnaissance de la liberté au-dessus de tout, qui est aujourd’hui menacé dans nos démocraties. »

      Sitôt les premières images du Capitole diffusées, la quasi-totalité des élus La République en marche (LREM) y est allée de son propre commentaire sur les événements, en utilisant un prisme politique très franco-français. « #Trump n’invente rien. @JLMelenchon et @Francois_Ruffin ont en leur temps tenté le coup de force institutionnel #FranceUnie #Macron2022 », a par exemple tweeté le député de la majorité Bruno Questel, avant d’interpeller directement le chef de file de La France insoumise (LFI) : « En France, le danger est connu ; c’est vous, prêt à tout, même au pire… » Plusieurs militants marcheurs lui ont emboîté le pas.

      Les partisans de Trump forcent les barrages policiers devant le Capitole, le 6 janvier. © Roberto Schmidt/AFP Les partisans de Trump forcent les barrages policiers devant le Capitole, le 6 janvier. © Roberto Schmidt/AFP

      C’est notamment le cas d’Ambroise Méjean, délégué général des Jeunes avec Macron, qui a écrit à l’attention de Jean-Luc Mélenchon : « Le danger pour la démocratie c’est tous ceux qui encouragent les séditieux et la violence. Qu’ils se nomment gilets jaunes, qu’ils soient supporters de Trump, d’extrême droite ou anarchistes. Vous les nourrissez et vous devriez avoir honte. » Dans les rangs de LREM, l’analogie avec le mouvement citoyen qui a bousculé la France à l’hiver 2018 a aussi été reprise par la députée Aurore Bergé, présidente déléguée du groupe majoritaire à l’Assemblée nationale qui a retweeté le message suivant : « Factieux trumpistes aujourd’hui / gilets jaunes hier. »

      À l’époque déjà, Emmanuel Macron s’était élevé contre ce qu’il qualifiait de « démocratie de l’émeute ». « Il faut maintenant dire que lorsqu’on va dans des manifestations violentes, on est complice du pire », avait-il déclaré en février 2019, en saluant « le travail remarquable » des forces de l’ordre mobilisées durant les « samedis de violence ». « Les #GiletsJaunes seraient arrivés au même résultat à l’Élysée ou à l’@AssembleeNat sans l’action de la #Police. Les extrémistes qui les ont encouragés espéraient aussi obtenir par la rue ce que les urnes leur refusent. D’où la nécessité d’endiguer une insurrection. #Capitol », a d’ailleurs réagi le syndicat policier Synergie-Officiers.

      Confronté à un mouvement hors cadre qui ne lui offrait aucune prise, le pouvoir avait très tôt tenté de le délégitimer. Le ministre de l’intérieur de l’époque, Christophe Castaner, avait ainsi réduit les manifestants parisiens du 24 novembre 2018 à des « séditieux d’ultradroite », tandis que son successeur à Beauvau, Gérald Darmanin, qui était alors ministre de l’action et des comptes publics, avait parlé de « peste brune ». À l’occasion de ses vœux pour l’année 2019, le président de la République avait quant à lui fustigé les « porte-voix d’une foule haineuse » qui s’en prennent à certaines personnes au prétexte de « parler au nom du peuple ».

      Cette analogie entre les gilets jaunes et les événements du Capitole s’inscrit dans une stratégie politique mise en place par les macronistes depuis le début du quinquennat, autour d’une ligne de partage trop simpliste pour être pertinente – « progressistes » contre « nationalistes » ou « populistes ». Profitant de l’affaiblissement des partis d’opposition et se présentant comme le seul rempart face au « chaos », Emmanuel Macron a placé l’extrême droite au centre du jeu, au risque de l’installer comme unique alternative. C’est dans cette même logique que certains élus du Rassemblement national (RN) ont eux aussi cherché des passerelles entre les États-Unis et la France.

      « Compliqué effectivement pour la France des #GiletsJaunes de donner des leçons de démocratie aux États-Unis. Les démocraties occidentales sont malades des élites mondialisées qui ont trahi les peuples. En France comme aux États-Unis », a ainsi tweeté l’eurodéputé du RN Jérôme Rivière. « Les grandes leçons de Macron, président de la répression contre les manifestations des Gilets Jaunes et sous lequel les libertés ne cessent de reculer. Les peuples n’en peuvent plus de ces élites moralisatrices et de leur Système qui les piétinent depuis de longues années… », a également commenté son collègue de banc au Parlement européen, Jean-Lin Lacapelle.

      À quel point cette analogie avec le mouvement français tient-elle ? Et de quoi parle-t-on exactement ? Des gilets jaunes sous leur forme organisée, dynamique, ou d’un individu gilet jaune archétypal, qui n’existe pas, une sorte de parfait « Jojo le gilet jaune », pour reprendre l’expression d’Emmanuel Macron ? Quoi qu’il en soit, les caractéristiques des mouvements américains et français ont fort peu en commun. La foule qui a pris d’assaut le Capitole en passant par ses fenêtres est un agglomérat d’Américains patiemment fanatisés par Donald Trump, arborant sur leurs casquettes rouges les lettres « MAGA », du fameux slogan « Make America great again », celui de sa campagne en 2016.

      Tatouages nazis sur le corps, drapeaux confédérés à la main, l’affiliation de ces manifestants à l’extrême droite ainsi qu’à diverses idéologies racistes est patente, de même que leur ultra-conspirationnisme, symbolisé par les nombreuses références au mouvement des QAnon. Il s’agit d’un mouvement pourvu d’un leader, qu’une partie de la classe politique américaine soutenait jusqu’à récemment, disposant d’argent et de relais médiatiques. S’ils ont envahi le Capitole, sous les yeux médusés du monde, c’est pour répondre à la suggestion d’un milliardaire devenu président des États-Unis, qui, dans le cadre d’une manifestation qu’il avait lui-même organisée à Washington, clamait ceci : « Nous ne concéderons jamais la défaite. »
      Les gilets jaunes, des citoyens d’horizons très divers

      Donald Trump s’est finalement retrouvé obligé de siffler la fin de partie pour que ses « proud guys » rebroussent chemin, tout en les assurant de son soutien et de son « amour » – à la suite de ces messages, Facebook et Twitter ont un temps suspendu ses comptes. Les militants, électrisés par ses soins, les mêmes qui avaient tenté d’intimider les agents des bureaux de vote en novembre dernier, ne remettent pas en cause les règles du jeu électoral américain. Ils contestent seulement l’échec de leur chef, privé par les urnes d’un deuxième mandat. Si certains brandissaient la Constitution, s’en seraient-ils seulement souciés si leur candidat avait remporté la mise face à Joe Biden ?

      Les gilets jaunes ont, eux, démarré leur mouvement sur une revendication de pouvoir d’achat, et de contestation d’une nouvelle « taxe carbone », avant de squatter les ronds-points de leurs villes. Cet appel de novembre 2018 a effectivement réuni des citoyens d’horizons très divers, politiquement, socialement, économiquement, dans un mouvement bien plus composite que les mobilisations sociales françaises ordinaires. Leur dépolitisation partisane initiale fut également un marqueur bien plus fort que leur affiliation à un camp en particulier.

      Le mouvement s’est bel et bien fortement politisé au fil des mois, mais en penchant vers les notions de justice sociale et fiscale, voire climatique, et une remise en cause de la démocratie représentative, avec notamment cette revendication phare du référendum d’initiative citoyenne (RIC), basée, il est vrai, sur une profonde méfiance, pour ne pas dire une franche détestation, de la « classe politique » nationale. Des sujets plus sociétaux comme l’immigration – qu’Emmanuel Macron avait d’ailleurs tenté d’imposer dans son « grand débat national » – ou d’autres relatifs à la famille ont souvent été quasiment bannis des discussions collectives organisées, car considérés comme « hors champ », et potentiellement destructeurs pour les groupes locaux.

      Le racisme, la xénophobie, la lutte contre l’avortement ou la défense des valeurs familiales traditionnelles, l’anti-étatisme et le conspirationnisme n’ont jamais constitué le carburant des gilets jaunes. La prise des institutions par la violence n’a jamais figuré non plus dans les feuilles de route définies lors des nombreuses tentatives de consolidation programmatique menées à l’occasion des assemblées populaires locales, des AG régionales ou nationales (racontées ici, ici, ou là).

      Il y a bien eu des slogans ou des pancartes racistes, homophobes, antisémites, dans les cortèges ou sur les ronds-points, comme Mediapart l’a d’ailleurs relaté dans différents articles. Mais cela s’est déroulé à la marge du mouvement, et fut le plus souvent canalisé par les gilets jaunes eux-mêmes. Il y a aussi eu des électeurs de l’extrême droite dans les groupes éparpillés à travers la France, tout comme des militants de la France insoumise ou du NPA, des syndicalistes, tout le spectre des militants de gauche.

      Les effets de bulles, alimentées par une consommation effrénée des réseaux sociaux, nourrissent sans doute le complotisme d’une partie de la population française, et parmi elles les plus réfractaires aux discours officiels, dont bien sûr des gilets jaunes, mais rien ne dit, là encore, que se revendiquer de ce mouvement rende davantage perméable à de telles dérives. Le mouvement des QAnon, par exemple, va pêcher très large, des gourous du bien-être aux jeunes youtubeurs branchés.

      Sur le mode opératoire, enfin. Des citoyens, peinturlurés et à l’allure baroque, qui se filment et font des selfies dans les couloirs en marbre du Capitole, le tout dans une ambiance de désorganisation évidente, ont contribué, en France, à filer l’analogie. L’Arc de triomphe vandalisé, et cette fameuse statue de plâtre éborgnée, présentée à tort comme la Marianne de la République, les institutions n’étaient-elles pas, chez nous aussi, sur le point de tomber, le 1er décembre 2018 ?

      À ce moment-là, comme l’ont répété les commentateurs politiques, Emmanuel Macron a eu peur pour les institutions et « donc pour lui-même ». Mais il s’agissait, à l’issue d’une manifestation très tendue, d’érafler un symbole inerte du pouvoir, ce qui place l’opération à mille lieues de la charge sur le Congrès américain, haut lieu du pouvoir législatif, avec le soutien d’un président en exercice.

      Il y a bien eu, le 5 janvier 2019, « l’assaut au transpalette », abondamment commenté lui aussi, du secrétariat d’État de Benjamin Griveaux, alors porte-parole du gouvernement. L’histoire nous apprendra qu’il s’agissait de seulement cinq gilets jaunes – deux d’entre eux seront relaxés par la justice dans cette affaire, et trois seront condamnés –, juchés sur un chariot élévateur, qui après avoir défoncé la porte du ministère sont allés s’en prendre à une vitrine voisine. Pas vraiment une attaque coordonnée contre les institutions de la République.

      Quant aux appels réguliers, et un peu bravaches, à « prendre l’Élysée » au cours de ces longs mois de manifestations, ils sont du même acabit : plus proches de la jouissance à s’approcher des lieux de pouvoir, politiques ou financiers, et surtout hautement symboliques.

      Enfin, l’aspect insurrectionnel, parfois émeutier, des « samedis jaunes », où se sont agrégés bien d’autres groupes militants – antiracistes, climatiques, syndicaux –, résulte d’une confrontation assidue et régulière avec les forces de police, aux techniques de maintien de l’ordre répressives dénoncées, jusque sur la scène internationale. À tel point que les violences policières sont venues s’ajouter à l’arc des revendications initiales.

      Croire déceler les gilets jaunes dans l’ombre des factieux du Capitole semble donc aussi étrange que de voir, comme le faisaient les commentateurs russes facétieux hier soir, une réplique des révolutions colorées au Kirghizistan, en Géorgie ou en Ukraine, ces vingt dernières années, dans les événements américains de mercredi. Le trait commun, en revanche, peut être que chaque dirigeant politique y projette ses propres effrois et fantasmes.

  • Sauvegarde de partitions et de disques avec compression par #dd
    http://www.dsfc.net/logiciel-libre/linux/sauvegarde-de-partitions-et-de-disques-avec-compression-avec-dd

    La commande dd sous #Linux, malgré les immenses services qu’elle peut vous rendre, est à manier avec extrême précaution. A ne pas mettre entre toutes les mains !

    #Clonezilla #Dvd #Formateur_Linux #gzip

  • Jean-Pierre Berlan, Interview par Article11, 2010 | Et vous n’avez encore rien vu...
    https://sniadecki.wordpress.com/2017/04/09/berlan-article11

    À travers un nécessaire retour sur l’histoire de la sélection variétale et l’industrialisation de l’agriculture à l’œuvre depuis deux siècles, Jean-Pierre Berlan montre au final l’importance cruciale (et le caractère éminemment dangereux) du projet de société qui transparaît derrière l’application des principes marchands et de la logique industrielle au monde vivant.

    Il a accepté de développer ici les raisons pour lesquelles les « clones pesticides brevetés » (les OGM) sont inacceptables, et en quoi ils ne sont en fait que la partie émergée d’un projet de société mortifère.

    #critique_techno #Jean-Pierre_Berlan #agriculture #industrialisation #clone #OGM #chimère #interview #Article11

  • Trump à Israel Hayom : le développement des implantations n’est pas « bon pour la paix »
    AFP et Times of Israel Staff 10 février 2017
    http://fr.timesofisrael.com/trump-a-israel-hayom-le-developpement-des-implantations-nest-pas-b

    Le président américain Donald Trump dit vendredi dans le journal Israel Hayom de Sheldon Adelson, ami de Benjamin Netanyahu, ne pas croire que le développement des implantations soit « bon pour la paix ».

    « Les terres restantes sont limitées, et il en reste moins à chaque fois qu’on prend des terres pour les colonies. Je ne suis pas quelqu’un qui pense que le développement des colonies soit bon pour la paix », a dit M. Trump, qui reçoit le 15 février le Premier ministre Benjamin Netanyahu, dans un entretien publié en ligne et en hébreu par le quotidien gratuit israélien, surnommé le ‘bibiton’ en référence au surnom très usité du Premier ministre israélien et au mot en hébreu iton, qui signifie journal.(...)

  • In an Age of Privilege, Not Everyone Is in the Same Boat
    http://www.nytimes.com/2016/04/24/business/economy/velvet-rope-economy.html

    Even though this kind of pampering might be good for business, and delight those on the right side of the velvet rope, the gap between the privileged and the rest may ultimately leave everyone feeling uneasy, said Barry J. Nalebuff, a professor of management at Yale.

    “If I’m in the back of the plane, I want to hiss at the people in first class,” said Mr. Nalebuff, who has advised many Fortune 100 companies. “If I’m up front, I cringe as people walk by.”

    #clones_privilégiés versus #clones_ordinaires

  • Mon disque dur #SSD est définitivement trop petit (60 Go, à l’époque, ça coûtait cher du giga, cette affaire). Va falloir que je le change, mais je n’ai pas envie de tout réinstaller.

    L’idée, ce serait d’acheter un plus gros et avec une espérance de vie confortable (y a une histoire de cycles de réécriture qui fait qu’un SSD, ça claque au bout de 5 ans, à peu près).
    Ensuite, comme j’ai un portable, me faudrait un bidule pour le connecter en externe à mon ordi pour les copies : j’ai un port eSATA, parait que ça le fait bien.

    Je suis sous #Ubuntu LTS et je suis partitionnée avec un /boot, un /swap, la racine / pour le système et un /home pour les données personnelles.
    Je manque carrément d’espace pour le système. Donc, si je clone, je dois garder la même configuration de partition et repartitionner ensuite pour mieux répartir la place ou commencer par partitionner confortablement et ensuite #cloner partition par partition ?

    J’utilise dd comme commande ? Il parait que mal écrit, ça craint du boudin.
    Je pensais à paramétrer #luckyBackup qui mon interface graphique #rsync + #cron poursauvegarder mes données perso au quotidien sur le NAS, mais je ne sais pas si ça le fait bien.

    Bref, je prends tous les conseils pour bien préparer le changement de SSD et ne pas rester les deux mains dans le cambouis pendant trois jours et ayant perdu mes super configurations maison en passant.

    • Je trouve ce texte intéressant, pas tant au sujet de la déception (bien compréhensible) de voir un jeu inspiré du tien remporter un succès mondial, mais parce qu’ils ne remettent pas en cause leurs critères d’évaluation de ce qui est un « bon » jeu.

      En l’occurrence, leur critère avec Threes est de faire un casse-tête intelligent et difficile ; 2048 en transforme le concept, et propose un casual game, où tu comprends immédiatement la règle (unique !), et où en quelques minutes tu finis par découvrir une stratégie un peu automatique pour avancer. C’est peut-être moins « bon » (en tout cas selon leurs critères), mais plus populaire.

  • « Cross-badging » et voitures-clônes : quel intérêt ? - France Info
    http://www.franceinfo.fr/economie/la-pratique-de-l-auto/cross-badging-et-voitures-clones-quel-interet-1333059-2014-02-27

    En automobile, on parle parfois de « clones » : il s’agit de ces voitures qui proviennent d’un constructeur, mais qui reçoivent le nom d’une autre marque.

    http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2014/02/27/1333511/images/ressource/citan%2012C454_14.jpg

    Il est questions de « clônes » ; ou de « Cross-badging » : le fait de donner le badge – le nom – d’une autre marque, à une voiture provenant d’un constructeur qui n’a rien à voir.
    Là, je viens d’essayer le Mercedes Citan.
    C’est un Renault Kangoo, avec une énorme étoile Mercedes sur la calandre. Mais vous reconnaissez immédiatement le Kangoo !
    Et, à l’intérieur, tout est « Renault » – sauf les sièges avant, le volant, et la planche de bord. De même, le moteur, la boîte de vitesses, les suspensions, l’architecture : tout provient de Renault.
    Et le Mercedes Citan est produit sur la même chaîne que le Kangoo !
    Pour l’automobiliste, l’intérêt n’est pas clair...

    Quel intérêt à acheter un Mercedes Citan plutôt qu’un Renault Kangoo – d’autant qu’il est environ 1.000 à 1.200 € plus cher ?
    Alors, c’est vrai que le Citan est un peu amélioré au niveau « filtration » ; mais c’est très léger.
    Ceci étant, ces pratiques, entre industriels, ne sont pas nouvelles !
    Des mariages parfois un peu « contre nature »

    C’est vrai que ce Kangoo qui devient un Mercedes, c’est déconcertant ; parce que les deux marques ont des images très différentes – opposées !
    Mais là, nous parlons d’utilitaires.
    Pour les voitures « de tourisme », ces clones sont encore plus choquants !
    Les récents coupés : Toyota GT 86, et Subaru BRZ.
    Là, ce n’est même pas le jeu des « 7 erreurs » : ce sont exactement les mêmes autos !
    Un avantage financier, pour les constructeurs

    Pourquoi les constructeurs se livrent-ils à ces petits tours de « passe-passe » ?
    Pour « étaler » les coûts, sur des productions plus importantes ; ou parce qu’un constructeur n’a pas les moyens de concevoir tout seul un modèle dont il a pourtant besoin, dans sa gamme.
    Et c’est pour cela que ça va se faire de plus en plus : parce que l’équilibre financier d’un modèle tient de plus en plus à un fil !

    En Bref...

    Les exportations de voitures chinoises ont baissé l’an dernier !
    Cela peut paraître très étonnant, vu l’expansion des constructeurs chinois.
    Mais à l’export, leurs ventes ont baissé de 10%, l’an dernier.
    Les acheteurs ont dû être déçus, par ces voitures qui restent – quand même – extrêmement basiques.

    General Motors double son dernier rappel
    Il y a deux semaines, le géant américain avait annoncé le rappel de 780.000 voitures (pour un problème d’airbags, qui risquent de ne pas se gonfler, en cas de choc).
    Mais c’est finalement le double de voitures que General Motors doit rappeler.
    Donc, au total : plus d’un million et demi de voitures !

    #Cross-badging
    #voitures-clônes
    #clone

  • Unitron Mac 512, le clone venu du Brésil
    http://www.macg.co//materiel/2014/02/unitron-mac-512-le-clone-venu-du-bresil-80122

    Au milieu des années 1980, le Brésil interdisait encore l’importation de micro-ordinateurs. De nombreuses marques et machines européennes et américaines étaient alors clonées par des entreprises locales. En 1986, lors d’une foire informatique nationale, Unitron, qui avait déjà copié l’Apple II, fit la démonstration de ses copies du Macintosh 512 (la version boostée du premier Mac 128, avec plus de mémoire).


    via @izo

    #mac #apple #clones #informatique

  • Berlan et Lewontin, #OGM ou #CCB ?, 2004 « Et vous n’avez encore rien vu…
    http://sniadecki.wordpress.com/2012/11/16/berlan-lewontin-ccb

    Les mots contribuent à définir la réalité. Lorsque des intérêts considérables sont en jeu, ils sont rarement neutres et objectifs. Ils créent plutôt la confusion, égarent la réflexion, empêchent de penser la réalité. Les utiliser sans les passer au feu de la critique, c’est faire preuve du même discernement que les lévriers lancés à la poursuite d’un leurre en peau de lapin.

    Les organismes génétiquement modifiés ou OGM illustrent cette corruption du langage : ce sont, en réalité, des clones chimériques brevetés (CCB). Un #clone – à distinguer d’un individu ou d’une plante clonés – est une population d’organismes génétiquement identiques. Les « variétés » modernes de blé, d’orge, de colza, de maïs, de tomates, etc., sont constituées de plantes (ou de génotypes) identiques ou presque. Ce sont des clones.

  • Who Is Cloning Who? Business2.0, try again
    http://www.techcrunch.com/2007/08/09/who-is-cloning-who-business20-try-again

    [...] a list of clones per country of 4 star Web2.0 companies: Digg, Facebook, YouTube and LinkedIn. There is just one problem, the information is pretty much inaccurate and even wrong. Let’s take France for example.

    #web_2.0 #clone #copie #Digg #Facebook #YouTube #LinkedIn #Viadeo #Scoopeo #DailyMotion #groupe:clever-age #gp:links