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  • Revue de presse de l’April pour la semaine 21 de l’année 2018
    https://linuxfr.org/news/revue-de-presse-de-l-april-pour-la-semaine-21-de-l-annee-2018

    La revue de presse de l’April est régulièrement éditée par les membres de l’association. Elle couvre l’actualité de la presse en ligne, liée au logiciel libre. Il s’agit donc d’une sélection d’articles de presse et non de prises de position de l’association de promotion et de défense du logiciel libre. Sommaire

    [Developpez.com] Google et Facebook sous le coup de 4 accusations dans 4 pays pour avoir enfreint le RGPD [Les Yeux du Monde] La bataille pour le logiciel libre en Afrique [Commentçamarche.net] Des ateliers pour préparer la fête des libertés numériques [Le Journal du CM] Lumière sur la licence Creative Commons [ZDNet France] Montréal précise son engagement pour le logiciel libre [Le Monde.fr] Le ministère de l’enseignement supérieur dévoile l’algorithme principal de Parcoursup lien n°1 : (...)

  • Comment la gestion des #risques liés aux #inondations a évolué en #France

    L’inondation est, de très loin, le premier risque naturel en France. Plus de la moitié des indemnisations des catastrophes naturelles vont à ses victimes. En effet, près d’un Français sur quatre et un emploi sur trois sont aujourd’hui en zone potentiellement exposée. Environ 19 000 communes françaises sont soumises à ce danger à des degrés divers.

    Les dommages directs sont également très lourds : on estime que les inondations coûtent chaque année, en moyenne, entre 650 à 800 millions d’euros de dommages assurables, dont environ la moitié est prise en charge par le régime d’indemnisation des catastrophes naturelles. Mais ces dernières années, le milliard d’euros annuel est de plus en plus fréquemment dépassé, et on s’attend à des sommes supérieures à 30 milliards d’euros si l’Île-de-France venait à être touchée par une crue majeure du type de celle survenue en 1910.


    https://theconversation.com/comment-la-gestion-des-risques-lies-aux-inondations-a-evolue-en-fra
    #gestion_des_risques

  • Ces sites qui masquent leur contenu
    http://romy.tetue.net/ces-sites-qui-masquent-leur-contenu?fb_ref=Default

    Comment ce journal, qui est l’un des plus subventionnés, avec nos sous de contribuables hein, ose-t-il ainsi apitoyer ses lecteurices, pour les inviter à débrayer leur bloqueur, et donc les soumettre au pillage de leurs données de navigation ? Vous avez gagné, dit cet internaute : « cher Jérôme Fenoglio, je ne lirai plus votre journal ». Personnellement, cela fait longtemps que je ne compte plus sur la presse traditionnelle pour m’informer : trop mercantile pour être honnête. Source : romy.tetue

  • Ces sites qui masquent leur contenu poussent à trouver mieux ailleurs - romy.tetue.net
    http://romy.tetue.net/ces-sites-qui-masquent-leur-contenu

    Ce qui est intéressant dans cette pratique du #masquage est moins l’insondable bêtise (ou mauvaise foi) qui la motive, que sa contre-performance, qui pousse à aller chercher la liberté ailleurs, et à réinventer des modes de navigation débarrassés des nuisances et du superflu.

    #AdBlock #AntiAdBlock

    • Comment ce #journal, qui est l’un des plus subventionnés, avec nos sous de contribuables hein, ose-t-il ainsi apitoyer ses lecteurices, pour les inviter à débrayer leur #bloqueur, et donc les soumettre au pillage de leurs données de #navigation ? Vous avez gagné, dit cet internaute : « cher Jérôme Fenoglio, je ne lirai plus votre journal ». Personnellement, cela fait longtemps que je ne compte plus sur la #presse traditionnelle pour m’informer : trop mercantile pour être honnête.

    • J’ai arrêté de compter sur Le Monde pour m’informer (il y a maintenant des sources plus variées, plus crédibles, plus riches et infiniment plus intéressantes et mieux renseignées sur le Net et hors le Net).

      Les quatre lignes minables de Jérôme Fenoglio ne vient que renforcer mon dégoût pour ce type de journalisme et de presse qui propose des services « innovants et performants » dont on a bien évidemment pas besoin du tout.

      Il faudrait se taper leur pub de merde pour lire des journalistes qui parlent et écrivent comme les mecs des startups ? Et Fenoglio, sans honte, de mettre sa photo comme on le fait à HEC, en te regardant droit dans le yeux ?

      Avec ses « journalistes » performants (Leparmentier lui est même « super-performant »), le Monde nous est devenu totalement inutile.

      Et c’est vraiment dommage, parce que je sais que dans ce canard certain·e·s tentent de survivre à ce naufrage, et je sais que c’est très dur.

    • @touti Ca fait 4 ans que je peux enfin écouter de la musique correcte, et peu d’artistes sont subventionnés icitte. En tout cas pas ceux que j’écoute. Je vois aussi de l’art qui est correct. Et les seules merdes au niveau artistique que je vois à Montréal sont subventionnées par la ville et sont notamment les artistes français. Donc j’ai des raisons de préférer un art sans subventions. Juste parce qu’objectivement c’est meilleur pour mes yeux et mes oreilles.

      Je regrette que l’immigration française coïncide malheureusement avec la fermeture des lieux d’expression populaire, mais j’imagine que c’est par hasard que les locaux les appelle les bobos. En tout cas, vu les 4000$ par tête de pipe pour immigrer, c’est sûrement pas les pauvres qui font chier. Ah non, ils s’auto nomment : artistes !

      Voyage, ça te fera du bien.
      Et pour ton info historiquement, ce ne sont pas des régimes démocratique qui ont inventé des ministères de la culture. Je te laisse chercher. Ensuite, donne un point Godwin à l’histoire.

    • Ta vision du monde où les bons artistes/ les bons médias / les bons politiques évolueraient dans une sphère extérieure aux subventions est puérile. Pour sauvegarder la pureté de leur pensée pour le bienfait de tes oreilles et de ton cerveau, les vrais artistes comme les vrais journalistes ne devraient vivre que d’amour et d’eau fraiche car l’argent est si sale que cela pourrait les corrompre.

      Pour le reste : « Voyage, Donne un point Godwin, Inscris toi à un parti » … et encore je ne mets pas toutes les horreurs que tu veux que je fasse en ton nom, si tu ressens la nécessité de dispenser des ordres, merci de m’oublier.

    • A mon tour de me faire engueuler.

      J’aimerais connaitre la date de l’instauration des premières subventions aux artistes et voire comment pendant des siècles l"art" a pu exister sans subventions.
      C’était dans un article de calimaq silex qui disait que les artistes qui tirent un revenu suffisant de leur pratique constituent un accident statistique.
      WP « Comme le note Alain Herscovici, seule une infime partie de la production parvient à se rentabiliser : en 1986, 1 % des ayants droit affiliés à la SACEM touchaient plus de 300 000 francs, tandis que 71 % devaient se contenter de moins de 4 000 francs. »
      Alors les subventions pour qui ?
      WP « La délimitation de l’économie de la culture pose le même problème que la délimitation de la culture elle-même. Le cœur de l’économie de la culture, et historiquement son premier domaine, est donc l’étude des beaux-arts et des spectacles vivants (théâtre, opéra). Ces thèmes constituent encore une part importante des articles de recherche.

      Toutefois, un fait saillant des XIXe et XXe siècles sont l’apparition de la culture de masse par le biais de biens à contenu culturel, mais produits selon des méthodes industrielles : les livres à grand tirage, la musique enregistrée, le cinéma, ainsi que le développement des médias du flux, radio et télévision, ou de contenu »

      Dans le club ou je travaille quand un concert est financé les musiciennes-ciens partent avec 100,00€ Et cette année est une année faste. Je vois des gens qui viennent de toute l’europe et parfois de plus loin pour jouer devant 20 personnes. Et de sacrés musiciens.
      Pas de jugement sur la pureté de leur pensée mais l’artiste n’est pas un métier et les artistes subventionnés le sont parsqu’ils correspondent à une politique culturelle.
      Je m’exprime mal mais je n’ai pas le temps.

      A vue de nez l’article a l’air de tenir la route wp https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_de_la_culture

    • J’aimerais connaitre la date de l’instauration des premières subventions aux artistes et voire comment pendant des siècles l"art" a pu exister sans subventions.

      Avant les subventions, les artistes trouvaient des subsides auprès des nobles qui leur servaient de protecteurs et de mécènes. Et ils n’étaient pas spécialement « indépendants » vis-à-vis de ces mécènes...

  • Behind the Mirror of Babylon : Goldman Sachs - Les nouveaux maîtres du monde ? (Documentaire)

    Comment Goldman Sachs, petite maison de courtage fondée en 1869 par un immigré allemand, est-elle devenue la banque d’affaires la plus puissante du monde ? La première chose que l’on apprend chez Goldman Sachs c’est que l’on ne doit pas parler de Goldman Sachs. Les anciens ont peur, les stagiaires se cachent. Depuis décembre 2006, les banquiers de Goldman Sachs savaient qu’une crise financière se préparait et ont largement tiré profit de cette précieuse information. Les Américains, eux, en ont subi les conséquences et commencent à se réveiller. Ce plongeon au coeur de l’une des plus grandes institutions de Wall Street permet de lever le voile sur les méthodes de la finance mondiale.

    Plus les agissements des ban­­ques d’affaires mondia­les sont mis au jour, plus l’ahurissement le dispute à la colère. Mené comme une enquête policière, le do­cu­mentaire Les Nouveaux Maî­tres du monde ne déroge pas à la règle, malgré une cons­truction parfois un peu brouillonne. Son objet d’é­tu­de : la puissante banque d’affaires Goldman Sachs, au­trefois surnommée « la Tor­tue » pour sa prudence, et au­jourd’hui symbole d’un sys­tème amoral, voire illégal. Comment cette mue a-t-elle été rendue possible ?
    S’appuyant sur les précieux témoignages de journalistes, politiques, financiers, le réalisateur Jean-Luc Léon revient sur la mise en place et le cynisme des méthodes employées - comme vendre des titres sur l’effondrement desquels on parie parallèlement. Mais le documentaire est le plus percutant quand il s’alarme de la quasi-impossibilité de faire marche arrière. Effectuées hors Bourse, de plus en plus de transactions échappent en effet à tout contrôle. Et l’influence de Goldman Sachs s’avère considérable : les campagnes électorales de nombreux politiques américains sont financées par la banque, alors que ses anciens lieutenants occupent des postes stratégiques, aux Etats-Unis et à l’étranger. Quelle fonction a donc occupée, de 2002 à 2005, Mario Draghi, le tout nouveau président de la BCE ? Vice-président européen d’une banque nommée Goldman Sachs...

    http://www.videobb.com/video/bD9JGU7w34Cn

    http://behindthemirrorofbabylon.blogspot.com/2011/11/goldman-sachs-les-nouveaux-maitres-du.html

  • Histoire de la sexualité à l’époque moderne - liens socio, le portail francophone des sciences sociales
    http://www.liens-socio.org/article.php3?id_article=7009

    Comment la sexualité, sous toutes ses formes, a-t-elle été vécue, pensée et représentée à l’époque moderne ? Quelle fut véritablement l’intimité des Français et que nous apprend-elle sur le lien au plaisir, à l’interdit et au poids des règles sociales ? Objet de fascination et de crainte, célébrée ou condamnée, elle a subi les entreprises moralisatrices et normatives des autorités ecclésiastiques, médicales et judiciaires : de la libertine à la sorcière ou à l’hystérique il n’y a qu’un pas... et seul ne peut exister que le couple hétérosexuel. Mais malgré un long silence, marqué par la culpabilité et la peur, peu à peu se font jour des discours discordants et des pratiques nouvelles qui montrent une réalité bien différente, où le corps et la jouissance se libèrent des lois sacrées et profanes. Écrits religieux, médicaux, juridiques, actes judiciaires, témoignages privés, œuvres littéraires... autant de sources ici convoquées pour offrir au lecteur une vision plus juste et souvent étonn

    #livre #sexualité #histoire #sociologie #for:twitter