company:e.on

  • Let’s learn #vim ! Part 2
    https://hackernoon.com/lets-learn-vim-part-2-66b968f1551f?source=rss----3a8144eabfe3---4

    Find the part 1 here: Let’s learn Vim! Part 1So, last time when we were making our hands dirty with Vim, we ended up writing a very good poem with deep meanings.In case you are not convinced with the poem, I dare you write a better one. Thank you.Now, you have seen in the first part of the series that to move the cursor in Vim, you use h,j,k,l in Normal Mode. This is weird until you get accustomed to it.Apart from that, you can use w and e to navigate through your text.w: moves the cursor to the beginning of the next word.e: moves the cursor to the end of the next word.Effects of commands w and eIn the gif posted above, notice that when you are using the w or e command, it does not skip punctuation apostrophe (’). To always move to the next position after a blank line, use W and E.On the (...)

    #learn-vim #programming #how-to-learn-vim #vim-programming-language

  • De nouvelles sanctions du Congrès américain contre la Russie - RipouxBlique des CumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/08/de-nouvelles-sanctions-du-congres-americain-contre-la-russie.html

    Toute l’Europe est traitée comme une colonie américaine
    km. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Le 24 juillet, le tribunal local de Leipzig a désigné un liquidateur judiciaire pour l’entreprise locale de construction métallique IMO. Existant depuis 120 ans, cette entreprise employant 320 personnes est spécialisée dans les constructions en acier et réalisait, jusqu’à récemment, des affaires avec la Russie. Maintenant elle est ruinée. Les sanctions contre la Russie avaient entraîné pour l’entreprise des pertes de revenus et de profits ne pouvant plus être compensées. Si les nouvelles sanctions contre la Russie – adoptées le 25 juillet par la Chambre des représentants des Etats-Unis avec seulement 3 voix d’opposition et le 27 juillet par le Sénat avec seulement 2 voix d’opposition – entraient effectivement en vigueur est étaient appliquées, de nombreuses entreprises européennes pourraient tomber en faillite à l’instar d’IMO à Leipzig. Car, cette fois-ci, un projet important à bien des égards pour la Russie et les autres pays européens – le gazoduc Nord Stream II menant directement de la Russie à travers la mer Baltique à l’Allemagne – serait affecté. La décision de la Chambre des représentants et du Sénat (= Congrès) permettra au président des Etats-Unis d’imposer de sanctions contre toutes les entreprises participant à des projets énergétiques russes, dont Nord Stream II, explicitement mentionné.
    La politique américaine a agi unilatéralement et sans consulter ses partenaires européens. Les critiques européennes concernant la nouvelle décision du Congrès sont massives. Même le gouvernement allemand a déjà déclaré en juin – à cette époque, les plans pour de nouvelles sanctions étaient connus – que ces nouvelles sanctions seraient « contraires au droit international ». Sigmar Gabriel, ministre allemand des Affaires étrangères, avait ajouté : « Il n’est pas acceptable d’abuser des sanctions pour évincer du marché le gaz russe afin de mieux pouvoir vendre le gaz américain. » En fait, les Américains veulent imposer aux Européens le gaz liquéfié venant des Etats-Unis plutôt que celui venant de Russie. Le 18 juillet, Gabriel avait plaidé, contrairement au Congrès américain, dans une interview accordée au magazine Focus en faveur de la levée progressive des sanctions contre la Russie.
    Les entreprises européennes concernées ont aussi pris la parole. Dans une tribune pour le « Frankfurter Allgemeine Zeitung » (24/07/17), Rainer Seele, directeur général du groupe énergétique autrichien OMV participant au projet de gazoduc, a écrit : « Le gaz liquéfié américain (LNG) est naturellement en concurrence avec le gaz russe – rien à objecter à cela. Mais il doit être clair, et le ministre allemand des Affaires étrangères Gabriel le dit clairement : l’approvisionnement énergétique de l’Europe est toujours et encore une affaire européenne et non pas l’affaire des Etats-Unis [...]. L’Amérique ainsi que la Pologne et les pays Baltes n’ont aucun droit de veto et de blocus contre les relations russo-européennes dans le domaine du gaz, y compris les gazoducs. » Non seulement pour l’OMV, mais également pour d’autres entreprises participant à ce projet de pipelines telles que BASF, E.ON, Wintershall et Shell, la mise en œuvre des sanctions du Congrès américain signifierait des pertes de plusieurs milliards. Matthias Warnig, directeur de la Société de développement du gazoduc Nord Stream II, a ajouté dans le « Handelsblatt » allemand (19/07/17) : « Si les sanctions sont effectivement mises en œuvre, les effets sur l’approvisionnement en pétrole et en gaz seraient considérables. A ce stade, tous les pipelines exportant du pétrole ou du gaz de Russie y sont soumis. »
    Willy Wimmer, ancien secrétaire d’Etat allemand au ministère de la Défense, s’exprime clairement. Selon lui, les nouvelles sanctions du Congrès américain représentent aussi une guerre économique contre l’Europe. Dans une interview accordée à l’agence de presse russe Spoutnik (26/07/17), il a déclaré : « Aux Etats-Unis, ces sanctions se dirigent visiblement contre leur propre président qu’on veut emmurailler. Mais elles se dirigent également contre l’Europe qu’on veut étouffer sur le plan économique. » Il observe depuis longtemps « que les Etats-Unis étendent leur propre législation sur les territoires étrangers. C’est un comportement typiquement colonialiste. » Et à l’adresse des responsables de l’UE : « Si l’UE ne peut pas se décider maintenant, parce qu’elle ne l’ose pas ou pour quelque autre raison, elle va perdre toute confiance aux yeux du public européen et de ses électeurs. Il ne s’agit pas seulement de la survie économique de l’UE, mais aussi de l’honneur politique. Il n’est pas acceptable que nous soyons gouvernés par des mesures arbitraires de Washington. [...] Nous voyons sur toute la largeur des relations avec Washington que nous sommes soumis à des éléments faisant apparaître au minimum une guerre économique. [...] Si l’Union européenne fait maintenant des génuflexions devant ces sanctions, elle risque de perdre tout son avenir économique. »
    Finalement, il faut souligner que cette nouvelle décision de sanctions est une déclaration de guerre des Etats-Unis envers la Russie (cf. interview de Willy Wimmer ci-contre). Les débats au Congrès sont un mauvais exemple démontrant la démagogie et l’agressivité avec laquelle la Russie est « diabolisée » aux Etats-Unis. Les réactions officielles prudemment formulées par la Russie montrent que cela est perçu ainsi. Leonid Sluzki, chef de la Commission des Affaires étrangères de la Douma, a déclaré le 26 juillet : « L’extension des restrictions sape la possibilité de reconstruire les relations russo-américaines et les rend plus difficiles, pour un certain temps au moins [...]. Les possibilités de dénouer le nœud gordien dans le dialogue entre les Etats-Unis et la Russie sont extrêmement limitées. »  •
    http://www.zeit-fragen.ch/fr/editions/2017/no-19-7-aout-2017

  • L’asphyxie #politique des résidents de la vallée de l’Arve - Le blog de Bernard Gensane
    http://bernard-gensane.over-blog.com/2017/01/l-asphyxie-des-residents-de-la-vallee-de-l-arve.html

    La #pollution n’est pas qu’un phénomène naturel. Ses causes relèvent de choix économiques, mais aussi politiques.
     
    Depuis plusieurs décennies, la classe dominante encourage « les gens » à prendre des mesures individuelles pour contrer les méfaits des pollutions avec des #discours du style : « Éteindre sa veilleuse de télévision, c’est bon pour la planète », « Ramasser les crottes de son chien est un acte citoyen », « Tirer la chasse d’eau une fois sur deux préserve les ressources de tous » etc. Nous ne sommes pas encore à la délation, mais cela ne saurait tarder : « Hou, le vilain qui laisse la fenêtre de sa chambre ouverte alors que le chauffage collectif fonctionne à plein régime » ! On a vu sur Facebook des “Sentinelles de la vallée de l’Arve”. Tout ceci permet de ne pas remettre en question le modèle de développement. Combien faut-il de centaines de litres d’eau pour produire une côte de bœuf dans un conglomérat capitaliste transnational ? Combien faut-il dépenser de diesel pour qu’un consommateur allemand mange une salade qui a poussé en Espagne avant d’être conditionnée en Roumanie ? Le bouton veille de nos téléviseurs nous apparaît alors bien dérisoire.
     
    D’un côté, acceptation de l’ordre politico-économique, de l’autre dénonciation de « mauvais » comportements, division, frein aux luttes collectives nécessaires. On manque d’oxygène, mais la #classe dominante, elle, ne manque pas d’air.

    • Autre moyen pour lutter contre la pollution : une politique ferroviaire nationale volontariste. Les habitants de la vallée de l’Arve sont asphyxiés par une circulation par camions de marchandises qui pourraient et devraient normalement être transportées par le rail. Mais la politique de la SNCF soumise à des logiques de privatisation favorise les entreprises de transport privées et les méthodes du privé, tout en étant devenue le plus grand transporteur routier de France : Geodis-Calberson, Ouibus.

      La privatisation de l’électricité (les barrages en montagne) va désormais empêcher toute maîtrise de la production et de la consommation au bénéfice des citoyens. Olivier Berruyer, du site Les-Crises.fr a bien résumé le problème :

      « La grande affaire pour la commission européenne, c’est l’entorse à la concurrence libre et non faussée sur le marché de l’énergie. La France possède le deuxième réseau hydroélectrique européen. Bâti pour l’essentiel au sortir de la Seconde Guerre mondiale, il est totalement amorti. Il permet de produire l’énergie renouvelable la moins chère, entre 20 et 30 euros le mégawattheure, contre plus de 50 euros pour le nucléaire, au-delà de 80 euros pour l’éolien et le solaire. Selon la direction générale de l’énergie et du climat, les installations hydroélectriques dégagent un excédent brut d’exploitation de 2,5 milliards d’euros par an. Investissements et rémunération du capital déduits, le bénéfice s’élèverait à quelque 1,25 milliard d’euros par an. De tels résultats suscitent bien des convoitises. Tous les privés en veulent leur part. Dès 2006, date de l’ouverture du marché français de l’énergie à la concurrence, les rivaux d’EDF ont demandé à bénéficier eux aussi des concessions hydrauliques, exploitées jusqu’alors à 80 % par EDF et 17 % par Engie (ex-GDF-Suez) dans le cadre de la nationalisation de l’électricité et de la loi sur l’eau. En 2012, l’association française indépendante de l’électricité et du gaz (Afieg), regroupant l’allemand E.ON, l’italien Enel, le suédois Vattenfall, le suisse Alpiq, s’est à nouveau manifestée pour réclamer d’avoir sa part dans les concessions hydrauliques. Depuis, certains membres semblent s’être beaucoup activés pour porter le dossier devant la commission européenne. »

      Les privatisations découlent de la logique des traités européens. Pendant ce temps, l’État organise son propre recul : des bureaux de poste vont fermer du côté du Plateau d’Assy après ceux du Pays du Mont-Blanc, alors qu’ils avaient été refaits en 2010.

      La fermeture de deux antennes de la CPAM à Sallanches a eu lieu en 2014. Des fermetures de lits d’hôpitaux sont planifiées. Tout cela pourrit la vie des gens dont les impôts filent vers le CICE.

      L’or blanc est synonyme de pollution. Il faut désormais rentabiliser rapidement les stations, donc skier quand il n’y a pas de neige, faire venir un maximum de touristes, donc d’automobilistes.

      Les incinérateurs sont également source de pollution. Celui de Passy est géré par une filiale de Suez. Il brûle 60 000 tonnes de déchets par an dont 25 000 tonnes seulement sont des ordures ménagères. Le reste sont des déchets industriels, des encombrants qui devraient être recyclés et non incinérés et des ordures ménagères extérieures aux villages concernés. L’effet de couvercle du fond de la vallée empêche un vrai dégagement des fumées.

      Les habitants de cette vallée ont beaucoup souffert cet hiver. Pourtant, dès 2009, certains avaient sonné l’alarme. En dénonçant, par exemple, la présence beaucoup trop forte de benzopyrène, un polluant persistant, très cancérigène, que l’on trouve en particulier dans la fumée de cigarette. Ce poison à petit feu provient des pots d’échappement, de la combustion domestique, des usines metallurgiques, des centrales électriques fonctionnant au pétrole ou au charbon, des incinérateurs. Il diminue la fertilité et peut provoquer des altérations génétiques.

      Village au fond de la vallée
      Comme égaré presque ignoré

  • UNIPER, l’ogre arbrivore de Gardanne | Zinzinement vôtre
    http://www.zinzine.domainepublic.net/?ref=2715

    Le Collectif Vigilance Gaz de Gardanne, SOS forêt du sud, représentants pour l’occasion encore d’autres associations environnementales, organisaient vendredi matin à Gardanne une conférence de presse avec Maître Posak, avocat de Grenoble, en charge des recours juridiques des opposants à la mégacentrale « biomasse » E.ON à Gardanne, rebaptisée Uniper. Avec les militant(e)s présents Eric Posak font le point de la situation juridique du dossier, et au cours du débat il est rappelés les enjeux multiple et majeurs que posent cette aberration de projet vendue, très chère, comme de la « transition énergétique » sachant que la centrale devrait démarrer dans l’année prochaine 2017. Il y est aussi question des approches différentes discutées au sein des groupes d’opposants. Durée : 1h18. Source : Radio (...)

    http://www.zinzine.domainepublic.net/emissions/ZVO/2016/ZVO20161213-UniperOgreArbrivoreGardanne.mp3

  • Menaces sur la Forêt française (Documentaire) - vidéo Dailymotion
    http://www.dailymotion.com/video/x4j9zfk


    L’#électricité « #biomasse » débarque en France. Estampillée verte et #renouvelable, cette #énergie produite par la combustion du #bois est encouragée par l’Union européenne, et largement subventionnée par l’Etat français. Ainsi, à #Gardanne, en Provence, le groupe #E.ON, un géant de l’énergie, a entrepris dès 2012 la conversion d’une vieille centrale à charbon. Elle deviendra, début 2016, la plus grande centrale biomasse de France. Mais transition énergétique ne veut pas dire transition écologique.

    #Dégradation des paysages, #pollution, #industrialisation de l’#exploitation_forestière et destruction de la #biodiversité : l’arrivée d’E.On à Gardanne provoque colère et indignation dans les régions méditerranéennes où le #bois sera prélevé. Et l’impact de ce projet pharaonique n’est pas seulement local. Gardanne, comme d’autres mégacentrales biomasse européennes, devra aussi importer une partie de son bois. Une véritable manne pour les pays producteurs, mais un désastre pour leurs #forêts.

    Premiers exportateurs mondiaux de granulés de bois, les Etats-Unis et le Canada sont aussi les pays qui ont perdu le plus de surfaces boisées au monde, au cours des douze dernières années. De la France au Québec, en passant par l’Angleterre et les Etats-Unis, militants, élus locaux et scientifiques de renom témoignent. Ils nous révèlent les menaces que l’industrie biomasse fait peser sur la forêt française et celles du monde.

    • Énergies renouvelables : les grandes centrales de biomasse, un bio-mythe ?
      http://www.novethic.fr/lapres-petrole/energies-renouvelables/isr-rse/energies-renouvelables-le-bio-mythe-de-la-biomasse-143798.html

      L’approvisionnement en bois des grandes centrales est quant à lui problématique. En France, l’échec des grandes centrales avait conduit, en 2013, le Conseil Général de l’Alimentation, de l’Agriculture et des Espaces Ruraux (CGAAER) à demander à ce que cette politique nationale soit « impérativement revue ».

      L’exemple de la centrale de Gardanne (Bouches-du-Rhône) qui a démarré son activité en 2015 le confirme. Cette centrale à charbon française a été reconvertie en centrale à biomasse par l’industriel allemand E.On. L’État français, financeur du projet, avait initialement exhorté E.On à limiter les importations de bois pour faire marcher la filière bois française. Mais face à l’opposition locale, l’industriel va devoir s’approvisionner ailleurs.

      En effet, la demande démesurée de bois (450 000 tonnes à plein régime, alors que la récolte de la région est de 370 000 tonnes !) déstabilise les filières locales de bois énergie et plusieurs collectivités locales ont déposé un recours contre l’autorisation d’exploitation de la centrale. Résultat : la centrale de Gardanne va largement tourner à partir de bois importé du Canada et d’Ukraine, s’indigne SOS forêt du Sud, une association qui lutte contre le projet.

  • Gazprom and Germany’s BASF complete asset swap - fastFT: Market-moving news and views, 24 hours a day - FT.com
    http://www.ft.com/intl/fastft/400691/gazprom-germanys-basf-complete-asset-swap

    Gazprom on Thursday completed a delayed multi-billion euro asset swap with Germany’s BASF, in a sign of the Russian state-controlled company’s optimism about its future in the European market.

    The asset swap, which will see Gazprom take full control of a jointly operated European gas trading and storage business, was scrapped in December amid the sharp deterioration of relations between Russia and the west and nervousness about further sanctions, writes Jack Farchy in Astana.
    […]
    Under the deal, Gazprom will also receive a 50 per cent stake in BASF subsidiary Wintershall’s North Sea operations, which explore for and produce oil and gas off the Netherlands, UK and Denmark – a part of the deal which is likely to face scrutiny by British politicians.

    In return, Wintershall will receive stakes in two west Siberian gasfields.

    • Vu par Le Monde : une grande victoire de l’UE et du libéralisme.

      Gazprom : L’ours rentre ses griffes en Europe
      http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/10/03/gazprom-l-ours-rentre-ses-griffes-en-europe_4781919_3234.html

      Depuis quelques semaines, le Kremlin et les dirigeants de Gazprom sont plus conciliants avec les Européens. Ils viennent de trouver un accord sur le prix du gaz vendu à l’Ukraine et semblent disposés à des concessions avec les pays-clients d’Europe de l’Est. Le groupe russe a signé un pacte d’actionnaires avec les allemands E.ON et BASF, l’anglo-néerlandais Shell, l’autrichien OMV et le français Engie pour doubler le gazoduc Nord Stream acheminant du gaz russe vers Allemagne en passant sous la Baltique. Dans la foulée, Gazprom a conclu avec BASF un échange d’actifs (bloqué depuis 2013) resserrant ses liens avec le numéro un mondial de la chimie.

      C’est de la « real » économie. On a oublié que Gazprom n’est pas que le bras armé du Kremlin, mais aussi une société cotée à Moscou pesant 124 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Un géant qui, pour ne pas perdre de parts de marché, doit prendre en marche le train de la libéralisation du secteur de l’énergie en assouplissant les contrats à long terme signés avec ses clients européens. Une entreprise également dans le viseur de Bruxelles depuis des lustres. Ce n’est pas un hasard si, en septembre, sa filiale export a pour la première fois vendu un peu de son gaz aux enchères. Une révolution pour le conglomérat issu du ministère soviétique du gaz !

      Bon, apparemment la présence d’un pacte d’actionnaires autorise à considérer que le doublement de North Stream ne se fait pas en violation du troisième paquet sur l’énergie : déconnexion de la production (Gazprom) et de la distribution (Gazprom ET associés du pacte)…

  • Forget Ukraine. It’s Business As Usual Between Europe and Russia
    http://www.newsweek.com/forget-ukraine-its-business-usual-between-europe-and-russia-369730

    It was just like the old days before the European Union imposed sanctions on Russia in 2014. At the Eastern Economic Forum in Vladivostok Gazprom clinched three major deals with some of Europe’s biggest energy companies.

    One of the most important was the revival of a lucrative asset swap between the Russian energy giant and Wintershall, the energy division of BASF, a German chemical company. BASF had abandoned that swap arrangement in December 2014 because of the geopolitical consequences of Russia’s invasion of eastern Ukraine and its annexation of Crimea.

    The asset swap and other deals signed in Vladivostok show how German as well as Austrian energy companies are loath to quit Russia. They also show how Gazprom wants to tie Europe’s lucrative gas market more closely to Russia. In 2013, Russia supplied the EU’s 28 countries with 30 percent of their gas needs.

    But more importantly, the deals confirm how Russia is determined to end Ukraine’s role as the major transit route for Russian gas to Europe. Half of the Russian gas imported by Europe crosses Ukraine.

    Under the terms of the deal between BASF and Gazprom, BASF’s subsidiary Wintershall will obtain a stake of 25 percent plus one share in the Urengoy natural gas fields in Siberia. Both firms will develop the fields.

    In return, Wintershall will transfer to Gazprom its jointly owned gas storage and trading business in Germany as well as a stake in its business in Austria. Through the asset swap, Gazprom will also receive a 50 percent stake in Wintershall’s exploration and production of oil and gas in the North Sea. These activities amounted to sales of over $13.4 billion in 2014, according to BASF.

    The second deal agreed to in Vladivostok involves Gazprom and a European consortium building a second Nord Stream pipeline under the Baltic Sea. This will enable Russia to send more of its gas directly to Germany, bypassing Ukraine.

    The consortium consists of BASF, German energy company E.ON, French electricity company Engie, Austrian oil and gas firm OMV and Royal Dutch Shell. Gazprom will own a 51 percent share of a new company called New European Pipeline AG, which will develop the project. The other partners will have a 10 percent stake, except for Engie, which will own 9 percent.

    The fact that the global energy majors participate in the project bespeaks its significance for securing reliable gas supply to European consumers,” stated Alexey Miller, chairman of the Gazprom Management Committee.

    Tell that to Poland and the Baltic states—and Ukraine. They had criticized the first Nord Stream pipeline, which was agreed to under the then German chancellor Gerhard Schröder in 2005. At the time, Warsaw argued that the deal increased Europe’s dependence on Russian energy.

    Since then, however, Europe has been diversifying its energy supplies, spurred by the 2009 Ukraine gas crisis, which disrupted supplies to Europe because of a dispute between Russia and Ukraine over energy prices.

    Also, through its Third Energy Package, the European Commission is introducing more competition in the energy sector by breaking the hold any one company can have over the production, distribution and trading of gas. That is one of the main reasons why in December 2014 Russia pulled out of the South Stream project, which was to transport gas across the Black Sea to Southeastern Europe. Under the terms of the commission package, Russia would have had to open up the gas pipeline to competition.

    The third deal reached in Vladivostok involves OMV’s participation in the Urengoy oil and gas fields. When the deal is concluded, OMV will acquire a 24.8 percent stake in the project in exchange for Gazprom obtaining some of the assets of OMV.

    • Sans trop de surprise, le projet de #North_Stream_2 ne plait pas à l’Ukraine…

      Ukraine PM calls second Russia-Germany pipeline ’anti-European’ - Yahoo News
      http://news.yahoo.com/ukraine-pm-calls-second-russia-germany-pipeline-anti-173441635.html

      Ukrainian Prime Minister Arseniy Yatsenyuk on Thursday criticised as “anti-Ukrainian and anti-European” a deal between Russia’s energy giant Gazprom and several Western firms to build a second gas pipeline under the Baltic Sea.

      In June, Gazprom agreed with Anglo-Dutch Shell, Germany’s E.ON and Austria’s OMV to build the new gas pipeline — dubbed Nord Stream-2 — to Germany, bypassing conflict-torn Ukraine and also EU neighbour Poland.

      When the first Nord Stream was built, it brought the European Union no additional energy independence,” Yatsenyuk said after talks with Slovak counterpart Robert Fico in Bratislava.

      The construction of Nord Stream-2 is affecting the security of the continuous gas supply of the EU’s southeastern countries. It is a monopolisation of gas supply routes to the EU,” he told reporters.

      This project is anti-Ukrainian and anti-European.

  • Gazprom, European partners sign Nord Stream-2 deal | Agricultural Commodities | Reuters
    http://af.reuters.com/article/commoditiesNews/idAFL5N11A0G420150904

    FRANKFURT/VLADIVOSTOK, Russia, Sept 4 (Reuters) - Russia’s Gazprom and its European partners signed a shareholders’ agreement on the Nord Stream-2 gas pipeline project that will run beneath the Baltic Sea to Europe, bringing Europe closer into Moscow’s energy orbit.

    Russia provides for around a third of EU energy needs, but around half of the gas the EU imports from Gazprom is shipped via Ukraine, with which Russia is in conflict. It wants to find new ways to deliver gas to Europe bypassing its neighbour.

    Gazprom, E.ON, BASF/Wintershall , OMV, ENGIE and Royal Dutch Shell formed the new consortium for the project, a spokesman for the consortium said on Friday.

  • Russia is extending Nordstream - Business Insider
    http://uk.businessinsider.com/russia-is-extending-nordstream-2015-6

    Russia is reportedly planning to build a gas pipeline to Germany.

    Gazprom announced on Thursday that it plans to build a pipeline with a capacity of 55 billion cubic meters per year from Russia to Germany via the Baltic Sea with E.ON, Shell, and OMV, according to Kommersant.

    The planned pipeline’s route will be an extension to the Nord Stream, Gazprom’s representative Sergey Kupriyanov told journalists, adding to the direct route that supplies Russian gas directly to Western Europe.

    Russia, which supplies Europe with about one-third of its gas, actively seeks new ways to bring gas to Europe by circumventing Ukraine. Meanwhile, the EU keeps insisting that it wants to cut its dependence on Russian gas.

  • Comment #Total a pris le contrôle des lobbies européens des énergies renouvelables... pour mieux favoriser le gaz
    http://multinationales.org/Comment-Total-a-pris-le-controle

    Les entreprises pétrolières et gazières ont pris le contrôle des lobbies européens des énergies renouvelables. La française Total, aux côtés de consoeurs comme Iberdrola (Espagne), E.On (Allemagne) et Enel (Italie-Espagne), forment désormais la majorité du conseil d’administration des deux principales associations professionnelles de l’éolien et du solaire. Cette prise de contrôle vise à freiner la transition énergétique au niveau européen, en particulier en faisant la promotion du gaz comme « #énergie de (...)

    Actualités

    / Total, #Lobbying, #Énergies_fossiles, #union_européenne, #Énergie, #Greenwashing, énergie, #influence, The (...)

    #The_Guardian
    « http://www.theguardian.com/environment/2015/jan/22/fossil-fuel-firms-accused-renewable-lobby-takeover-push-gas »

  • Une centrale de biomasse pour déforêster les Cévennes ?
    http://reflets.info/une-centrale-de-biomasse-pour-deforester-les-cevennes

    La transition énergétique n’est pas une simple opération économico-écologique visant à basculer d’un mode de production d’électricité basé sur le nucléaire ou le charbon vers des énergies « propres » ou « vertes », respectueuses de l’environnement et sans danger. La centrale E.ON de Gardanne, bientôt en production, en est l’illustration parfaite. Premier aperçu d’une affaire qui risque de tourner très […]

  • On veut brûler les forêts françaises à la centrale de Meyreuil en Provence !
    http://reformeraujourdhui.blogspot.com/2014/09/on-veut-bruler-les-forets-francaises-la.html

    Depuis octobre 2013, la contestation contre le projet de méga-centrale électrique à biomasse, près de Gardanne (Bouches-du-Rhône), ne cesse de s’étendre en Provence. Après avoir été approuvé par le gouvernement de Nicolas Sarkozy deux ans auparavant, les habitants et les élus locaux ont appris que leur territoire avait été désigné zone d’approvisionnement prioritaire pour du bois forestier par l’entreprise allemande E.On… Ce projet vise à convertir la tranche 4 de la centrale située à Meyreuil (à proximité de Gardanne) fonctionnant au charbon et au coke de pétrole pour une puissance électrique de 250 mégawatts (MW), en une unité de production utilisant la biomasse pour une puissance électrique de 150 MW. La société E.On annonce le démarrage de l’exploitation pour le début 2015.Une aberration écologique et 1,4 (...)

  • Sortie du #nucléaire : les géants de l’énergie réclament des centaines de millions d’euros à l’Allemagne
    http://multinationales.org/Sortie-du-nucleaire-les-geants

    Un État peut-il décider de fermer ses centrales nucléaires les plus anciennes sans devoir payer des millions d’euros de dédommagement aux groupes qui les exploitent ? La question se pose une nouvelle fois de l’autre côté du Rhin. Après le suédois #Vattenfall et l’allemand #RWE, c’est maintenant l’autre géant énergétique allemand, #E.ON, qui poursuit son propre gouvernement devant les tribunaux, pour avoir pris une décision politique nuisible à ses intérêts. Le groupe énergétique allemand E.on vient de (...)

    Actualités

    / #Allemagne, E.ON, RWE, #Énergie_nucléaire, Vattenfall, #influence, #Énergie, #énergie, nucléaire, accords de commerce et (...)

    #accords_de_commerce_et_d'investissement
    « http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/atomkraft-e-on-will-schadenersatz-wegen-zwangsabschaltung-a-994883.html »
    « https://www.flickr.com/photos/2e14/5540076250

    Flickr
     »

  • Cévénols contre grands projets inutiles
    http://www.zinzine.domainepublic.net/index.php?theurl=emmission2.php&id=2363

    Deux entretiens réalisés lors de la Foire de l’Autogestion à St-Jean du Gard (30) le 14 juin 2014 : avec Joseph Varea de l’association St-Hilaire Durable sur la lutte contre le projet de l’Agglo d’Alès de méga-golf sur 360 hectares de terres agricoles de la commune de St-Hilaire ; avec Christian Sunt sur l’intérêt des châtaigneraies des Cévennes et l’importance de lutter contre le projet de centrale à biomasse à Gardanne de l’entreprise E.On qui a désigné les Cévennes comme zone d’approvisionnement prioritaire pour la centrale. Durée : 1h. Source : Radio Zinzine

  • Contre le délire d’E.On
    http://www.esgourdes.net/2014/01/24/contre-le-delire-de-on-3eme-partie/744

    Lundi 7 janvier 2014, les militants contre le projet de centrale Biomasse de la multinationale E.On à Gardanne, qui menace l’environnement et l’économie de la forêt dans un rayon de 400 km autour de la centrale, se sont donné rendez-vous à Marseille. Une fois que la chaudière sera allumée pour produire de l’électricité, il faut lui donner à manger un volume colossale de bois : 1 millions de mètres cubes par an soit 22 fois la hauteur du MUSEM ou 50 fois l’Arc de Triomphe. Durée : 71 min. Source : Radio Zinzine

  • La centrale à biomasse de Gardanne menace les forêts cévenoles - Reporterre
    http://www.reporterre.net/spip.php?article4598

    La compagnie E.ON veut mettre en fonctionnement une grande centrale électrique à biomasse, à Gardanne, dans les Bouches-du-Rhône. Mais il faudra aller chercher loin le bois lui servant de combustible. La menace est forte d’industrialiser la forêt cévenole, dans le Gard et en Lozère, selon IACAM.

    Présence de massifs forestiers + centrale à biomasse, ça me dit quelque chose.
    #greenwashing

  • Are the ’big six’ energy companies blocking renewables in the UK? - news - The Ecologist
    http://www.theecologist.org/News/news_analysis/1261670/are_the_big_six_energy_companies_blocking_renewables_in_the_uk.html

    Just six energy companies EDF, E.ON, Centrica, SSE, Scottish Power and npower control 99 per cent of our domestic energy market but show only minor interest in renewables

    Huge profits announced by EDF and Centrica recently have sparked further debate about the behaviour of the so-called ’big six’ energy companies and their stranglehold of the energy market. At worst they may not only be overcharging customers but also holding back a once-in-a-generation opportunity to make the transition to renewable energy.

    #énergie #Royaume-Uni